(blog à finir et à corriger)
Aujourd'hui, mes chers cinq lecteurs, nous vous conseillons de revenir aux fondamentaux en ce qui concerne votre santé, vu que les laboratoires pharmaceutiques ajoutent des molécules à leurs médicament qui, à la longue, vous amènent des complications diverses.
Revenons donc aux fondamentaux, les plantes.
(source : Univers Nature)
… Et comme si tant d’indications ne suffisaient pas, le plantain est aussi prescrit pour lutter contre le saignement des voies urinaires, l’ulcère gastro-duodénal et la consolidation des fractures !
• salade : préférez les jeunes feuilles que vous ajouterez à votre laitue ou à vos endives. Le goût est légèrement amer, avec un petit parfum de champignon.
• collyre : utilisez la décoction, ajoutez éventuellement du mélilot et/ou du bleuet.
Avec du miel,
Pourquoi, revenir aux plantes, me direz-vous, tout simplement par qu'"ILS" pensent à notre santé et que je commence à me demander pourquoi, ils rajoutent tant de molécules dans leurs médicaments.
(source : gaetanpelletier.wordpress.com)
Alors, entre elle et la banque JP Morgan qui intervient en douce pour installer des régimes autoritaires en Europe, il y a de quoi s'inquiéter.
Nos enfants vont-ils un jour se retrouver enfermés dans des camps parce qu'ils auront osé critiqué le système ?
(source : Chaos Contrôlé)
Eh, ben, mon capitaine, ils ne manquent pas d'air ces gens-là.
Sauf, qu'ils ont le pouvoir et nous la démocratie. Moi, je vous le dis, mes chers lecteurs, on n'est pas sauvé, car, partout où ces rapaces passent, la liberté trépassent.
Et, lorsque l'on dit qu'ils sont déjà énormément riches, à quoi leur sert-il d'en avoir toujours plus, la réponse est simple, ils veulent le pouvoir absolu.
Partout, dans le monde, ils drainent les richesses vers leur compte en banque, notamment en Afrique.
(source : Oxfam)
Et, si, nous arrêtions d'acheter mes chers lecteurs, à part le minimum vitale qui nous permet de continuer d'avancer dans notre petite vie ?
Hein, la grève de la consommation, cela vous dit ?
Bon, j'aimerais bien quand même m'acheter un lave vaisselle parce que j'en ai marre de taper la vaisselle lorsque nous sommes nombreux à la maison et qu'il n'y a pas de volontaire.
Commençons déjà de nous passer de sacs en plastique.
Vous savez ces sacs qui inondent la planète et les océans.
Ce simple geste déjà, serait un acte volontaire fort pour chacun d'entre-nous. Privilégions par exemple les sacs en tissus.
De tout façon, le plastique est toxique.
(source : Médisite)
Alors, qu'en pensez- vous mes chers lecteurs et pendant que nous y sommes, pétitionnons pour nos gouvernements se décident enfin à les interdire !
Déjà que du plastique, nous en consommons en mangeant du poisson, il est temps me semble-t-il d'arrêter de se faire manipuler par des industries qui nous empoisonnent.
Aujourd'hui, mes chers cinq lecteurs, nous vous conseillons de revenir aux fondamentaux en ce qui concerne votre santé, vu que les laboratoires pharmaceutiques ajoutent des molécules à leurs médicament qui, à la longue, vous amènent des complications diverses.
Revenons donc aux fondamentaux, les plantes.
(source : Univers Nature)
Santé
Considéré jusqu’au début du XXème siècle, comme une plante médicinale majeure, le plantain est aujourd’hui passée de mode. Pourtant, cette fleur très commune mériterait qu’on s’intéresse de nouveau à elle ! Car elle est aussi efficace pour calmer la toux ou stopper une grippe que pour lutter contre la constipation.
