(blog à finir et à corriger)
Et, dans la rubrique, "On ne va pas se laisser faire", mes chers cinq lecteurs.
(source : Bastamag)
Et, de leur côté, les BRICS se prennent en charge en se rendant indépendant du FMI et de la banque mondiale au service de la finance internationale et des multinationales qui gouvernent les Etats-Unis et asservissent ses citoyens et les citoyens européens avec la complicité du président français, françois hollande.
(source : Ria novosti)
Et, en attendant, les pays de l'ancienne Europe de l'est adopte une posture anti-russe.
N'oublions pas que l'Ukraine, stupidement, a voulu adopter une loi interdisant le russe dans le pays, alors, qu'il y a 8 millions de russophones.
Cela veut dire quoi, on n'est pas d'accord pour se faire plumer par la finance et les multinationales américaines et on devient des "Satans !"
(source : idem)
vvv
Et, dans la rubrique, "On ne va pas se laisser faire", mes chers cinq lecteurs.
(source : Bastamag)
LIBÉRALISATIONS
Tisa : des syndicats du monde entier appellent à cesser ces négociations commerciales secrètes
Les réactions se multiplient du côté des syndicats depuis quelques jours pour dénoncer l’Accord sur le commerce des services (ACS, ou Tisa). Un traité en cours de négociation entre une cinquantaine de pays (lire notre enquête Tisa, ces négociations commerciales secrètes qui visent à accélérer privatisations et dérégulations). En France, le syndicat Force ouvrière (FO) déplore le silence du gouvernement concernant ces négociations, qui visent à ouvrir le « marché des services » à la concurrence internationale. Lors d’une rencontre le 1er juillet avec la secrétaire d’État chargée du Commerce extérieur, Fleur Pellerin, le syndicat lui a demandé des clarifications. FO interpellera aussi le gouvernement lors de la conférence sociale, la semaine prochaine.
Le 27 juin, le Comité syndical européen de l’éducation (CSEE), qui représente 132 syndicats d’enseignants en Europe et 11 millions de salariés du secteur éducatif, a exprimé « ses plus vives inquiétudes face à l’intention de l’Union européenne d’inclure les services d’éducation dans le cadre des négociations en cours sur l’accord de libre-échange pour le commerce des services ». Pour son directeur, Martin Rømer, il y a dans ces négociations le risque « d’intensifier les pressions visant à commercialiser et privatiser le secteur de l’éducation » et « de restreindre drastiquement la possibilité pour les États (...) de limiter l’entrée des institutions et établissement scolaires privés ou lucratifs sur leur territoire et de réglementer leurs activités ».
Un traité qui « dépasse l’entendement »
La fédération syndicale s’inquiète notamment de l’inclusion de la « clause de statu quo », dans cet accord (selon un document dévoilé par Wikileaks) : « Les gouvernements seront contraints de maintenir toutes leurs réglementations en vigueur en matière de libéralisation, si bien que leurs successeurs n’auront plus aucune possibilité d’introduire de nouvelles mesures permettant de limiter le commerce des services, analyse Martin Rømer. Cette situation est fondamentalement contraire à tout processus décisionnel démocratique »
Pour la Confédération syndicale internationale (CSI), « le projet d’accord dont débattent des représentants de gouvernements vise à affaiblir la réglementation des services financiers et à octroyer aux fonds spéculatifs, aux banques, aux compagnies d’assurance et autres prestataires financiers de nouveaux accès sur les marchés financiers » (communiqué du 27 juin). « Les gouvernements sont en train de négocier dans le plus grand secret des réglementations financières à la baisse », dénonce Sharan Burrow, secrétaire générale de la CSI. « Qu’ils veuillent aider les banques "trop grosses pour faire faillite" et conglomérats financiers à poursuivre leur expansion, cela dépasse l’entendement. »
L’offre de la Commission européenne
Plusieurs fédérations syndicales internationales ont appelé à cesser les négociations de l’accord Tisa : l’Internationale des services publics (qui représente 669 syndicats du secteur des services publics), UNI Global Union (900 organisations syndicales et 20 millions d’adhérents dans le monde, dans les secteurs de la santé, des médias, des télécommunications ou des finances), IndustriALL (50 millions de travailleurs de l’industrie, des mines et de l’énergie) et l’UITA (Union internationale des travailleurs de l’alimentation et de l’agriculture, 383 organisations membres). En 2013, elles avaient déjà, avec plusieurs centaines d’organisations, affirmé leur ferme opposition aux négociations, dans une lettre adressée aux ministres du Commerce des pays concernés.
Malgré les demandes répétées des syndicats et ONG pour une plus grande transparence, voire pour l’arrêt des discussions, le mandat de négociation donné à la Commission européenne n’a toujours pas été rendu public. Pour le commissaire au Commerce, Karel de Gucht, le secret sur les négociations est un choix « stratégique ». La Suisse, la Norvège et l’Islande ont pourtant publié leurs offres initiales de négociation (lire ici). Dans ces conditions, comment savoir quels seront les secteurs qui pourront être soumis aux privatisations et à la concurrence internationale ? « Dans son offre, l’UE a introduit une série d’exceptions qui lui permettent de prendre toute mesure qu’elle juge utile dans un certain nombre de secteurs, notamment l’audiovisuel, l’éducation publique, la santé publique ou l’eau », assure, dans son langage bien à elle, la Commission, interrogée par FO Hebdo. Impossible à vérifier, tant que l’offre initiale de l’Union européenne ne sera pas rendue publique.
