(blog à finir et à corriger)
Bon, mes chers cinq lecteurs, il faut savoir qui fait quoi dans ce monde et comment nous devons réagir pour nous préserver d'abord individuellement pour nos familles et collectivement pour faire changer les choses.
(source : Bastamag.net)
Parce qu'au final, ils nous condamnent. Car, non seulement, ils nous empoisonnent en nous fournissant des médicaments, par exemple pour soigner une maladie qui peut provoquer en effet secondaire d'autres maux qui nous condamnent à devenir client ad eternam des laboratoires pharmaceutiques ou être condamné avec les OGM à payer toujours plus chers les engrais et les semences et, désormais, toujours pour les laboratoires pharmaceutiques, ils rendent ces médicaments inaccessibles aux plus pauvres.
(source : journal La Croix)

Recueilli par PIERRE BIENVAULTEt pour être sûr de la soumission des générations futurs, ils s'introduisent dans les écoles pour apprendre à nos enfants l'art et la manière d'accepter d'être cocus avec la complicité du gouvernement "socialiste" français.(source : Total envahit les écoles avec la bénédiction du ministère de l’EducationCAMILLE MARTIN (REPORTERRE)
Kit pédagogique de Total
Bon, mes chers cinq lecteurs, il faut savoir qui fait quoi dans ce monde et comment nous devons réagir pour nous préserver d'abord individuellement pour nos familles et collectivement pour faire changer les choses.
(source : Bastamag.net)
AGROBUSINESS
Industrie chimique, sociétés de biotechnologies et géants du trading contrôlent la chaîne alimentaire mondiale
Des champs aux hypermarchés, en passant par l’élevage, quelques géants de l’agrobusiness se partagent le marché alimentaire mondial. Les semences sont la propriété de quelques grands groupes de l’industrie chimique. Une poignée d’entreprises de biotechnologies conçoivent la grande majorité des volailles et poissons d’élevage. D’autres, parfois les mêmes, maîtrisent le commerce international de céréales… Une concentration sans précédent. En cas de faillite, les filières alimentaires risquent-elles de s’effondrer comme les marchés financiers ?
Certes, vous êtes libres d’acheter le produit que vous souhaitez, généralement dans un supermarché. Mais savez-vous vraiment qui élabore vos menus ? Que le poulet en train de rôtir a toutes les chances d’avoir été conçu par le groupe franco-néerlandais Hendrix Genetics ou la firme allemande EW Gruppe ? Que le pain qui servira à accompagner le fromage a été pétri avec de la farine appartenant très probablement à l’une des dix firmes qui contrôlent le marché des céréales ? Et que le blé a été négocié par le groupe français Louis Dreyfus ou l’états-unien Cargill ?
Commençons par les semences, source de toute agriculture, qu’elle soit destinée à l’alimentation humaine ou animale. 75 % du marché mondial de semences est contrôlé par seulement… dix multinationales ! Leurs noms ? Monsanto (États-Unis, 26 % du marché mondial), DuPont (États-Unis, 18 %), Syngenta (Suisse, 9 %), Limagrain (France, 5 %), suivis d’une poignée d’autres firmes allemandes, états-uniennes ou japonaises. Paradoxe de l’actuel modèle agricole : ce sont de grosses firmes de l’industrie chimique qui possèdent, de fait, une grande partie des semences échangées sur la planète ! Tels Monsanto, Syngenta, BASF, Bayer, DuPont et Dow Chemical. Ces six entreprises se partagent aussi les trois quarts du marché mondial de pesticides, estimé à 44 milliards de dollars en 2011. Car il faut bien accompagner la vente des semences de blé, de maïs, de riz ou de soja par des herbicides, insecticides et autres fongicides adaptés.
Les semences aux mains de l’industrie chimique
Cet oligopole de six entreprises agrochimiques possèdent également 75 % des budgets privés de recherche sur les croisements végétaux et… 100 % du marché des semences transgéniques, les OGM. « Avec leur entrée dans l’industrie des semences, les géants de la chimie ont commencé à produire des graines qui dépendent des produits chimiques », rappelle l’organisation indépendante britannique Econexus, qui regroupe des scientifiques et des citoyens [1]. D’un côté les semences, synonymes dans les esprits de biodiversité, de terroirs et de multiples variétés. De l’autre, une concentration sans précédent aux mains d’une poignée de firmes ! Car ces semences ne sont pas libres. Bien au contraire.