Cette modeste plante que l’on trouve dans les pelouses ou les prairies, guérit de nombreuses affections. Le plantain se caractérise par une hampe florale (de 10 à 50 cm) sortant d’un bouquet de feuilles épaisses, avec de grosses nervures qui partent de la base. Le grand plantain (Plantago major) a des feuilles larges et des fleurs allongées. Le plantain lancéolé (ou petit plantain ou herbe à cinq coutures) a des feuilles allongées (en forme de lance) et des petites fleurs au bout des tiges. Quant au plantain moyen (ou langue d’agneau), il possède des feuilles plutôt rondes et des fleurs crème à étamines violettes alors que leurs cousines sont verdâtres ou brunâtres et inodores.
Des études scientifiques convaincantes
Les constituants du plantain (pectine, aucubine, ampigénine, flavonoïdes, tanins, soufre, calcium, fer, phosphore, mucilage…) en font une plante aux très nombreuses indications, utilisable aussi bien en interne qu’en externe. Pour les amateurs de chimie pharmacologique, précisons que l’aucubine accélère l’élimination par les reins et possède des propriétés antimicrobiennes ; l’ampigénine est un anti-inflammatoire et les mucilages freinent l’appétit et activent le transit intestinal… Le plantain est aussi concentré en vitamines du groupe B (B1, B2 et PP) et en vitamine A. Plusieurs études scientifiques ont confirmé les bienfaits du plantain. Ainsi en 1980, des médecins allemands avaient administré pendant 10 jours une préparation à base de plantain à 593 personnes souffrant d’infections respiratoires aiguës : leurs symptômes — et notamment la toux — avaient significativement diminué.
Pas de contre-indication
Il n’existe pas d’effets secondaires liés au plantain qu’il soit pris seul ou avec un médicament. Toutefois, par prudence, on le déconseille aux femmes enceintes car il pourrait avoir un effet stimulant sur l’utérus. Seul effet indésirable, à haute dose, le plantain peut être un laxatif mal contrôlé.
De bronchite à ulcère en passant par surpoids !
La première indication du plantain concerne les inflammations des voies respiratoires, des muqueuses de la bouche et du pharynx. Mais, en interne, le plantain est aussi utile pour lutter contre l’eczéma, les infections des voies urinaires, les hémorroïdes et la constipation. En externe, on l’utilise pour stopper les saignements, cicatriser les blessures, soulager les piqûres et les rhumatismes. C’est un excellent collyre pour défatiguer les yeux et lutter contre l’inflammation des paupières et la conjonctivite.
… Et comme si tant d’indications ne suffisaient pas, le plantain est aussi prescrit pour lutter contre le saignement des voies urinaires, l’ulcère gastro-duodénal et la consolidation des fractures !
Enfin, il serait sans doute intéressant de voir comment le plantain agit dans le cadre d’un régime amincissant puisque, d’une part, il régule l’appétit et le transit intestinal et que, d’autre part, diurétique et circulatoire, il facilite toutes les fonctions éliminatrices de l’organisme.
Le plantain à toutes les sauces !
On conseille l’utilisation de feuilles et fleurs fraîches, ce qui n’est pas compliqué puisque le plantain se récolte 10 mois sur 12. Mais il est, bien sûr, préférable de cueillir le plantain à la floraison, au printemps et loin de toute pollution (ce qui est rarement le cas dans les pelouses !). Les feuilles doivent être soigneusement lavées. Pour les sécher, on les place au soleil ou dans un four chaud.
• salade : préférez les jeunes feuilles que vous ajouterez à votre laitue ou à vos endives. Le goût est légèrement amer, avec un petit parfum de champignon.
• légume : il suffit de cuire les feuilles et de les utiliser en soupe (comme pour les orties).
• infusion : laisser infuser 10 minutes, 1,5 g de parties aériennes pour 1 litre d’eau frémissante (2 à 4 tasses par jour). Pour la toux, les bronchites et la constipation.
• décoction : à utiliser en gargarisme ou lotion. 10 à 20 g de plante entière (feuilles, fleurs et même racines) dans 1 litre d’eau, laissez bouillir 10 minutes. 1 tasse à chaque repas.
• macération : pour les problèmes digestifs ou urinaires. 30 à 60 g dans 1 litre d’eau. Faites bouillir 3 minutes et laissez macérer toute la nuit. Buvez toute la macération dans les 24 heures.
A la Une
• collyre : utilisez la décoction, ajoutez éventuellement du mélilot et/ou du bleuet.