Les services publics seront-ils protégés de toute menace de privatisation ? Là encore, réponse sibylline de la Commission : « L’UE a introduit une réserve horizontale lui permettant de sauvegarder des monopoles et des droits exclusifs d’exploitation dans le secteur public. La réserve est libellée comme suit : "les services reconnus d’utilité publique au niveau national ou local peuvent être soumis à des monopoles publics ou à des droits exclusifs octroyés à des opérateurs privés" » [1]. La transparence, c’est aussi une question de vocabulaire...
(source : Ria novosti)
Les pays du BRICS comptent partager leurs réserves
13:21 04/07/2014
MOSCOU, 4 juillet - RIA Novosti
Sur le même sujet
- BRICS: Poutine participera au sommet de juillet au Brésil
- BRICS: le 6e sommet en juillet dans la ville brésilienne de Fortaleza
- Les BRICS "consolidés" face à la rhétorique antirusse de l'Occident (diplomate)
- Ukraine: les BRICS condamnent les sanctions
Le gouvernement russe a adopté hier le projet d’accord visant à créer un fonds de stabilisation des réserves monétaires du Brésil, de la Russie, de l’Inde, de la Chine et de l’Afrique du Sud (groupe des Brics), écrit vendredi le quotidien Kommersant.
Ce nouveau mécanisme dont le lancement devrait être annoncé le 15 juillet lors du sommet des BRICS au Brésil, a été conçu par ces pays comme une alternative aux crédits du Fonds monétaire international (FMI). La Russie investira 18 milliards de dollars sur un total de 100 milliards, permettant à Moscou d’emprunter la même somme en cas de fluctuations graves du rouble ou de manque de liquidités en dollars.
L’idée de créer ce fonds de réserve a été pour la première fois évoquée lors de la rencontre des pays du BRICS en marge du sommet du G20 à Los Cabos en 2012. La formation de ce mécanisme est considérée comme une alternative aux emprunts auprès des organisations financières internationales. Selon le projet de création du fonds, examiné hier par le gouvernement russe, les réserves en dollars des pays resteront dans leurs banques centrales mais, suite à la demande d’un pays, pourraient lui être transmises afin d’apaiser les fluctuations des marchés financiers et réduire le risque de fuite des capitaux.
D’après la note d’intention du décret gouvernemental concernant la signature de l’accord, ce fonds permettra de réagir aux "décisions peu prévisibles de la Réserve fédérale des États-Unis et de la Banque centrale européenne (BCE)". Ainsi, selon Morgan Stanley, l’annonce par la Réserve fédérale de son intention de supprimer ses programment d’amortissement a réduit les réserves monétaires des pays émergents de 81 milliards de dollars. Ce fonds serait donc une sorte d’assurance contre un manque de liquidité en dollars. L’accord stipule que les pays sont en mesure de demander l’accès à ces ressources à n’importe quel moment, y compris comme une mesure préventive.
Selon l’accord, la Chine apportera la contribution la plus importante (41 milliards de dollars), alors que la Russie, le Brésil et l’Inde investiront chacun 18 milliards de dollars, les 5 milliards restants étant versés par l’Afrique du Sud. L’emprunt éventuel de la Russie sera égal à sa contribution, tandis que la Chine ne pourrait obtenir que la moitié de la somme investie. La condition principale d’octroi des fonds prévoit l’existence d’un accord effectif entre le pays-emprunteur et le FMI concernant un crédit (aucun pays du Brics n’en a pour le moment). Sinon, le volume maximal du crédit ne pourra pas dépasser 30% de la contribution du pays, précise le document.
Il restera tout de même plus facile d’obtenir un crédit des Brics que du FMI, estime Sergueï Poukhov du Centre pour le développement. Selon lui, "le Brésil, la Russie et l’Inde reçoivent en réalité des garanties en se fondant sur les réserves chinoises, ce qui devrait apaiser l’appétit des spéculateurs qui misent sur l’affaiblissement des monnaies de ces pays". Les décisions en matière d’octroi des crédits seront prises par un conseil d’administration regroupant les chefs des banques centrales ou les ministres des finances des pays du Brics. Le rôle de coordinateur appartiendra au pays-président du groupe (poste occupé en alternance). En cas de non-remboursement du crédit le mauvais payeur devra placer des obligations, étant "hors de la juridiction de l’emprunteur" et sera donc incapable de les restructurer ou de les annuler.
Les accords concernant la création du fonds de stabilisation et d’un autre mécanisme financier - la Banque de développement avec 50 milliards de dollars de fonds initiaux (10 milliards de chaque pays du Brics) - devraient être signés le 15 juillet lors du sommet du groupe au Brésil.
Et, en attendant, les pays de l'ancienne Europe de l'est adopte une posture anti-russe.
N'oublions pas que l'Ukraine, stupidement, a voulu adopter une loi interdisant le russe dans le pays, alors, qu'il y a 8 millions de russophones.
Cela veut dire quoi, on n'est pas d'accord pour se faire plumer par la finance et les multinationales américaines et on devient des "Satans !"
(source : idem)
Moldavie: la chaîne de télévision Rossia-24 interdite
Moldavie: la chaîne de télévision Rossia-24 interdite
© Flickr/ Robert S. Donovan
15:49 04/07/2014
CHISINAU, 4 juillet - RIA Novosti
Sur le même sujet
- L'Ukraine suspend la diffusion de quatre chaînes TV russes
- Washington promet de ne pas entraver le travail de la chaîne de télévision RT
- Russie: la Première chaîne de télévision cible d'attaques DDoS
Le conseil de coordination pour la radiodiffusion-télévision de Moldavie a voté vendredi pour l'interdiction de la chaîne de télévision russe Rossia-24 sur le territoire moldave d'ici le 1er janvier 2015, rapporte le correspondant de RIA Novosti à Chisinau.
Le conseil a argumenté sa décision par la "non-conformité des programmes de la chaîne avec le code de la télévision moldave".
vvv
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire