Bon, aujourd'hui, je vais vous faire part de l'immense découverte que j'ai fait, et, qui, ne vous en déplaisent mes trois chers et uniques lecteurs, mériterait de figurer au panthéon des grandes découvertes de l'humanité.
En peu de mots, j'ai découvert la source de jouvence ou plutôt les sources de jouvence.
Ah, Ah, je vous étonne !
Allez dites-le, vous n'en revenez pas tellement vous êtes écroulés par terre par un incommensurable effarement.
Alors, je sais, vous êtes là, la langue pendante, à l'affût de mon explication.
Vais-je vous laisser dans cet état mystico-délirant ?
Eh, bien non, mes trois chers lecteurs.
Je m'en vais vous conter par le menu "Ma Découverte".
Donc, comprenez bien, les hommes ont longtemps cherché la source de jouvence. Je dirais que pendant des milliers d'années, ils ont cherché dans la montagne, à travers monts et vaux, dans les jungles profondes, alors qu'elle était proche d'eux, pour ne pas dire qu'elle existait à leur côté.
De quoi, qu'est-ce, me direz-vous.
Simple, la source de jouvence se trouve entre les cuisses de certaines femmes.
Que dites-vous là, me rétorquerez-vous.
Bien sûr, c'est si simple en réalité, réfléchissez et écoutez-moi, le ventre de la femme, pour ne pas dire son vagin est la source de l'humanité. Donc, déjà une bonne raison.
Et, pourquoi, certaines femmes ?
Tout simplement parce que je parle de celles que l'on appelle les femmes fontaines.
Vous comprenez ?
Encore simple, de la source de l'humanité jaillit la fontaine de l'éternité ou du moins du rajeunissement, mieux que le botox.
Car, une fois qu'elles jouissent de leur ventre jaillit un jet qui une fois bu a le pouvoir de régénèrer la peau.
Mais, je vous préviens tout de suite, il faut boire à la source de la femme pendant au moins deux ans pour que lentement les pores de la peau retrouvent leur élasticité.
Alors, qu'en pensez-vous, mes trois chers lecteurs, personne avant moi n'y avait pensé.
Je suis donc le seul découvreur et je pense mériter que le monde me nomme officiellement le "Bienfaiteur de l'Humanité".
Car, pensez bien que ma découverte va sauver nombre de jeunes vierges que les vieux chinois violent en s'imaginant que leur virginité est la source de l'éternelle jeunesse.
Eh, bien, non, messieurs les vieux chinois, c'est le jet des femmes fontaines qui vous fera retrouver votre peau d'adolescent.
En tout cas, voilà, ce dont je voulais vous faire part mes chers trois lecteurs. Tout ça pour vous dire qu'il faut mieux lire mes déductions intello-fratricides que commenter l'actualité de notre pauvre France gouvernée par un certain nombres d'abrutis.
A bientôt.
René.
mardi 31 août 2010
lundi 30 août 2010
Aujourd'hui, encore, la politique français et les évènements mondiaux ne m'inspirent guère.
Alors, parlons des moeurs yéménites, toujours restées à l'époque du prophète, mise à part la kalachnikov.
(source : Irin News)
"YÉMEN: Une enfant mariée obtient le divorce
Sally al-Sabahi, 12 ans, est la quatrième épouse enfant divorcée au Yémen
SANAA, 2 avril 2010 (IRIN) - Dans la capitale yéménite, une foule de journalistes se bousculait le 27 mars dernier pour prendre en photo Sally al-Sabahi, 12 ans, en train de signer les papiers de son divorce. Au moment où elle a trempé son doigt dans l’encre noire et déposé son empreinte à côté de son nom sur un document officiel, Sally est devenue la quatrième épouse enfant divorcée du Yémen.
IRIN avait raconté l’histoire de Sally en février dernier, en lui donnant pour nom Aisha, afin de protéger son identité. Elle avait 10 ans lorsque sa famille l’a mariée à un homme plus âgé en échange d’une dot de 1 000 dollars. Dès sa première semaine de mariage, Sally a essayé d’échapper aux traitements épouvantables qu’elle disait recevoir de son mari.
Quelques mois plus tard, elle a réussi à s’échapper, mais n’a pas pu obtenir de divorce, principalement parce que son père n’avait pas assez d’argent pour rembourser la dot. Après avoir lu l’article d’IRIN sur Sally, plusieurs personnes ont proposé d’apporter leur contribution. Une de ces personnes, Nalan Gungor Ozisik, est chargée de cours à l’Université de Stanford, aux Etats-Unis.
« Je refuse de voir l’ignorance donner une fausse image de l’Islam », a-t-elle dit. « J’espère que Sally peut maintenant poursuivre son enfance ; car une enfance heureuse est le droit souverain de tous les enfants du monde ».
Plusieurs défenseurs des droits de la femme étaient présents au tribunal à Sanaa. « C’est une avancée dans la bonne direction », a dit Belqes Ali al-Lahabi, activiste des droits de la femme. « Le divorce de Sally aidera à exercer une pression sur le gouvernement pour qu’il fasse passer la loi sur un âge minimum du mariage au Yémen ».
Débats sur l’âge minimum du mariage
Le moment où Sally al-Sabahi, 12 ans, a signé les documents de son divorce à Sanaa, la capitale yéménite
Le divorce de Sally intervient après des semaines de débats houleux sur une loi fixant l’âge minimum du mariage à 17 ans, qui a profondément divisé les Yéménites. Après avoir, dans un premier temps, été approuvée par la majorité au Parlement en février 2009, la loi a été rejetée par le Comité de codification de la charia islamique. Le Parlement prévoit de soumettre cette loi à un nouveau vote dans un futur proche.
D’après le Centre international de recherche sur les femmes (ICWR) basé à Washington, près de la moitié des jeunes filles yéménites sont mariées avant l’âge de 18 ans, un âge trop précoce selon la Convention des Nations unies relative aux droits de l’enfant.
« Je soutiens l’idée de fixer un âge minimum du mariage qui ne soit pas en dessous de 18 ans », a dit le juge Mansour Ali Mohammed, qui a rendu le jugement de divorce de Sally. « Quand un homme épouse une enfant et qu’ils ont des enfants, on se retrouve avec un enfant qui élève un autre enfant ».
Durant la procédure du divorce, Sally est restée assise, silencieuse, ne parlant que pour confirmer son nom et accepter le divorce. Elle a ensuite remercié tous ceux qui avaient rendu son divorce possible : « J’ai senti ce nuage sombre au-dessus de ma tête pendant tellement longtemps – maintenant il est parti. Merci », a-t-elle dit.
asf/ed/il/ail"
Sur ce, à bientôt.
René.
Alors, parlons des moeurs yéménites, toujours restées à l'époque du prophète, mise à part la kalachnikov.
(source : Irin News)
"YÉMEN: Une enfant mariée obtient le divorce
Sally al-Sabahi, 12 ans, est la quatrième épouse enfant divorcée au Yémen
SANAA, 2 avril 2010 (IRIN) - Dans la capitale yéménite, une foule de journalistes se bousculait le 27 mars dernier pour prendre en photo Sally al-Sabahi, 12 ans, en train de signer les papiers de son divorce. Au moment où elle a trempé son doigt dans l’encre noire et déposé son empreinte à côté de son nom sur un document officiel, Sally est devenue la quatrième épouse enfant divorcée du Yémen.
IRIN avait raconté l’histoire de Sally en février dernier, en lui donnant pour nom Aisha, afin de protéger son identité. Elle avait 10 ans lorsque sa famille l’a mariée à un homme plus âgé en échange d’une dot de 1 000 dollars. Dès sa première semaine de mariage, Sally a essayé d’échapper aux traitements épouvantables qu’elle disait recevoir de son mari.
Quelques mois plus tard, elle a réussi à s’échapper, mais n’a pas pu obtenir de divorce, principalement parce que son père n’avait pas assez d’argent pour rembourser la dot. Après avoir lu l’article d’IRIN sur Sally, plusieurs personnes ont proposé d’apporter leur contribution. Une de ces personnes, Nalan Gungor Ozisik, est chargée de cours à l’Université de Stanford, aux Etats-Unis.
« Je refuse de voir l’ignorance donner une fausse image de l’Islam », a-t-elle dit. « J’espère que Sally peut maintenant poursuivre son enfance ; car une enfance heureuse est le droit souverain de tous les enfants du monde ».
Plusieurs défenseurs des droits de la femme étaient présents au tribunal à Sanaa. « C’est une avancée dans la bonne direction », a dit Belqes Ali al-Lahabi, activiste des droits de la femme. « Le divorce de Sally aidera à exercer une pression sur le gouvernement pour qu’il fasse passer la loi sur un âge minimum du mariage au Yémen ».
Débats sur l’âge minimum du mariage
Le moment où Sally al-Sabahi, 12 ans, a signé les documents de son divorce à Sanaa, la capitale yéménite
Le divorce de Sally intervient après des semaines de débats houleux sur une loi fixant l’âge minimum du mariage à 17 ans, qui a profondément divisé les Yéménites. Après avoir, dans un premier temps, été approuvée par la majorité au Parlement en février 2009, la loi a été rejetée par le Comité de codification de la charia islamique. Le Parlement prévoit de soumettre cette loi à un nouveau vote dans un futur proche.
D’après le Centre international de recherche sur les femmes (ICWR) basé à Washington, près de la moitié des jeunes filles yéménites sont mariées avant l’âge de 18 ans, un âge trop précoce selon la Convention des Nations unies relative aux droits de l’enfant.
« Je soutiens l’idée de fixer un âge minimum du mariage qui ne soit pas en dessous de 18 ans », a dit le juge Mansour Ali Mohammed, qui a rendu le jugement de divorce de Sally. « Quand un homme épouse une enfant et qu’ils ont des enfants, on se retrouve avec un enfant qui élève un autre enfant ».
Durant la procédure du divorce, Sally est restée assise, silencieuse, ne parlant que pour confirmer son nom et accepter le divorce. Elle a ensuite remercié tous ceux qui avaient rendu son divorce possible : « J’ai senti ce nuage sombre au-dessus de ma tête pendant tellement longtemps – maintenant il est parti. Merci », a-t-elle dit.
asf/ed/il/ail"
Sur ce, à bientôt.
René.
vendredi 27 août 2010
Aujourd'hui, c'est mon dernier jour et quand même un peu fatigué d'avoir travaillé en restauration depuis dimanche dernier.
Ouf !
Alors, peu de réflexions me viennent, sauf une et une seule. Je ne trouve pas normal que la grande majorité des restaurants nous fassent manger des plats achetés à Métro congelés et nous les revendent à des prix prohibitifs. Deux à trois euros par plat, prix métro, douze euros dans les restaurants parisiens ou autres.
Non, cela n'est pas normal, surtout lorsque l'on sait qu'ils bénéficient d'une TVA à 5%.
Faudrait qu'ils arrêtent de prendre les clients pour des imbéciles.
Et, puisque le gouvernemet se refuse à réaugmenter leur TVA, moi, je propose que comme pour les boulangers-artisans et les vendeurs de pains industriels, il y aît un espèce de logo qui signale devant chaque restaurant si la cuisine est faite main ou congelé.
De façon à différencier les vrais artisans, des fournisseurs de plats congelés.
Au moins, on saurait ce que l'on mange et si cela vaut la chandelle de payer le même prix que pour un chef cuisto.
Voilà ma proposition d'aujourd'hui, mes trois chers et uniques lecteurs.
Aussi, je vous souhaite, bien le bonjour chez vous.
A bientôt.
René.
Ouf !
Alors, peu de réflexions me viennent, sauf une et une seule. Je ne trouve pas normal que la grande majorité des restaurants nous fassent manger des plats achetés à Métro congelés et nous les revendent à des prix prohibitifs. Deux à trois euros par plat, prix métro, douze euros dans les restaurants parisiens ou autres.
Non, cela n'est pas normal, surtout lorsque l'on sait qu'ils bénéficient d'une TVA à 5%.
Faudrait qu'ils arrêtent de prendre les clients pour des imbéciles.
Et, puisque le gouvernemet se refuse à réaugmenter leur TVA, moi, je propose que comme pour les boulangers-artisans et les vendeurs de pains industriels, il y aît un espèce de logo qui signale devant chaque restaurant si la cuisine est faite main ou congelé.
De façon à différencier les vrais artisans, des fournisseurs de plats congelés.
Au moins, on saurait ce que l'on mange et si cela vaut la chandelle de payer le même prix que pour un chef cuisto.
Voilà ma proposition d'aujourd'hui, mes trois chers et uniques lecteurs.
Aussi, je vous souhaite, bien le bonjour chez vous.
A bientôt.
René.
jeudi 26 août 2010
Bon, aujourd'hui,peu de choses puisque je travaille comme plongeur, éplucheur de légumes et préparateur de tables et de plats. Ce qui mine de rien est relativement fatiguant.
Aussi, je n'ai pas la forme pour écrire.
Cependant, je suis tombé sur un article de la Provence au sujet des fermetures de prisons vétustes.
En effet, le maire de Digne s'indigne d'une telle décision concernant "cette" prison qui ne serait pas si vétuste que ça.
Ce qui impliquerait que les décisions du gouvernement servent aussi à "pourrir" la vie des élus de l'opposition vis à vis de leurs électeurs.
Souvenez-vous de xavir bertrand, le secrétaire de l'ump qui déclarait qu'il n'y aurait pas de diminution de subventions ni de hausses d'impôts pour les régions qui voteraient ump.
je vous livre donc l'article de la Provence de ce jour.
"Trois semaines après avoir appris, par voie de presse, la fermeture de la maison d'arrêt de Digne, le maire part en croisade contre la politique gouvernementale. "En mars dernier, on m'affirmait qu'il n'y avait rien à craindre pour la prison. Cette hypocrisie m'irrite profondément", confie le maire. Alors, hier, Serge Gloaguen a pris la plume pour adresser un courrier à la Garde des Sceaux, Michel Alliot-Marie, dans lequel il affirme qu'il mènera "avec détermination et pugnacité un combat pour obtenir une révision de la décision". Le maire PS s'indigne devant "la légéreté et la méconnaissance de la réalité locale" avec laquelle a été prise cette décision "affligeante", et souligne "l'impact sur l'emploi et le bouleversement humain qu'elle va entraîner pour les personnels concernés ainsi qu'à leur famille".
En ce qui concerne la soi-disante vétusté de la prison, le maire interpelle directement Michèle Alliot-Marie, "la justification de la fermeture est inexistante. Comment osez-vous affirmer de manière préremptoire que l'établissement est vétuste ?"
Pour se défendre, il fait référence aux travaux réalisés ces dix dernières années pour mettre aux normes l'établissement et demande d'avoir l'audit entre les mains."
Tiens, tiens, non seulement le gouvernement va se débarasser bientôt de son devoir de protéger ses concitoyens au détriment des régions, histoire d'enrayer le déficit et de mettre en difficulté les élus de gauche.
Car, évidemment, les régions n'auront pas d'argent de l'état ou si peu pour prendre le relais de tout le volet social, actuellement pris en charge par l'état.
Et, en sus, il leur balance des mines pour accentuer les problèmes d'emplois de leur région.
Sauf qu'il oublie qu'en croyant liquider ses adversaires politiques, ce sont les français moyens qu'il pénalise encore une fois.
Alors, cette question qui devient récurrente, "Si le gouvernement n'est pas le gouvernement des français moyens, il est le gouvernement de qui en réalité ?
Répondez à cette question mes chers trois lecteurs et faites moi parvenir vos commentaires.
A bientôt.
René.
Aussi, je n'ai pas la forme pour écrire.
Cependant, je suis tombé sur un article de la Provence au sujet des fermetures de prisons vétustes.
En effet, le maire de Digne s'indigne d'une telle décision concernant "cette" prison qui ne serait pas si vétuste que ça.
Ce qui impliquerait que les décisions du gouvernement servent aussi à "pourrir" la vie des élus de l'opposition vis à vis de leurs électeurs.
Souvenez-vous de xavir bertrand, le secrétaire de l'ump qui déclarait qu'il n'y aurait pas de diminution de subventions ni de hausses d'impôts pour les régions qui voteraient ump.
je vous livre donc l'article de la Provence de ce jour.
"Trois semaines après avoir appris, par voie de presse, la fermeture de la maison d'arrêt de Digne, le maire part en croisade contre la politique gouvernementale. "En mars dernier, on m'affirmait qu'il n'y avait rien à craindre pour la prison. Cette hypocrisie m'irrite profondément", confie le maire. Alors, hier, Serge Gloaguen a pris la plume pour adresser un courrier à la Garde des Sceaux, Michel Alliot-Marie, dans lequel il affirme qu'il mènera "avec détermination et pugnacité un combat pour obtenir une révision de la décision". Le maire PS s'indigne devant "la légéreté et la méconnaissance de la réalité locale" avec laquelle a été prise cette décision "affligeante", et souligne "l'impact sur l'emploi et le bouleversement humain qu'elle va entraîner pour les personnels concernés ainsi qu'à leur famille".
En ce qui concerne la soi-disante vétusté de la prison, le maire interpelle directement Michèle Alliot-Marie, "la justification de la fermeture est inexistante. Comment osez-vous affirmer de manière préremptoire que l'établissement est vétuste ?"
Pour se défendre, il fait référence aux travaux réalisés ces dix dernières années pour mettre aux normes l'établissement et demande d'avoir l'audit entre les mains."
Tiens, tiens, non seulement le gouvernement va se débarasser bientôt de son devoir de protéger ses concitoyens au détriment des régions, histoire d'enrayer le déficit et de mettre en difficulté les élus de gauche.
Car, évidemment, les régions n'auront pas d'argent de l'état ou si peu pour prendre le relais de tout le volet social, actuellement pris en charge par l'état.
Et, en sus, il leur balance des mines pour accentuer les problèmes d'emplois de leur région.
Sauf qu'il oublie qu'en croyant liquider ses adversaires politiques, ce sont les français moyens qu'il pénalise encore une fois.
Alors, cette question qui devient récurrente, "Si le gouvernement n'est pas le gouvernement des français moyens, il est le gouvernement de qui en réalité ?
Répondez à cette question mes chers trois lecteurs et faites moi parvenir vos commentaires.
A bientôt.
René.
mercredi 25 août 2010
Aujourd'hui, juste cet article d'Irin News sur les méfaits de l'armée de résistance du seigneur, un mouvement armée de "libération" d'Ouganda qui se répand dans les autres états du Congo Brazzaville et du Soudan. Des enfants soldats contrôlés par des adultes qui leur ont appris à massacrer gratuitement et à y prendre plaisir.
"SOUDAN: Craignant la LRA, des milliers de personnes fuient dans l’État d’Equatoria Ouest
Inquiètes à l’idée de rentrer chez elles : des personnes déplacées à proximité de Nzara
NZARA, 24 août 2010 (IRIN) - Les attaques armées attribuées à l’Armée de résistance du Seigneur (LRA) dans l’État d’Equatoria Ouest, dans le sud du Soudan, ont provoqué le déplacement de milliers de civils et mis en péril la sécurité alimentaire, selon des responsables locaux et des responsables des Nations Unies.
Les craintes suscitées par les attaques de la LRA, une milice basée en Ouganda, ont entraîné le départ de 25 000 personnes d’Equatoria Ouest ces derniers mois, selon le Bureau de coordination des affaires humanitaires des Nations Unies (OCHA). Au total, quelque 250 000 personnes ont été déplacées depuis la fin de l’année 2008 et la milice est tenue pour responsable de la mort d’environ 200 personnes dans l’État en 2009.
Deux des districts administratifs de l’État (ou payams) – ceux de Sangua et Basukangbi – ne comptaient plus aucun habitant lorsque les agences des Nations Unies ont conduit une mission d’évaluation au début du mois d’août.
À la suite de ces départs, de nombreux champs, sur lesquels des cultures comme le sorgho et l’arachide sont prêtes à être récoltées, ont été abandonnés.
« L’État d’Equatoria Ouest était autosuffisant en matière alimentaire, mais en raison du climat d’insécurité, les personnes déplacées dépendent désormais des aides », a dit Sapana Abuyi, vice-gouverneur d’Equatoria Ouest.
Parmi les personnes déplacées – plus de 3 000 d’entre elles sont originaires des seuls districts de Sangua et Basukangbi –, beaucoup se sont rassemblées dans les villes comme Nzara et survivent grâce aux sources de nourriture sauvage, comme les feuilles et les fruits, selon les conclusions d’une mission d’évaluation réalisée par plusieurs agences. Cette mission a également révélé le manque d’installations sanitaires adaptées, d’eau potable et de services de santé pour les personnes déplacées.
Parmi les personnes déplacées, nombreuses sont celles qui craignent une nouvelle vague d’attaques et ne désirent pas rentrer chez elles dans l’immédiat. Il est donc nécessaire de leur fournir des services à long terme sur place.
« Il n’y a pas vraiment d’endroit sûr dans l’État», a dit Richard Tambua, chef d’une milice connue sous le nom d’Arrow Boys.
L’État d’Equatoria Ouest a été relativement épargné par les conflits lors de la guerre civile qui a fait rage entre le Nord-Soudan et le Sud-Soudan de 1983 jusqu’à la signature d’un accord de paix en 2005. Aujourd’hui, l’armée du Sud-Soudan et la mission de maintien de la paix des Nations Unies sont incapables de neutraliser la menace posée par les petites unités très mobiles de la LRA, qui est également présente en République démocratique du Congo (RDC) et en République centrafricaine (RCA).
Selon Human Rights Watch, la LRA a enlevé quelque 700 personnes en RDC et en RCA au cours des 18 derniers mois.
« Pendant la campagne d’enlèvement, la LRA a tué brutalement les adultes et les enfants qui tentaient de s’échapper, marchaient trop lentement ou étaient incapables de supporter les lourdes charges qu’ils étaient contraints de porter », a indiqué l’organisation non gouvernementale basée à New-York dans un rapport publié le 11 août.
Presqu’au même moment, Enough Project, une organisation de défense des droits de l’homme basée à Washington DC, a également publié un rapport sur la menace croissante que représente la LRA pour les civils en raison de l’absence d’une quelconque « force militaire significative » en mesure de faire face à la milice.
Ledio Cakaj, l’auteur du rapport, a dit à IRIN : « La crainte de voir les violences perpétrées par la LRA perdurer au Soudan est bien réelle, alors qu’elles n’étaient que sporadiques au cours des deux dernières années »."
A bientôt.
René.
"SOUDAN: Craignant la LRA, des milliers de personnes fuient dans l’État d’Equatoria Ouest
Inquiètes à l’idée de rentrer chez elles : des personnes déplacées à proximité de Nzara
NZARA, 24 août 2010 (IRIN) - Les attaques armées attribuées à l’Armée de résistance du Seigneur (LRA) dans l’État d’Equatoria Ouest, dans le sud du Soudan, ont provoqué le déplacement de milliers de civils et mis en péril la sécurité alimentaire, selon des responsables locaux et des responsables des Nations Unies.
Les craintes suscitées par les attaques de la LRA, une milice basée en Ouganda, ont entraîné le départ de 25 000 personnes d’Equatoria Ouest ces derniers mois, selon le Bureau de coordination des affaires humanitaires des Nations Unies (OCHA). Au total, quelque 250 000 personnes ont été déplacées depuis la fin de l’année 2008 et la milice est tenue pour responsable de la mort d’environ 200 personnes dans l’État en 2009.
Deux des districts administratifs de l’État (ou payams) – ceux de Sangua et Basukangbi – ne comptaient plus aucun habitant lorsque les agences des Nations Unies ont conduit une mission d’évaluation au début du mois d’août.
À la suite de ces départs, de nombreux champs, sur lesquels des cultures comme le sorgho et l’arachide sont prêtes à être récoltées, ont été abandonnés.
« L’État d’Equatoria Ouest était autosuffisant en matière alimentaire, mais en raison du climat d’insécurité, les personnes déplacées dépendent désormais des aides », a dit Sapana Abuyi, vice-gouverneur d’Equatoria Ouest.
Parmi les personnes déplacées – plus de 3 000 d’entre elles sont originaires des seuls districts de Sangua et Basukangbi –, beaucoup se sont rassemblées dans les villes comme Nzara et survivent grâce aux sources de nourriture sauvage, comme les feuilles et les fruits, selon les conclusions d’une mission d’évaluation réalisée par plusieurs agences. Cette mission a également révélé le manque d’installations sanitaires adaptées, d’eau potable et de services de santé pour les personnes déplacées.
Parmi les personnes déplacées, nombreuses sont celles qui craignent une nouvelle vague d’attaques et ne désirent pas rentrer chez elles dans l’immédiat. Il est donc nécessaire de leur fournir des services à long terme sur place.
« Il n’y a pas vraiment d’endroit sûr dans l’État», a dit Richard Tambua, chef d’une milice connue sous le nom d’Arrow Boys.
L’État d’Equatoria Ouest a été relativement épargné par les conflits lors de la guerre civile qui a fait rage entre le Nord-Soudan et le Sud-Soudan de 1983 jusqu’à la signature d’un accord de paix en 2005. Aujourd’hui, l’armée du Sud-Soudan et la mission de maintien de la paix des Nations Unies sont incapables de neutraliser la menace posée par les petites unités très mobiles de la LRA, qui est également présente en République démocratique du Congo (RDC) et en République centrafricaine (RCA).
Selon Human Rights Watch, la LRA a enlevé quelque 700 personnes en RDC et en RCA au cours des 18 derniers mois.
