Salut au peuple du Zimbabwe, salut et joyeuse année.
Il faut le dire, à ceux qui meurent sous le joug sans merci d'un dictature fou grâce à la protection du gouvernement sud africain. Eh, mugabe, clown sanglant ethnocide son propre peuple avec l'accord et le soutien diplomatique des sud africains.
Bien, après quand dans l'ancien grenier à blé de l'Afrique, les propriétaires terriens seront tous morts, les affidés de mugabe pourront voler ce qu'il reste de terre. Les voler et les laisser en friche puisqu'ils sont déjà incapables celles qu'ils ont repris aux fermiers blancs et qu'ils se sont distribués entre eux.
Alors si le monde entier est d'accord sur le verdict, pourquoi le monde ne trouve pas un jeune capitaine qui puisse renverser le gouvernement et faire payer les prévaricateurs, mugabe et sa famille en premier. Rappelons nous, la Roumanie et le sort réserver à Ceaucescu.
Allez, messieurs les dirigeants de notre monde, parfois, il faut savoir se débarasser d'un fou mental et sanglant, si vous ne voulez pas que d'autres prennent exemple sur eux. Shaekespeare en a écrit des drames et des drames sur ce genre d'individu qui préféreront toujours sacrifier leur peuple à leur pouvoir. Car, le drame du Zimbabwe est un drame Shaekespearien post modern.
Espérons que l'année qui vient célébrera sa fin.
A part ça, à part ça ?
Ben, rien. Je continue de corriger le poéme pour Emmanuelle et j'attends que l'épée du destin me vienne dans la main.
En attendant, le terrorisme écologique a de nouveau frappé. (articles des Nouvelles Calédoniennes de ce jour).
Attaque à coups de bombes puantes
Des militants écologistes ont annoncé samedi qu’ils avaient attaqué, à bord de leur navire, un navirede la flotte de pêche à la baleine japonaise dans l’Antarctique à coups de......bombes puantes. L’équipage du Steve Irwin, un bateau de la Sea Shepherd Conservation Society, a jeté vers le navire japonais des bouteilles contenant des bombes puantes et autres produits indélébiles, a indiqué l’association. Le bateau de la Sea Shepherd Conservation Society est, par ailleurs, entré en collision avec le bateau japonais, endommageant le bastingage du baleinier, a indiqué, de son côté, l’Institut de recherches sur les cétacés, un organisme soutenu par le gouvernement japonais. Le mouvement écologiste a affirmé que c’était au contraire le navire baleinier qui s’était dirigé vers lui. Aucun des deux navires n’a été sérieusement touché. Le Japon continue de pêcher chaque année des centaines de baleines malgré le moratoire. Le capitaine du Steve Irwin, Paul Watson, a indiqué que les baleiniers japonais se trouvaient dans la zone d’exclusion économique antarctique australienne et que les écologistes tentaient de les faire quitter cette zone. Un moratoire international sur la chasse commerciale des baleines est en vigueur depuis 1986, mais le Japon continue de pêcher chaque année des centaines de baleines, arguant de pseudo programmes scientifiques. Paul Watson, qui traque les baleiniers japonais durant leur saison de pêche estivale dans l’hémisphère Sud depuis quatre ans avec un navire de la Sea Shepherd, a annoncé, plus tôt cette année, que son harcèlement avait sauvé la vie de 500 de ces mammifères. La Commission baleinière internationale a condamné les actions de Paul Watson, qui vont jusqu’à l’abordage des navires. Peter Garrett, le ministre australien de l’Environnement, a déclaré récemment que son gouvernement n’avait pas renoncé à engager des poursuites contre le Japon".
Et, voilà, entre le terrorisme intégriste islamiste, le terrorisme de l'ultra-gauche et le terrorisme écologique, les gouvernement ont à faire. Il est à souhaiter que les extra terrestres ne nous débarquent pas dans un coin de la planète. Là, sérieux, ça serait le bordel.
En tout cas, nous en France, notre minstre de l'intérieur continue sérieusement à nous prendre pour de parfaits imbéciles avec son terrorisme de l'ultra gauche qu'elle s'est inventée pour se faire mousser à un moment où on reparle d'une future valse des portefeuilles ministériels. La justice en la circonstance ne se grandit pas, elle prouve seulement qu'elle est toujours à la botte. Alors, on se demande bien pourquoi les magistrats souhaitent le départ de leur ministre Rachida Dati, si par ailleurs, ils savent si bien se mettre aux ordres.
Mais, je ne vais pas vous gâcher les fêtes de la nouvelle année avec ces flagorneries débectantes auxquelles personnes ne va croire, off course.
Sur ce, comme le net commence à partir en vrille,je vous quitte en vous souhaitant le meilleur chez vous.
A bientôt.
René.
lundi 29 décembre 2008
vendredi 26 décembre 2008
"L'amour est un jardin fleuri et le mariage un champ d'orties". Proverbe Finnois.
Salut aux derniers oiseaux du paradis de Papouasie New Guinéa, faites gaffes, vous êtes les derniers représentants du jardin d'Eden. Ils finiront par vous éradiquer !
Voilà, il y a des jours comme ça où les fêtes ne sont belles que pour les autres. A Noël, qu'ais-je fait ?
Simple, j'ai ouvert une boîte de sardines, elles étaient magnifiques. Tout ça sur une tranche de pain, c'était la panacée.
A part ça, je trouve que le père Noël est le messager des classes aisées. Pourquoi ?
Simple encore, parce qu'il distribue des cadeaux à tous les enfants sans distinction de classe sociale. Aux riches comme aux pauvres. Alors que les riches ont plus de moyens que les pauvres d'acheter des cadeaux. Donc, dès le plus jeune âge, il véhicule ce message aux enfants des classes les plus favorisées, "Ce n'est pas la peine de partager !" Car le père noël ne distribue pas moins de cadeaux aux enfants de parents aisés pour plus en distribuer aux enfants de parents pauvres. Autrement, ça se saurait.
Vous me direz que ce que je dis n'est que justice puisque les riches ont les moyens de compenser alors que les autres non.
Donc, le père Noël est en droite ligne du côté des classes favorisées. En fait, c'est un putain de réactionnaire qui distribue aux enfants pauvres pour camoufler que son coeur penche plus du côté des richards.
Eh, oui, mes trois chers lecteurs, vous n'aviez pas considéré le message de Noël sous cet éclairage.
Dites donc, heureusement que je suis là pour corriger le tir. Pourtant, je vous l'ai répété, "N'écoutez pas les messages lénifiants des journaleux et des médias en général". Essayez de cultiver votre libre arbitre car de fait vous écarterez de votre route tout ce que notre société tente de vous faire ingurgiter d'aliénant.
Vous resterez des hommes droits et c'est ce qui vous amènera, je l'espère à vous unir pour mieux vous défendre contre ceux qui désormais, clairement, nous oppriment.
Voilà, c'est tout ce que je voulais dire aujourd'hui.
A bientôt, René.
Voilà, il y a des jours comme ça où les fêtes ne sont belles que pour les autres. A Noël, qu'ais-je fait ?
Simple, j'ai ouvert une boîte de sardines, elles étaient magnifiques. Tout ça sur une tranche de pain, c'était la panacée.
A part ça, je trouve que le père Noël est le messager des classes aisées. Pourquoi ?
Simple encore, parce qu'il distribue des cadeaux à tous les enfants sans distinction de classe sociale. Aux riches comme aux pauvres. Alors que les riches ont plus de moyens que les pauvres d'acheter des cadeaux. Donc, dès le plus jeune âge, il véhicule ce message aux enfants des classes les plus favorisées, "Ce n'est pas la peine de partager !" Car le père noël ne distribue pas moins de cadeaux aux enfants de parents aisés pour plus en distribuer aux enfants de parents pauvres. Autrement, ça se saurait.
Vous me direz que ce que je dis n'est que justice puisque les riches ont les moyens de compenser alors que les autres non.
Donc, le père Noël est en droite ligne du côté des classes favorisées. En fait, c'est un putain de réactionnaire qui distribue aux enfants pauvres pour camoufler que son coeur penche plus du côté des richards.
Eh, oui, mes trois chers lecteurs, vous n'aviez pas considéré le message de Noël sous cet éclairage.
Dites donc, heureusement que je suis là pour corriger le tir. Pourtant, je vous l'ai répété, "N'écoutez pas les messages lénifiants des journaleux et des médias en général". Essayez de cultiver votre libre arbitre car de fait vous écarterez de votre route tout ce que notre société tente de vous faire ingurgiter d'aliénant.
Vous resterez des hommes droits et c'est ce qui vous amènera, je l'espère à vous unir pour mieux vous défendre contre ceux qui désormais, clairement, nous oppriment.
Voilà, c'est tout ce que je voulais dire aujourd'hui.
A bientôt, René.
mardi 23 décembre 2008
"Quand une parole est lâchée, même quatre chevaux seraient en peine pour la rattraper".Proverbe chinois.
Bon, j'ai écris un texte, mais, il s'est effacé. Sans doute de la faute à Emmanuelle car j'y mettais le poème que je lui ai écris. Ce qui j'annonçais ne va pas faire plaisir à Aurore.
Donc, je vous l'envoie parce que ça va la faire bisquer mon amie Emmanuelle.
Ce cri dans la nuit
E.M.M.A.N.UE.L.L.E
Partout en parcourant la ville
j'ai crié ton prénom.
Les ombres projetées des réverbères
dessinaient ta silhouette
me laissant croire un instant
que je t'avais retrouvée.
Hélas, elle n'était qu'ombre.
