(blog à finir et à corriger)
Eh, voilà, mes chers cinq lecteurs, le nouveau califat d'Irak de l'est et de Syrie, joue les pères la morale pour tout le monde musulman.
Il s'érige en référence morale et en unique source de la pureté intrinsèque de l'Islam.
A mon avis, la famille royale d'Arabie Saoudite a du mouron à se faire. Pour elle, serait-ce le début de la fin ?
(source : Telquel)
Et, en attendant, l'industrie pharmaceutique se porte bien grâce, par exemple en France, aux autorités sanitaires du pays.
(source :
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Sauf que !!!!!!
(source : le Nouvel Observateur)
De toute façon, en France, on dérègule à fond la caisse. Bientôt, comme aux USA, la finance et les multinationales nous dicteront comment souffrir sous leur joug. Un nouveau fascisme bien camouflé, puisqu'ils continueront à nous faire croire que l'on vit toujours en démocratie.
(source :
Et, une mauvaise nouvelle !
(source : Histoire de la fin de la croissance)
A mon avis, cela va finir en Syrie contre les groupes opposants au califat et l'armée syrienne sera accusée, même, si, elle comment autant d'atrocités que les djihadistes de l'EIIL.
Bon, passons à Snowden.
(source : idem)
bb
Eh, voilà, mes chers cinq lecteurs, le nouveau califat d'Irak de l'est et de Syrie, joue les pères la morale pour tout le monde musulman.
Il s'érige en référence morale et en unique source de la pureté intrinsèque de l'Islam.
A mon avis, la famille royale d'Arabie Saoudite a du mouron à se faire. Pour elle, serait-ce le début de la fin ?
(source : Telquel)
L’Etat islamique s’en prend au Maroc
Dans une récente vidéo, des membres de l’État islamique (EI) s’en prennent vivement à des figures marocaine comme Omar Haddouchi, Mustapha Ramid et Abdeslam Yassine.
L’organisation, connue sous le nom d’État islamique (EI), a une nouvelle fois mené une attaque virulente à l’encontre de personnalités de la Salafiya Al Jihadiya et de l’ancien leader de l’Al Adl Wal Ihsane, Abdeslam Yassine. Dans la vidéo, l’EI critique sévèrement les propos du salafiste Omar Haddouchi concernant le jihad. Ce dernier s’était prononcé contre « les Marocains qui partent en jihad en Syrie ». Un point de vue qui irrite l’EI, qui explique que le salafiste Haddouchi préfère plutôt soutenir « les frères démocrates et les aider dans leur perdition que d’appuyer les mesures des vrais jihadistes ». L’État islamique s’en est également pris aux deux autres leaders de la Salafiya al jihadiya, Abou Hafs et Hassan Kettani. Quant au défunt Abdeslam Yassine, il est qualifié de « polythéiste », et Mustapha Ramid est désigné comme le « ministre de l’injustice ».
Les jihadistes promettent d’attaquer le Maroc
Outre ces attaques contre des personnalités politiques, huit des Marocains appartenant au mouvement de Baghdadi « prévoient de ramener le jihad sur les terres marocaines ». Ces jihadistes, qui s’expriment dans un arabe mêlé de darija, ont affirmé qu’ils sont contents « de pouvoir assister à la khilafa (califat, ndlr) de leur vivant et qu’ils sont prêts à instaurer ce système au Maroc ».
Et, en attendant, l'industrie pharmaceutique se porte bien grâce, par exemple en France, aux autorités sanitaires du pays.
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HÉPATITE C : LA HAS A RETENU SES CRITÈRES POUR LES NOUVEAUX TRAITEMENTS
Publié par Franck Barbier et Jean-François Laforgeriele 6 Juillet 2014, 00:00:00 260 lectures
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Toutes les personnes vivant avec une hépatite C chronique et qui ont atteint un stade sévère de la maladie (stade de fibrose 2 et au-delà) devraient pouvoir bénéficier des nouveaux médicaments antiviraux à action directe, recommande la Haute Autorité de santé (HAS) qui s'inquiète, comme tout le monde, du coût "prohibitif" de ces traitements. Explications.