Top 10 des multinationales semencières


En Europe, cinq de ces firmes – Monsanto, DuPont, Syngenta, BASF et Bayer – détiennent la moitié des brevets sur les plantes, rapporte Econexus. Et désormais, la production et la vente des semences sont interdites sans l’accord de leur propriétaire (lire nos précédents articles). Ce qui entraîne une perte énorme de biodiversité cultivée. Et pas seulement en Europe. 3 000 variétés de riz étaient cultivées aux Philippines dans les années 1960. Il n’en reste plus que deux, sur 98 % de la superficie totale plantée ! Même la FAO (l’Organisation des Nations Unies pour l’agriculture et l’alimentation) s’en est inquiété : les trois-quarts de la biodiversité cultivée auraient disparu au cours du 20e siècle, alertait-elle [2].
Quatre « traders » détiennent les clés du placard à provisions planétaire
Voilà pour les semences, dont une partie sert à nourrir les animaux d’élevage. Car produire un kilogramme de viande nécessite trois kg de céréales et de soja. Dans l’alimentation animale, la concentration semble un peu moins marquée. Les dix plus gros fabricants de denrées pour bestiaux – dont le thaïlandais Charoen Pokphand suivi de l’états-unien Cargill – contrôlent 16 % du marché mondial. Mais tout dépend du type d’élevage. 90 % de la nourriture donnée au saumon (99 % du saumon consommé provient de l’élevage) est par exemple produite par seulement trois sociétés [3]
Il faut bien que céréales et soja voyagent sur les océans, que le blé européen alimente l’Amérique ou que le riz asiatique atteigne l’Afrique. Et là, une petite oligopole de quatre compagnies de « trading » se partagent 75 % du négoce mondial de céréales : les états-uniens Cargill, ADM (Archer Daniels Midland) et Bunge ainsi que le groupe français Louis Dreyfus, spécialisé dans le riz, le coton, le blé, le maïs, le sucre et le jus d’orange. En 2004, ces quatre sociétés ont ainsi acheté 80 % de la récolte mondiale de soja, les trois quarts de la récolte de maïs, 62 % du blé... Elles détiennent de fait les clés du placard à provisions planétaire.
Une poignée de géants influence la génétique animale
Une fois les animaux bien engraissés, il faut bien qu’ils se reproduisent, avant d’être emmenés à l’abattoir. Une autre industrie a vu le jour, celle de « la génétique de l’élevage ». Après avoir développé un maïs hybride qui oblige l’agriculteur à racheter chaque année sa semence, la société américaine Pioneer s’est ainsi lancée dans le« poulet hybride » dès 1942. Des lignées de poulets sont développées, et les plus performantes sont croisées. Objectif : produire des poules pondeuses qui donnent beaucoup d’œufs ou des poulets à rôtir qui grossissent rapidement... L’éleveur devient dépendant de ces productives lignées de volailles. Pour chaque nouvelle génération de poulets ou de dindes, il doit s’approvisionner chez le sélectionneur.
Il ne reste aujourd’hui que quatre sélectionneurs dans le secteur du poulet, alors qu’ils étaient onze il y a vingt ans. Le groupe allemand Eric Wesjohann (EW Gruppe) est le leader mondial de la génétique dans le domaine des pondeuses, des poulets et des dindes avec le franco-néerlandais Hendrix Genetics (dont Sofipotréol, le groupe dirigé par Xavier Beulin, président de la FNSEA, est actionnaire). Un autre groupe français, Grimaud, s’est engouffré dans le secteur et est aujourd’hui le deuxième sélectionneur de poulets et le premier en canard. Après vingt ans de rachat des plus petites firmes par les moyennes puis des moyennes par les plus grosses, en matière de génétique animale, la concentration est sans précédent : deux entreprises dans le secteur des poules pondeuses, quatre dans les poulets et trois dans les dindes ont la mainmise sur l’offre mondiale de volailles hybrides.
Qui contrôle les usines agroalimentaires ?
Autre problème : avec la concentration des entreprises de sélection, la variété des lignes d’élevage s’est considérablement réduite. Les animaux sont de plus en plus semblables génétiquement. Chez les bovins, il n’existe pas encore de lignées hybrides mais l’insémination artificielle, introduite dans les années 40, est très utilisée. Selon l’organisation non gouvernementale ETC Group, un seul taureau d’élevage peut ainsi avoir jusqu’à un million de descendants ! La génétique animale a également attiré Monsanto qui possède une licence sur le génome porcin et a déposé de nombreuses demandes de brevets sur une méthode de sélection porcine assistée par marqueurs. En 2009, sa tentative de breveter des gènes d’une race allemande de porcs, lui permettant de toucher des royalties lors de toute utilisation de cette espèce dans des croisements, avait provoqué un tollé.
A l’autre bout de la filière, la transformation des viandes et céréales en produits de consommation. Ils seront ensuite distribués en grande surface. Le contrôle des usines agroalimentaires est un peu plus diversifié. Dix entreprises se partagent 30 % du marché mondial. On retrouve le suisse Nestlé, les états-unien PepsiCo ou Kraft, le néerlandais Unilever et… Cargill, déjà présent dans l’alimentation animale et le négoce de céréales. Enfin, dans la grande distribution, Walmart et Carrefour se disputent le leadership mondial. Mais les dix premières enseignes de supermarchés ne détiennent « que » 10 % du marché mondial, estimé cependant à 7 180 milliards de dollars, presque trois fois le PIB de la France.
Les petits paysans, plus efficaces que l’agrobusiness
Des semences aux hypermarchés, quelques géants de la bouffe imposent, de fait, leur loi sur l’alimentation mondiale. Avec le risque, comme pour les concentrations des marchés financiers aux mains d’une trentaine de banque « systémiques », que le secteur agro-alimentaire s’écroule en cas de faillite ou de krach ? Ces multinationales, et leurs stratégies de privatisation du vivant (OGM, animaux hybrides, productivité basée sur la chimie…), sont-elles vraiment indispensables pour nourrir le monde ?« L’argument« trop gros pour faire faillite » repose sur un mythe puissant : l’idée que, si on n’intensifie pas la production de semences génétiquement modifiées, de pesticides ou d’engrais de synthèse, la population mondiale n’aura rien à manger », pointe Kathy Jo Wetter d’ETC Group. Mais ce n’est qu’un mythe : les quelque 3 milliards de producteurs et paysans locaux nourrissent la majorité des habitants de la planète, rappelle ETC Group [4].
Au contraire, la chaîne alimentaire industrielle, tout en utilisant environ 70 % des ressources agricoles mondiales, produit seulement 30 % de l’approvisionnement alimentaire mondial... Malgré leurs gigantismes, les leaders du marché sont donc loin d’être incontournables. D’autant que leur impact négatif est considérable : la filière alimentaire industrielle, est gourmande en énergie fossile et en eau. Et implique la déforestation de 13 millions d’hectares chaque année. Un modèle pas vraiment efficace. « Si nous voulons survivre aux changements climatiques, nous devons adopter des politiques qui permettront aux fermiers de diversifier les variétés végétales et animales qui se retrouvent sur nos menus », souligne Pat Mooney d’ETC Group. Un changement fondamental dans les mécanismes de régulation se révèle nécessaire... et urgent ! Selon la FAO, seules douze espèces végétales et quatorze espèces animales assurent désormais l’essentiel de l’alimentation de la planète.
Sophie Chapelle, avec Ivan du Roy
Photos : CC david.evenson / gollmar / mmatins / CGIAR Clima
(source : journal La Croix)
« Les médicaments du cancer atteignent un niveau de prix immoral »
Entretien avec Jean-Paul Vernant, professeur d’hématologie à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris.
(Philippe Chagnon/Coktailsanté)
Jean-Paul Vernant, professeur d’hématologie à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris.
Alors que s’ouvrent mercredi 6 novembre les Rencontres de la cancérologie française à Lyon, ce spécialiste dénonce le coût« astronomique » des nouveaux traitements « ciblés » du cancer. Il réclame une régulation des prix basée sur un« bénéfice raisonnable et moralement acceptable » .