Si tu savais seulement
oh, combien, je regrette
ce moment d'égarement
où ma main s'est levée.
J'étais tellement désespéré
de te voir t'en aller
sans même te retourner
après toutes ces années.
Je sais que c'est fini
pourtant, je prolonge mon errance
dans les rues de la ville
cherchant à saisir l'ombre
de mon plus cher désir.
Je t'aime.
23/12/2008.
A part ça, dans mon précédent texte, je me demandais pourquoi le Brésil achetait des sous marins à la France. Si, c'est pour coincer les narcos, c'est raté, ils envoient leurs marchandises par avion ou par containers. Et, je ne vois pas les sous marins brésiliens couler des portes containers.
Cela serait du terrorisme d'état, nom de dieu !.
Par contre, je ne suis pas encore content de ce poème. Sérieux, il faudra que je revienne comme les banques aux fondamentaux. Faites moi crédit de ma capacité à écrire de la belle ouvrage.
Bien le bonjour chez vous.
René.
PS :Félicitation à Poutine, il s'annonce comme le prochain autocrate de la mère Russie.
Donc, je vous l'envoie parce que ça va la faire bisquer mon amie Emmanuelle.
Ce cri dans la nuit
E.M.M.A.N.UE.L.L.E
Partout en parcourant la ville
j'ai crié ton prénom.
Les ombres projetées des réverbères
dessinaient ta silhouette
me laissant croire un instant
que je t'avais retrouvée.
Hélas, elle n'était qu'ombre.
Si tu savais seulement
oh, combien, je regrette
ce moment d'égarement
où ma main s'est levée.
J'étais tellement désespéré
de te voir t'en aller
sans même te retourner
après toutes ces années.
Je sais que c'est fini
pourtant, je prolonge mon errance
dans les rues de la ville
cherchant à saisir l'ombre
de mon plus cher désir.
Je t'aime.
23/12/2008.
A part ça, dans mon précédent texte, je me demandais pourquoi le Brésil achetait des sous marins à la France. Si, c'est pour coincer les narcos, c'est raté, ils envoient leurs marchandises par avion ou par containers. Et, je ne vois pas les sous marins brésiliens couler des portes containers.
Cela serait du terrorisme d'état, nom de dieu !.
Par contre, je ne suis pas encore content de ce poème. Sérieux, il faudra que je revienne comme les banques aux fondamentaux. Faites moi crédit de ma capacité à écrire de la belle ouvrage.
Bien le bonjour chez vous.
René.
PS :Félicitation à Poutine, il s'annonce comme le prochain autocrate de la mère Russie.
lundi 22 décembre 2008
"Celui qui pille avec un petit vaisseau se nomme pirate ; celui qui pille avec un grand navire s'appelle conquérant". Proverbe Grec.
Salut à vous, mes bons amis, nous avons le plus mauvais président que la France ait connu. Pauvre de nous !
Ainsi, pendant six jours, je vous ai abandonné. En effet, abandonner est le mot. Pourquoi ? Sans doute du vague à l'âme, sans doute un désir indécible de se dissoudre dans l'inexistant, dans la vie de monsieur tout le monde.
Mais, voilà, j'ai promis à Emmanuelle de lui écrire un poème. Alors, courageusement, j'ai repris ma plume pour vous dire tout le mal que je pense du monde. Et, vous faire lire le poème que je vais lui dédicacer.....avant vendredi. C'est vrai, je le jure !
Alors, en attendant, parlons du monde.
Ainsi, des méchants ont posé des bâtons de dynamite dans les chiottes d'un grand magasin parisien. C'est nouveau, ça ! Maintenant les terroristes s'attaquent aux chiottes des lieux publics.
Bizarre, eux qui d'habitude déposent leurs paquets là où il y a plein de monde. Parce qu'entre nous faire péter le cul à un quidam, comme message, ça fait lécher (mais, non, j'ai fait exprès, j'ai l'esprit taquin aujourd'hui, c'est léger que je voulais dire).
Ensuite, les fameux terroristes ont utilisés des bâtons qui datent de Mathusalem, genre de vieux trucs gardés dans une cave à une époque où même la bande à Baader n'existait pas.
Tout fait tellement bizarre que ça ressemble à un gros coup monté à deux balles. Surtout que ce coup, plus médiatique que terroriste, intervient à un moment où notre ministre de l'intérieur se trouve en difficulté par rapport à son invention de terrorisme de l'ultra gauche.
Un peu comme si des gens étaient intervenus pour l'encourager dans sa démonstration afin de signifier que le terrorisme est partout, qu'en conséquence, il faut réduire les libertés publiques, ce qui permettra de faire fermer sa gueule au peuple avant qu'il ne puisse l'ouvrir.
Dites moi, sérieusement, vous ne pensez pas qu'elle a pété une durite notre ministre de l'intérieur ?
Il serait peut-être temps que Sarko s'en débarasse, n'est-il pas vrai ? Autrement, qu'est-ce qu'il risque de nous arriver sur le coin de la tronche si des gens veulent continuer à prouver qu'elle a raison ? Sauf, qu'en politique, il y a une vérité. A un moment, les vieux, ils font chier, comme les sénateurs par exemple.
Bon, mis à part ça, les français ont emprunté pour assurer les cadeaux de Noël grâce aux organismes de crédit qui leur accordent des prêts sans mesurer leur taux d'endettement réel.
Je rappelle donc que je souhaitais que le gouvernement fasse payer les banques. C'est à dire les obligent à annuler les dettes de tous les petits comptes courants qui ont été abusé par les conseillers financiers. Tout ça pour que ceux-ci puissent toucher des primes alléchantes en rapport à leurs salaires.
Tiens, en passant, la LCL fait une fleur aux petits comptes courants. Elle prolonge le délai avant d'appliquer un taux préférentiel sur découvert. Désormais, le délai pour que le taux s'applique est d'1 mois. Le taux répressif étant lui de ...........18 et un machin de pour cent !
Je rêve, c'est un taux usuraire ou je cauchemardise ?
Allonger le délai en réduisant le taux usuraire à une valeur considérée comme normative, ça leur aurait fait mal au derche. De toute façon, la banque gagne comme au casino.
Enfin, me direz-vous, joyeux noël quand même.
Et, sur ces bonnes paroles, pleines de fiel. Je vous souhaite bien le bonjour chez vous.
René.
Ainsi, pendant six jours, je vous ai abandonné. En effet, abandonner est le mot. Pourquoi ? Sans doute du vague à l'âme, sans doute un désir indécible de se dissoudre dans l'inexistant, dans la vie de monsieur tout le monde.
Mais, voilà, j'ai promis à Emmanuelle de lui écrire un poème. Alors, courageusement, j'ai repris ma plume pour vous dire tout le mal que je pense du monde. Et, vous faire lire le poème que je vais lui dédicacer.....avant vendredi. C'est vrai, je le jure !
Alors, en attendant, parlons du monde.
Ainsi, des méchants ont posé des bâtons de dynamite dans les chiottes d'un grand magasin parisien. C'est nouveau, ça ! Maintenant les terroristes s'attaquent aux chiottes des lieux publics.
Bizarre, eux qui d'habitude déposent leurs paquets là où il y a plein de monde. Parce qu'entre nous faire péter le cul à un quidam, comme message, ça fait lécher (mais, non, j'ai fait exprès, j'ai l'esprit taquin aujourd'hui, c'est léger que je voulais dire).
Ensuite, les fameux terroristes ont utilisés des bâtons qui datent de Mathusalem, genre de vieux trucs gardés dans une cave à une époque où même la bande à Baader n'existait pas.
Tout fait tellement bizarre que ça ressemble à un gros coup monté à deux balles. Surtout que ce coup, plus médiatique que terroriste, intervient à un moment où notre ministre de l'intérieur se trouve en difficulté par rapport à son invention de terrorisme de l'ultra gauche.
Un peu comme si des gens étaient intervenus pour l'encourager dans sa démonstration afin de signifier que le terrorisme est partout, qu'en conséquence, il faut réduire les libertés publiques, ce qui permettra de faire fermer sa gueule au peuple avant qu'il ne puisse l'ouvrir.
Dites moi, sérieusement, vous ne pensez pas qu'elle a pété une durite notre ministre de l'intérieur ?
Il serait peut-être temps que Sarko s'en débarasse, n'est-il pas vrai ? Autrement, qu'est-ce qu'il risque de nous arriver sur le coin de la tronche si des gens veulent continuer à prouver qu'elle a raison ? Sauf, qu'en politique, il y a une vérité. A un moment, les vieux, ils font chier, comme les sénateurs par exemple.
Bon, mis à part ça, les français ont emprunté pour assurer les cadeaux de Noël grâce aux organismes de crédit qui leur accordent des prêts sans mesurer leur taux d'endettement réel.
Je rappelle donc que je souhaitais que le gouvernement fasse payer les banques. C'est à dire les obligent à annuler les dettes de tous les petits comptes courants qui ont été abusé par les conseillers financiers. Tout ça pour que ceux-ci puissent toucher des primes alléchantes en rapport à leurs salaires.
Tiens, en passant, la LCL fait une fleur aux petits comptes courants. Elle prolonge le délai avant d'appliquer un taux préférentiel sur découvert. Désormais, le délai pour que le taux s'applique est d'1 mois. Le taux répressif étant lui de ...........18 et un machin de pour cent !
Je rêve, c'est un taux usuraire ou je cauchemardise ?
Allonger le délai en réduisant le taux usuraire à une valeur considérée comme normative, ça leur aurait fait mal au derche. De toute façon, la banque gagne comme au casino.
