Bonjour à la Chine, qu'elle nous envoie tous ses chômeurs.
Bonjour à vous tous également mes lecteurs, vous êtes trois. A ce niveau là, il faut organiser une tombola et le gagnant aura droit à un abonnement chez Mickey.
Surtout, ne soyez pas désespérés, je suis toujours vaillant sur le pont. Au moins, moi, je vous ouvre mon coeur et je ne cherche pas à vous dépouiller votre portefeuille.
Aujourd'hui, après avoir fait une pause de trois jours, histoire de rebrancher la batterie pour pouvoir à nouveau vous exploser ma joie de vivre à la figure, j'ai repris la plume. Je sais, je sais, vous étiez prêts à vous faire sauter le caisson par millions, mais n'exagérons pas, il faut raison garder. Donc, votre maître à penser préféré est de retour.
En me promenant à travers bois, j'ai appris que la Corée du Nord cessait son programme nucléaire à but militaire. Ouh-là-là, ils ont dû se faire taper sur les doigts par les voisins chinois. Par contre, l'Iran continue de plus belle. Maintenant, ils ont une fusée pour y coller leur futur missile nucléaire. Et du coup, les américains installent en Europe de l'est un bouclier antimissile. On se demande bien pourquoi, vu que les iraniens vont mettre un paquet de temps avant de disposer de missiles pouvant atteindre les States.
Ne tenteraient-ils pas de nous préparer une bonne petite désinformation afin de préparer les opinions publiques à une petite intervention de derrière les fagots ?
Après tout, l'Inde est une puissance nucléaire, le Pakistan aussi et peut-être un jour Hugo Chavez au Vénézuella qui a de vraiment pas belles fréquentations (dixit Bush).
Mais, au moins, lui, agit pour mettre en place des programmes sanitaires, éducatifs, alimentaires pour aider les pauvres de son pays à sortir la tête du marigot.
Il a raison, il a du pétrole et peut se payer 10.000 médecins cubains. Eux, ils sont contents, ils gagnent plus que chez eux et peuvent même envoyer des sous à leurs familles au pays. Un médecin à Cuba, ça doit faire combien ? 150 francs par mois, pas plus. Au moins, là-bas, à Cuba, ils pratiquent l'égalité dans le dénuement, mais c'est l'égalité quand même. C'est pas chez les ricains que cela pourrait se faire, chez eux, il y a le dénuement, sauf qu'ils n'y sont pas égaux. Y'a toujours pire que toi. Mais, la révolution, me dire-vous ? Alors, je dis, Arrêtez, la révolution, c'est des trucs périmés. Lorsque vous étiez petits, on vous racontait des contes de fées. Après, c'est la même, on vous parle de révolution où de grands leaders vous imaginent des mondes merveilleux. Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants ou armons-nous et partez et la misère restera pour toujours derrière nous.
Eh oui ! Mais, si l'homme a une bouche, c'est bien pour faire des discours et si l'homme a des oreilles, c'est bien pour écouter les discours.
En fait, j'aurais dû me présenter à l'élection présidentielle. Parce qu'au moins, au lieu d'avoir trois affidés fanatiquement convaincus, j'aurais tous mes adversaires électoraux qui se seraient penchés sur mon blog pour me piquer mes idées. En comptant Sarkho, Ségolène, Bayrou, Marie-france, Besancenot, Lepen, Voynet, Arlette, cela m'en aurait huit de plus. Putain, le pied d'acier.
Hélas, je suis sans ambition, voilà ma fatalité.
Ah, non, je ne devrais pas dire ça parce que mon extra-terrestre, meuf, je précise, si elle lit ça, va me prendre pour un gros naze. Je sais, on me l'a déjà dit, sauf que côté mémoire, je suis plutôt négligent. Ça le fait pas qu'une nana dise à un mec, "t'es un gros naze !" Qu'est-ce que vous voulez lui répondre, "Pétasse !" C'est un peu léger, non ? Peut-être, "Gros Thon !" ou "Ouh, la vilaine !" Là, je dis pas, ça fait plus classe, non ?
Mais, sérieux, je dois vous avouer quelque chose qui est toujours resté comme le traumatisme qui a bouleversé ma vie. Je peux vous faire confiance, oui ? Ouf, je respire, j'ai cru un court instant être seul au monde. Donc, je vous fais confiance. Ce qui a bouleversé ma vie, c'est que ma maîtresse m'a fait redoubler la maternelle. Si, je le jure !
Forcément, après, ma vie était foutue, surtout dans ma relation avec les femmes.
C'est pour ça, si mon extra-terrestre avec ses trois tentacules qui lui servent de doigt voulait me faire un petit calin. Ben, je vous le jure, ça serait pas de refus.
Et à nouveau, sur ces bonnes paroles, je vous souhait, bien le bonjour chez vous.
René.
P.S :de temps en temps, faut arrêter de parler du cirque électoral. Ça finit par pomper l'air.
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