Voix écoutée dans le monde de la cancérologie, Jean-Paul Vernant a remis cet été au gouvernement un rapport contenant des recommandations pour le troisième plan cancer qui doit être présenté en février.
AVEC CET ARTICLE
SUR INTERNET
La Croix : Que pensez-vous des prix des médicaments du cancer ?
Jean-Paul Vernant : Dans mon rapport, j’insiste sur la nécessité de mesurer « l’impact économique » qu’auront les traitements innovants au cours des prochaines années. Certaines molécules ont atteint un niveau de prix scandaleusement élevé et il arrivera un jour où même des pays riches comme le nôtre n’arriveront plus à délivrer ces médicaments.
C’est ce qu’ont dénoncé une centaine d’onco-hématologues, principalement américains, dans un article retentissant paru en avril dans la revue Blood.
Mais le fait que les médicaments du cancer soient chers, ce n’est pas une nouveauté…
C’est vrai. Mais, ces dernières années, le prix de certaines molécules a atteint des proportions que de plus en plus de médecins, dont je fais partie, jugent presque immorales. Comme le rappelle cet article, en une décennie, le prix des nouveaux médicaments anticancéreux a pratiquement doublé, passant d’un coût moyen de 5 000 à 10 000 dollars par mois (3 700 à 7 400 €).
En 2012, sur les douze molécules autorisées aux États-Unis, onze coûtaient 100 000 dollars (74 000 €) par an. Et cette tendance risque de s’aggraver avec le développement de cette médecine dite « ciblée », qui va favoriser l’émergence de médicaments de « niche ».
Prenons l’exemple du cancer du poumon. Aujourd’hui, on développe des médicaments qui essaient de « cibler » certaines caractéristiques génétiques de la tumeur. À l’avenir, il est possible qu’on dispose de 5, 10, 20 peut-être même 30 médicaments différents pour ce seul cancer. Ce seront presque des médicaments « orphelins », pour lesquels le laboratoire pourra réclamer un prix astronomique.
Mais ces traitements « ciblés » sont loin d’avoir tous démontré une efficacité réelle aujourd’hui…
Il y a aujourd’hui, dans certains pays, un débat éthique sur le coût très élevé de molécules qui, dans certains cas, permettent de prolonger la vie seulement de deux ou trois mois. Mais un autre médicament, le Glivec, pose un problème différent : au début des années 2000, on a découvert que ce produit était extraordinairement efficace dans le traitement des leucémies myéloïdes chroniques, dont on enregistre environ 1 000 nouveaux cas par an en France.
Ce médicament du laboratoire Novartis a été une révolution thérapeutique, puisqu’il a radicalement changé le pronostic de près de 80 % des patients. Mais ces personnes doivent prendre, à vie, ce médicament qui, en France, coûte environ 50 000 € pour une année.
Tous les médicaments innovants sont-ils accessibles aujourd’hui en France ?
Oui, notre pays est un de ceux qui, dans le monde, permet un accès le plus large aux nouveaux médicaments du cancer. Tous ces produits sont remboursés à 100 %, ce qui permet de les délivrer à tous les patients qui en ont besoin. Mais il arrivera bien un moment où la collectivité ne pourra plus payer.
En Angleterre, pour la leucémie myéloïde chronique, les autorités ont décidé de rembourser uniquement le Glivec, mais pas les médicaments de deuxième ou troisième génération, qui doivent être prescrits en cas de résistance au Glivec. Résultat, seuls les patients qui ont les moyens de débourser 100 000 dollars (74 000 €) par an peuvent assurer leur survie.
Que pensez-vous de l’argument des firmes qui mettent en avant le coût de la recherche et du développement de ces produits ?
Je pense qu’il faut mettre en place un nouveau système de régulation des prix qui devraient pouvoir être révisés de manière régulière dans le temps. Pour chaque nouveau produit, il faudrait définir la durée nécessaire pour que le laboratoire puisse amortir son investissement de départ et, ensuite, déterminer ce qui pourrait être un bénéfice raisonnable et moralement acceptable pour la firme.
Car n’oublions pas que, dans un pays comme le nôtre, ces médicaments sont remboursés par la collectivité nationale qui, au départ, a elle aussi consenti des investissements parfois importants pour permettre leur développement dans des laboratoires publics de recherche.