« Pendant la campagne d’enlèvement, la LRA a tué brutalement les adultes et les enfants qui tentaient de s’échapper, marchaient trop lentement ou étaient incapables de supporter les lourdes charges qu’ils étaient contraints de porter », a indiqué l’organisation non gouvernementale basée à New-York dans un rapport publié le 11 août.
Presqu’au même moment, Enough Project, une organisation de défense des droits de l’homme basée à Washington DC, a également publié un rapport sur la menace croissante que représente la LRA pour les civils en raison de l’absence d’une quelconque « force militaire significative » en mesure de faire face à la milice.
Ledio Cakaj, l’auteur du rapport, a dit à IRIN : « La crainte de voir les violences perpétrées par la LRA perdurer au Soudan est bien réelle, alors qu’elles n’étaient que sporadiques au cours des deux dernières années »."
A bientôt.
René.
mardi 24 août 2010
Mes chers trois lecteurs, comme je suis dans le midi et dans la restauration. En vrai, je fais le plongeur, l'éplucheur, la mise en place des tables et divers autres travaux, comme passer la serpillière. Donc, toute cette semaine, vous n'aurez pas de mes nouvelles, à moins que demain après midi, je trouve le temps, car, nous faisons relâche.
Peut-être à demain ?
A bientôt.
René.
Peut-être à demain ?
A bientôt.
René.
vendredi 20 août 2010
blog à finir
Bases américaines, Bogota a franchi la ligne
L’accord d’octobre 2009, entre la Colombie et les États-Unis, permettant à l’armée US d’utiliser sept bases militaires colombiennes, a été rejeté par la Cour constitutionnelle, à Bogota.
L a Cour constitutionnelle colombienne a retoqué l’accord passé en 2009 entre Bogota et Washington permettant à l’armée américaine d’utiliser sept bases en Colombie. La signature de cet accord avait exacerbé les tensions entre la Colombie et la plupart des pays de la région, entre autres le Venezuela, l’Équateur, la Bolivie et le Brésil.
Selon le président de la Cour constitutionnelle, Mauricio Gonzalez, le tribunal a conclu que la convention n’était pas une simple extension des accords militaires souscrits par la Colombie avec les États-Unis depuis 1952, contredisant ainsi les allégations du précédent gouvernement d’Alvaro Uribe. Au contraire, elle contient de « nouvelles obligations » qui, selon la Cour, « excèdent » les conventions militaires antérieures, notamment le plan Colombie, signé en 1999.
(source ; Aujourd'hui le Maroc en ligne)
Canicule : une perte globale de 100 millions DH en aviculture
Selon la FISA , les conséquences de la canicule sont matérialisées par des mortalités élevées au niveau des élevages, ainsi que des chutes de performances zootechniques de production.
Le secteur avicole national subit des conséquences irrémédiables suite à la hausse de la température que connaît le Royaume. La vague de chaleur «Chergui», sévissant depuis samedi 7 août 2010, a occasionné une perte financière globale estimée à 100 millions de dirhams, dont 60 MDH sont relatifs aux pertes liées aux mortalités de volailles alors que 40 MDH liés aux chutes des performances de production, souligne la fédération interprofessionnelle du secteur avicole (FISA) dans son communiqué. Se référant à la FISA, dirigée par Chaouki Jirari, les conséquences sont matérialisées par des mortalités élevées au niveau des élevages, essentiellement de poulet de chair et de dindes ainsi que des chutes de performances zootechniques de production . En effet, les volailles sont très vulnérables à la hausse de température, chose qui rend le secteur avicole fragile aux vagues de chaleurs. Selon les informations disponibles à la date du vendredi 13 août, révélées par la FISA, les pertes au niveau national seraient en moyenne de 15% pour le poulet de chair en fin de cycle d’élevage et de 10% pour la dinde en fin de cycle d’élevage. Quant aux chutes des performances, le retard de croissance des poulets est estimé à 15% au moment où celui des dindes est de 10%. En ce qui concerne les reproducteurs et accouvage, la chute de ponte et du taux d’éclosion, dans ce sens, est de 25%. De même, la chute de ponte des pondeuses est évaluée à 10%."
Donc, si, m'en réfère à la Russie et sa canicule meurtrière, il n'y a pas que la production céréalière qui a souffert. Les élevages doivent être aussi gravement atteints.
Alors, si, nous étions intelligent, il y a un coup à faire sur la vente de poulets, de viande bovine, de porc...etc.
Bases américaines, Bogota a franchi la ligne
L’accord d’octobre 2009, entre la Colombie et les États-Unis, permettant à l’armée US d’utiliser sept bases militaires colombiennes, a été rejeté par la Cour constitutionnelle, à Bogota.
L a Cour constitutionnelle colombienne a retoqué l’accord passé en 2009 entre Bogota et Washington permettant à l’armée américaine d’utiliser sept bases en Colombie. La signature de cet accord avait exacerbé les tensions entre la Colombie et la plupart des pays de la région, entre autres le Venezuela, l’Équateur, la Bolivie et le Brésil.
Selon le président de la Cour constitutionnelle, Mauricio Gonzalez, le tribunal a conclu que la convention n’était pas une simple extension des accords militaires souscrits par la Colombie avec les États-Unis depuis 1952, contredisant ainsi les allégations du précédent gouvernement d’Alvaro Uribe. Au contraire, elle contient de « nouvelles obligations » qui, selon la Cour, « excèdent » les conventions militaires antérieures, notamment le plan Colombie, signé en 1999.
(source ; Aujourd'hui le Maroc en ligne)
Canicule : une perte globale de 100 millions DH en aviculture
Selon la FISA , les conséquences de la canicule sont matérialisées par des mortalités élevées au niveau des élevages, ainsi que des chutes de performances zootechniques de production.
Le secteur avicole national subit des conséquences irrémédiables suite à la hausse de la température que connaît le Royaume. La vague de chaleur «Chergui», sévissant depuis samedi 7 août 2010, a occasionné une perte financière globale estimée à 100 millions de dirhams, dont 60 MDH sont relatifs aux pertes liées aux mortalités de volailles alors que 40 MDH liés aux chutes des performances de production, souligne la fédération interprofessionnelle du secteur avicole (FISA) dans son communiqué. Se référant à la FISA, dirigée par Chaouki Jirari, les conséquences sont matérialisées par des mortalités élevées au niveau des élevages, essentiellement de poulet de chair et de dindes ainsi que des chutes de performances zootechniques de production . En effet, les volailles sont très vulnérables à la hausse de température, chose qui rend le secteur avicole fragile aux vagues de chaleurs. Selon les informations disponibles à la date du vendredi 13 août, révélées par la FISA, les pertes au niveau national seraient en moyenne de 15% pour le poulet de chair en fin de cycle d’élevage et de 10% pour la dinde en fin de cycle d’élevage. Quant aux chutes des performances, le retard de croissance des poulets est estimé à 15% au moment où celui des dindes est de 10%. En ce qui concerne les reproducteurs et accouvage, la chute de ponte et du taux d’éclosion, dans ce sens, est de 25%. De même, la chute de ponte des pondeuses est évaluée à 10%."
Donc, si, m'en réfère à la Russie et sa canicule meurtrière, il n'y a pas que la production céréalière qui a souffert. Les élevages doivent être aussi gravement atteints.
Alors, si, nous étions intelligent, il y a un coup à faire sur la vente de poulets, de viande bovine, de porc...etc.
jeudi 19 août 2010
Aujourd'hui, pas eu le temps d'écrire, seulement cette information du quotidien du peuple et cette question induite, où sont passés les paysans qui cultivaient les champs ?
"Chine: 27, 66 millions d'hectares de champs ont été transformés en forêts ces dix dernières années
Le Bureau national des Forêts de Chine a déclaré le 18 août que 27,66 millions d'hectares de champs cultivés avaient été convertis en forêts ces 10 dernières années. Wu Lijun, responsable du service chargé de la conversion des champs en forêts, relevant du Bureau national des Forêts de Chine, a dressé le bilan de l'opération lors d'une conférence de presse. Un investissement total du gouvernement de 430 milliards de yuans dont 230 milliards de yuans ont déjà été versés entre 1999 et 2009.
Source: CRI"
Donc, vu la manière dont le gouvernement chinois traite les paysans qui ne sont pas encore considérés comme des agriculteurs, je me demande, qu'ont-ils fait de ces paysans. Déportés en ville pour crever avec des boulots très mal payés ou simplement jetés hors de chez eux et vive qui pourra ?
Voilà, c'est tout pour aujourd'hui, à vous d'en tirer une conclusion.
A bientôt.
René.
"Chine: 27, 66 millions d'hectares de champs ont été transformés en forêts ces dix dernières années
Le Bureau national des Forêts de Chine a déclaré le 18 août que 27,66 millions d'hectares de champs cultivés avaient été convertis en forêts ces 10 dernières années. Wu Lijun, responsable du service chargé de la conversion des champs en forêts, relevant du Bureau national des Forêts de Chine, a dressé le bilan de l'opération lors d'une conférence de presse. Un investissement total du gouvernement de 430 milliards de yuans dont 230 milliards de yuans ont déjà été versés entre 1999 et 2009.
Source: CRI"
Donc, vu la manière dont le gouvernement chinois traite les paysans qui ne sont pas encore considérés comme des agriculteurs, je me demande, qu'ont-ils fait de ces paysans. Déportés en ville pour crever avec des boulots très mal payés ou simplement jetés hors de chez eux et vive qui pourra ?
Voilà, c'est tout pour aujourd'hui, à vous d'en tirer une conclusion.
A bientôt.
René.
mercredi 18 août 2010
"L'avenir de l'esclave est sous le talon du maître." Proverbe Maure.
Salut aux peuples des ombres, ceux qui parias n'ont qu'un droit, celui de n'en revendiquer aucun. Votre vie n'est qu'une longue douleur, zébrée de petites joies.
Bon, alors, grâce à notre gouvernement national et notre, ôh, combien grand président, la France créée en Europe des sous catégories de populations. Il y aurait donc ceux qui disposeraient de tous les droits attachés au statut de citoyen européen et ceux qui n'en disposeraient pas et devraient être cloîtrés dans la réserve que deviendrait leur pays.
Et, quand je dis leur pays, plutôt des zones où ils sont confinés.
Evidemment, je vous parle des roms roumains, bulgares, hongrois ou yougoslave.
Je ne dis pas que j'apprécie spécialement ces gens-là, mais, là n'est pas la question, il s'agit de savoir si en Europe, peut se créer des sous-catégories de citoyens qui n'auraient pas accès aux mêmes droits que tout le monde.
Car, dans ces conditions pourquoi l'on refuserait l'entrée de la Turquie en Europe sous prétexte que les chrétiens ne peuvent accéder à certains postes dans l'administration et l'armée. Ce qui de fait, les positionnent en situation de sous-catégorie.
Sans compter qu'expulser des roms dans leur pays d'origine, en leur accordant une allocation de départ, est complètement vide de sens puisqu'ils reviennent librement après avoir joué les oncles d'Amérique auprès de leur famille. Eh, oui, 100 euros par enfant, plus, je ne sais combien par adulte, c'est beaucoup d'argent en Bulgarie ou même en Roumanie où le salaire d'un ouvrier se situe environ à 250 euros.
A ce jeu là, on peut se permettre de s'amuser au yoyo. Un coup au pays, un coup en France, un coup en France, un coup au pays.
Ce qui permet de gonfler les chiffres des expulsions de notre ministre de l'immigration, Brice Hortefeux, ça et le département de Mayotte, aux Comores, d'ailleurs.
En tout cas, ce que laisse suggérer la dérive idéologique du gouvernement Sarkozy a des relents nauséabonds.
De même que l'émergence au pénal de la responsabilité collective en place et lieu de la responsabilité individuel lorsque cela arrangera ces messieurs du pouvoir.
Là, je vous laisse imaginer l'étendue du champ d'application.
C'est du genre, "Tous aux abris !"
Cerise sur le gâteau, suppression du juge d'instruction et contrôle des dossiers par le procureur de la république, hiérarchiquement dépendant du pouvoir. Là, c'est, "Emballe-moi ça, ma poule, leur affaire est faite. Ils n'y ont vu que du feu !"
Pour revenir aux roms, une question, "Si, Sarkozy se permet de créer des sous catégorie de citoyens en Europe, peut-il le faire en France ou pire, l'a-t-il déjà réalisé sans que nous en soyons rendu compte ?"
Et, là, cette interrogation est extrêmement grave, car elle interpelle notre statut de citoyen.
Donc, si, nous considérons les démarches du gouvernement au delà même des roms, il y a manifestement dérive idéologique.
C'est bien pour cela qu'il faille identifier exactement la démarche en cours, car, elle suit une logique qui ne nous est pas accessible parce que perdue dans un ensemble confus de réformes.
En réalité, c'est l'arbre qui cache la forêt.
Et, cette dérive, si dérive, i y a, ne s'inscrit pas dans les effets collatéraux du libéralisme économique, elle s'enracine plus dans une conception maurasienne de la gestion de la cité.