Enfin, me direz-vous, joyeux noël quand même.
Et, sur ces bonnes paroles, pleines de fiel. Je vous souhaite bien le bonjour chez vous.
René.
lundi 15 décembre 2008
"Demande un conseil à ton ennemi et fais le contraire". Proverbe Juif.
Salut aux coquins cousins de ma belle mère, sombre est la nuit (comprenne qui pourra).
Et, voili, voilà, le silence des abysses est comme un écho qui ne nous répond jamais. Tout ça pour vous dire d'une façon abscons que les magouilles financière finissent par nous dépasser.
Donc, nous dirons qu'un château de cartes a été élevé au nom des produits financiers et que certains en ont profité pour mettre la leur, de carte, sur l'échafaudage. Comme celui-ci était fragile personne ne s'est rendu compte de rien.
Et, paf, 50 milliards de plus dans le panier des tracas boursiers.
Finalement, personne ne nous prend pour des cons, il nous y laisse.
Par contre, si vous n'avez pas compris les subtilités de mon langage pour expliquer les subtilités boursière, c'est normal, autrement, il n'y aurait pas eu de crack boursiers, vu que tout le monde aurait compris avant personne.
Bon, à part ça, que dire ?
Peut-être que si j'étais Al Quaida, j'envahirais la France maintenant. Pourquoi maintenant ? Parce que la grande muette n'est plus opérationnelle. Eh, oui, mes chers lecteurs, notre armée n'est plus opérationnelle. Parce que son matériel est obsolète sans compter qu'elle n'a même pas les pièces détachées pour le matériel volant. Et, vu que ses régiments sont en restructuration, plus tous nos petits soldats qui vont être dégraissés avec les entreprises sous traitantes. C'est la cata !
Donc, j'invite Al Quaida à envahir la France, elle n'aura pas de meilleure occasion.
Bon, des fois, à part raconter des conneries, je me demande si parfois, je peux être pris au sérieux.
En attendant, que se passe-t-il au parti socialiste ?
En attendant, que se passe-t-il au parti communiste ?
Bof, rien de bien passionnant.
Mais, quand vont-ils se réveiller. Avant les élections européennes ou après ?
En tout cas, moi, je vous le dis, pendant ce temps, mon pouvoir d'achat continue à prendre l'orage.
Par contre, dans l'ex Zaire, les mines de cuivre ferment au Katanga. Et, pour ne pas accentuer la crise sociale, les sociétés minières mettent tout le monde au chômage technique. Et, les mines de cobalt ferment carrément parce que les prix ont chuté au point qu'ils n'arrivent plus à couvrir les frais de production. Vous me direz la même au Pérou, mais, là-bas, il ont du lithium, un truc d'enfer qui va marcher diablement. Un nouvel Eldorado en somme.
Donc, vu que la dernière fois, je vous ai parlé des mines australiennes qui diminuent la production, cela signifie que partout dans le monde, le secteur minier est touché. Ils veulent marcher comme le secteur automobile à flux tendu et cherchent d'abord à liquider les stocks.
Ce qui signifie que quand la croissance rebondira après avoir atteint le fond, les prix des matières premières exploseront puisqu'il n'y aura plus de stock. Et, l'avenir de la Nouvelle Calédonie redeviendra un long fleuve tranquille avec ses mines de nickel.
Tout ça pour vous dire, la crise ne tue pas le capitalisme sauvage. elle découvre un visage du libéralisme triomphant que nos élites cherchaient à nous dissimuler.
Et, voilà, c'est tout pour aujourd'hui, mes trois chers lecteurs. Alors, bien le bonjour chez vous et n'oubliez surtout pas, rien ne sert de se plaindre, il faut courber l'échine.
Ciao.
René.
Et, voili, voilà, le silence des abysses est comme un écho qui ne nous répond jamais. Tout ça pour vous dire d'une façon abscons que les magouilles financière finissent par nous dépasser.
Donc, nous dirons qu'un château de cartes a été élevé au nom des produits financiers et que certains en ont profité pour mettre la leur, de carte, sur l'échafaudage. Comme celui-ci était fragile personne ne s'est rendu compte de rien.
Et, paf, 50 milliards de plus dans le panier des tracas boursiers.
Finalement, personne ne nous prend pour des cons, il nous y laisse.
Par contre, si vous n'avez pas compris les subtilités de mon langage pour expliquer les subtilités boursière, c'est normal, autrement, il n'y aurait pas eu de crack boursiers, vu que tout le monde aurait compris avant personne.
Bon, à part ça, que dire ?
Peut-être que si j'étais Al Quaida, j'envahirais la France maintenant. Pourquoi maintenant ? Parce que la grande muette n'est plus opérationnelle. Eh, oui, mes chers lecteurs, notre armée n'est plus opérationnelle. Parce que son matériel est obsolète sans compter qu'elle n'a même pas les pièces détachées pour le matériel volant. Et, vu que ses régiments sont en restructuration, plus tous nos petits soldats qui vont être dégraissés avec les entreprises sous traitantes. C'est la cata !
Donc, j'invite Al Quaida à envahir la France, elle n'aura pas de meilleure occasion.
Bon, des fois, à part raconter des conneries, je me demande si parfois, je peux être pris au sérieux.
En attendant, que se passe-t-il au parti socialiste ?
En attendant, que se passe-t-il au parti communiste ?
Bof, rien de bien passionnant.
Mais, quand vont-ils se réveiller. Avant les élections européennes ou après ?
En tout cas, moi, je vous le dis, pendant ce temps, mon pouvoir d'achat continue à prendre l'orage.
Par contre, dans l'ex Zaire, les mines de cuivre ferment au Katanga. Et, pour ne pas accentuer la crise sociale, les sociétés minières mettent tout le monde au chômage technique. Et, les mines de cobalt ferment carrément parce que les prix ont chuté au point qu'ils n'arrivent plus à couvrir les frais de production. Vous me direz la même au Pérou, mais, là-bas, il ont du lithium, un truc d'enfer qui va marcher diablement. Un nouvel Eldorado en somme.
Donc, vu que la dernière fois, je vous ai parlé des mines australiennes qui diminuent la production, cela signifie que partout dans le monde, le secteur minier est touché. Ils veulent marcher comme le secteur automobile à flux tendu et cherchent d'abord à liquider les stocks.
Ce qui signifie que quand la croissance rebondira après avoir atteint le fond, les prix des matières premières exploseront puisqu'il n'y aura plus de stock. Et, l'avenir de la Nouvelle Calédonie redeviendra un long fleuve tranquille avec ses mines de nickel.
Tout ça pour vous dire, la crise ne tue pas le capitalisme sauvage. elle découvre un visage du libéralisme triomphant que nos élites cherchaient à nous dissimuler.
Et, voilà, c'est tout pour aujourd'hui, mes trois chers lecteurs. Alors, bien le bonjour chez vous et n'oubliez surtout pas, rien ne sert de se plaindre, il faut courber l'échine.
Ciao.
René.
jeudi 11 décembre 2008
"Quand deux éléphants se battent, l'herbe en est écrasée. Quand ils font l'amour, elle ne l'est pas moins". Proverbe Indonésien.
Salut aux combattants des FARC. A 300.000 dollars la tête, vous allez pouvoir refinancer votre mouvement.
Bof, pas grand chose à dire aujourd'hui, à part que pour une fois, je suis d'accord avec la ministre de l'économie, les banques ont joué à l'étranglement des petits comptes courants.
Et, moi, je dis, "Elles doivent payer !"
Une explication : (Le Figaro de ce jour)
"Selon un rapport, commandé par Christine Lagarde qui doit être rendu public jeudi et dont Le Parisien et Les Echos ont pris connaissance, on comptait en France, fin 2007, 43 millions de comptes de crédit renouvelable ouverts, dont 20 millions d'actifs, souvent souscrits par les classes les plus populaires, "ouvriers et employés" étant "sureprésentés" parmi les clients des organismes de crédit. "Or, seulement 9 % des ménages déclarent rembourser ce type de crédit : ainsi, en moyenne, ces foyers disposeraient de huit crédits, alors que leurs revenus se situent entre 11 000 et 20 000 euros par an", relatent Les Echos".
Donc, les banquiers contrairement aux capacités de remboursement de leur clientèle ont accordé des crédits à la consommation à la veux-tu, en voilà. Alors qu'elles utilisent un ratio sur la capacité de remboursement qui aurait dû les freiner dans leur frénésie à endetter les ménages.
D'où une hausse conséquente de demandes en surendettement de ces mêmes ménages qui ne peuvent plus faire face à leurs mensualités.
Par contre, lorsqu'il s'agit de réclamer le capital et les intérêts, les banques sont prêtes à mettre à la rue des ménages et cela sans ménagement.
A mon humble avis, les ménages surendettés devraient se retourner contre les banques à travers les associations de consommateurs pour demander l'annulation de leurs dettes.
Pour quel raison, me direz-vous ?
Simple, les banques ont manipulés le client en lui accordant un crédit qui ne pouvait que s'avérer limite pour sa capacité de remboursement. Et, encore plus, si plusieurs crédit lui a été accordé.
Là, je pointe la responsabilité des conseillers financiers de chaque organisme de crédit.
Donc, la banque ayant induit en erreur son client, il est de son droit de se retourner contre sa banque pour annulation de sa dette. Surtout, lorsque les emprunts se sont fait benoîtement avec des taux d'intérêts variables.
