Salut aux coquins cousins de ma belle mère, sombre est la nuit (comprenne qui pourra).
Et, voili, voilà, le silence des abysses est comme un écho qui ne nous répond jamais. Tout ça pour vous dire d'une façon abscons que les magouilles financière finissent par nous dépasser.
Donc, nous dirons qu'un château de cartes a été élevé au nom des produits financiers et que certains en ont profité pour mettre la leur, de carte, sur l'échafaudage. Comme celui-ci était fragile personne ne s'est rendu compte de rien.
Et, paf, 50 milliards de plus dans le panier des tracas boursiers.
Finalement, personne ne nous prend pour des cons, il nous y laisse.
Par contre, si vous n'avez pas compris les subtilités de mon langage pour expliquer les subtilités boursière, c'est normal, autrement, il n'y aurait pas eu de crack boursiers, vu que tout le monde aurait compris avant personne.
Bon, à part ça, que dire ?
Peut-être que si j'étais Al Quaida, j'envahirais la France maintenant. Pourquoi maintenant ? Parce que la grande muette n'est plus opérationnelle. Eh, oui, mes chers lecteurs, notre armée n'est plus opérationnelle. Parce que son matériel est obsolète sans compter qu'elle n'a même pas les pièces détachées pour le matériel volant. Et, vu que ses régiments sont en restructuration, plus tous nos petits soldats qui vont être dégraissés avec les entreprises sous traitantes. C'est la cata !
Donc, j'invite Al Quaida à envahir la France, elle n'aura pas de meilleure occasion.
Bon, des fois, à part raconter des conneries, je me demande si parfois, je peux être pris au sérieux.
En attendant, que se passe-t-il au parti socialiste ?
En attendant, que se passe-t-il au parti communiste ?
Bof, rien de bien passionnant.
Mais, quand vont-ils se réveiller. Avant les élections européennes ou après ?
En tout cas, moi, je vous le dis, pendant ce temps, mon pouvoir d'achat continue à prendre l'orage.
Par contre, dans l'ex Zaire, les mines de cuivre ferment au Katanga. Et, pour ne pas accentuer la crise sociale, les sociétés minières mettent tout le monde au chômage technique. Et, les mines de cobalt ferment carrément parce que les prix ont chuté au point qu'ils n'arrivent plus à couvrir les frais de production. Vous me direz la même au Pérou, mais, là-bas, il ont du lithium, un truc d'enfer qui va marcher diablement. Un nouvel Eldorado en somme.
Donc, vu que la dernière fois, je vous ai parlé des mines australiennes qui diminuent la production, cela signifie que partout dans le monde, le secteur minier est touché. Ils veulent marcher comme le secteur automobile à flux tendu et cherchent d'abord à liquider les stocks.
Ce qui signifie que quand la croissance rebondira après avoir atteint le fond, les prix des matières premières exploseront puisqu'il n'y aura plus de stock. Et, l'avenir de la Nouvelle Calédonie redeviendra un long fleuve tranquille avec ses mines de nickel.
Tout ça pour vous dire, la crise ne tue pas le capitalisme sauvage. elle découvre un visage du libéralisme triomphant que nos élites cherchaient à nous dissimuler.
Et, voilà, c'est tout pour aujourd'hui, mes trois chers lecteurs. Alors, bien le bonjour chez vous et n'oubliez surtout pas, rien ne sert de se plaindre, il faut courber l'échine.
Ciao.
René.
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