De fait, nous sommes là, face à une politique de cantonnement des libertés publiques et de rejet de la différence.
Il y a donc, danger en la demeure, la maison brûle sans que l'on s'en rende compte.
Et, si, l'on ne s'en rend pas compte, c'est qu'il y a une logique derrière tout cela, une logique de camouflage.
Cela s'appelle, attirer l'attention sur l'évènementiel pour détourner le regard de l'essentiel !
Voilà, ça sera tout pour aujourd'hui.
Je pourrais continuer à vous en faire des tonnes, mais, mon objectif est de vous amener à réfléchir à autre chose que le reflet que vous renvoie les médias qui ne posent plus d'analyse de fond et vous baladent seulement sur, justement, de l'évènementiel.
Aussi, je vous souhaite bien le bonjour chez vous et bon vent.
A bentôt.
René.
Bon, alors, grâce à notre gouvernement national et notre, ôh, combien grand président, la France créée en Europe des sous catégories de populations. Il y aurait donc ceux qui disposeraient de tous les droits attachés au statut de citoyen européen et ceux qui n'en disposeraient pas et devraient être cloîtrés dans la réserve que deviendrait leur pays.
Et, quand je dis leur pays, plutôt des zones où ils sont confinés.
Evidemment, je vous parle des roms roumains, bulgares, hongrois ou yougoslave.
Je ne dis pas que j'apprécie spécialement ces gens-là, mais, là n'est pas la question, il s'agit de savoir si en Europe, peut se créer des sous-catégories de citoyens qui n'auraient pas accès aux mêmes droits que tout le monde.
Car, dans ces conditions pourquoi l'on refuserait l'entrée de la Turquie en Europe sous prétexte que les chrétiens ne peuvent accéder à certains postes dans l'administration et l'armée. Ce qui de fait, les positionnent en situation de sous-catégorie.
Sans compter qu'expulser des roms dans leur pays d'origine, en leur accordant une allocation de départ, est complètement vide de sens puisqu'ils reviennent librement après avoir joué les oncles d'Amérique auprès de leur famille. Eh, oui, 100 euros par enfant, plus, je ne sais combien par adulte, c'est beaucoup d'argent en Bulgarie ou même en Roumanie où le salaire d'un ouvrier se situe environ à 250 euros.
A ce jeu là, on peut se permettre de s'amuser au yoyo. Un coup au pays, un coup en France, un coup en France, un coup au pays.
Ce qui permet de gonfler les chiffres des expulsions de notre ministre de l'immigration, Brice Hortefeux, ça et le département de Mayotte, aux Comores, d'ailleurs.
En tout cas, ce que laisse suggérer la dérive idéologique du gouvernement Sarkozy a des relents nauséabonds.
De même que l'émergence au pénal de la responsabilité collective en place et lieu de la responsabilité individuel lorsque cela arrangera ces messieurs du pouvoir.
Là, je vous laisse imaginer l'étendue du champ d'application.
C'est du genre, "Tous aux abris !"
Cerise sur le gâteau, suppression du juge d'instruction et contrôle des dossiers par le procureur de la république, hiérarchiquement dépendant du pouvoir. Là, c'est, "Emballe-moi ça, ma poule, leur affaire est faite. Ils n'y ont vu que du feu !"
Pour revenir aux roms, une question, "Si, Sarkozy se permet de créer des sous catégorie de citoyens en Europe, peut-il le faire en France ou pire, l'a-t-il déjà réalisé sans que nous en soyons rendu compte ?"
Et, là, cette interrogation est extrêmement grave, car elle interpelle notre statut de citoyen.
Donc, si, nous considérons les démarches du gouvernement au delà même des roms, il y a manifestement dérive idéologique.
C'est bien pour cela qu'il faille identifier exactement la démarche en cours, car, elle suit une logique qui ne nous est pas accessible parce que perdue dans un ensemble confus de réformes.
En réalité, c'est l'arbre qui cache la forêt.
Et, cette dérive, si dérive, i y a, ne s'inscrit pas dans les effets collatéraux du libéralisme économique, elle s'enracine plus dans une conception maurasienne de la gestion de la cité.
De fait, nous sommes là, face à une politique de cantonnement des libertés publiques et de rejet de la différence.
Il y a donc, danger en la demeure, la maison brûle sans que l'on s'en rende compte.
Et, si, l'on ne s'en rend pas compte, c'est qu'il y a une logique derrière tout cela, une logique de camouflage.
Cela s'appelle, attirer l'attention sur l'évènementiel pour détourner le regard de l'essentiel !
Voilà, ça sera tout pour aujourd'hui.
Je pourrais continuer à vous en faire des tonnes, mais, mon objectif est de vous amener à réfléchir à autre chose que le reflet que vous renvoie les médias qui ne posent plus d'analyse de fond et vous baladent seulement sur, justement, de l'évènementiel.
Aussi, je vous souhaite bien le bonjour chez vous et bon vent.
A bentôt.
René.
"L'avenir de l'esclave est sous le talon du maître." Proverbe Maure.
Salut aux peuples des ombres, ceux qui parias n'ont qu'un droit, celui de n'en revendiquer aucun. Votre vie n'est qu'un longue douleur, zébrée de petites joies.
Bon, alors, grâce à notre gouvernement national et notre, ôh, combien grand président, la France créée en Europe des sous catégories de populations. Il y aurait donc ceux qui disposeraient de tous les droits attachés au statut de citoyen européen et ceux qui n'en disposeraient pas et devraient être cloîtrés dans la réserve que deviendrait leur pays.
Et, quand je dis leur pays, plutôt des zones où ils sont confinés.
Evidemment, je vous parle des roms roumains, bulgares, hongrois ou yougoslave.
Je ne dis pas que j'apprécie spécialement ces gens-là, mais, là n'est pas la question, il s'agit de savoir si en Europe, peut se créer des sous-catégories de citoyens qui n'auraient pas accès aux mêmes droits que tout le monde.
Car, dans ces conditions pourquoi l'on refuserait l'entrée de la Turquie en Europe sous prétexte que les chrétiens ne peuvent accéder à certains postes dans l'administration et l'armée. Ce qui de fait, les positionne en situation de sous-catégorie.
Sans compter qu'expulser des roms dans leur pays d'origine, en leur accordant une allocation de départ, est complètement vide de sens puisqu'ils reviennent librement après avoir joué les oncles d'Amérique auprès de leur famille. Eh, oui, 100 euros par enfant, plus, je ne sais combien par adulte, c'est beaucoup d'argent en Bulgarie ou même en Roumanie où le salaire d'un ouvrier se situe environ à 250 euros.
A ce jeu là, on peut se permettre de s'amuser au yoyo. Un coup au pays, un coup en France, un coup en France, un coup au pays.
Ce qui permet de gonfler les chiffres des expulsions de notre ministre de l'immigration, Brice Hortefeux, ça et le département de Mayotte, aux Comores, d'ailleurs.
En tout cas, ce que laisse suggérer la dérive idéologique du gouvernement Sarkozy a des relents nauséabonds.
De même que l'émergence au pénal de la responsabilité collective en place et lieu de la responsabilité individuel lorsque cela arrangera ces messieurs du pouvoir.
Là, je vous laisse imaginer l'étendue du champ d'application.
C'est du genre, "Tous aux abris !"
Cerise sur le gâteau, suppression du juge d'instruction et contrôle des dossiers par le procureur de la république, hiérarchiquement dépendant du pouvoir. Là, c'est, "Emballe-moi ça, ma poule, leur affaire est faite. Ils n'y ont vu que du feu !"
Pour revenir aux roms, une question, "Si, Sarkozy se permet de créer des sous catégorie de citoyens en Europe, peut-il le faire en France ou pire, l'a-t-il déjà réalisé sans que nous en soyons rendu compte ?"
Et, là, cette interrogation est extrêmement grave, car elle interroge notre statut de citoyen.
Donc, si, nous considérons les démarches du gouvernement au delà même des roms, il y a manifestement dérive idéologique.
C'est bien pour cela qu'il faille identifier exactement la démarche en cours, car, elle suit une logique qui ne nous est pas accessible parce que perdue dans un ensemble confus de réformes.
En réalité, c'est l'arbre qui cache la forêt.
Et, cette dérive, si dérive, i y a, ne s'inscrit pas dans les effets collatéraux du libéralisme économique, elle s'enracine plus dans une conception maurasienne.
De fait, nous sommes là, face à une politique de cantonnement des libertés publiques et de rejet de la différence.
Il y a donc, danger en la demeure, la maison brûle sans que l'on s'en rende compte.
Et, si, l'on ne s'en rend pas compte, c'est qu'il y a une logique derrière tout cela, une logique de camouflage.
Cela s'appelle, attirer l'attention sur l'évènementiel pour détourner le regard de l'essentiel !
Voilà, ça sera tout pour aujourd'hui.
Je pourrais continuer à vous en faire des tonnes, mais, mon objectif est de vous amener à réfléchir à autre chose que le reflet que vous renvoie les médias qui ne posent plus d'analyse de fond et vous baladent seulement sur, justement, de l'évènementiel.
Aussi, je vous souhaite bien le bonjour chez vous et bon vent.
A bentôt.
René.
Bon, alors, grâce à notre gouvernement national et notre, ôh, combien grand président, la France créée en Europe des sous catégories de populations. Il y aurait donc ceux qui disposeraient de tous les droits attachés au statut de citoyen européen et ceux qui n'en disposeraient pas et devraient être cloîtrés dans la réserve que deviendrait leur pays.
Et, quand je dis leur pays, plutôt des zones où ils sont confinés.
Evidemment, je vous parle des roms roumains, bulgares, hongrois ou yougoslave.
Je ne dis pas que j'apprécie spécialement ces gens-là, mais, là n'est pas la question, il s'agit de savoir si en Europe, peut se créer des sous-catégories de citoyens qui n'auraient pas accès aux mêmes droits que tout le monde.
Car, dans ces conditions pourquoi l'on refuserait l'entrée de la Turquie en Europe sous prétexte que les chrétiens ne peuvent accéder à certains postes dans l'administration et l'armée. Ce qui de fait, les positionne en situation de sous-catégorie.
Sans compter qu'expulser des roms dans leur pays d'origine, en leur accordant une allocation de départ, est complètement vide de sens puisqu'ils reviennent librement après avoir joué les oncles d'Amérique auprès de leur famille. Eh, oui, 100 euros par enfant, plus, je ne sais combien par adulte, c'est beaucoup d'argent en Bulgarie ou même en Roumanie où le salaire d'un ouvrier se situe environ à 250 euros.
A ce jeu là, on peut se permettre de s'amuser au yoyo. Un coup au pays, un coup en France, un coup en France, un coup au pays.
Ce qui permet de gonfler les chiffres des expulsions de notre ministre de l'immigration, Brice Hortefeux, ça et le département de Mayotte, aux Comores, d'ailleurs.
En tout cas, ce que laisse suggérer la dérive idéologique du gouvernement Sarkozy a des relents nauséabonds.
De même que l'émergence au pénal de la responsabilité collective en place et lieu de la responsabilité individuel lorsque cela arrangera ces messieurs du pouvoir.
Là, je vous laisse imaginer l'étendue du champ d'application.
C'est du genre, "Tous aux abris !"
Cerise sur le gâteau, suppression du juge d'instruction et contrôle des dossiers par le procureur de la république, hiérarchiquement dépendant du pouvoir. Là, c'est, "Emballe-moi ça, ma poule, leur affaire est faite. Ils n'y ont vu que du feu !"
Pour revenir aux roms, une question, "Si, Sarkozy se permet de créer des sous catégorie de citoyens en Europe, peut-il le faire en France ou pire, l'a-t-il déjà réalisé sans que nous en soyons rendu compte ?"
Et, là, cette interrogation est extrêmement grave, car elle interroge notre statut de citoyen.
Donc, si, nous considérons les démarches du gouvernement au delà même des roms, il y a manifestement dérive idéologique.
C'est bien pour cela qu'il faille identifier exactement la démarche en cours, car, elle suit une logique qui ne nous est pas accessible parce que perdue dans un ensemble confus de réformes.
En réalité, c'est l'arbre qui cache la forêt.
Et, cette dérive, si dérive, i y a, ne s'inscrit pas dans les effets collatéraux du libéralisme économique, elle s'enracine plus dans une conception maurasienne.
De fait, nous sommes là, face à une politique de cantonnement des libertés publiques et de rejet de la différence.
Il y a donc, danger en la demeure, la maison brûle sans que l'on s'en rende compte.
Et, si, l'on ne s'en rend pas compte, c'est qu'il y a une logique derrière tout cela, une logique de camouflage.
Cela s'appelle, attirer l'attention sur l'évènementiel pour détourner le regard de l'essentiel !
Voilà, ça sera tout pour aujourd'hui.
Je pourrais continuer à vous en faire des tonnes, mais, mon objectif est de vous amener à réfléchir à autre chose que le reflet que vous renvoie les médias qui ne posent plus d'analyse de fond et vous baladent seulement sur, justement, de l'évènementiel.
