mercredi 9 juillet 2014

(blog à finir et à corriger)

Eh, voilà, mes chers cinq lecteurs, le nouveau califat d'Irak de l'est et de Syrie, joue les pères la morale pour tout le monde musulman.
Il s'érige en référence morale et en unique source de la pureté intrinsèque de l'Islam.
A mon avis, la famille royale d'Arabie Saoudite a du mouron à se faire. Pour elle, serait-ce le début de la fin ?

(source : Telquel)

L’Etat islamique s’en prend au Maroc

Photo: capture d'écranL’Etat islamique s’en prend au Maroc
7 juillet
14:002014
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Dans une récente vidéo, des membres de l’État islamique (EI) s’en prennent vivement à des figures marocaine comme Omar Haddouchi, Mustapha Ramid et Abdeslam Yassine.

L’organisation, connue sous le nom d’État islamique (EI), a une nouvelle fois mené une attaque virulente à l’encontre de personnalités de la Salafiya Al Jihadiya et de l’ancien leader de l’Al Adl Wal Ihsane, Abdeslam Yassine. Dans la vidéo, l’EI critique sévèrement les propos du salafiste Omar Haddouchi concernant le jihad. Ce dernier s’était prononcé contre « les Marocains qui partent en jihad en Syrie ».  Un point de vue qui irrite l’EI, qui explique que le salafiste Haddouchi préfère plutôt soutenir « les frères démocrates et les aider dans leur perdition que d’appuyer les mesures des vrais jihadistes ». L’État islamique s’en est également pris aux deux autres leaders de la Salafiya al jihadiya, Abou Hafs et Hassan Kettani. Quant au défunt Abdeslam Yassine, il est qualifié de « polythéiste », et Mustapha Ramid est désigné comme le « ministre de l’injustice ».

Les jihadistes promettent d’attaquer le Maroc

Outre ces attaques contre des personnalités politiques, huit des Marocains appartenant au mouvement de Baghdadi « prévoient de ramener le jihad sur les terres marocaines ». Ces jihadistes, qui s’expriment dans un arabe mêlé de darija, ont affirmé qu’ils sont contents « de pouvoir assister à la khilafa (califat, ndlr) de leur vivant et qu’ils sont prêts à instaurer ce système au Maroc ».
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Et, en attendant, l'industrie pharmaceutique se porte bien grâce, par exemple en France, aux autorités sanitaires du pays.

(source :

 

HÉPATITE C : LA HAS A RETENU SES CRITÈRES POUR LES NOUVEAUX TRAITEMENTS

Publié par Franck Barbier et Jean-François Laforgerie 260 lectures
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Toutes les personnes vivant avec une hépatite C chronique et qui ont atteint un stade sévère de la maladie (stade de fibrose 2 et au-delà) devraient pouvoir bénéficier des nouveaux médicaments antiviraux à action directe, recommande la Haute Autorité de santé (HAS) qui s'inquiète, comme tout le monde, du coût "prohibitif" de ces traitements. Explications.
Interrogé par l'AFP (2 juillet), le professeur Jean-Luc Harousseau, président du Collège de la HAS, a estimé que les stades sévères concernaient en France environ 25 % des 140 000 personnes souffrant d'hépatite C chronique et qui se savent infectées, soit 35 000 personnes. Mais le nombre réel pourrait être plus important dans la mesure où de nombreuses personnes ignorent leur infection. Environ 232 000 personnes vivent avec l'hépatite C (VHC) en France ; 43 % d’entre elles l’ignorant. "En raison du coût prohibitif des traitements et du nombre de personnes à traiter, la HAS a estimé de son devoir de préciser les indications en fonction du degré d'urgence", a ajouté Jean-Luc Harousseau. Le Collège de la HAS, un organisme public et indépendant chargé de faire des recommandations sanitaires en prenant en compte de la dimension financière, a été saisi, début juin dernier, par le gouvernement pour donner son avis sur l'arrivée sur le marché des nouveaux antiviraux à action directe. Ces nouveaux traitements - dont fait partie le Sovaldi (sofosbuvir) du laboratoire Gilead - sont nettement plus efficaces que le traitement de référence actuel : interféron pégylé et ribavirine. Seul le sofosbuvir (Sovaldi) a été évalué à ce stade par la HAS, mais d'autres molécules devraient rapidement arriver dont le daclatasvir (nom de marque : Daklinza) du laboratoire américain Bristol-Myers Squibbs (BMS) qui vient de recevoir un premier feu vert de l'Agence européenne du médicament (EMA) pour sa commercialisation en Europe.

HAS : QUI TRAITER D’ABORD ?