Redonc, dis-je qu'il y a tromperie sur la marchandise et cela de la faute du système bancaire. Par conséquent, il serait sage et moral, qu'il paye sa connerie. Sa connerie étant d'avoir amené des ménages à des taux d'endettement qui les pousse tout droit à la misère.
Aussi, je pousse ce cri, les banques ont trompé leurs clients, "Qu'elles payent !"
Ce cri qui d'ailleurs me rappelle celui d'un certain Tarzan lorsqu'il voyait l'exploitation éhontée de la jungle qu'en faisait les populations locales, "AHAHAHA, ça me fait mal au derche !"
Voilà, donc mes trois chers lecteurs ce que je voulais dire aujourd'hui. Et, si vous partagez mon indignation, alors, nous lancerons une pétition au niveau national.
Et, sur ce, bien le bonjour chez vous.
René.
Bof, pas grand chose à dire aujourd'hui, à part que pour une fois, je suis d'accord avec la ministre de l'économie, les banques ont joué à l'étranglement des petits comptes courants.
Et, moi, je dis, "Elles doivent payer !"
Une explication : (Le Figaro de ce jour)
"Selon un rapport, commandé par Christine Lagarde qui doit être rendu public jeudi et dont Le Parisien et Les Echos ont pris connaissance, on comptait en France, fin 2007, 43 millions de comptes de crédit renouvelable ouverts, dont 20 millions d'actifs, souvent souscrits par les classes les plus populaires, "ouvriers et employés" étant "sureprésentés" parmi les clients des organismes de crédit. "Or, seulement 9 % des ménages déclarent rembourser ce type de crédit : ainsi, en moyenne, ces foyers disposeraient de huit crédits, alors que leurs revenus se situent entre 11 000 et 20 000 euros par an", relatent Les Echos".
Donc, les banquiers contrairement aux capacités de remboursement de leur clientèle ont accordé des crédits à la consommation à la veux-tu, en voilà. Alors qu'elles utilisent un ratio sur la capacité de remboursement qui aurait dû les freiner dans leur frénésie à endetter les ménages.
D'où une hausse conséquente de demandes en surendettement de ces mêmes ménages qui ne peuvent plus faire face à leurs mensualités.
Par contre, lorsqu'il s'agit de réclamer le capital et les intérêts, les banques sont prêtes à mettre à la rue des ménages et cela sans ménagement.
A mon humble avis, les ménages surendettés devraient se retourner contre les banques à travers les associations de consommateurs pour demander l'annulation de leurs dettes.
Pour quel raison, me direz-vous ?
Simple, les banques ont manipulés le client en lui accordant un crédit qui ne pouvait que s'avérer limite pour sa capacité de remboursement. Et, encore plus, si plusieurs crédit lui a été accordé.
Là, je pointe la responsabilité des conseillers financiers de chaque organisme de crédit.
Donc, la banque ayant induit en erreur son client, il est de son droit de se retourner contre sa banque pour annulation de sa dette. Surtout, lorsque les emprunts se sont fait benoîtement avec des taux d'intérêts variables.
Redonc, dis-je qu'il y a tromperie sur la marchandise et cela de la faute du système bancaire. Par conséquent, il serait sage et moral, qu'il paye sa connerie. Sa connerie étant d'avoir amené des ménages à des taux d'endettement qui les pousse tout droit à la misère.
Aussi, je pousse ce cri, les banques ont trompé leurs clients, "Qu'elles payent !"
Ce cri qui d'ailleurs me rappelle celui d'un certain Tarzan lorsqu'il voyait l'exploitation éhontée de la jungle qu'en faisait les populations locales, "AHAHAHA, ça me fait mal au derche !"
Voilà, donc mes trois chers lecteurs ce que je voulais dire aujourd'hui. Et, si vous partagez mon indignation, alors, nous lancerons une pétition au niveau national.
Et, sur ce, bien le bonjour chez vous.
René.
mercredi 10 décembre 2008
"Le trop de quelque chose est un manque de quelque chose". Proverbe Arabe.
Salut aux "terroristes" des lignes de la SNCF. Vous êtes des victimes propitiatoires dont on ne sait quel complot. Courage, la vérité est comme l'oiseau phénix, elle renaît toujours de ses cendres.
Bon, aujourd'hui, nous allons jouer au plan de la relance. Ne vous inquiétez pas, c'est comme un monopoly, il suffit d'avancer case par case.
Donc, je propose un plan sur trois axes :
1) Modernisation de l'outil de production,
2)Grenelle sur l'augmentation des salaires secteur par secteur,
3) Amélioration du pouvoir d'achat pour les plus défavorisés.
Coût total du plan : 170 milliards d'euros, répartis comme suit :
- 100 milliards pour la modernisation de l'outil de production.
- 70 milliards pour l'amélioration du pouvoir d'achat des plus défavorisés.
Le jeu étant, comme nos gouvernants valsent avec les milliards, nous nous accordons de pouvoir le faire virtuellement.
En ce qui concerne la modernisation de l'outil de production, il sera notifié aux entreprises concernées une interdiction de licenciement économique pendant la durée d'amortissement de l'investissement.
Et, là, je vous signale que je fais une fleur aux industriels car je ne parle pas de la durée de vie de l'investissement.
Ensuite, en ce qui concerne le pouvoir d'achat, les dépenses prévisibles peuvent concernées des dispositifs d'aides sociales exceptionnelles. Ainsi qu'un soutien pour les dépôts de dossier en surendettement.
Après, c'est à vous de réfléchir.
Donc, à vos plumes mes trois chers lecteurs. Vous pouvez m'envoyez vos propositions de plan de relance et le meilleur recevra un prix, lui aussi virtuel, du meilleur économiste franchouillard.
Alors, vous en pensez quoi ?
C'est une bonne idée !
J'étais sûr que vous alliez me répondre en ces termes étant donné que je suis votre maître à penser. Cependant, merci quand même.
Par contre, une initiative à saluer de la part de notre président très médiatique, il a appelé à la démission de Robert Mugabe, président-dictateur sanguinaire du Zimbabwe. Il était temps que l'Europe arrête de tergiverser parce que l'ancien président de la République Sud Africaine n'ose pas le pousser à une retraite forcée à cause de son soutien à l'époque en faveur de l'ANC.
Il faut dire que les présidents du Botswana et du Kenya sont les seuls à souhaiter son départ fissa fissa. A part, le révérend Desmond Tutu qui le voue aux gémonies, le silence africain reste sidéral.
Alors, je dis, ce type, il faut s'en débarrasser sans attendre une hypothétique décision de Thabo Mbeki qui entre nous est un vieux rabat joie.
C'est vrai, quoi, laissez les flammes de l'enfer s'ouvrirent sous les fesses du salopard de Robert Mugabe. A mon humble avis, il faudrait l'enfermer dans un château hanté en Ecosse pour que les milliers ou dizaines de milliers de gens qu'il a assassiné viennent le hanter jusqu'à la fin des temps.
Et, paf, dans la gueule à Mugabe !
Mais, en attendant, le peuple crève littéralement.
Bon, ceci dit, la crise économique atteint tous les secteurs de l'économie. Et, pour vous en faire la démonstration, je ferais à nouveau appel aux Nouvelles Calédoniennes. Et, à force de faire appel à ce journal, je me dis parfois, que ferais-je sans lui. Donc :
"Australie : grise mine
Face à la chute des cours des matières premières, les grandes compagnies minières australiennes annoncent des licenciements, des réductions de production, ou des suspensions temporaires de projets.Deux cents licenciements annoncés, jeudi dernier, par Xstrata, et une réduction de la production de la mine de zinc de la rivière Mac Arthur dans les Territoires du Nord. C’est la dernière mauvaise nouvelle qui frappe le secteur minier australien. Un secteur durement touché par la baisse du cours des matières premières. Plusieurs compagnies ont commencé à programmer l’arrêt, temporaire ou définitif, de plusieurs projets, en attendant que la situation s’améliore. L’Australie est le plus gros exportateur de minerai de fer et de charbon au monde. En 2007, les ressources minérales et énergétiques ont représenté 34 % des exportations totales du pays, lui rapportant 74 milliards de dollars australiens (38,7 milliards d’euros). Alors que, l’année dernière, les dirigeants des compagnies minières pouvaient encore se targuer d’accords de vente record avec la Chine, le contexte est devenu morose, les poussant à revoir leur production à la baisse.Le minerai de fer est l’un des plus touchés. « Avec la chute de la demande, les prix seront plus bas lors des prochaines négociations », prévient Peter Arden, analyste de la société de conseil en investissements Ord Minnett. Donc, seule solution pour les grosses sociétés minières : la réduction des coûts de production ou de la production. Le géant Rio Tinto, l’un des plus gros producteurs de minerai de fer au monde, vient d’annoncer qu’il allait fermer provisoirement sa mine Brockman 2, dans la région du Pilbara (Australie de l’Ouest), et réduire sa production de 20 millions de tonnes. Fortescue Metals Group, autre grande compagnie minière locale, a également fait savoir qu’il allait diminuer son activité de 10 %, suivant l’exemple récent du géant brésilien Vale do Rio Doce. Les métaux de base sont eux aussi concernés. Minara Resources, important producteur de nickel, a ainsi dû réduire sa main-d’œuvre. OZ Minerals, deuxième producteur au monde de zinc, a récemment annoncé revoir ses projets d’investissement. Car les cours de ces minéraux ont chuté drastiquement depuis juillet, le nickel en tête, suivi du zinc, et du cuivre.Xstrata vient d’annoncer 200 licenciements et une réductionde la production de la mine de zinc de la rivière Mac Arthur.« Le problème c’est le manque complet de visibilité de la demande pour le premier trimestre 2009 », affirment les analystes du groupe Macquarie. Mais toutefois Peter Arden relativise : « C’est un ralentissement sur le court terme. Mais sur le long terme, ce secteur reste une opportunité. Lorsque la demande reprendra, le prix des matières premières pourrait atteindre de nouveaux sommets ».Pour l’instant cependant, le pays va devoir faire face à une baisse de ses exportations. La crainte de la récession, que l’Australie n’a pas connue depuis vingt ans, secoue le monde financier local. Il y a quelques jours, le ministre des finances, Wayne Swan, a prévenu que la crise internationale aurait un impact « plus important que beaucoup le pensaient » sur la croissance et l’emploi du pays. Xstrata vient d’annoncer 200 licenciements et une réduction de sa production de la mine de zinc de la rivière Mac Arthur dans les Territoires du Nord".