Aussi, je vous souhaite bien le bonjour chez vous et bon vent.
A bentôt.
René.
mardi 17 août 2010
Aujourd'hui, pas tellement envie d'écrire et peut-être pas d'inspiration. Seulement cette alerte de la dépeche.fr au sujet du frelon asiatique.
Gaffe et prenez le numéro de téléphone du spécialiste, vous pourrez sauvez nos abeilles, celles qui n'ont pas été empoisonnées par les pesticides, genre roundup ou quelque chose comme ça.
"Frelons asiatiques, c'est la vigilance
attention danger
Le nid qui a été détruite la semaine dernière à Villefranche.
Comme en témoigne la récente destruction d'un nid à Villefranche, la seconde partie du mois d'août est propice à l'accentuation de la prolifération des frelons asiatiques.
Apiculteur par passion, Jean-Pierre Mangé avait déjà, fin 2009, été à l'origine de la destruction d'un nid de frelons asiatiques aux portes de Villefranche-de-Rouergue. Depuis, dans l'ouest Aveyron, faisant figure de référent, on le prévient dès que la présence incongrue, mais destructrice, de ce prédateur est signalée. La semaine dernière, c'est au Raix, entre Villefranche et Saint Rémy qu'il a été appelé. Une occasion pour lui de rappeler certains préceptes. « J'insiste bien auprès des gens qui voient le frelon asiatique, beaucoup plus noir et orangé que le frelon classique, pour qu'ils préviennent ; car cette présence peut avoir des conséquences catastrophiques pour les abeilles et les ruches », détaille-t-il. Rappelant les dégâts occasionnés par ce prédateur, qui dès que son nid commence à grossir et avec celui-ci une quantité importante de larves, a besoin de protéines et donc se jette sur les abeilles dont il se nourrit, Jean-Pierre Mangé met en avant la période cruciale qui va de cette mi-août à la mi-septembre. « C'est maintenant qu'ils commencent à apparaître en nombre ; jusque-là un nid pouvait à peine atteindre la taille d'un ballon de football ; d'ici quelques semaines, il ira jusqu'à un mètre de diamètre », poursuit-il. Seul hic, et non le moindre, les nids de cet insecte grand consommateur de chaleur ne deviennent vraiment visible à la cime des arbres que lorsque les premières gelées arrivent. Et avec elles, la chute des feuilles. « Cela surprend souvent les gens, insiste-t-il, car si dans leurs pièges à guêpes, il trouve de temps à autre un ou deux frelons asiatiques, les quantités n'impressionnent pas. » Sauf que c'est lorsqu'on rentre ces mêmes pièges que leur prolifération s'avère la plus forte. Reste le fond du problème. Ce type d'invasion n'étant pas bon pour la faune indigène, les apiculteurs craignent la présence massive de ces frelons venus d'ailleurs…
Contact : Jean-Pierre Mangé au 0 6 83 52 74 70."
A bientôt.
René.
Gaffe et prenez le numéro de téléphone du spécialiste, vous pourrez sauvez nos abeilles, celles qui n'ont pas été empoisonnées par les pesticides, genre roundup ou quelque chose comme ça.
"Frelons asiatiques, c'est la vigilance
attention danger
Le nid qui a été détruite la semaine dernière à Villefranche.
Comme en témoigne la récente destruction d'un nid à Villefranche, la seconde partie du mois d'août est propice à l'accentuation de la prolifération des frelons asiatiques.
Apiculteur par passion, Jean-Pierre Mangé avait déjà, fin 2009, été à l'origine de la destruction d'un nid de frelons asiatiques aux portes de Villefranche-de-Rouergue. Depuis, dans l'ouest Aveyron, faisant figure de référent, on le prévient dès que la présence incongrue, mais destructrice, de ce prédateur est signalée. La semaine dernière, c'est au Raix, entre Villefranche et Saint Rémy qu'il a été appelé. Une occasion pour lui de rappeler certains préceptes. « J'insiste bien auprès des gens qui voient le frelon asiatique, beaucoup plus noir et orangé que le frelon classique, pour qu'ils préviennent ; car cette présence peut avoir des conséquences catastrophiques pour les abeilles et les ruches », détaille-t-il. Rappelant les dégâts occasionnés par ce prédateur, qui dès que son nid commence à grossir et avec celui-ci une quantité importante de larves, a besoin de protéines et donc se jette sur les abeilles dont il se nourrit, Jean-Pierre Mangé met en avant la période cruciale qui va de cette mi-août à la mi-septembre. « C'est maintenant qu'ils commencent à apparaître en nombre ; jusque-là un nid pouvait à peine atteindre la taille d'un ballon de football ; d'ici quelques semaines, il ira jusqu'à un mètre de diamètre », poursuit-il. Seul hic, et non le moindre, les nids de cet insecte grand consommateur de chaleur ne deviennent vraiment visible à la cime des arbres que lorsque les premières gelées arrivent. Et avec elles, la chute des feuilles. « Cela surprend souvent les gens, insiste-t-il, car si dans leurs pièges à guêpes, il trouve de temps à autre un ou deux frelons asiatiques, les quantités n'impressionnent pas. » Sauf que c'est lorsqu'on rentre ces mêmes pièges que leur prolifération s'avère la plus forte. Reste le fond du problème. Ce type d'invasion n'étant pas bon pour la faune indigène, les apiculteurs craignent la présence massive de ces frelons venus d'ailleurs…
Contact : Jean-Pierre Mangé au 0 6 83 52 74 70."
A bientôt.
René.
lundi 16 août 2010
"Ce n'est pas la destination mais la route qui compte". Proverbe Gitan.
Salut, aux enfants du paradis. Nous autres, les paysans du coin, nous trimons et vous, vous planez. Dans quel quartier ? Le dix huitième arrondissement parisien ?
Et, si, nous reparlions de l'adhésion de la Turquie à l'Europe ?
Perso, j'ai fini par me prononcer avec une grande, grande appréhension, à la condition que le peuple kurde obtienne l'autonomie de sa province dans l'ensemble turc. Vous me direz, je ne risque pas grand chosen vu que ce n'est pas demain la veille que cela risque d'arriver.
Pourquoi, cette condition ?
Simple, le PKK, principal parti kurde est laïque à fond la caisse.
Cependant, lorsque j'entends la position du premier ministre anglais qui se pose en donneur de leçon concernant cette adhésion, je me demande si, il sait de quoi il parle.
Est-il au courant que les chrétiens et autres minorités religieuses n'ont pas les mêmes droits que les musulmans ?
Cela ne l'interpelle-t-il pas ?
Parce qu'entre nous, introduire un pays dans l'Europe qui traite ses propres citoyens différemment selon leur religion, cela risquerait de faire jurisprudence dans la communauté.
Vous voyez le topo mes trois chers lecteurs ?
Chaque état de l'Europe pourrait traiter différemment des catégories parmi ses citoyens !
Mais, où irions-nous ?
Parce que, c'est ce qui se passe en Turquie selon un article d'El Watan dont l'extrait, je le souligne est sorti de son contexte pour nourrir ma phraséologie. Et, je m'en excuse auprès de son auteur.
Pourtant, de cette situation, tous nos leaders politiques sont au courants, même les industriels d'ailleurs. Alors, pourquoi, n'en parlent-ils pas ?
Ils ont fait l'Europe à la va que je te pousse en nous racontant que de la daube. Maintenant, ils feraient bien de ralentir le rythme en faisant en sorte que les pays adhérents soient vraiment en conformité avec les traités européens et surtout les lois européennes qui prônent normalement le libre accès au droit pour tous les citoyens.
(source : El watan, extrait d'un article, "L’islam et la laïcité : Entre malentendu lexicologique et refus de voir plaquer un concept ressenti comme étranger (2ème partie) par DG)
"Le seul pays musulman, mais non arabe celui-ci à se déclarer officiellement laïc est donc la Turquie kémaliste. En effet, la laïcité est le fondement de la République turque fondée par Mustafa Kemal. En 1924, Kemal supprimait le califat, et en 1937, il faisait introduire dans la Constitution le principe de la séparation de l’Etat et de la religion. Le principe de laïcité a été par la suite constamment réaffirmé par les deux Constitutions suivantes en 1961 et en 1982. Cependant, il y a loin de la laïcité à la française à la laïcité alla turca, car c’est l’Etat qui continue à contrôler les activités cultuelles par le biais de la direction générale des Affaires religieuses, rattachée au Premier ministre et dirigée par un religieux.
Les imams sont payés par l’Etat qui participe aussi à la construction des mosquées, quand les alévis (entre 20/25% de la population), les juifs et les chrétiens n’ont aucun de ces avantages, d’autant qu’à partir des années 1970, l’Etat turc a confisqué des biens appartenant à des communautés chrétiennes (rappelons la fermeture du séminaire orthodoxe d’Istanbul depuis une quarantaine d’années. Des discussions seraient en cours pour une éventuelle réouverture, mais qui traînent de façon indéfinie). Enfin, les citoyens non musulmans ne peuvent jamais accéder à des postes d’encadrement dans la Fonction publique et dans l’armée, ce qui n’est pas sans poser de graves questions quant à une intégration future de la Turquie à l’Union européenne."
Et, voilà, après ça, on peut se demander pourquoi, c'est un journal algérien qui pose la question, plutôt que nos propres leaders politiques ?
C'est grave, mon capitaine ?
Oui, c'est grave parce qu'une nouvelle fois, ils nous prennent pour des débiles mentaux et ça, ce n'est plus supportable !
Ils nous ont dit que la spéculation allait être encadrée. Mes fesses, oui ! Elle se reporte sur les matières premières agricoles comme cela était prévisible.
Du coup, les denrées alimentaires vont augmenter et notre pouvoir d'achat va encore en prendre un coup.
Lorsque, l'on regarde l'affaire Woerth, on se demande si il y a quelqu'un d'honnête en politique.
Lorsqu'on regarde Strauss Kahn qui va poser sa candidature au parti socialiste pour la présidentielle de 2012, on se demande si le PS et l'UMP, ce ne serait pas blanc bonnet et bonnet blanc.
Lorsque l'on regarde Cohn-Bendit qui s'agite, qui prend tout le monde de haut en se prenant pour le plus intelligent de la planète, on se demande si justement, nous vivons sur la même planète. Il faudrait dire à celui-là, que les poilus, ça fait longtemps qu'on ne les respecte plus en France, vu qu'ils sont tous morts.
Bref, toutes ces petites personnes nous font énormément de moulinets verbaux, et moi, je dois dire, ça me fatigue.
Déjà, que y'a notre Sarko national, si, ils s'y mettent tous, on n'est pas sorti de l'auberge !
Et, voilà, qu'Eva Joly veut s'y coller.
Au secours, laissez-nous respirer !
Mais, n'y a-t-il pas une bonne nouvelle sur cette terre ?
Mais, si, et je vous l'ai d'ailleurs dégotté sur Bakchich.Info au sujet de la dure condition de nos députés qui travaillent d'arrache pied pour nous concocter des propositions de lois.
"HORS CONCOURS
Les adeptes du hors-piste législatif ne manquent pas d’inventivité. Le député UMP Robert Lecou (de foudre de Bakchich) s’est investi d’une mission vitale pour la sauvegarde de la République : faire « respecter l’orthographe exacte des noms patronymiques lorsqu’ils sont écrits en majuscules ». Un dada lié aux « désagréments qui peuvent naître d’un nom mal écrit en majuscules lorsque ce nom est prononcé ». Une certaine idée de la France que Jean-Pierre Grand (UMP) partage en voulant « instaurer une journée nationale des victimes de la route ».
Moins spirituels, formés à l’école de la « realpolitik », les députés Boyer et Chossy (UMP) anticipent nos malheurs routiers par une proposition de loi sur « la modification de la séquence des feux tricolores de circulation routière ». Tout un programme résumé dans cette saillie : « L’ajout dans la séquence de signalisation d’un feu vert clignotant trois fois annonçant le passage imminent au feu jaune. » On se disait aussi que quelque chose manquait au pays.
Heureusement, la Bonne Mère veille sur nous par la grâce du député marseillais UMP Éric Diard, dont la passion porte un nom : « L’installation de mousseurs hydroéconomes sur les robinets dans les nouveaux bâtiments. » Pierre Bellemare serait fier de son petit. Et d’un « système très facile à poser sur le robinet, qui permet d’utiliser deux fois moins d’eau ». Un duo de choc, Batman et Robinet."
Et, sur ces bonnes paroles, je vous souhaite bien le bonjour chez vous.
A bientôt.
René.
Et, si, nous reparlions de l'adhésion de la Turquie à l'Europe ?
Perso, j'ai fini par me prononcer avec une grande, grande appréhension, à la condition que le peuple kurde obtienne l'autonomie de sa province dans l'ensemble turc. Vous me direz, je ne risque pas grand chosen vu que ce n'est pas demain la veille que cela risque d'arriver.