Le Collège de la HAS recommande de traiter d'emblée avec ces nouveaux traitements les personnes ayant atteint les stades sévères de fibrose ou atteintes de cirrhose, ainsi que les personnes en attente de greffe ou en situation de post-greffe. Il propose également de traiter les personnes co-infectées (VIH et VHC) et celles qui sont atteintes de certains types de lymphomes (cancers) associés au VHC. Par ailleurs, le Collège s'inquiète du niveau de prix de ces traitements et s'interroge sur leur justification "alors que persistent de nombreuses incertitudes à ce stade sur l'efficacité à long terme" et le "rapport coût/efficacité" de ces traitements. Ces antiviraux seront de surcroît utilisés en association avec d'autres médicaments "se partageant ainsi le mérite de l'efficacité", ajoute le Collège dans des recommandations disponibles en ligne.

On doit noter l'écart entre les recommandations d'experts 2014 (rapport Dhumeaux) sorti en mai 2014 et l'avis de la HAS au sujet du traitement des personnes incarcérées ou usagères de drogues. Alors que le rapport d'experts recommande de leur proposer un traitement quel que soit le stade de fibrose, la HAS ne suit pas. Or c'est un recul face à l'action qu'on pourrait avoir sur la réduction de la transmission, pour agir sur la dynamique de l'épidémie, touchant beaucoup les personnes consommatrices de drogues, mais aussi des pertes de chances et d’opportunités de traitement pour des personne incarcérées, dont on ne sait pas quel sera leur accès aux soins par la suite. Cet écart entre les avis pourrait être préjudiciable aux personnes plus vulnérables à l'accès et au maintien dans le soin.
Lire le communiqué interassociatif.
Pays : 

















Sauf que !!!!!!

(source : le Nouvel Observateur)

Sovaldi, le médicament qui coûte 2,50 euros à produire et que le labo veut vendre 650 euros

Facturer plus de 650 euros un antiviral contre l'hépatite C alors qu'il ne coûte que 2,50 euros à produire ? C'est le souhait du labo américain Gilead, que des députés veulent combattre.

La vignette au dos des boîtes de médicaments appartiendra, dans quelques jours, aux vestiges du passé. Le prix et le taux de prise en charge par l'assurance maladie figureront désormais au dos de l'ordonnance. GILE MICHEL/SIPALa vignette au dos des boîtes de médicaments appartiendra, dans quelques jours, aux vestiges du passé. Le prix et le taux de prise en charge par l'assurance maladie figureront désormais au dos de l'ordonnance. GILE MICHEL/SIPA
Cinq députés de la majorité ont écrit à Michel Joli, président du laboratoire pharmaceutique américain Gilead, pour qu'il baisse le prix de son nouveau médicament contre l'hépatite C, le Sovaldi, révèle "Le Parisien", lundi 7 juillet.
L'initiative des députés PS Gérard Bapt, Catherine Lemorton (présidente de la commission des affaires sociales à l’Assemblée), Olivier Véran, Bernadette Laclais et Jean-Louis Touraine, est inédite. Le prix du médicament, bénéficiant pour l’instant que d’une "autorisation temporaire d’usage", aussi.

56.000 euros par patient, 4,8 milliards pour la Sécu ?

Un comprimé de Sovaldi pourrait être facturé plus de 650 euros par le laboratoire pharmaceutique américain, alors que lui débourse moins de 2,50 euros pour sa fabrication.
Cet antiviral représente une vraie révolution. Trois mois de traitement, 84 comprimés, comme le préconise Gilead, suffisent pour faire disparaître le virus de l'hépatite C dans 90% des cas. Mais selon le prix du médicament, le coût par patient s'élèverait à 56.000 euros, pour un prix de revient de 200 euros. Comprendre : le laboratoire voudrait faire payer ce médicament 280 fois plus que ce qu'il lui a coûté.
La marge que se fait Gilead est colossale et sera entièrement réglée par l'assurance maladie puisque le médicament Sovaldi serait pris en charge à 100%.
Face à un tel montant, les cinq députés ont pris leurs calculettes. Ils estiment que si d'ici deux ans 60.000 patients bénéficient du traitement : cela coûterait 4,8 milliards d'euros à la Sécurité sociale. Une facture exorbitante quand l'assurance maladie doit trouver 10 milliards d'euros d'économies."

De toute façon, en France, on dérègule à fond la caisse. Bientôt, comme aux USA, la finance et les multinationales nous dicteront comment souffrir sous leur joug. Un nouveau fascisme bien camouflé, puisqu'ils continueront à nous faire croire que l'on vit toujours en démocratie.

(source :

la flamme du gaz

"Steph", nous offre cette information, Merci !

information concernant l'accord TISA, le Traité Transatlantique  la dérèglementation et l'Abandon de souveraineté pour un meilleur dépouillement des infrastructures publiques !