• friction : frottez et massez la peau avec des feuilles fraîches. Attendez plusieurs heures avant de rincer sans savon.
• compresses et cataplasmes : feuilles fraîches sur les plaies, les varices… et même les rhumatismes.
• gélules : 2 gélules 3 fois par jour avec beaucoup d’eau.
• sirop : 2 cuillérées à soupe en cas de toux sèche ou grasse.
Avec du miel,
c’est délicieux
Vous pouvez faire votre sirop anti-toux très facilement. Séchez les feuilles lavées avec un linge propre. Écrasez-les pour en extraire le suc que vous mélangez à du miel à quantité égale. Faites cuire à feu doux pendant 20 minutes. Cela se conserve sans problème au réfrigérateur. Recommandé pour soulager les affections respiratoires et la grippe. Bien entendu, si les troubles persistent, consultez votre médecin.
Les actus les plus lues
Pourquoi, revenir aux plantes, me direz-vous, tout simplement par qu'"ILS" pensent à notre santé et que je commence à me demander pourquoi, ils rajoutent tant de molécules dans leurs médicaments.
(source : gaetanpelletier.wordpress.com)
La femme la plus riche du monde souhaite stériliser les pauvres
Un zoom sur les conceptions du monde de ces très riches qui ne brillent ni par leur intelligence, ni par leur beauté, ni encore moins par leur humanité.
Alors qu’en Australie depuis la semaine passée a été mise en œuvre la mise à mort « humanitaire » de 100 000 chevaux et autres animaux sauvages, depuis des hélicoptères, de tel propos font résonance comme ils le font avec cette tendance mondiale eugéniste qui ne cesse de faire des petits (et des morts, et des personnes stérilisées contre leur volonté, et des terres rendues inhabitables, incultivables, mortes, stériles, radioactives ou dangereusement polluées).
Des conceptions que partage et met en œuvre à grande échelle le monomaniaque de service Bill Gates, coopté par ses pairs pour entrer dans le cercle des dirigeurs de monde, de notre monde, et décider sans l’avis des populations qui l’habitent, contre leur volonté, contre leurs intérêts et en envisageant de plus en plus souvent la disparition des peuples comme solutions à leur problème d’avidité accaparante exacerbée.
En l’occurrence la Gina se contenterait de l’eugénisme sans malthusianisme.
MONCADA – “En évitant que les pauvres procréent, nous pouvons créer (sic) une nouvelle clase d’Australiens intelligents, travailleurs et bien payés qui fortifieront notre économie. »
D’après le portail chilien 24 heures, c’est une des phrases avec lesquelles la multimillionnaire Gina Rinehart explique sa nouvelle idée pour combattre la crise économique en Australie : stériliser les pauvres pour éviter que les « basses classes se multiplient ».
L’héritière d’un empire minier affirme que les inégalités se doivent à des différences d’intelligence et que son pays affronte une crise produite par une conjonction du renforcement du dollar et de la chute des prix des matières première, signale le Daily Currant.
Rinehart ajoute que tout couple gagnant moins de 100 000 dollars australien par an (10 OOO dollars) doivent se soumettre à une vasectomie ou une ligature des trompes et ceux qui dépassent ce chiffre doivent être motivé pour avoir 10 ou 12 enfants ».
« C’est seulement avec l’élimination des rebuts et en nous focalisant sur nos travailleurs les plus brillants et efficaces que nous pouvons surpasser nos rivaux émergents dans le monde » signale-t-elle.
Selon la revue Bussiness Weekly, Gina Rinehart est la femme la plus riche du monde et héritière de l’entreprise de son père depuis 20 ans, d’une valeur actuelle de 10.600 millions de dollars. Elle s’est dédiée à exporter du fer et grâce au boum de l’industrie minière elle est sur le point de rejoindre Bill Gates parmi les plus millionnaires.“
“Je suis disposée à payer un salaire décent chaque fois que le destinataire est le fils d’un docteur et pas le fils d’un misérable frustré. Le problème, c’est que les basses classes paraissent être plus nombreuses que les intelligents et je ne peux trouver nulle part de travailleur décent » affirme-t-elle.