Une compagnie pétrolière promouvant les gaz de schiste et pratiquant l’évasion fiscale est autorisée par les autorités éducatives à venir faire cours dans les écoles : une pratique courante, comme le révèleReporterre.
Le lobbying ne se déroule pas que dans les couloirs des ministères, de l’Assemblée nationale, de la Commission de Bruxelles, voire au sein de l’Elysée. C’est aussi dans les écoles que les grandes entreprises parviennent à s’insinuer, proposant aux enseignants des "outils pédagogiques" pour les aider à remplir le programme éducatif. Mais elles reçoivent l’appui des autorités du ministère de l’Education, comme le prouve le document que nous publions et que nous a envoyé une lectrice scandalisée - elle-même enseignante - à l’adresse planete (at) reporterre.net.
Il s’agit d’une lettre envoyée à en-tête de la République française par le Directeur académique de l’Académie de Bordeaux aux chefs d’établissement du second degré et écoles primaires de son ressort. Il les invite à réserver un bon accueil à l’entreprise Total, dont les "collaborateurs" pourront intervenir dans les classes pour des cours d’1h30.
"Tout comme les années précédentes" écrit-il, "dans le cadre du programme ’Planète Energies’ mis en place par le groupe Total en 2005, des collaborateurs de l’entreprise pourront intervenir dans les classes de CM1 à la Seconde, à la demande des enseignants, afin d’aborder la problématique énergétique."
Le directeur joint une présentation du programme Planète Energies, qui"propose des clés de compréhension sur toutes les énergies et leurs défis. Cette démarche pédagogique consiste à intervenir gratuitement dans des classes du CM1 à la 2e pour une durée d’1h30 environ afin de traiter de sujets en cohérence avec les programmes scolaires en vigueur :
- les énergies, renouvelables et fossiles
- la nécessité de limiter la consommation des énergies fossiles
- le développement des énergies renouvelables
- la découverte de l’entreprise TOTAL et de ses métiers pour les classes de 3e et de 2nde.
- les énergies, renouvelables et fossiles
- la nécessité de limiter la consommation des énergies fossiles
- le développement des énergies renouvelables
- la découverte de l’entreprise TOTAL et de ses métiers pour les classes de 3e et de 2nde.
Nous fournissons aux professeurs et aux élèves de la documentation gratuite et adaptée au niveau de chaque classe. Nos animateurs (collaborateurs TOTAL) participent sur la base du volontariat et disposent du matériel informatique nécessaire."
Il va de soi que l’information délivrée par une entreprise qui pratique l’évasion fiscale pour ne pas payer d’impôts en France, qui promeut le gaz de schiste et qui exploite les sables bitumineux en Alberta (Canada) a une vision neutre et désintéressée des questions d’énergie.
L’agro-industrie se pose en professeur d’agriculture
Total n’est pas seul à venir faire de la propagande (pardon, de l’enseignement"gratuit") dans les écoles de la République.
La chaîne de distribution E. Leclerc s’insinue elle aussi dans les écoles pour y faire de la publicité sous couvert de mener "des actions environnementales".
Les grandes cultures agro-industrielles viennent de leur côté meubler l’esprit des chères têtes blondes sous le sigle de "L’école des céréales", dont le site internet propose un "partenariat pédagogique" aux enseignants :
"Madame, Monsieur,
Rendre les élèves curieux des nouvelles applications de la biomasse agricole, des incroyables évolutions du monde rural depuis la fin de la seconde guerre mondiale, faire découvrir avec simplicité le fonctionnement de la Politique Agricole Commune, le rôle des céréales dans notre alimentation, réaliser des expériences scientifiques avec de l’amidon, écouter des témoignages des différents acteurs de la filière… sont autant de sujets sur lesquelles la filière céréalière peut vous faire bénéficier de ses connaissances, dans le cadre d’un partenariat pédagogique."
Là encore, on peut être assuré de la neutralité parfaite des supports pédagogiques, puisque “Passion Céréales remercie l’ensemble des acteurs de la filière, les agriculteurs, qui ont contribué à la réalisation de ces outils, notamment l’AGPB, l’AGPM, Alliance 7, l’ANMF, ARVALIS-Institut du Végétal, les Brasseurs de France, le CFSI-SIFPAF, Coop de France-métiers du Grains, Coop de France-Nutrition Animale, la FNA, France Export Céréales, les Malteurs de France, le SNIA, l’USIPA et l’USM" : autant d’acteurs puissants d’une agriculture industrielle et focalisée sur l’exportation.