"Suite aux révélations de l'Humanité sur les négociations secrètes portant sur l'accord TISA qui vise à privatiser les services publics au plan mondial, voici un tract d'info rédigé en commun avec la Cgc ( c'est pour dire si c'est grave puisqu'un tract commun Cgt/Cgc c'est rarissime!!) qui n'est pas passé dans les médias  français et pour cause ... :"

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Paris, le 3 juillet 2014.

Communiqué de presse

Pour 38 millions d’euros (0,08 % du capital), l’Etat abandonne sa souveraineté sur le gaz.
La loi de privatisation de Gaz de France en 2006 impose à l’Etat de détenir une minorité de blocaged’au moins un tiers du capital de GDF SUEZ. 
Cette obligation a été souhaitée par le Gouvernement del’époque et défendue par l’opposition d’alors. Mais aujourd’hui, le Gouvernement renie cetengagement. Par la publication le dimanche 29 juin de l’arrêté de cessions des titres GDF SUEZ, l’Agence des participations de l’Etat (APE) indique vouloir céder 3,45 % des actions du Groupe, faisant ainsi passer sa participation de 36,7 % à 33,25 % soit, à 38 millions d’euros près, en dessous de la minorité de blocage. 
L’APE s’est bien évidemment gardé de communiquer ce chiffre de 3,45 % dans son communiqué de closing de l’opération du 25 juin qui faisait référence à 3,1 %.
Avant de retrouver peut-être la minorité de blocage par le jeu des droits de vote double à partir de 2016 grâce à un artifice juridique, l’Etat sera donc pendant deux ans en dessous du seuil de 33,33 %, ce qui est inacceptable pour les Fédérations CGT et CFE-CGC.
Ainsi, en cas de projet de fusion, de cession, d’OPA, de transfert du siège à l’étranger ou de toute réforme sensible des statuts, l’Etat ne sera plus en mesure de s’opposer.
Alors que le secteur de l’énergie est stratégique pour notre pays, l’Etat affaiblit son pouvoir de protection du Groupe et du service public. 
Face à cette absence de vision stratégique et industrielle, la CGT et la CFE-CGC dénoncent ce manquement grave à la parole de l’Etat et exige qu’il respecte ses engagements et joue son rôle d’actionnaire stable et responsable.
 

Et, une mauvaise nouvelle !

(source : Histoire de la fin de la croissance)

IRAK: Les rebelles ont pillé des armes chimiques

IRAK: Les rebelles ont pillé des armes chimiques | Histoire de la Fin de la Croissance | Scoop.it
Le gouvernement irakien a perdu le contrôle d'une ancienne installation d'armes chimiques, tombée entre les mains de "groupes terroristes armés", et ne peut donc pas détruire l'arsenal qui y est entreposé comme il devait le faire, selon l'ambassadeur d'Irak auprès de l'Onu.

Dans une lettre adressée au secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon et rendue publique aujour'hui, Mohamed Ali Alhakim affirme que les rebelles se sont emparés de l'installation de Mouthanna le 11 juin dernier.

Des obligations impossibles à remplir

Selon lui, des vestiges d'un ancien programme d'armes chimiques y sont stockés dans deux bunkers. "La direction s'est rendu compte mardi 12 juin à l'aube, via le système de vidéosurveillance, que les terroristes avaient pillé une partie de l'équipement et certains appareils, avant de désactiver le système de surveillance", a écrit Mohamed Ali Alhakim dans son courrier daté du 30 juin.

"Le gouvernement irakien demande aux Etats membres des Nations unies de comprendre qu'il est actuellement impossible pour l'Irak, compte tenu de la dégradation de la situation, de remplir ses obligations en matière de destruction d'armes chimiques", a ajouté le diplomate. D'après lui, le pays se pliera à ses obligations une fois que le calme sera revenu et que le gouvernement aura repris le contrôle de l'installation."

A mon avis, cela va finir en Syrie contre les groupes opposants au califat et l'armée syrienne sera accusée, même, si, elle comment autant d'atrocités que les djihadistes de l'EIIL.
Bon, passons à Snowden.

(source : idem)

« Les révélations Snowden ont provoqué une vague continue d'intérêt pour Tor »

« Les révélations Snowden ont provoqué une vague continue d'intérêt pour Tor » | Histoire de la Fin de la Croissance | Scoop.it
Nous avons rencontré plusieurs responsables du projet Tor, le plus célèbre des outils utilisés pour naviguer sur le Net de manière anonyme et sécurisée, et qui compte parmi ses utilisateurs de nombreux journalistes et militants politiques dans les régimes répressifs. Jeudi 3 juillet, de nouvelles révélations sur le système de surveillance de la NSA ont montré que l'agence américaine, qui n'a a priori jamais réussi à « casser » Tor, surveillait les personnes qui visitaient le site Web du projet. Entretien avec Linus Nordberg, un des développeurs de Tor, et avec Andrew Lewman, le directeur du projet.