Pourquoi, cette condition ?
Simple, le PKK, principal parti kurde est laïque à fond la caisse.
Cependant, lorsque j'entends la position du premier ministre anglais qui se pose en donneur de leçon concernant cette adhésion, je me demande si, il sait de quoi il parle.
Est-il au courant que les chrétiens et autres minorités religieuses n'ont pas les mêmes droits que les musulmans ?
Cela ne l'interpelle-t-il pas ?
Parce qu'entre nous, introduire un pays dans l'Europe qui traite ses propres citoyens différemment selon leur religion, cela risquerait de faire jurisprudence dans la communauté.
Vous voyez le topo mes trois chers lecteurs ?
Chaque état de l'Europe pourrait traiter différemment des catégories parmi ses citoyens !
Mais, où irions-nous ?
Parce que, c'est ce qui se passe en Turquie selon un article d'El Watan dont l'extrait, je le souligne est sorti de son contexte pour nourrir ma phraséologie. Et, je m'en excuse auprès de son auteur.
Pourtant, de cette situation, tous nos leaders politiques sont au courants, même les industriels d'ailleurs. Alors, pourquoi, n'en parlent-ils pas ?
Ils ont fait l'Europe à la va que je te pousse en nous racontant que de la daube. Maintenant, ils feraient bien de ralentir le rythme en faisant en sorte que les pays adhérents soient vraiment en conformité avec les traités européens et surtout les lois européennes qui prônent normalement le libre accès au droit pour tous les citoyens.
(source : El watan, extrait d'un article, "L’islam et la laïcité : Entre malentendu lexicologique et refus de voir plaquer un concept ressenti comme étranger (2ème partie) par DG)
"Le seul pays musulman, mais non arabe celui-ci à se déclarer officiellement laïc est donc la Turquie kémaliste. En effet, la laïcité est le fondement de la République turque fondée par Mustafa Kemal. En 1924, Kemal supprimait le califat, et en 1937, il faisait introduire dans la Constitution le principe de la séparation de l’Etat et de la religion. Le principe de laïcité a été par la suite constamment réaffirmé par les deux Constitutions suivantes en 1961 et en 1982. Cependant, il y a loin de la laïcité à la française à la laïcité alla turca, car c’est l’Etat qui continue à contrôler les activités cultuelles par le biais de la direction générale des Affaires religieuses, rattachée au Premier ministre et dirigée par un religieux.
Les imams sont payés par l’Etat qui participe aussi à la construction des mosquées, quand les alévis (entre 20/25% de la population), les juifs et les chrétiens n’ont aucun de ces avantages, d’autant qu’à partir des années 1970, l’Etat turc a confisqué des biens appartenant à des communautés chrétiennes (rappelons la fermeture du séminaire orthodoxe d’Istanbul depuis une quarantaine d’années. Des discussions seraient en cours pour une éventuelle réouverture, mais qui traînent de façon indéfinie). Enfin, les citoyens non musulmans ne peuvent jamais accéder à des postes d’encadrement dans la Fonction publique et dans l’armée, ce qui n’est pas sans poser de graves questions quant à une intégration future de la Turquie à l’Union européenne."
Et, voilà, après ça, on peut se demander pourquoi, c'est un journal algérien qui pose la question, plutôt que nos propres leaders politiques ?
C'est grave, mon capitaine ?
Oui, c'est grave parce qu'une nouvelle fois, ils nous prennent pour des débiles mentaux et ça, ce n'est plus supportable !
Ils nous ont dit que la spéculation allait être encadrée. Mes fesses, oui ! Elle se reporte sur les matières premières agricoles comme cela était prévisible.
Du coup, les denrées alimentaires vont augmenter et notre pouvoir d'achat va encore en prendre un coup.
Lorsque, l'on regarde l'affaire Woerth, on se demande si il y a quelqu'un d'honnête en politique.
Lorsqu'on regarde Strauss Kahn qui va poser sa candidature au parti socialiste pour la présidentielle de 2012, on se demande si le PS et l'UMP, ce ne serait pas blanc bonnet et bonnet blanc.
Lorsque l'on regarde Cohn-Bendit qui s'agite, qui prend tout le monde de haut en se prenant pour le plus intelligent de la planète, on se demande si justement, nous vivons sur la même planète. Il faudrait dire à celui-là, que les poilus, ça fait longtemps qu'on ne les respecte plus en France, vu qu'ils sont tous morts.
Bref, toutes ces petites personnes nous font énormément de moulinets verbaux, et moi, je dois dire, ça me fatigue.
Déjà, que y'a notre Sarko national, si, ils s'y mettent tous, on n'est pas sorti de l'auberge !
Et, voilà, qu'Eva Joly veut s'y coller.
Au secours, laissez-nous respirer !
Mais, n'y a-t-il pas une bonne nouvelle sur cette terre ?
Mais, si, et je vous l'ai d'ailleurs dégotté sur Bakchich.Info au sujet de la dure condition de nos députés qui travaillent d'arrache pied pour nous concocter des propositions de lois.
"HORS CONCOURS
Les adeptes du hors-piste législatif ne manquent pas d’inventivité. Le député UMP Robert Lecou (de foudre de Bakchich) s’est investi d’une mission vitale pour la sauvegarde de la République : faire « respecter l’orthographe exacte des noms patronymiques lorsqu’ils sont écrits en majuscules ». Un dada lié aux « désagréments qui peuvent naître d’un nom mal écrit en majuscules lorsque ce nom est prononcé ». Une certaine idée de la France que Jean-Pierre Grand (UMP) partage en voulant « instaurer une journée nationale des victimes de la route ».
Moins spirituels, formés à l’école de la « realpolitik », les députés Boyer et Chossy (UMP) anticipent nos malheurs routiers par une proposition de loi sur « la modification de la séquence des feux tricolores de circulation routière ». Tout un programme résumé dans cette saillie : « L’ajout dans la séquence de signalisation d’un feu vert clignotant trois fois annonçant le passage imminent au feu jaune. » On se disait aussi que quelque chose manquait au pays.
Heureusement, la Bonne Mère veille sur nous par la grâce du député marseillais UMP Éric Diard, dont la passion porte un nom : « L’installation de mousseurs hydroéconomes sur les robinets dans les nouveaux bâtiments. » Pierre Bellemare serait fier de son petit. Et d’un « système très facile à poser sur le robinet, qui permet d’utiliser deux fois moins d’eau ». Un duo de choc, Batman et Robinet."
Et, sur ces bonnes paroles, je vous souhaite bien le bonjour chez vous.
A bientôt.
René.
dimanche 15 août 2010
Salut au groupe touareg des Kel Kummer qui n'était plus que 367 individus en 1970. J'espère que vous avez survécu. (source : Sciences et vie, hors série n°120, 15 décembre 1975)
Tiens, hier, j'ai regardé le documentaire de Marcel Ophuls, le "Chagrin et la Pitié".
Il s'agit de la chronique d'une ville, Clermont Ferrand en l'occurrence, sous l'occupation nazie. Il y est dénoncé la stigmatisation de populations et de catégories de la population qui a abouti à leurs déportations et à leurs éliminations physiques.
Bien, il est toujours nécessaire de travailler le devoir de mémoire pour que cela ne puisse jamais se reproduire. Parce même si l'histoire ne se répète pas, elle reproduit parfois, sinon souvent, les mêmes dérives.
Alors, c'est à nous tous de faire attention qu'à la moindre alerte, nous nous mobilisions pour hurler, "Pas ça !"
Car, aujourd'hui, ce sont "eux" que l'on livre à la vindicte populaire et demain, ça sera nous !
Et, c'est là que j'ai envie de chanter, "Douce France, cher pays de mon enfance".
Bon, finalement, après mûre réflexion, c'est tout ce que je voulais dire pour aujourd'hui.
A bilentôt.
René
Tiens, hier, j'ai regardé le documentaire de Marcel Ophuls, le "Chagrin et la Pitié".
Il s'agit de la chronique d'une ville, Clermont Ferrand en l'occurrence, sous l'occupation nazie. Il y est dénoncé la stigmatisation de populations et de catégories de la population qui a abouti à leurs déportations et à leurs éliminations physiques.
Bien, il est toujours nécessaire de travailler le devoir de mémoire pour que cela ne puisse jamais se reproduire. Parce même si l'histoire ne se répète pas, elle reproduit parfois, sinon souvent, les mêmes dérives.
Alors, c'est à nous tous de faire attention qu'à la moindre alerte, nous nous mobilisions pour hurler, "Pas ça !"
Car, aujourd'hui, ce sont "eux" que l'on livre à la vindicte populaire et demain, ça sera nous !
Et, c'est là que j'ai envie de chanter, "Douce France, cher pays de mon enfance".
Bon, finalement, après mûre réflexion, c'est tout ce que je voulais dire pour aujourd'hui.
A bilentôt.
René
samedi 14 août 2010
"Chaque ville est notre ville natale, chacun est notre parent". Proverbe Tamoul. A faire lire à Hortefeux, des fois qu'il ne saurait pas lire le grec.
Salut à vous, consommateurs. Le grand super marché des organes va ouvrir demain. Mais, il est vrai que vous ne l'avez pas attendu pour consommer !
Eh, oui, mes trois chers lecteurs, le grand super marché des organes fonctionne à merveille. Et, il est urgent de le rappeler.
Souvenez-vous de la rumeur qui a couru sur des enfants péruviens à qui les yeux auraient été dérobés en vue de transplantation.
Souvenez-vous de la Moldavie où nombreux furent les personnes à avoir vendu leur rein pour 7000 dollars us et qui se faisaient opérer en Turquie.
Nombreux sont les pauvres à travers le monde qui pousssés par la nécessité vendent un de leurs organes.
Alors, question : "Que greffe-t-on ?"
Réponse : les reins, le coeur, les yeux, le foie.
Pour l'instant, le trafic le plus apparent est celui des reins.
Mais, quant est-il des trafics des autres organes ?
A mon humble avis, ils existent puisque le marché existe et que surtout des hommes sans scrupules pullulent sur notre planète.
Alors, à quand une enquête sérieuse ?
Et, dans l'attente d'un réveil de nos médias, cet article d'Irin News sur la vente de reins en Indonésie.
"INDONÉSIE: Internet facilite le commerce illégal de reins
JAKARTA, 11 janvier 2010- Thomas, 30 ans, a dit que des dettes de plus en plus importantes l’avaient forcé à prendre une décision désespérée : vendre un rein sur Internet pour 300 millions de rupiahs (32 400 dollars).
« Je dois tenter ma chance parce que c’est la seule manière pour moi d’obtenir l’argent pour rembourser mes dettes », a dit à IRIN, par téléphone, Thomas, qui n’a pas souhaité indiquer son nom de famille.
Thomas fait partie des Indonésiens, de plus en plus nombreux, qui mettent leurs reins en vente sur des sites Internet gratuits, pour des raisons de pauvreté et d’endettement.
Une recherche Google révèle que les sites Internet contenant des annonces de « reins à vendre » en langue indonésienne sont de plus en plus nombreux.
(...) D’après une étude menée par le Bureau central des statistiques en mars 2009, 32,5 millions d’Indonésiens, soit plus de 14 pour cent des 230 millions d’habitants du pays, vivent au-dessous du seuil de pauvreté. Le taux de pauvreté en Indonésie, qui était de 15,4 pour cent en 2008, a ainsi baissé de 1,3 point en 2009, d’après le Bureau.
Craintes de trafics d’organes
D’après des sources officielles, l’ampleur du trafic d’organes en Indonésie n’est pas connue, mais l’apparition du phénomène sur Internet a suscité des inquiétudes au sujet de ce fléau.
Subagyo Partodiharjo, médecin et membre d’une commission parlementaire sur les affaires sanitaires, a dit que certaines annonces en ligne étaient publiées par des trafiquants qui persuadaient des personnes pauvres de vendre leur rein.
Selon lui, ces trafiquants pourraient faire partie de réseaux de commerce illégal d’organes opérant dans les villages.
« Il s’agit clairement de commerce illégal. Ce n’est pas seulement une question de pauvreté, mais également de criminalité », a dit M Partodihardjo à IRIN.
« On a dit aux gens que leurs reins coûtaient cher, et comme ils sont pauvres et endettés, ils sont tentés de les vendre », a-t-il dit.
En vertu de la nouvelle loi indonésienne sur la santé, adoptée en octobre 2009, le commerce d’organes est interdit et les personnes qui se rendent coupables d’un tel crime sont passibles de 10 ans de prison ou d’une amende d’un milliard de roupies.
La loi établit que les transplantations d’organes ne peuvent être pratiquées que dans un but humanitaire.
En 2008, un tribunal de Singapour a condamné deux Indonésiens pour avoir vendu leur rein, une affaire que les médias ont présentée comme la première de ce genre dans l’Etat de Singapour.