Mais, Xstrata qui lance un projet d'exploitation de minerai de Nickel en Nouvelle Calédonie sur le massif de Koniambo dans le nord ne connaît pas la crise. La société, malgré des problèmes de financement auprès de partenaires banquiers, se déclare prêt à prendre 100% du financement à sa charge. A voir, surtout, si la demande continue à décroître sur une période prolongée.
Mise à part ça, le monde tourne et les banques se portent bien en France.
Sur ce, je vous souhaite bien le bonjour chez vous.
René.
Bon, aujourd'hui, nous allons jouer au plan de la relance. Ne vous inquiétez pas, c'est comme un monopoly, il suffit d'avancer case par case.
Donc, je propose un plan sur trois axes :
1) Modernisation de l'outil de production,
2)Grenelle sur l'augmentation des salaires secteur par secteur,
3) Amélioration du pouvoir d'achat pour les plus défavorisés.
Coût total du plan : 170 milliards d'euros, répartis comme suit :
- 100 milliards pour la modernisation de l'outil de production.
- 70 milliards pour l'amélioration du pouvoir d'achat des plus défavorisés.
Le jeu étant, comme nos gouvernants valsent avec les milliards, nous nous accordons de pouvoir le faire virtuellement.
En ce qui concerne la modernisation de l'outil de production, il sera notifié aux entreprises concernées une interdiction de licenciement économique pendant la durée d'amortissement de l'investissement.
Et, là, je vous signale que je fais une fleur aux industriels car je ne parle pas de la durée de vie de l'investissement.
Ensuite, en ce qui concerne le pouvoir d'achat, les dépenses prévisibles peuvent concernées des dispositifs d'aides sociales exceptionnelles. Ainsi qu'un soutien pour les dépôts de dossier en surendettement.
Après, c'est à vous de réfléchir.
Donc, à vos plumes mes trois chers lecteurs. Vous pouvez m'envoyez vos propositions de plan de relance et le meilleur recevra un prix, lui aussi virtuel, du meilleur économiste franchouillard.
Alors, vous en pensez quoi ?
C'est une bonne idée !
J'étais sûr que vous alliez me répondre en ces termes étant donné que je suis votre maître à penser. Cependant, merci quand même.
Par contre, une initiative à saluer de la part de notre président très médiatique, il a appelé à la démission de Robert Mugabe, président-dictateur sanguinaire du Zimbabwe. Il était temps que l'Europe arrête de tergiverser parce que l'ancien président de la République Sud Africaine n'ose pas le pousser à une retraite forcée à cause de son soutien à l'époque en faveur de l'ANC.
Il faut dire que les présidents du Botswana et du Kenya sont les seuls à souhaiter son départ fissa fissa. A part, le révérend Desmond Tutu qui le voue aux gémonies, le silence africain reste sidéral.
Alors, je dis, ce type, il faut s'en débarrasser sans attendre une hypothétique décision de Thabo Mbeki qui entre nous est un vieux rabat joie.
C'est vrai, quoi, laissez les flammes de l'enfer s'ouvrirent sous les fesses du salopard de Robert Mugabe. A mon humble avis, il faudrait l'enfermer dans un château hanté en Ecosse pour que les milliers ou dizaines de milliers de gens qu'il a assassiné viennent le hanter jusqu'à la fin des temps.
Et, paf, dans la gueule à Mugabe !
Mais, en attendant, le peuple crève littéralement.
Bon, ceci dit, la crise économique atteint tous les secteurs de l'économie. Et, pour vous en faire la démonstration, je ferais à nouveau appel aux Nouvelles Calédoniennes. Et, à force de faire appel à ce journal, je me dis parfois, que ferais-je sans lui. Donc :
"Australie : grise mine
Face à la chute des cours des matières premières, les grandes compagnies minières australiennes annoncent des licenciements, des réductions de production, ou des suspensions temporaires de projets.Deux cents licenciements annoncés, jeudi dernier, par Xstrata, et une réduction de la production de la mine de zinc de la rivière Mac Arthur dans les Territoires du Nord. C’est la dernière mauvaise nouvelle qui frappe le secteur minier australien. Un secteur durement touché par la baisse du cours des matières premières. Plusieurs compagnies ont commencé à programmer l’arrêt, temporaire ou définitif, de plusieurs projets, en attendant que la situation s’améliore. L’Australie est le plus gros exportateur de minerai de fer et de charbon au monde. En 2007, les ressources minérales et énergétiques ont représenté 34 % des exportations totales du pays, lui rapportant 74 milliards de dollars australiens (38,7 milliards d’euros). Alors que, l’année dernière, les dirigeants des compagnies minières pouvaient encore se targuer d’accords de vente record avec la Chine, le contexte est devenu morose, les poussant à revoir leur production à la baisse.Le minerai de fer est l’un des plus touchés. « Avec la chute de la demande, les prix seront plus bas lors des prochaines négociations », prévient Peter Arden, analyste de la société de conseil en investissements Ord Minnett. Donc, seule solution pour les grosses sociétés minières : la réduction des coûts de production ou de la production. Le géant Rio Tinto, l’un des plus gros producteurs de minerai de fer au monde, vient d’annoncer qu’il allait fermer provisoirement sa mine Brockman 2, dans la région du Pilbara (Australie de l’Ouest), et réduire sa production de 20 millions de tonnes. Fortescue Metals Group, autre grande compagnie minière locale, a également fait savoir qu’il allait diminuer son activité de 10 %, suivant l’exemple récent du géant brésilien Vale do Rio Doce. Les métaux de base sont eux aussi concernés. Minara Resources, important producteur de nickel, a ainsi dû réduire sa main-d’œuvre. OZ Minerals, deuxième producteur au monde de zinc, a récemment annoncé revoir ses projets d’investissement. Car les cours de ces minéraux ont chuté drastiquement depuis juillet, le nickel en tête, suivi du zinc, et du cuivre.Xstrata vient d’annoncer 200 licenciements et une réductionde la production de la mine de zinc de la rivière Mac Arthur.« Le problème c’est le manque complet de visibilité de la demande pour le premier trimestre 2009 », affirment les analystes du groupe Macquarie. Mais toutefois Peter Arden relativise : « C’est un ralentissement sur le court terme. Mais sur le long terme, ce secteur reste une opportunité. Lorsque la demande reprendra, le prix des matières premières pourrait atteindre de nouveaux sommets ».Pour l’instant cependant, le pays va devoir faire face à une baisse de ses exportations. La crainte de la récession, que l’Australie n’a pas connue depuis vingt ans, secoue le monde financier local. Il y a quelques jours, le ministre des finances, Wayne Swan, a prévenu que la crise internationale aurait un impact « plus important que beaucoup le pensaient » sur la croissance et l’emploi du pays. Xstrata vient d’annoncer 200 licenciements et une réduction de sa production de la mine de zinc de la rivière Mac Arthur dans les Territoires du Nord".
Mais, Xstrata qui lance un projet d'exploitation de minerai de Nickel en Nouvelle Calédonie sur le massif de Koniambo dans le nord ne connaît pas la crise. La société, malgré des problèmes de financement auprès de partenaires banquiers, se déclare prêt à prendre 100% du financement à sa charge. A voir, surtout, si la demande continue à décroître sur une période prolongée.
Mise à part ça, le monde tourne et les banques se portent bien en France.
Sur ce, je vous souhaite bien le bonjour chez vous.
René.
lundi 8 décembre 2008
"Il ne faut pas tant se méfier des autres que se défier de soi-même". Proverbe Irannien.
Salut à tous les nouveaux pauvres. Les élus de l'Ump frisent l'indécence dans la défense des mesures qui conduisent à un gouvernement autoritaire.
Bon, le plan Sarko pour le redressement de la France m'inspire peu ou du moins ne m'inspire que ça, zéro + zéro = la tête à toto.
Pourquoi une appréciation aussi dévalorisante ?
Peut-être parce que plusieurs centaines de milliards pour des banques qui ne jouent pas le jeu, des dizaines de milliards pour des entreprises qui ne joueront pas le jeu du maintien de l'emploi parce de nouvelles embauches faut pas rêver et des aumônes pour les soutenir le pouvoir d'achat des miséreux, ça ne le fait pas.
Par contre, la crise permet aux entreprises de dégraisser leurs masses salariales. Et, en attendant, le gouvernement ne sauve l'emploi que par des contrats aidés, qu'à une époque, il a stigmatisé chez les socialistes.
A mon avis, le soutien gouvernemental à l'activité ne pourrait être utile que dans le cadre d'une modernisation de l'outil de production et non pour son maintien en l'état. Si, cela était, de toute façon la somme allouée est modeste par rapport à l'objectif annoncé.