Est-ce que les choses ont changé pour vous depuis les premières révélations Snowden ?

Andrew Lewman : Oui, beaucoup. Depuis les premières révélations il y a eu une vague continue d’intérêt pour les outils et les services protégeant la vie privée. Avant Snowden, quand vous arrêtiez quelqu’un dans la rue pour leur parler de la vie privée, il s’en fichait. Maintenant, les gens réagissent, ils ont tous entendu parler de la NSA, du chiffrement, des cookies [un petit fichier qui se met sur votre ordinateur et qui enregistre des informations sur la navigation effectuée sur un site].

Linus Nordberg : Entre juin 2012 et juin 2013, notre principal outil, le navigateur Tor, a été téléchargé 60 millions de fois. Depuis juin 2013, nous en sommes à 150 millions de téléchargement.

Comment expliquez vous le déficit d’image de Tor en France et en Europe, comparé à d’autres pays ?

AL : Nous sommes les victimes d’une campagne pour salir l’image de Tor en répétant qu’il est utilisé par les terroristes, par les trafiquants de drogue. Je pense que cela est du au fait qu’il est très difficile de casser Tor, et nous ne coopérons pas avec le gouvernement. Les criminels sont des opportunistes, ils utiliseront toujours tout ce qu’ils ont à disposition pour commettre leurs crimes, quoiqu’il arrive. Je travaille beaucoup avec des jeunes victimes d’abus et de trafic d’êtres humains. Leur pire cauchemar ? L’iPhone ! Pourtant, on ne l’accuse pas, pas plus qu’on accuse pas les voitures qui facilitent les cambriolages.

Quels sont les grands projets qui attendent Tor ?

AL : Le plus grand défi, c’est de rentre Tor encore plus facile à utiliser, maintenant qu’il est devenu très connu. Nous comptons entre deux et trois millions d’utilisateurs : il faut que tout le monde puisse l’utiliser. Le rendre plus rapide est aussi un objectif. Nous sommes actuellement en discussion avec une entreprise qui veut intégrer Tor dans les millions d’appareils qu’elle vend chaque année. Nous n’en sommes qu’au stade des discussions préliminaires, mais ils ont dit qu’ils voulaient absolument avoir Tor dans leur produit.

LN : Nous regardons s’ils sont sérieux, on ne peut pas faire comme ça et mettre Tor sur des millions d’appareils et attendre de voir si quelqu’un meurt lorsqu'il y aura un problème. On ne fonctionne pas comme ça. Intégrer autant d’utilisateurs d’un coup dans notre réseau, c’est un véritable défi technique.

AL : Notre autre problème, c’est d’expliquer ce qu’est Tor. Le gens souhaitent protéger leur vie privée, nous devons donc faire en sorte que nos utilisateurs en parlent à leurs amis, et leurs amis encore à leurs amis. Comme une campagne politique.

LN : Notre travail c’est avant tout d’écrire du code ! Simplifier le message est donc un gros challenge pour nous.

Est-ce que ce qui est arrivé à Truecrypt, un logiciel de chiffrement qui a subitement disparu après des rumeurs sur sa supposée vulnérabilité, pourrait vous arriver ? Est-il possible d’insérer une vulnérabilité cachée dans Tor pour le rendre inefficace ?

LN : Bien sûr que cela pourrait arriver. Mais pour cela, il faudrait échapper à la vigilance de tous ceux qui surveillent le code que nous publions. Et il ne faudrait pas se faire remarquer par tous ceux qui surveillent et relisent notre code tous les jours, une fois publié. Notre code est complètement ouvert, contrairement à Truecrypt qui ne l’était pas totalement. Même si je voulais mettre une backdoor [une « porte dérobée » dans un logiciel qui permet à un tiers d'accéder à l'ordinateur sur lequel il est installé], je ne saurais pas comment faire ! Lorsque je me trompe dans mon code et que j’insère un bug, on me soupçonne de vouloir insérer une vulnérabilité ! Mais le fait que les gens ne me fassent pas confiance est une très bonne chose pour la solidité et la fiabilité de Tor.

AL : Nous sommes une organisation américaine, nous pouvons donc être soumis aux National security letters [ordres écrits à valeur légale] du FBI. Nous n’en avons pas reçu, mais si c’était le cas et que vous me posiez la question, je ne pourrais même pas en parler. Le problème de ces lettres c’est qu’elles visent directement les humains, au-delà de l’entreprise.

Martin Untersinger
Journaliste au Monde

bb

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