Traduction Anne Wolff
Alors, entre elle et la banque JP Morgan qui intervient en douce pour installer des régimes autoritaires en Europe, il y a de quoi s'inquiéter.
Nos enfants vont-ils un jour se retrouver enfermés dans des camps parce qu'ils auront osé critiqué le système ?
(source : Chaos Contrôlé)
vendredi 21 juin 2013
[DANGER] Jpmorgan réclame des régimes autoritaires en Europe
Dans un document publié à la fin du mois de mai, le géant des banques d'investissement américain JPMorgan Chase réclame l'abrogation des constitutions démocratiques bourgeoises établies après la Seconde Guerre mondiale dans une série de pays européens et la mise en place de régimes autoritaires."
Et, je vous le dis, ces gens-là n'aiment pas les pauvres, sans parler qu'ils n'aiment pas les gens en général, sauf, ceux qui comme eux peuvent aligner des dizaines de zéro sur leur compte en banque.
Bientôt, être pauvre deviendra un crime.
(source : histoireetsociété)
Dormir dans la rue à Madrid entraînera 750 euros d’amende
29OCT
Sauf, qu'ils ont le pouvoir et nous la démocratie. Moi, je vous le dis, mes chers lecteurs, on n'est pas sauvé, car, partout où ces rapaces passent, la liberté trépassent.
Et, lorsque l'on dit qu'ils sont déjà énormément riches, à quoi leur sert-il d'en avoir toujours plus, la réponse est simple, ils veulent le pouvoir absolu.
Partout, dans le monde, ils drainent les richesses vers leur compte en banque, notamment en Afrique.
(source : Oxfam)
La lutte contre la « malédiction des ressources » en Afrique atteint un tournant
“La malédiction des ressources n’a jamais été aussi flagrante et, avec les découvertes quotidiennes de minerais en Afrique, il n’a jamais été aussi important d’y remédier.”
Winnie Byanyima
Directrice générale d'Oxfam
Publié le : 23 Octobre 2013
Comment mettre fin au scandale de la fuite de capitaux africains qui se monte à un milliard de dollars par semaine
Depuis 30 ans, chaque semaine, l’Afrique perd en moyenne un milliard de dollars en flux financiers illicites. Selon Oxfam, des mesures radicales s’imposent pour renforcer au plus vite la transparence et la gouvernance, et ainsi mettre fin à ce scandale.
À l’occasion d’une table ronde publique qui a réuni jeudi 24 octobre des personnalités politiques, du secteur privé et de la société civile, Winnie Byanyima, directrice générale d’Oxfam, a expliqué que l’hémorragie financière de l’Afrique – de l’ordre de 1 400 milliards de dollars pour la période 1980-2009, selon les dernières estimations de la Banque africaine de développement, soit 50 à 60 milliards de dollars par an – appelle une solution mondiale, pas seulement africaine.
Avec une perte de 732,8 milliards de dollars sur cette période, les pays africains exportateurs de pétrole sont les plus durement touchés, notamment le Nigeria, l’Égypte et l’Afrique du Sud, selon la banque.
Nouvelles ressources, nouveaux flux illicites ?
La découverte de nouveaux gisements de fer, de pétrole, de gaz, d’or et de charbon – pour une valeur estimée à 11 milliards de dollars rien qu’en Guinée, au Ghana, au Libéria, en Tanzanie et au Mozambique – risque d’entraîner une recrudescence des sorties illicites de capitaux africains, prévient l’Africa Progress Panel.
Oxfam et le Centre d’études africaines de l’Université d’Oxford ont organisé cet événement auquel sont intervenus notamment le ministre ougandais des Affaires étrangères, Sam Kutesa, le Haut-Commissaire du Ghana au Royaume-Uni, Kwaku Danso-Boafo, et l’ancien Premier ministre du Zimbabwe, Morgan Tsvangirai. Le directeur des études économiques de la Banque africaine de développement et des représentants de Rio Tinto, de la Fondation Ford et de l’Alliance mondiale pour la justice fiscale ont également pris la parole.
Au point de départ
« La malédiction des ressources n’a jamais été aussi flagrante et, avec les découvertes quotidiennes de minerais en Afrique, il n’a jamais été aussi important d’y remédier, a expliqué Winnie Byanyima. Ces nouvelles découvertes considérables pourraient générer des dizaines de milliards de dollars d’impôts pour financer les écoles et les hôpitaux. Mais ce ne pourra être le cas que si ces nouveaux capitaux restent en Afrique. Trop souvent, ils se retrouvent à Zurich au lieu de la Zambie ou à Londres au lieu du Liberia.
« Nous sommes à un tournant dans les efforts pour réellement soumettre les industries extractives mondiales à un contrôle étroit et mettre de l’ordre dans leurs affaires fiscales. Le Ghana a fait coïncider les découvertes de minerais sur son territoire avec une nouvelle loi ambitieuse sur la gestion de ses recettes pétrolières. Au niveau régional, un code minier visant à protéger les droits des communautés locales est à l’étude au sein de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao), et l’Union africaine a adopté sa "Vision du régime minier de l’Afrique".
« Des plans solides commencent enfin à se mettre en place. Nous voici donc sur la case départ. Nous devons à présent obtenir que toutes ces initiatives prometteuses soient mises au service des populations africaines. »
Des engagements pour plus de transparence
Le défi reste cependant de taille. La dernière enquête de Civicus révèle que nombre des nouveaux pays africains riches en ressources naturelles ne décollent pas du bas des classements mondiaux en matière de gouvernance.
Selon une étude du secteur extractif mondial, pour chaque dollar provenant de l’exportation du pétrole, les pays perdent de 11 à 26 cents en flux financiers illicites. À l’échelle mondiale, les industries extractives sont actuellement estimées à environ 3 500 milliards de dollars par an.
Pour Oxfam, le G8 a pris un bon départ cette année, en s’engageant àrenforcer les normes mondiales de transparence dans les industries extractives, en approuvant l’obligation de divulgation des paiements et en marquant son soutien à I’Initiative volontaire pour la transparence dans les industries extractives (EITI). Les directives européennes sur la transparence et sur l’obligation de rendre des comptes, de même que la loi Dodd-Frank aux États-Unis, imposent aux compagnies pétrolières, gazières et minières de divulguer les sommes qu’elles versent aux gouvernements hôtes projet par projet ; Oxfam se réjouit de l’engagement du gouvernement britannique à mettre en œuvre ces directives en 2014. Autre bonne nouvelle : le Canada s’est également engagé à rendre obligatoire la divulgation des paiements au cours des deux prochaines années et devrait s’aligner sur les normes établies dans l’Union européenne et aux États-Unis.
« Des politiques intéressées au détriment des populations africaines »
Pour le Dr Nic Cheeseman, directeur du Centre d’études africaines, à l’Université d’Oxford, « l’importance des ressources naturelles ne cesse de croître pour le continent africain. Suite aux récentes découvertes de pétrole et de gaz en Afrique de l’Est et de l’Ouest, une question qui ne concernait que quelques-uns figure désormais au premier rang des préoccupations politiques de nombreux autres pays.
« Il ne s’agit plus seulement des "économies fondées sur les ressources" classiques – la RDC, le Nigeria et l’Afrique du Sud, précise le Dr Cheeseman. À l’avenir, le débat sur l’impact du pétrole et la malédiction des ressources concernera également le Ghana, le Kenya, l’Ouganda et la Tanzanie.
« La capacité des pays africains à gérer efficacement leurs ressources naturelles au cours des dix prochaines années est le grand facteur déterminant si oui ou non le continent parviendra à poursuivre sa fragile reprise économique.
« Nous devons redoubler d’efforts pour comprendre comment les pays africains peuvent mieux gérer leurs industries extractives. Mais ces efforts ne doivent pas uniquement porter sur ce que les États africains peuvent faire. Les entreprises multinationales et les gouvernements étrangers ont souvent mené des politiques intéressées au détriment des populations africaines.
« Si l’on veut assurer que les recettes pétrolières et gazières bénéficient aux populations africaines, il faut adopter une nouvelle approche tant au sein qu’à l’extérieur de l’Afrique.