Interrogé par l'AFP (2 juillet), le professeur Jean-Luc Harousseau, président du Collège de la HAS, a estimé que les stades sévères concernaient en France environ 25 % des 140 000 personnes souffrant d'hépatite C chronique et qui se savent infectées, soit 35 000 personnes. Mais le nombre réel pourrait être plus important dans la mesure où de nombreuses personnes ignorent leur infection. Environ 232 000 personnes vivent avec l'hépatite C (VHC) en France ; 43 % d’entre elles l’ignorant. "En raison du coût prohibitif des traitements et du nombre de personnes à traiter, la HAS a estimé de son devoir de préciser les indications en fonction du degré d'urgence", a ajouté Jean-Luc Harousseau. Le Collège de la HAS, un organisme public et indépendant chargé de faire des recommandations sanitaires en prenant en compte de la dimension financière, a été saisi, début juin dernier, par le gouvernement pour donner son avis sur l'arrivée sur le marché des nouveaux antiviraux à action directe. Ces nouveaux traitements - dont fait partie le Sovaldi (sofosbuvir) du laboratoire Gilead - sont nettement plus efficaces que le traitement de référence actuel : interféron pégylé et ribavirine. Seul le sofosbuvir (Sovaldi) a été évalué à ce stade par la HAS, mais d'autres molécules devraient rapidement arriver dont le daclatasvir (nom de marque : Daklinza) du laboratoire américain Bristol-Myers Squibbs (BMS) qui vient de recevoir un premier feu vert de l'Agence européenne du médicament (EMA) pour sa commercialisation en Europe.
HAS : QUI TRAITER D’ABORD ?
Le Collège de la HAS recommande de traiter d'emblée avec ces nouveaux traitements les personnes ayant atteint les stades sévères de fibrose ou atteintes de cirrhose, ainsi que les personnes en attente de greffe ou en situation de post-greffe. Il propose également de traiter les personnes co-infectées (VIH et VHC) et celles qui sont atteintes de certains types de lymphomes (cancers) associés au VHC. Par ailleurs, le Collège s'inquiète du niveau de prix de ces traitements et s'interroge sur leur justification "alors que persistent de nombreuses incertitudes à ce stade sur l'efficacité à long terme" et le "rapport coût/efficacité" de ces traitements. Ces antiviraux seront de surcroît utilisés en association avec d'autres médicaments "se partageant ainsi le mérite de l'efficacité", ajoute le Collège dans des recommandations disponibles en ligne.
On doit noter l'écart entre les recommandations d'experts 2014 (rapport Dhumeaux) sorti en mai 2014 et l'avis de la HAS au sujet du traitement des personnes incarcérées ou usagères de drogues. Alors que le rapport d'experts recommande de leur proposer un traitement quel que soit le stade de fibrose, la HAS ne suit pas. Or c'est un recul face à l'action qu'on pourrait avoir sur la réduction de la transmission, pour agir sur la dynamique de l'épidémie, touchant beaucoup les personnes consommatrices de drogues, mais aussi des pertes de chances et d’opportunités de traitement pour des personne incarcérées, dont on ne sait pas quel sera leur accès aux soins par la suite. Cet écart entre les avis pourrait être préjudiciable aux personnes plus vulnérables à l'accès et au maintien dans le soin.
On doit noter l'écart entre les recommandations d'experts 2014 (rapport Dhumeaux) sorti en mai 2014 et l'avis de la HAS au sujet du traitement des personnes incarcérées ou usagères de drogues. Alors que le rapport d'experts recommande de leur proposer un traitement quel que soit le stade de fibrose, la HAS ne suit pas. Or c'est un recul face à l'action qu'on pourrait avoir sur la réduction de la transmission, pour agir sur la dynamique de l'épidémie, touchant beaucoup les personnes consommatrices de drogues, mais aussi des pertes de chances et d’opportunités de traitement pour des personne incarcérées, dont on ne sait pas quel sera leur accès aux soins par la suite. Cet écart entre les avis pourrait être préjudiciable aux personnes plus vulnérables à l'accès et au maintien dans le soin.