De plus, annoncer un objectif en faveur d'entreprises qui n'ont plus de volonté de conquête de nouveaux marchés, c'est mettre la charrue avant les boeufs. J'eusse préféré un soutien au pouvoir d'achat. Notamment en période de fêtes, non pas en accordant 200 euros aux nouveaux pauvres, mais en travaillant sur une augmentation des salaires secteur par secteur. Cette annonce seule aurait permis sans doute une reprise de confiance du monde du travail par trop stigmatisé ces derniers temps.
Mais, le risque ne fait pas parti de l'imaginaire de nos gouvernants qui se contentent d'aider les branches bancales de nos fiers entrepreneurs.
Si, effectivement, la crise demande une réponse forte et imaginative, c'est encore raté.
D'où, l'annonce raisonnée de Jacques Attali, dans trois mois, le gouvernement sera obligé d'annoncer un énième plan de relance avec une annonce plus importante de soutien financier.
La question étant, mais, d'où vient cette manne financière puisque normalement l'Europe, contrairement aux States, ne fait pas marcher la planche à billet.
Bon, voilà, c'est tout pour aujourd'hui parce que j'ai une collègue qui me pique l'ordinateur.
Alors, à plus, mes chers trois lecteurs. Et, bien le bonjour chez vous.
René.
Bon, le plan Sarko pour le redressement de la France m'inspire peu ou du moins ne m'inspire que ça, zéro + zéro = la tête à toto.
Pourquoi une appréciation aussi dévalorisante ?
Peut-être parce que plusieurs centaines de milliards pour des banques qui ne jouent pas le jeu, des dizaines de milliards pour des entreprises qui ne joueront pas le jeu du maintien de l'emploi parce de nouvelles embauches faut pas rêver et des aumônes pour les soutenir le pouvoir d'achat des miséreux, ça ne le fait pas.
Par contre, la crise permet aux entreprises de dégraisser leurs masses salariales. Et, en attendant, le gouvernement ne sauve l'emploi que par des contrats aidés, qu'à une époque, il a stigmatisé chez les socialistes.
A mon avis, le soutien gouvernemental à l'activité ne pourrait être utile que dans le cadre d'une modernisation de l'outil de production et non pour son maintien en l'état. Si, cela était, de toute façon la somme allouée est modeste par rapport à l'objectif annoncé.
De plus, annoncer un objectif en faveur d'entreprises qui n'ont plus de volonté de conquête de nouveaux marchés, c'est mettre la charrue avant les boeufs. J'eusse préféré un soutien au pouvoir d'achat. Notamment en période de fêtes, non pas en accordant 200 euros aux nouveaux pauvres, mais en travaillant sur une augmentation des salaires secteur par secteur. Cette annonce seule aurait permis sans doute une reprise de confiance du monde du travail par trop stigmatisé ces derniers temps.
Mais, le risque ne fait pas parti de l'imaginaire de nos gouvernants qui se contentent d'aider les branches bancales de nos fiers entrepreneurs.
Si, effectivement, la crise demande une réponse forte et imaginative, c'est encore raté.
D'où, l'annonce raisonnée de Jacques Attali, dans trois mois, le gouvernement sera obligé d'annoncer un énième plan de relance avec une annonce plus importante de soutien financier.
La question étant, mais, d'où vient cette manne financière puisque normalement l'Europe, contrairement aux States, ne fait pas marcher la planche à billet.
Bon, voilà, c'est tout pour aujourd'hui parce que j'ai une collègue qui me pique l'ordinateur.
Alors, à plus, mes chers trois lecteurs. Et, bien le bonjour chez vous.
René.
jeudi 4 décembre 2008
"Pour le vieil homme, chaque colline est une montagne". Proverbe Juif.
Salut à tous ceux qui comme moi vivent des fins de mois difficiles. La première chose à faire, réduire ses dépenses et prier votre sainte banque de ne pas vous exterminer.
Bon, mis à part nos problèmes quotidiens. Peut-être qu'il se passe quelque autre évènements dans un monde troublé des bonnes intentions que nous réservent nos gouvernants pour sauver le libéralisme économique.
Un libéralisme salué à son époque de gouvernance par Jospin, ancien premier ministre qui a appelé ça, "Economie de marché".
Donc, je vous parle aujourd'hui de ceux dont on ne parle jamais, les papous de la province de l'Irian Java en Nouvelle Guinée annexée par l'Indonésie avec l'aval à l'époque des Etats-Unis et de l'ONU. Car, à l'époque, il fallait lutter contre l'influence communisme et donc serrer les rangs autour des alliés des Etats-Unis.
Comme d'habitude, je vous soumets un article des Nouvelles Calédoniennes de ce jour.
"Des milliers de Papous manifestent pour l’indépendance.
Des milliers d’habitants de la Papouasie-Occidentale ont manifesté, lundi, dans plusieurs villes de la province indonésienne, pour réclamer l’indépendance vis-à-vis de Jakarta, et le contrôle des ressources de la région. Plusieurs milliers de personnes ont manifesté pour célébrer le 47e anniversaire de l’indépendance, lundi, en Papouasie-Occidentale, une Province d’Indonésie. Les séparatistes papous célèbrent tous les 1ers décembre la reconnaissance de l’indépendance obtenue, selon eux, au départ des colons néerlandais, en 1961. Ils ne reconnaissent pas le référendum, considéré aujourd’hui comme truqué bien qu’organisé sous l’égide de l’ONU, à l’issue duquel l’Indonésie a annexé la Papouasie-Occidentale, en 1969. Car c’est le gouvernement indonésien qui avait choisi les leaders tribaux papous ayant le droit de voter à ce référendum. Les principales manifestations se sont déroulées à Manokwari, avec environ 2 000 personnes, et à Nabire, où près de 500 policiers et militaires ont surveillé un rassemblement de prière, a précisé un responsable religieux, Yones Douw. A Sentani, près de Jayapura, la capitale de la province, les manifestants, vêtus des costumes traditionnels et le visage peint ont scandé des slogans indépendantistes. Mais les rassemblements, qui étaient placés sous haute sécurité, se sont déroulés sans incident. Un homme a toutefois été interpellé à Manokwari, une des principales villes de la Province, pour avoir brandi le Morning Star, le drapeau indépendantiste papou, un délit passible de la prison à vie en Indonésie. Les séparatistes papous accusent aussi Jakarta de profiter des importantes ressources naturelles, notamment minières, que renferme la province sans en faire profiter la population locale. « Nous sommes pauvres et nous souffrons sur une terre de richesses », a dénoncé lundi Taha Alhamid, secrétaire général du Conseil Papou (PDP). « Nous allons continuer notre mobilisation jusqu’à ce que la Papouasie soit libre. » Les indépendantistes réclament notamment la fermeture de la mine de Timika, la troisième plus grande mine de cuivre du monde, gérée par la société américaine Freeport Mc moran Copper and Gold Ltd".
Jérôme Gavelle
Encore qu'à mon avis, ils ont de la chance que les islamistes radicaux indonésiens ne viennent pas les convertir de force. Des conflits de ce genre parsèment les îles indonésiennes. A Bornéo, par exemple où les dayaks luttent contre l'envahissement des colons venus des autres îles qui déforestent à tout va. Aux Moluques où les chrétiens se défendent également contre l'immigration d'origine musulmane.
Et, pour mes dires, je vous propose l'extrait d'un papier saisis sur le net en faisant, conflit religieux en Indonésie. Même si celui peut être parcellaire et sorti de son contexte, il donne une idée d'une réalité.
"Les Moluques sont situées à l’est de l’archipel et ont subi des influences catholiques et protestantes par l’intermédiaire des colonies Portugaises et Hollandaises. Ces dernières années l'immigration musulmane en provenance d'autres îles a été encouragée par le gouvernement. Les Chrétiens sont alors devenus minoritaires avec 40% de la population.
Les affrontements ont débuté sur l'île d'Ambon avec des attaques village contre village. Pour exemple, un village catholique a été totalement rasé et sa population a été sauvé in extremis par l'armée. La fin de l'année 1999 a connu une recrudescence des affrontements, provoquant un déplacement de population supérieur à 100.000 personnes. Les incidents concernent aussi bien les communautés chrétiennes que musulmanes et se sont étendus à l’ensemble de l’archipel des Moluques d’une façon exponentielle: altercations, émeutes, mise à feux et pillage de maison, destructions d'églises et de mosquées.
Une étape supplémentaire dans la haine religieuse en Indonésie à été franchie début janvier 2000. Plus de 100.000 personnes ont manifesté à Jakarta, capitale du pays, appelant à la guerre sainte contre les Chrétiens. Parmi les beuglements d'une foule aveuglée par ses vérités factices: "Dieu est le plus grand", "Brûlez les églises", "La tolérance est absurde, massacrez les chrétiens". Une haine qui répond en écho à des propos tenus par des leaders chrétiens entendus: "Nous vaincrons par le sang de Jésus". Cet évènement qui a généralisé les conflits religieux à l’ensemble du pays témoigne de la gravité de la situation en Indonésie".
Il est vrai que l'Indonésie est le pays musulmans le plus peuplé et est traversé depuis plusieurs années par des courants intégristes musulmans.
De plus, la terre se fait rare et parfois, les conflits religieux dissimulent une lutte pour contrôler les espaces agricoles.