De la transparence à la responsabilisation
Pour Mark Goldring, qui a prononcé l’allocution de clôture, « il faut à présent que les États-Unis et l’Union européenne ne tardent pas à mettre en œuvre leurs propres lois sur la transparence des industries extractives et que le Canada instaure la sienne. Les géants miniers que sont l’Australie et l’Afrique du Sud ont une belle occasion de montrer l’exemple aux pays du G20 dans ce domaine également.
« Mais la transparence n’est efficace que lorsqu’elle va de pair avec la responsabilité. Tant les entreprises que les gouvernements doivent être tenus responsables de la gestion des richesses minières de l’Afrique dans l’intérêt des populations africaines, insiste le directeur d’Oxfam. On ne peut pas compter sur les entreprises étrangères pour remédier à la mauvaise gouvernance. Le fait est qu’elles peuvent l’exploiter et c’est exactement ce que beaucoup continuent de faire. »
Contacts
- Jon Slater, Responsable de l'information, Oxfam : +44(0)1865-472249 / +44(0)7876476403
- Matt Grainger, Responsable des relations médias, Oxfam : +44 (0)7730 680 837
- Maria Coyle, Chargée de relations presse, Public Affairs Directorate, Université d'Oxford : +44(0)1865-280534
Et, si, nous arrêtions d'acheter mes chers lecteurs, à part le minimum vitale qui nous permet de continuer d'avancer dans notre petite vie ?
Hein, la grève de la consommation, cela vous dit ?
Bon, j'aimerais bien quand même m'acheter un lave vaisselle parce que j'en ai marre de taper la vaisselle lorsque nous sommes nombreux à la maison et qu'il n'y a pas de volontaire.
Commençons déjà de nous passer de sacs en plastique.
Vous savez ces sacs qui inondent la planète et les océans.
Ce simple geste déjà, serait un acte volontaire fort pour chacun d'entre-nous. Privilégions par exemple les sacs en tissus.
De tout façon, le plastique est toxique.
(source : Médisite)
Les sacs de course réutilisables, toxiques ?
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Le Pr Hugh Pennington, bactériologue, donne l'alerte sur les sacs de supermarchés réutilisables. Selon lui, ce serait de grands porteurs de bactéries.
On les pensait bons pour l'environnement. Voilà, qu'ils seraient dangereux pour notre santé. Dans une tribune parue sur le site du DailyMail, le Pr Hugh Pennington alerte sur les sacs de course réutilisables. Selon lui, ils seraient responsables de plus ou moins graves intoxications alimentaires.
Pourquoi sont-ils dangereux ?
Parce qu'ils mélangent des aliments crus, notamment la viande, avec des aliments qui sont encore pourvus de terre, comme les légumes, et que cela favorise le transfert de bactéries. Pour le Pr Pennington, "les viandes crues doivent impérativement être séparées du reste des achats, en particulier des aliments déballés". Il ne faudrait en fait utiliser ce type de sacs que pour les produits fermés (conserves, bocaux, paquets...).
Parce que les matières utilisées pour fabriquer ces sacs participent à la prolifération des bactéries. Plastique, jute, tissu... "Ils sont trop difficile à nettoyer. S'ils ont l'air un peu sales, il faut les jeter" estime le bactériologue. En effet, le lavage en machine ne serait pas suffisant pour éliminer le risque de contamination. Dans l'idéal, le Pr recommande de jeter le sac qui a servi au transport de la viande crue.
Dans une étude menée par l'Université de Pennsylvanie en 2007, le Pr Jonathan Klick, constatait que 8% des sacs réutilisables contenaient la bactérie Eschérichia Coli. Certaines souches d’E.coli peuvent être pathogènes et entraîner des infections intestinales (gastro-entérite…), urinaires (de loin les plus nombreuses) ou encore méningées (méningites). Or, la même recherche montrait que 97% des personnes utilisant ces sacs ne les lavaient jamais. Un conseil : faites du tri !"
Déjà que du plastique, nous en consommons en mangeant du poisson, il est temps me semble-t-il d'arrêter de se faire manipuler par des industries qui nous empoisonnent.
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