Source : Camille Martin pour Reporterre.
Lire aussi : Pourquoi l’éducation est-elle fondamentale pour changer le monde ?.
Bientôt, ils vont apprendre à nos enfants pourquoi les chemtrails sont utiles pour leur santé en omettant de leur dire ce que les chemtrails leur font respirer.......LA MORT !
(source : Geo inginierie ADC)
v
Bientôt, ils vont apprendre à nos enfants pourquoi les chemtrails sont utiles pour leur santé en omettant de leur dire ce que les chemtrails leur font respirer.......LA MORT !
(source : Geo inginierie ADC)
Géo ingénierie; TOUS DROGUES A NOTRE INSU PAR VOIE AERIENNE
J’ai recensé et ajouté un lien informatif sur la plupart des substances (échantillons de fibres blanches engendrées par la géo ingénierie) ayant été analysé par Analytika.
Voila donc ce que nous respirons quotidiennement!
Cresylic acid http://fr.wikipedia.org/wiki/Xyl%C3%A9nol
Methylhydroxybenzene http://fr.wikipedia.org/wiki/4-hydroxybenzoate_de_m%C3%A9thyle
Trithiapentane http://fr.wikipedia.org/wiki/1,3,5-trithiane
Pentylbenzene http://fr.wikipedia.org/wiki/Cannabidiol
Amylbenzene http://www.wikigenes.org/e/chem/e/10864.html
Hexadecanal http://fr.wikipedia.org/wiki/Hexad%C3%A9canol
Isoquinoline http://en.wikipedia.org/wiki/Isoquinoline
Divinylene oxidehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Ph%C3%A9noxybenz%C3%A8ne
Oxacyclopentadiene http://www.reptox.csst.qc.ca/Produit.asp?no_produit=7823&nom=OXACYCLOPENTADIENE&incr=0
Dimethylmaleimidehttp://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0032386107007100
Cyanobenzonitrilehttp://www.faidherbe.org/site/cours/dupuis/nitriled.htm
Dracylic acid http://fr.wikipedia.org/wiki/Acide_benzo%C3%AFque
Phenylcarboxylic acidhttp://en.wikipedia.org/wiki/Phenylacetic_acid
Benzenemethanoic acid http://en.wikipedia.org/wiki/Benzyl_alcohol
Methylindole http://fr.wikipedia.org/wiki/Scatol
Succinic acid imide http://fr.wikipedia.org/wiki/Succinimide
Tridecanecarboxylic acidhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Acide_dicarboxylique
Methyl tridecanoatehttp://www.chemicalbook.com/ChemicalProductProperty_EN_CB2251387.htm
Adol http://www.webmd.com/drugs/drug-163640-Adol+hydrocodone-acetaminoph+Oral.aspx?drugid=163640&drugname=Adol+%28hydrocodone-acetaminoph%29+Oral
Loxanol http://www.dispersions-pigments.basf.us/p02/USWeb-Internet/pigments/en_GB/content/microsites/pigmentsdispersions/products/Loxanol
Diethylhexyl phthalatehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Phtalate_de_bis%282-%C3%A9thylhexyle%29
Phthalic acid http://fr.wikipedia.org/wiki/Acide_phtalique
Benzenedicarboxylatehttp://www.chemindustry.com/chemicals/0205685.html
Hydroxyindole http://pro.sud-labo.com/index.php?option=com_content&view=article&id=58%3Aacide-5hia&catid=21%3Ainterets-des-dosages&Itemid=67
Imidazole http://fr.wikipedia.org/wiki/Imidazole
Methyldiazoacetatehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Diazoac%C3%A9tate_d%27%C3%A9thyle
Pyrrolidine http://fr.wikipedia.org/wiki/Pyrrolidine
Naphthaline http://fr.wikipedia.org/wiki/Naphtal%C3%A8ne
Pour voir les analyses: http://www.labo-analytika.com/documents/20131010_ACSEIPICA_Rapport_analytique.pdf
v
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire