Salut au père zarachoustra, il n'y a de salut que dans la fuite.
Bon, aujourd'hui, je vais tenter de refaire mon texte effacé.
Donc, il s'agit d'un article lu sur le n°915 du Courrier International, p48. Un article du magazine Alternet de San Francisco.
Stephen Hawking, éminent scientifique (que je ne connais pas) s'est dit en 2006 "très préoccupé par le réchauffement climatique, ajoutant que la terre pourrait finir comme Vénus, avec une température de 250°C et des pluies d'acide sulfurique".
Donc, nous voilà prévenus, ça craint un max !
Maude Barlow, fondatrice du Blue Planet Project et directrice nationale du groupe de pression Council of Canadians en rajoute une couche, "Je crains que la crise mondiale de l'eau ne balaie la vie de la surface de la terre si nous ne nous en préoccupons très vite".
Car, il ne faut pas tomber dans le piège qui consiste à croire que comme "plus de 70% de notre planète étant constituée d'océans, il suffit de retirer le sel de cette eau et de regarder avec délectation nos réservoirs se remplir".
Parce que le souligne Maude Barlow, "pour chaque unité d'eau douce ainsi produite, c'est une unité équivalent de saumure toxique qu'on rejette dans les océans. Actuellement, les usines de dessalement produisent 19 millions de mètres cubes de déchets chaque jour. On estime que leur production aura d'ici à 2015, et les rejets de saumure et l'acidification des océans seront multipliés d'autant. Le dessalement n'est absolument pas une solution raisonnable. Ces usines sont des monstres polluants, extrêmement gourmands en énergie et produisant une saumure toxique qui tue la vie aquatique à des kilomètres à la ronde".
Le journaliste Les Blumenthal expliquait récemment dans les publications du groupe de presse américain McClatchty Newspapers que "les océans présentent d'ores et déjà un taux d'acidité de 30% supérieur à celui enregistré au début de la révolution industrielle, et ils absorbent chaque jour 22 tonnes de dioxyde de carbone. D'ici à la fin de ce siècle, ils pourraient être 150% plus acides".
Je vous le dis et je vous le répète après avoir lu l'article, On est mal barre !
Bon, on peut se dire que la fonte de la calotte glacière va réguler un peu l'histoire. Mais, même si cela retarde le phénomène, au final, on aura détruit les océans.
Seulement, comment faire pour l'eau ?
Déjà que nous avons deux milliards de personne qui vivent au dessous du seuil de pauvreté et dans des lieux où l'accès à l'eau potable est aléatoire, ça pose un sacré problème.
Parce que en plus, la population augmente et l'agriculture moderne est une grosse consommatrice d'eau. Alors, faut-il reconsidérer les organisme génétiquement modifiés ? Des plantes peu consommatrices d'eau et pouvant pousser en milieu désertique ? Oui, peut-être, mais, sans intégrer de pesticides dans leur ADN.
Perso, je suis contre les OGM et surtout contre le fait que Mosantos s'arroge le monopole des semences agricoles.
Parce que lorsqu'il s'agit du vivant et que ce vivant concerne l'ensemble de la planète, les brevets devraient être interdits.
Et, en fait, tout ça nous ramène à nos contradictions.
On ne veut plus de pétrole, mais, les agro-carburants ne sont pas la panacée.
On veut développer la production agricoles, mais, les OGM posent problèmes.
On veut plus d'eau en dessalant l'eau de mer, mais, cela augmente l'acidité des océans.
On ne veut plus de centrales nucléaires, mais, on va les faire au charbon. Et, ça va pire polluer.
Bref, tout ça, c'est la quadrature du cercle. On s'en sort pas.
Alors, que faire, à part préparer un monde à nos enfants qui va les faire crever.
Et, c'est là que je disais avant hier avant que mon texte ne s'efface que si, il n'y a pas de solution, il fallait travailler sur l'humain. Donc, modifier génétiquement l'être humain de manière à ce qu'il puissent survivre dans des conditions climatiques extrême.
Je vous le dis tout net et tout clair, nous devons travailler sur les mutants qui demain permettront à l'espèce humaine de rester inscrite dans l'univers.
Alors, chercheurs, à vos recherches car, c'est ça l'avenir !
Bon, je sens que vous allez dire, mes trois chers lecteurs, "Il est encore reparti dans ses délires".
Je vous répondrais tout simplement que si à partir de l'homme, nous créons un être avec une peau plus épaisse à cause de l'acidité, pas de poumons, des palmes plutôt que des pieds et tout le reste à l'avenant, nous survivrons !
Dites-vous bien que seul le cerveau compte. Parce que c'est la pensée qui doit perdurer.
Ah, oui, je rajoute plus de zizis, comme ça, ça évitera la surpopulation.
Alors, maintenant que je vous ai tout expliqué, êtes-vous d'accord ?
Non ? Ou peut-être ben que oui, peut-être ben que non ?
En tout cas, réfléchissez car la solution du mutant humain est entre toute la plus économique.
Et, sur ces bonnes paroles, je vous laisse à votre endormisement intellectuel.
Bien le bonjour chez vous.
René.
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