D’après M. Partodiharjo, l’interdiction est difficile à appliquer car le trafic d’organes échappe largement à la surveillance.
Questions de santé
« Si l’autre rein est sain, la personne peut vivre normalement tant qu’elle a un mode de vie sain. Mais s’il est mauvais, alors la personne sera en danger », a dit M. Partodiharjo.
(...)Thomas, qui habite la ville de Balikpapan, sur l’île de Bornéo, a dit qu’il recevait beaucoup d’appels téléphoniques de personnes qui voulaient aussi vendre leur rein, et qui lui demandaient s’il avait réussi à vendre le sien.
« On m’a dit que certaines personnes vendaient leur rein pour pas moins de 500 millions de rupiahs », a-t-il dit.
Un problème mondial
(...) D’après l’Organisation mondiale de la santé, la pénurie d’organes est un problème mondial, les receveurs potentiels voyageant à l’étranger pour obtenir des organes, parfois via des transactions commerciales illégales.
En 2005, seulement 10 pour cent des besoins estimés ont été satisfaits. Cette situation a eu pour conséquence une augmentation considérable du commerce illégal de reins au cours des deux dernières années, bien que l’on ne connaisse pas l’ampleur du phénomène des transplantations illégales de reins."
Ben, mon petit bonhomme, y'a un marché à prendre !
Alors, qu'attendent nos chers capitaines d'industries de notre douce France ?
Je vous le dis, moi, il faut être les premiers sur ce créneau qui est en croissance constante. Et, même qu'un jour, on pourra greffer des jambes aux amputés.
Vous comprenez l'immensité des bénéfs à faire, des dividendes à distribuer. Peut-être même que l'on pourrait accéder à la bourse et finir à la tête des sociétés françaises les plus performantes.
Nom d'un petit bouddha en chocolat !
Voilà, sûrement la solution pour résorber le déficit et rembourser notre dette nationale. Car, nous, mes trois chers lecteurs, on ira pas planquer notre chiffre d'affaire dans les paradis fiscaux. On la jouera honnête avec le fisc et avec tout le pognon qu'on lui rapportera, non seulement la dette est payée, mais, en plus, on aura droit à la légion d'honneur.
Quel bonheur !
Mais, attention, il faudra organiser la pénurie pour que les prix de vente ne s'effondrent pas.
Et, si avec ça Sarko ne nous reçoit pas à dîner à la maison, c'est que quelque chose sera pourri dans le royaume de France.
Et, sur ces belle paroles, je vous salue bien.
A bientôt.
rené.
Eh, oui, mes trois chers lecteurs, le grand super marché des organes fonctionne à merveille. Et, il est urgent de le rappeler.
Souvenez-vous de la rumeur qui a couru sur des enfants péruviens à qui les yeux auraient été dérobés en vue de transplantation.
Souvenez-vous de la Moldavie où nombreux furent les personnes à avoir vendu leur rein pour 7000 dollars us et qui se faisaient opérer en Turquie.
Nombreux sont les pauvres à travers le monde qui pousssés par la nécessité vendent un de leurs organes.
Alors, question : "Que greffe-t-on ?"
Réponse : les reins, le coeur, les yeux, le foie.
Pour l'instant, le trafic le plus apparent est celui des reins.
Mais, quant est-il des trafics des autres organes ?
A mon humble avis, ils existent puisque le marché existe et que surtout des hommes sans scrupules pullulent sur notre planète.
Alors, à quand une enquête sérieuse ?
Et, dans l'attente d'un réveil de nos médias, cet article d'Irin News sur la vente de reins en Indonésie.
"INDONÉSIE: Internet facilite le commerce illégal de reins
JAKARTA, 11 janvier 2010- Thomas, 30 ans, a dit que des dettes de plus en plus importantes l’avaient forcé à prendre une décision désespérée : vendre un rein sur Internet pour 300 millions de rupiahs (32 400 dollars).
« Je dois tenter ma chance parce que c’est la seule manière pour moi d’obtenir l’argent pour rembourser mes dettes », a dit à IRIN, par téléphone, Thomas, qui n’a pas souhaité indiquer son nom de famille.
Thomas fait partie des Indonésiens, de plus en plus nombreux, qui mettent leurs reins en vente sur des sites Internet gratuits, pour des raisons de pauvreté et d’endettement.
Une recherche Google révèle que les sites Internet contenant des annonces de « reins à vendre » en langue indonésienne sont de plus en plus nombreux.
(...) D’après une étude menée par le Bureau central des statistiques en mars 2009, 32,5 millions d’Indonésiens, soit plus de 14 pour cent des 230 millions d’habitants du pays, vivent au-dessous du seuil de pauvreté. Le taux de pauvreté en Indonésie, qui était de 15,4 pour cent en 2008, a ainsi baissé de 1,3 point en 2009, d’après le Bureau.
Craintes de trafics d’organes
D’après des sources officielles, l’ampleur du trafic d’organes en Indonésie n’est pas connue, mais l’apparition du phénomène sur Internet a suscité des inquiétudes au sujet de ce fléau.
Subagyo Partodiharjo, médecin et membre d’une commission parlementaire sur les affaires sanitaires, a dit que certaines annonces en ligne étaient publiées par des trafiquants qui persuadaient des personnes pauvres de vendre leur rein.
Selon lui, ces trafiquants pourraient faire partie de réseaux de commerce illégal d’organes opérant dans les villages.
« Il s’agit clairement de commerce illégal. Ce n’est pas seulement une question de pauvreté, mais également de criminalité », a dit M Partodihardjo à IRIN.
« On a dit aux gens que leurs reins coûtaient cher, et comme ils sont pauvres et endettés, ils sont tentés de les vendre », a-t-il dit.
En vertu de la nouvelle loi indonésienne sur la santé, adoptée en octobre 2009, le commerce d’organes est interdit et les personnes qui se rendent coupables d’un tel crime sont passibles de 10 ans de prison ou d’une amende d’un milliard de roupies.
La loi établit que les transplantations d’organes ne peuvent être pratiquées que dans un but humanitaire.
En 2008, un tribunal de Singapour a condamné deux Indonésiens pour avoir vendu leur rein, une affaire que les médias ont présentée comme la première de ce genre dans l’Etat de Singapour.
D’après M. Partodiharjo, l’interdiction est difficile à appliquer car le trafic d’organes échappe largement à la surveillance.
Questions de santé
« Si l’autre rein est sain, la personne peut vivre normalement tant qu’elle a un mode de vie sain. Mais s’il est mauvais, alors la personne sera en danger », a dit M. Partodiharjo.
(...)Thomas, qui habite la ville de Balikpapan, sur l’île de Bornéo, a dit qu’il recevait beaucoup d’appels téléphoniques de personnes qui voulaient aussi vendre leur rein, et qui lui demandaient s’il avait réussi à vendre le sien.
« On m’a dit que certaines personnes vendaient leur rein pour pas moins de 500 millions de rupiahs », a-t-il dit.
Un problème mondial
(...) D’après l’Organisation mondiale de la santé, la pénurie d’organes est un problème mondial, les receveurs potentiels voyageant à l’étranger pour obtenir des organes, parfois via des transactions commerciales illégales.
En 2005, seulement 10 pour cent des besoins estimés ont été satisfaits. Cette situation a eu pour conséquence une augmentation considérable du commerce illégal de reins au cours des deux dernières années, bien que l’on ne connaisse pas l’ampleur du phénomène des transplantations illégales de reins."
Ben, mon petit bonhomme, y'a un marché à prendre !
Alors, qu'attendent nos chers capitaines d'industries de notre douce France ?
Je vous le dis, moi, il faut être les premiers sur ce créneau qui est en croissance constante. Et, même qu'un jour, on pourra greffer des jambes aux amputés.
Vous comprenez l'immensité des bénéfs à faire, des dividendes à distribuer. Peut-être même que l'on pourrait accéder à la bourse et finir à la tête des sociétés françaises les plus performantes.
Nom d'un petit bouddha en chocolat !
Voilà, sûrement la solution pour résorber le déficit et rembourser notre dette nationale. Car, nous, mes trois chers lecteurs, on ira pas planquer notre chiffre d'affaire dans les paradis fiscaux. On la jouera honnête avec le fisc et avec tout le pognon qu'on lui rapportera, non seulement la dette est payée, mais, en plus, on aura droit à la légion d'honneur.
Quel bonheur !
Mais, attention, il faudra organiser la pénurie pour que les prix de vente ne s'effondrent pas.
Et, si avec ça Sarko ne nous reçoit pas à dîner à la maison, c'est que quelque chose sera pourri dans le royaume de France.
Et, sur ces belle paroles, je vous salue bien.
A bientôt.
rené.
vendredi 13 août 2010
"Le médecin se fait payer, qu'il ait tué la maladie ou le malade". Proverbe Polonais. Je vous l'assure, je ne parle pas de Sarko.
Salut, aujourd'hui, dans ma campagne profonde, j'ai branché la lifebox. Donc, vous aurez droit à un texte. Dommage pour vous !
Alors, il parait que la tourbe russe brûle. Souvenez-vous, la tourbe de la jungle de Bornéo en Indonésie brûle depuis deux ou trois ans et personne n'a jamais réussi à l'éteindre. Et, vu le peu de moyens mis en place, elle risque encore de cramer encore des années.
Alors, la russe, je ne vous dis pas.
A mon avis, ils ont dû l'arroser à la vodka.
Ah, ces russes, toujours à faire des trucs pas possible pour se faire remarquer !
En tout cas, non seulement, ils vont se payer des maladies pulmonaires, mais, en plus, il vont nous refaire le coup du nuage de Tchernobyl qui va s'arrêter à la limite de la zone aérienne Française.
D'ailleurs, un article du journal Libération pose cette question drastiquement essentielle, "Sommes-nous ou ne sommes-nous pas au début d'un cycle ?"
Perso, je rajouterais, "Est-ce que la nature ne va pas corriger notre courbe démographique que nous refusons de considérer comme la source du mal ?"
"2010, le monde oppressé par le temps
Les six premiers mois de l’année ont été les plus chauds depuis plus d’un siècle, mais il est trop tôt pour relier les violentes moussons asiatiques et la canicule russe au réchauffement climatique.
Par SYLVESTRE HUET
Inondations au Pakistan, le 11 août. (REUTERS)
Le climat planétaire se réchauffe et produit des événements extrêmes comme la canicule russe et une mousson dévastatrice en Asie (Pakistan, Inde, Chine), démontrant une nouvelle fois, et de manière dramatique, la vulnérabilité des sociétés humaines devant les colères de dame Nature. A croire que le ciel participe au complot dénoncé par Claude Allègre.
Les signes de la poursuite du réchauffement engagé depuis un demi-siècle sont nombreux. La température moyenne de la planète montre, selon les relevés et analyses de l’équipe de James Hansen au Goddard Institute for Space Studies (Nasa), que les six premiers mois de l’année 2010 détiennent le record de chaleur depuis cent trente ans. La hausse du niveau marin global, mesuré par satellite depuis 1992 avec une précision diabolique, se poursuit inexorablement. En cause ? La dilatation des eaux de surface du fait de leur réchauffement et la fonte des glaciers continentaux (montagnes et calottes polaires). La banquise arctique va, pour la quatrième année consécutive, passer sous la barre des 4 millions de km2 d’ici quelques jours. Alors qu’elle n’était jamais descendue sous cette limite entre 1978 et 2006, la période où nous disposons d’observations quotidiennes par satellites. Or, insiste Bernard Legras, chercheur au Laboratoire de météorologie dynamique, «nous ne sommes qu’au tout début du changement climatique provoqué par nos émissions de gaz à effet de serre. Il va s’amplifier de manière considérable».
Catastrophes en série : La faute au réchauffement ?
Prudent et pédagogue, Bernard Legras souligne qu’il est encore très difficile «d’attribuer tel ou tel événement, surtout extrême, au changement en cours. D’ici quinze ou vingt ans, cela deviendra évident»."
En somme, il nous dit, "Intéressant, mais, pas significatif".
Sauf, que si on attend vingt ans pour être sûr du constat. Il sera trop tard.
A mon avis, nous sommes déjà sur la corde de l'acrobate. C'est un peu comme si, nous étions certains que la corde allait casser et que nous attendions comme des neus-neus qu'elle casse.
Bon, vous me direz que comme je suis membre fondateur des compagnons du coquelicot qui militent pour la disparition de l'espèce humaine pour sauver la biodiversité, vous devez vous demander, "Qu'est-ce que ça peut me faire ?"
Sauf que, sauf que, mes trois chers lecteurs, j'ai trop pitié de vous.
Sans compter que j'ai le temps, vu que mon parti ne deviendra majoritaire que dans trois millions d'années.
Et, que je deviendrais, le dictateur du néant ou du rien, au choix.
A part que il faille considérer que du néant peut naître quelque chose et que du rien, seul le vide perdure.
Ah, mon dieu, la France, qu'elle serait belle, si, il n'y avait autant de gros cons.