Lire le communiqué interassociatif.
Pays :
Sauf que !!!!!!
(source : le Nouvel Observateur)
Sovaldi, le médicament qui coûte 2,50 euros à produire et que le labo veut vendre 650 euros
Facturer plus de 650 euros un antiviral contre l'hépatite C alors qu'il ne coûte que 2,50 euros à produire ? C'est le souhait du labo américain Gilead, que des députés veulent combattre.
La vignette au dos des boîtes de médicaments appartiendra, dans quelques jours, aux vestiges du passé. Le prix et le taux de prise en charge par l'assurance maladie figureront désormais au dos de l'ordonnance. GILE MICHEL/SIPA
Cinq députés de la majorité ont écrit à Michel Joli, président du laboratoire pharmaceutique américain Gilead, pour qu'il baisse le prix de son nouveau médicament contre l'hépatite C, le Sovaldi, révèle "Le Parisien", lundi 7 juillet.
L'initiative des députés PS Gérard Bapt, Catherine Lemorton (présidente de la commission des affaires sociales à l’Assemblée), Olivier Véran, Bernadette Laclais et Jean-Louis Touraine, est inédite. Le prix du médicament, bénéficiant pour l’instant que d’une "autorisation temporaire d’usage", aussi.
56.000 euros par patient, 4,8 milliards pour la Sécu ?
Un comprimé de Sovaldi pourrait être facturé plus de 650 euros par le laboratoire pharmaceutique américain, alors que lui débourse moins de 2,50 euros pour sa fabrication.
Cet antiviral représente une vraie révolution. Trois mois de traitement, 84 comprimés, comme le préconise Gilead, suffisent pour faire disparaître le virus de l'hépatite C dans 90% des cas. Mais selon le prix du médicament, le coût par patient s'élèverait à 56.000 euros, pour un prix de revient de 200 euros. Comprendre : le laboratoire voudrait faire payer ce médicament 280 fois plus que ce qu'il lui a coûté.
La marge que se fait Gilead est colossale et sera entièrement réglée par l'assurance maladie puisque le médicament Sovaldi serait pris en charge à 100%.
Face à un tel montant, les cinq députés ont pris leurs calculettes. Ils estiment que si d'ici deux ans 60.000 patients bénéficient du traitement : cela coûterait 4,8 milliards d'euros à la Sécurité sociale. Une facture exorbitante quand l'assurance maladie doit trouver 10 milliards d'euros d'économies."
De toute façon, en France, on dérègule à fond la caisse. Bientôt, comme aux USA, la finance et les multinationales nous dicteront comment souffrir sous leur joug. Un nouveau fascisme bien camouflé, puisqu'ils continueront à nous faire croire que l'on vit toujours en démocratie.
(source :
"Steph", nous offre cette information, Merci !
information concernant l'accord TISA, le Traité Transatlantique la dérèglementation et l'Abandon de souveraineté pour un meilleur dépouillement des infrastructures publiques !
"Suite aux révélations de l'Humanité sur les négociations secrètes portant sur l'accord TISA qui vise à privatiser les services publics au plan mondial, voici un tract d'info rédigé en commun avec la Cgc ( c'est pour dire si c'est grave puisqu'un tract commun Cgt/Cgc c'est rarissime!!) qui n'est pas passé dans les médias français et pour cause ... :"
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information concernant l'accord TISA, le Traité Transatlantique la dérèglementation et l'Abandon de souveraineté pour un meilleur dépouillement des infrastructures publiques !
"Suite aux révélations de l'Humanité sur les négociations secrètes portant sur l'accord TISA qui vise à privatiser les services publics au plan mondial, voici un tract d'info rédigé en commun avec la Cgc ( c'est pour dire si c'est grave puisqu'un tract commun Cgt/Cgc c'est rarissime!!) qui n'est pas passé dans les médias français et pour cause ... :"
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Paris, le 3 juillet 2014.
Communiqué de presse
Pour 38 millions d’euros (0,08 % du capital), l’Etat abandonne sa souveraineté sur le gaz.
La loi de privatisation de Gaz de France en 2006 impose à l’Etat de détenir une minorité de blocaged’au moins un tiers du capital de GDF SUEZ.
Cette obligation a été souhaitée par le Gouvernement del’époque et défendue par l’opposition d’alors. Mais aujourd’hui, le Gouvernement renie cetengagement. Par la publication le dimanche 29 juin de l’arrêté de cessions des titres GDF SUEZ, l’Agence des participations de l’Etat (APE) indique vouloir céder 3,45 % des actions du Groupe, faisant ainsi passer sa participation de 36,7 % à 33,25 % soit, à 38 millions d’euros près, en dessous de la minorité de blocage.
L’APE s’est bien évidemment gardé de communiquer ce chiffre de 3,45 % dans son communiqué de closing de l’opération du 25 juin qui faisait référence à 3,1 %.
Avant de retrouver peut-être la minorité de blocage par le jeu des droits de vote double à partir de 2016 grâce à un artifice juridique, l’Etat sera donc pendant deux ans en dessous du seuil de 33,33 %, ce qui est inacceptable pour les Fédérations CGT et CFE-CGC.
Ainsi, en cas de projet de fusion, de cession, d’OPA, de transfert du siège à l’étranger ou de toute réforme sensible des statuts, l’Etat ne sera plus en mesure de s’opposer.
Alors que le secteur de l’énergie est stratégique pour notre pays, l’Etat affaiblit son pouvoir de protection du Groupe et du service public.
Face à cette absence de vision stratégique et industrielle, la CGT et la CFE-CGC dénoncent ce manquement grave à la parole de l’Etat et exige qu’il respecte ses engagements et joue son rôle d’actionnaire stable et responsable.
Et, une mauvaise nouvelle !
(source : Histoire de la fin de la croissance)
Le gouvernement irakien a perdu le contrôle d'une ancienne installation d'armes chimiques, tombée entre les mains de "groupes terroristes armés", et ne peut donc pas détruire l'arsenal qui y est entreposé comme il devait le faire, selon l'ambassadeur d'Irak auprès de l'Onu.
Dans une lettre adressée au secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon et rendue publique aujour'hui, Mohamed Ali Alhakim affirme que les rebelles se sont emparés de l'installation de Mouthanna le 11 juin dernier.
Des obligations impossibles à remplir
Selon lui, des vestiges d'un ancien programme d'armes chimiques y sont stockés dans deux bunkers. "La direction s'est rendu compte mardi 12 juin à l'aube, via le système de vidéosurveillance, que les terroristes avaient pillé une partie de l'équipement et certains appareils, avant de désactiver le système de surveillance", a écrit Mohamed Ali Alhakim dans son courrier daté du 30 juin.
"Le gouvernement irakien demande aux Etats membres des Nations unies de comprendre qu'il est actuellement impossible pour l'Irak, compte tenu de la dégradation de la situation, de remplir ses obligations en matière de destruction d'armes chimiques", a ajouté le diplomate. D'après lui, le pays se pliera à ses obligations une fois que le calme sera revenu et que le gouvernement aura repris le contrôle de l'installation."
A mon avis, cela va finir en Syrie contre les groupes opposants au califat et l'armée syrienne sera accusée, même, si, elle comment autant d'atrocités que les djihadistes de l'EIIL.
Bon, passons à Snowden.
(source : idem)
bb
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