Sauf, dans le cas de l'Irian Java où la terre arable, comme en Amazonie est de peu de densité. Du coup, lorsque les arbres sont coupés, le peu de terre arable part avec les premières pluies. Après, même le manioc ne pousse pas. Donc, dans leur malheur, on peut dire que les papous ont de la chance, il n'y a plus chez eux de politique de peuplement. Car politique de peuplement, comme actuellement en Nouvelle Calédonie, il y a eu. Dans la perspective de noyer évidemment une population d'origine dans un substrat totalement étranger.
D'ailleurs, les conflits pour la terre vont se multiplier à travers la planète vu qu'elle devient une denrée rare avec l'eau, naturlich.
Bon, voila pour aujourd'hui. Il va être l'heure que je reprenne le boulot.
Alors, bien le bonjour chez vous.
René.
Bon, mis à part nos problèmes quotidiens. Peut-être qu'il se passe quelque autre évènements dans un monde troublé des bonnes intentions que nous réservent nos gouvernants pour sauver le libéralisme économique.
Un libéralisme salué à son époque de gouvernance par Jospin, ancien premier ministre qui a appelé ça, "Economie de marché".
Donc, je vous parle aujourd'hui de ceux dont on ne parle jamais, les papous de la province de l'Irian Java en Nouvelle Guinée annexée par l'Indonésie avec l'aval à l'époque des Etats-Unis et de l'ONU. Car, à l'époque, il fallait lutter contre l'influence communisme et donc serrer les rangs autour des alliés des Etats-Unis.
Comme d'habitude, je vous soumets un article des Nouvelles Calédoniennes de ce jour.
"Des milliers de Papous manifestent pour l’indépendance.
Des milliers d’habitants de la Papouasie-Occidentale ont manifesté, lundi, dans plusieurs villes de la province indonésienne, pour réclamer l’indépendance vis-à-vis de Jakarta, et le contrôle des ressources de la région. Plusieurs milliers de personnes ont manifesté pour célébrer le 47e anniversaire de l’indépendance, lundi, en Papouasie-Occidentale, une Province d’Indonésie. Les séparatistes papous célèbrent tous les 1ers décembre la reconnaissance de l’indépendance obtenue, selon eux, au départ des colons néerlandais, en 1961. Ils ne reconnaissent pas le référendum, considéré aujourd’hui comme truqué bien qu’organisé sous l’égide de l’ONU, à l’issue duquel l’Indonésie a annexé la Papouasie-Occidentale, en 1969. Car c’est le gouvernement indonésien qui avait choisi les leaders tribaux papous ayant le droit de voter à ce référendum. Les principales manifestations se sont déroulées à Manokwari, avec environ 2 000 personnes, et à Nabire, où près de 500 policiers et militaires ont surveillé un rassemblement de prière, a précisé un responsable religieux, Yones Douw. A Sentani, près de Jayapura, la capitale de la province, les manifestants, vêtus des costumes traditionnels et le visage peint ont scandé des slogans indépendantistes. Mais les rassemblements, qui étaient placés sous haute sécurité, se sont déroulés sans incident. Un homme a toutefois été interpellé à Manokwari, une des principales villes de la Province, pour avoir brandi le Morning Star, le drapeau indépendantiste papou, un délit passible de la prison à vie en Indonésie. Les séparatistes papous accusent aussi Jakarta de profiter des importantes ressources naturelles, notamment minières, que renferme la province sans en faire profiter la population locale. « Nous sommes pauvres et nous souffrons sur une terre de richesses », a dénoncé lundi Taha Alhamid, secrétaire général du Conseil Papou (PDP). « Nous allons continuer notre mobilisation jusqu’à ce que la Papouasie soit libre. » Les indépendantistes réclament notamment la fermeture de la mine de Timika, la troisième plus grande mine de cuivre du monde, gérée par la société américaine Freeport Mc moran Copper and Gold Ltd".
Jérôme Gavelle
Encore qu'à mon avis, ils ont de la chance que les islamistes radicaux indonésiens ne viennent pas les convertir de force. Des conflits de ce genre parsèment les îles indonésiennes. A Bornéo, par exemple où les dayaks luttent contre l'envahissement des colons venus des autres îles qui déforestent à tout va. Aux Moluques où les chrétiens se défendent également contre l'immigration d'origine musulmane.
Et, pour mes dires, je vous propose l'extrait d'un papier saisis sur le net en faisant, conflit religieux en Indonésie. Même si celui peut être parcellaire et sorti de son contexte, il donne une idée d'une réalité.
"Les Moluques sont situées à l’est de l’archipel et ont subi des influences catholiques et protestantes par l’intermédiaire des colonies Portugaises et Hollandaises. Ces dernières années l'immigration musulmane en provenance d'autres îles a été encouragée par le gouvernement. Les Chrétiens sont alors devenus minoritaires avec 40% de la population.
Les affrontements ont débuté sur l'île d'Ambon avec des attaques village contre village. Pour exemple, un village catholique a été totalement rasé et sa population a été sauvé in extremis par l'armée. La fin de l'année 1999 a connu une recrudescence des affrontements, provoquant un déplacement de population supérieur à 100.000 personnes. Les incidents concernent aussi bien les communautés chrétiennes que musulmanes et se sont étendus à l’ensemble de l’archipel des Moluques d’une façon exponentielle: altercations, émeutes, mise à feux et pillage de maison, destructions d'églises et de mosquées.
Une étape supplémentaire dans la haine religieuse en Indonésie à été franchie début janvier 2000. Plus de 100.000 personnes ont manifesté à Jakarta, capitale du pays, appelant à la guerre sainte contre les Chrétiens. Parmi les beuglements d'une foule aveuglée par ses vérités factices: "Dieu est le plus grand", "Brûlez les églises", "La tolérance est absurde, massacrez les chrétiens". Une haine qui répond en écho à des propos tenus par des leaders chrétiens entendus: "Nous vaincrons par le sang de Jésus". Cet évènement qui a généralisé les conflits religieux à l’ensemble du pays témoigne de la gravité de la situation en Indonésie".
Il est vrai que l'Indonésie est le pays musulmans le plus peuplé et est traversé depuis plusieurs années par des courants intégristes musulmans.
De plus, la terre se fait rare et parfois, les conflits religieux dissimulent une lutte pour contrôler les espaces agricoles.
Sauf, dans le cas de l'Irian Java où la terre arable, comme en Amazonie est de peu de densité. Du coup, lorsque les arbres sont coupés, le peu de terre arable part avec les premières pluies. Après, même le manioc ne pousse pas. Donc, dans leur malheur, on peut dire que les papous ont de la chance, il n'y a plus chez eux de politique de peuplement. Car politique de peuplement, comme actuellement en Nouvelle Calédonie, il y a eu. Dans la perspective de noyer évidemment une population d'origine dans un substrat totalement étranger.
D'ailleurs, les conflits pour la terre vont se multiplier à travers la planète vu qu'elle devient une denrée rare avec l'eau, naturlich.
Bon, voila pour aujourd'hui. Il va être l'heure que je reprenne le boulot.
Alors, bien le bonjour chez vous.
René.
mercredi 3 décembre 2008
"La distance qui relie la terre au ciel est celle de la pensée". Proverbe Mongole.
Salut aux compagnons du coquelicot, vous n'êtes pas encore fichés comme terroristes, tout simplement parce que vous n'existez que dans ma tête.
Il y a des jours comme ça où l'on peut se demander quelle dérive entraîne notre gouvernement. L'ancien directeur du journal Libération a été arrêté chez lui, menotté devant ses gosses et a subi une fouille au corps et mis à nu dans les locaux de la police.
Notre ministre de l'intérieur s'invente un complot terroriste sur le dos de militants altermondialistes.
Le gouvernement réduit de fait les budgets de l'université, des actions sociales, des hôpitaux. D'un autre côté, la crise aidant, il distribue à tire la rigot l'argent public aux banquiers, aux industriels.
Ces gens-là ne respectent même pas leur part du contrat. Les banques resserrent le crédit, les industriels continuent de licencier.
De son côté, les restaurants du coeur qui distribuent des repas et des colis alimentaires aux plus démunis sont obligés de durcir les conditions d'accueils par manque de financement.
Le président de la république dans une déclaration publique se moque des syndicats en parlant de leur capacité à mobiliser leurs adhérents à l'occasion de mouvement sociaux.
Le ministre chargé de l'éducation propose sérieusement la suppression des maternelles en stigmatisant les éducatrices.
Le gouvernement reprend le contrôle des chaînes de télévision publique et certainement se débarrassera d'une partie d'entre elles.
Et, en faveur de qui ? De Bouygues, Bolloré et compagnie, les amis très chers de notre président.
Bref, on nage carrément dans le délire.
Par contre, au Brésil le gouvernement a décidé de lutter contre la déforestation amazonienne. Des scieries ont été fermées et le service qui est attaché au contrôle de la bonne gouvernance de la forêt n'a pratiquement pas de moyen. Alors, vraie volonté ou poudre aux yeux ?
D'un autre côté, l'effet le plus visible du changement climatique est la désertification. 400 millions de personnes vivent désormais dans des zones en voie de désertification. Eux, ils rêveraient d'avoir une forêt à proximité parce que la forêt signifie l'eau.
Et pendant ce temps en France, le gouvernement fait des économies de bout de chandelle et pratique une politique digne des anciennes directives du FMI. Et, pour faire bonne mesure va mettre en vente les derniers bijoux de famille, SNCF, la poste, EDF.....etc.
Alors que s'il supprimait les niches fiscales, il récupérerait de quoi couvrir la dette publique. Sauf que, sauf que les riches n'aiment pas que l'on touche à leur porte monnaie.
Il y a le feu au lac et le gouvernement se contente de mesurettes en taillant allégrement dans les services publics.