Bon, vous me direz que là, je vise directement le gouvernement. Eh, bien vous, vous fourrez le doigt dans l'oeil. Vous faîtes une erreur d'interprétation entre le néant, le rien et le vide.
Ah, là, là, la sémantique, je vous dis pas, c'est catastrophiquement d'une incommensurabilité nauséabonde.
En fait, tout bêtement, je pensais à ces gens bien pensants qui ne songent qu'à accumuler sans se préoccuper de la misère ambiante. Je parle de cette nouvelle aristocratie qui se développe plus vite que la mauvaise herbe à travers le monde.
Cette nouvelle classe prédatrice qui n'en a rien à foutre de nous et de l'environnement.
Ah, mes chers trois lecteurs, "Quand allons-nous dresser à nouveau les guillotines sur les places de France et d'ailleurs ?
Mais, attention, l'injonction écologique ne doit en aucun cas devenir une pensée, sinon unique, du moins totalitaire.
En tout cas, je salue l'initiative de quelques milliardaires américains qui ont décidé de faire bénéficier la moitié de leur fortune à des ONG caritatives.
C'est pas en France que l'on verrait ça, tellement nos petits franchouillards sont attachés viscéralement à leur patrimoine.
Eux, ils pensent plutôt à éviter de payer leur impôt avec l'aval de membre du gouvernement.
Mais, passons !
Car, aujourd'hui, je vais vous parler un peu de mon histoire que je considère à la croisée de l'histoire avec un grand H.
De part ma mère, je suis kanak, originaire de l'île de Lifou en Nouvelle Calédonie. Ma mère est de son nom kanak, wanyamala, princesse d'une des grandes chefferies de l'île de Lifou.
Mes ancêtres avaient une silhouette filiforme et dotés de deux paires de seins.
Ils accueillirent les hommes sur la terre de Lifou et se marièrent à trois femmes qui donnèrent naissance aux trois grandes chefferies de Lifou. Ma famille, les wanyamala est considérée coutumièrement comme la plus sacrée.
Ma mère dont le père travaillait pour un riche colon fut adopté par ceux-ci, les Calimbre, à la mort de leur fils unique, tué quinze jours avant l'armistice de 14-18.
Elle fut élève de l'école catholique de Nouméa, à l'époque ou les gendarmes chassaient les kanak de la grande terre à coup de fouet pour les donner aux colons.
Ca, c'est du côté de ma mère.
Du côté de mon père, les Guiart ou Wiart (dur comme la pierre en germain) descendaient de la tribu franque qui à refusé le partage du butin du pillage de Soissons à Clovis.
A l'époque chez les francs, il n'y avait pas de roi.
Pour une campagne militaire, le chef le plus capable était désigné pour la mener.
Le butin était partagé à part égal entre chaque tribu.
A Soissons, Clovis s'est arrogé la part principal provoquant la colère du chef de la tribu des wiarts qui dénonça les termes du partage.
Les membres de la tribu furent condamner à devenir paysans dans le Val de Marne.
Aujourd'hui, on les retrouve sous le nom de Guiart, Guiard. Les guillard avec deux LL ou avec un Y, par contre sont d'origine celte.
Alors, mes trois chers lecteurs, vous, vous rendez compte que vos livres d'histoire vous ont raconté des craques. Que l'histoire est de toute façon réécrite par ceux qui détiennent le pouvoir.
Vous, vous imaginez, cela fait tellement longtemps que l'on nous prend pour des imbéciles ?
Alors, ne pensez-vous pas qu'il est temps que cela s'arrête ?
Qu'il faille arrêter d'avaler les manipulations médiatiques que nous envoient en messages subliminaux nos grands capitaines d'industries qui ont rachetés tous les médias, sauf ceux qui s'inscrivent sur le net pour pouvoir exister ?
Dîtes-moi, mes trois chers lecteurs, êtes-vous sûr de contrôler votre libre arbitre ?
Faîtes-vous une opinion sur la rumeur publique ou celles que véhiculent les médias ?
Et, même, cherchez-vous seulement à vous faire une opinion ?
N'oubliez pas, la liberté est celle que vous vous forgez !
Et, sur cette pensée profonde, mais, d'un délire absolu, car, au moins, vous me l'accorderez, " Qui peut se vanter d'être libre en ce monde" Sur ce, je vous laisse à vos réflexions profondes.
Et, si, vous êtes milliardaires, n'oubliez pas les mères célibataires qui font manger des pattes le quinze du mois à leurs enfants, faute d'argent.
A bientôt.
René.
Alors, il parait que la tourbe russe brûle. Souvenez-vous, la tourbe de la jungle de Bornéo en Indonésie brûle depuis deux ou trois ans et personne n'a jamais réussi à l'éteindre. Et, vu le peu de moyens mis en place, elle risque encore de cramer encore des années.
Alors, la russe, je ne vous dis pas.
A mon avis, ils ont dû l'arroser à la vodka.
Ah, ces russes, toujours à faire des trucs pas possible pour se faire remarquer !
En tout cas, non seulement, ils vont se payer des maladies pulmonaires, mais, en plus, il vont nous refaire le coup du nuage de Tchernobyl qui va s'arrêter à la limite de la zone aérienne Française.
D'ailleurs, un article du journal Libération pose cette question drastiquement essentielle, "Sommes-nous ou ne sommes-nous pas au début d'un cycle ?"
Perso, je rajouterais, "Est-ce que la nature ne va pas corriger notre courbe démographique que nous refusons de considérer comme la source du mal ?"
"2010, le monde oppressé par le temps
Les six premiers mois de l’année ont été les plus chauds depuis plus d’un siècle, mais il est trop tôt pour relier les violentes moussons asiatiques et la canicule russe au réchauffement climatique.
Par SYLVESTRE HUET
Inondations au Pakistan, le 11 août. (REUTERS)
Le climat planétaire se réchauffe et produit des événements extrêmes comme la canicule russe et une mousson dévastatrice en Asie (Pakistan, Inde, Chine), démontrant une nouvelle fois, et de manière dramatique, la vulnérabilité des sociétés humaines devant les colères de dame Nature. A croire que le ciel participe au complot dénoncé par Claude Allègre.
Les signes de la poursuite du réchauffement engagé depuis un demi-siècle sont nombreux. La température moyenne de la planète montre, selon les relevés et analyses de l’équipe de James Hansen au Goddard Institute for Space Studies (Nasa), que les six premiers mois de l’année 2010 détiennent le record de chaleur depuis cent trente ans. La hausse du niveau marin global, mesuré par satellite depuis 1992 avec une précision diabolique, se poursuit inexorablement. En cause ? La dilatation des eaux de surface du fait de leur réchauffement et la fonte des glaciers continentaux (montagnes et calottes polaires). La banquise arctique va, pour la quatrième année consécutive, passer sous la barre des 4 millions de km2 d’ici quelques jours. Alors qu’elle n’était jamais descendue sous cette limite entre 1978 et 2006, la période où nous disposons d’observations quotidiennes par satellites. Or, insiste Bernard Legras, chercheur au Laboratoire de météorologie dynamique, «nous ne sommes qu’au tout début du changement climatique provoqué par nos émissions de gaz à effet de serre. Il va s’amplifier de manière considérable».
Catastrophes en série : La faute au réchauffement ?
Prudent et pédagogue, Bernard Legras souligne qu’il est encore très difficile «d’attribuer tel ou tel événement, surtout extrême, au changement en cours. D’ici quinze ou vingt ans, cela deviendra évident»."
En somme, il nous dit, "Intéressant, mais, pas significatif".
Sauf, que si on attend vingt ans pour être sûr du constat. Il sera trop tard.
A mon avis, nous sommes déjà sur la corde de l'acrobate. C'est un peu comme si, nous étions certains que la corde allait casser et que nous attendions comme des neus-neus qu'elle casse.
Bon, vous me direz que comme je suis membre fondateur des compagnons du coquelicot qui militent pour la disparition de l'espèce humaine pour sauver la biodiversité, vous devez vous demander, "Qu'est-ce que ça peut me faire ?"
Sauf que, sauf que, mes trois chers lecteurs, j'ai trop pitié de vous.
Sans compter que j'ai le temps, vu que mon parti ne deviendra majoritaire que dans trois millions d'années.
Et, que je deviendrais, le dictateur du néant ou du rien, au choix.
A part que il faille considérer que du néant peut naître quelque chose et que du rien, seul le vide perdure.
Ah, mon dieu, la France, qu'elle serait belle, si, il n'y avait autant de gros cons.
Bon, vous me direz que là, je vise directement le gouvernement. Eh, bien vous, vous fourrez le doigt dans l'oeil. Vous faîtes une erreur d'interprétation entre le néant, le rien et le vide.
Ah, là, là, la sémantique, je vous dis pas, c'est catastrophiquement d'une incommensurabilité nauséabonde.
En fait, tout bêtement, je pensais à ces gens bien pensants qui ne songent qu'à accumuler sans se préoccuper de la misère ambiante. Je parle de cette nouvelle aristocratie qui se développe plus vite que la mauvaise herbe à travers le monde.
Cette nouvelle classe prédatrice qui n'en a rien à foutre de nous et de l'environnement.
Ah, mes chers trois lecteurs, "Quand allons-nous dresser à nouveau les guillotines sur les places de France et d'ailleurs ?
Mais, attention, l'injonction écologique ne doit en aucun cas devenir une pensée, sinon unique, du moins totalitaire.
En tout cas, je salue l'initiative de quelques milliardaires américains qui ont décidé de faire bénéficier la moitié de leur fortune à des ONG caritatives.
C'est pas en France que l'on verrait ça, tellement nos petits franchouillards sont attachés viscéralement à leur patrimoine.
Eux, ils pensent plutôt à éviter de payer leur impôt avec l'aval de membre du gouvernement.
Mais, passons !
Car, aujourd'hui, je vais vous parler un peu de mon histoire que je considère à la croisée de l'histoire avec un grand H.
De part ma mère, je suis kanak, originaire de l'île de Lifou en Nouvelle Calédonie. Ma mère est de son nom kanak, wanyamala, princesse d'une des grandes chefferies de l'île de Lifou.
Mes ancêtres avaient une silhouette filiforme et dotés de deux paires de seins.
Ils accueillirent les hommes sur la terre de Lifou et se marièrent à trois femmes qui donnèrent naissance aux trois grandes chefferies de Lifou. Ma famille, les wanyamala est considérée coutumièrement comme la plus sacrée.
Ma mère dont le père travaillait pour un riche colon fut adopté par ceux-ci, les Calimbre, à la mort de leur fils unique, tué quinze jours avant l'armistice de 14-18.
Elle fut élève de l'école catholique de Nouméa, à l'époque ou les gendarmes chassaient les kanak de la grande terre à coup de fouet pour les donner aux colons.
Ca, c'est du côté de ma mère.
Du côté de mon père, les Guiart ou Wiart (dur comme la pierre en germain) descendaient de la tribu franque qui à refusé le partage du butin du pillage de Soissons à Clovis.
A l'époque chez les francs, il n'y avait pas de roi.
Pour une campagne militaire, le chef le plus capable était désigné pour la mener.
Le butin était partagé à part égal entre chaque tribu.
A Soissons, Clovis s'est arrogé la part principal provoquant la colère du chef de la tribu des wiarts qui dénonça les termes du partage.
Les membres de la tribu furent condamner à devenir paysans dans le Val de Marne.
Aujourd'hui, on les retrouve sous le nom de Guiart, Guiard. Les guillard avec deux LL ou avec un Y, par contre sont d'origine celte.
Alors, mes trois chers lecteurs, vous, vous rendez compte que vos livres d'histoire vous ont raconté des craques. Que l'histoire est de toute façon réécrite par ceux qui détiennent le pouvoir.
Vous, vous imaginez, cela fait tellement longtemps que l'on nous prend pour des imbéciles ?
Alors, ne pensez-vous pas qu'il est temps que cela s'arrête ?
Qu'il faille arrêter d'avaler les manipulations médiatiques que nous envoient en messages subliminaux nos grands capitaines d'industries qui ont rachetés tous les médias, sauf ceux qui s'inscrivent sur le net pour pouvoir exister ?
Dîtes-moi, mes trois chers lecteurs, êtes-vous sûr de contrôler votre libre arbitre ?
Faîtes-vous une opinion sur la rumeur publique ou celles que véhiculent les médias ?
Et, même, cherchez-vous seulement à vous faire une opinion ?
N'oubliez pas, la liberté est celle que vous vous forgez !
Et, sur cette pensée profonde, mais, d'un délire absolu, car, au moins, vous me l'accorderez, " Qui peut se vanter d'être libre en ce monde" Sur ce, je vous laisse à vos réflexions profondes.
Et, si, vous êtes milliardaires, n'oubliez pas les mères célibataires qui font manger des pattes le quinze du mois à leurs enfants, faute d'argent.
A bientôt.
René.
Inscription à :
Articles (Atom)