Et, en attendant nos industriels au lieu de se reporter sur des futurs secteurs porteurs comme tout ce qui concerne le changement climatique continuent à traîner leurs guêtres dans des créneaux appelés à disparaître.
Un peu d'imagination que diable !
Et, ce n'est pas en profitant des contrats aidés qu'ils vont casser la baraque.
Bon, je veux bien qu'après la croissance infernale des pays émergents qui nous a coûté trop d'emplois, ils soient un peu frileux.
Mais, que diable, nous ne sommes pas les seuls à en subir les conséquences. Actuellement, le prix des matières premières dégringolent comme le baril de pétrole à moins de 50 dollars alors qu'il était monté à 150 dollars. Le riz suite à de bonnes récolte a accusé lui aussi une descente.
Sauf que de tout cela, nous les consommateurs de base, on en voit pas les répercutions sur les prix dans les rayons.
Est-ce que nos grands distributeurs seraient-ils en train de faire sur notre dos de supers bénéfices ?
La vie est trop chère pour tous et partout dans le monde. On vit déjà à la dure et je n'ai qu'à regarder le panier de la ménagère pour m'apercevoir qu'il est de moins en moins plein. Même en Chine où la demande internationale a boosté la croissance, des usines ferment jetant à la rue des travailleurs sans aucune indemnité de licenciement. Pourtant, le gouvernement chinois se revendique communiste.
Nous, heureusement, nous vivons en régime démocratique. Ce qui veux dire que nous sommes un plus avancé. Avec ça, on est bien.
Bon, voilà, c'est tout ce que je voulais vous dire pour aujourd'hui.
Bien le bonjour chez vous.
René.
Il y a des jours comme ça où l'on peut se demander quelle dérive entraîne notre gouvernement. L'ancien directeur du journal Libération a été arrêté chez lui, menotté devant ses gosses et a subi une fouille au corps et mis à nu dans les locaux de la police.
Notre ministre de l'intérieur s'invente un complot terroriste sur le dos de militants altermondialistes.
Le gouvernement réduit de fait les budgets de l'université, des actions sociales, des hôpitaux. D'un autre côté, la crise aidant, il distribue à tire la rigot l'argent public aux banquiers, aux industriels.
Ces gens-là ne respectent même pas leur part du contrat. Les banques resserrent le crédit, les industriels continuent de licencier.
De son côté, les restaurants du coeur qui distribuent des repas et des colis alimentaires aux plus démunis sont obligés de durcir les conditions d'accueils par manque de financement.
Le président de la république dans une déclaration publique se moque des syndicats en parlant de leur capacité à mobiliser leurs adhérents à l'occasion de mouvement sociaux.
Le ministre chargé de l'éducation propose sérieusement la suppression des maternelles en stigmatisant les éducatrices.
Le gouvernement reprend le contrôle des chaînes de télévision publique et certainement se débarrassera d'une partie d'entre elles.
Et, en faveur de qui ? De Bouygues, Bolloré et compagnie, les amis très chers de notre président.
Bref, on nage carrément dans le délire.
Par contre, au Brésil le gouvernement a décidé de lutter contre la déforestation amazonienne. Des scieries ont été fermées et le service qui est attaché au contrôle de la bonne gouvernance de la forêt n'a pratiquement pas de moyen. Alors, vraie volonté ou poudre aux yeux ?
D'un autre côté, l'effet le plus visible du changement climatique est la désertification. 400 millions de personnes vivent désormais dans des zones en voie de désertification. Eux, ils rêveraient d'avoir une forêt à proximité parce que la forêt signifie l'eau.
Et pendant ce temps en France, le gouvernement fait des économies de bout de chandelle et pratique une politique digne des anciennes directives du FMI. Et, pour faire bonne mesure va mettre en vente les derniers bijoux de famille, SNCF, la poste, EDF.....etc.
Alors que s'il supprimait les niches fiscales, il récupérerait de quoi couvrir la dette publique. Sauf que, sauf que les riches n'aiment pas que l'on touche à leur porte monnaie.
Il y a le feu au lac et le gouvernement se contente de mesurettes en taillant allégrement dans les services publics.
Et, en attendant nos industriels au lieu de se reporter sur des futurs secteurs porteurs comme tout ce qui concerne le changement climatique continuent à traîner leurs guêtres dans des créneaux appelés à disparaître.
Un peu d'imagination que diable !
Et, ce n'est pas en profitant des contrats aidés qu'ils vont casser la baraque.
Bon, je veux bien qu'après la croissance infernale des pays émergents qui nous a coûté trop d'emplois, ils soient un peu frileux.
Mais, que diable, nous ne sommes pas les seuls à en subir les conséquences. Actuellement, le prix des matières premières dégringolent comme le baril de pétrole à moins de 50 dollars alors qu'il était monté à 150 dollars. Le riz suite à de bonnes récolte a accusé lui aussi une descente.
Sauf que de tout cela, nous les consommateurs de base, on en voit pas les répercutions sur les prix dans les rayons.
Est-ce que nos grands distributeurs seraient-ils en train de faire sur notre dos de supers bénéfices ?
La vie est trop chère pour tous et partout dans le monde. On vit déjà à la dure et je n'ai qu'à regarder le panier de la ménagère pour m'apercevoir qu'il est de moins en moins plein. Même en Chine où la demande internationale a boosté la croissance, des usines ferment jetant à la rue des travailleurs sans aucune indemnité de licenciement. Pourtant, le gouvernement chinois se revendique communiste.
Nous, heureusement, nous vivons en régime démocratique. Ce qui veux dire que nous sommes un plus avancé. Avec ça, on est bien.
Bon, voilà, c'est tout ce que je voulais vous dire pour aujourd'hui.
Bien le bonjour chez vous.
René.
lundi 1 décembre 2008
Salut à toutes les têtes en l'air. Avec le peu qui vous reste dans le portefeuille, vous devez vous sentir encore plus léger.
Bon, soyons sérieux. En France, existe une ong appellée "Les restaurants du coeur". Cette brillante action en faveur des défavorisés a été lancé par un comique français, Coluche.
Normalement, les restaurants du coeur distribuent 3 millions de repas pendant la période hivernale. Ils dépendent des dons divers, de la banque alimentaires, de dons de privés et de l'aide de l'état.
Chaque année, les indigents viennent plus nombreux pour profiter de l'aide que leur offre les restaurants et pouvoir disposer de colis alimentaires.
Actuellement, de plus en plus de retraités arrivent sur les listes. Car, pour pouvoir avoir droit aux aides alimentaires, il faut passer par une assistante sociale qui après avoir estimée vos revenus vous délivre une carte d'accès.
Seulement, les restaurants du coeur n'ont plus assez de subsides pour aider tous ceux qui se présentent de plus en plus nombreux.
Alors, une question se pose, le gouvernement après avoir accordé tant de milliards aux prévaricateurs, laissera-t-il les restaurants du coeur ne plus pouvoir aider les pauvres à se nourrir ?
Parce qu'entre-nous, donner des milliards aux banquiers qui ne font pas leur part du marché, c'est pourri.
Parce qu'entre-nous, donner des milliards d'aides aux entreprises par différents moyens qui ne font pas leur part du marché, c'est pourri.
Donner des millions aux restaurants du coeur qui font plus que leur part du marché, c'est bonus.
Alors, cet appel au gouvernement et à tous les gros richards que compte notre beau pays, ça serait un changement dans la mentalité de ces gens.
Voilà, c'est tout ce que mon indignation voulait exprimer aujourd'hui.
Alors, si vous n'avez pas de fric, soyez bénévole ou faites la quête entre vous puisque le gouvernement n'aidera pas plus les restaurants du coeur.
Bien le bonjour chez vous.
René.
Bon, soyons sérieux. En France, existe une ong appellée "Les restaurants du coeur". Cette brillante action en faveur des défavorisés a été lancé par un comique français, Coluche.
Normalement, les restaurants du coeur distribuent 3 millions de repas pendant la période hivernale. Ils dépendent des dons divers, de la banque alimentaires, de dons de privés et de l'aide de l'état.
Chaque année, les indigents viennent plus nombreux pour profiter de l'aide que leur offre les restaurants et pouvoir disposer de colis alimentaires.
Actuellement, de plus en plus de retraités arrivent sur les listes. Car, pour pouvoir avoir droit aux aides alimentaires, il faut passer par une assistante sociale qui après avoir estimée vos revenus vous délivre une carte d'accès.
Seulement, les restaurants du coeur n'ont plus assez de subsides pour aider tous ceux qui se présentent de plus en plus nombreux.
Alors, une question se pose, le gouvernement après avoir accordé tant de milliards aux prévaricateurs, laissera-t-il les restaurants du coeur ne plus pouvoir aider les pauvres à se nourrir ?
Parce qu'entre-nous, donner des milliards aux banquiers qui ne font pas leur part du marché, c'est pourri.
Parce qu'entre-nous, donner des milliards d'aides aux entreprises par différents moyens qui ne font pas leur part du marché, c'est pourri.
Donner des millions aux restaurants du coeur qui font plus que leur part du marché, c'est bonus.
Alors, cet appel au gouvernement et à tous les gros richards que compte notre beau pays, ça serait un changement dans la mentalité de ces gens.
Voilà, c'est tout ce que mon indignation voulait exprimer aujourd'hui.
Alors, si vous n'avez pas de fric, soyez bénévole ou faites la quête entre vous puisque le gouvernement n'aidera pas plus les restaurants du coeur.
Bien le bonjour chez vous.
René.
Inscription à :
Articles (Atom)