vendredi 5 juin 2015

(blog à finir et à corriger)

Eh, oui, mes chers cinq lecteurs, aux Etats-Unis, ils n'aiment pas les pauvres et traitent les personnes qui les aident en criminelle. Et, évidemment, l'initiative de supprimer le cash au niveau mondial vient des banques américaines.
Donc, les pauvres, les Sans Domicile Fixe, les précaires qui tentent de s'en sortir en s'intégrant dans l'économie informelle qui même dans les pays occidentaux est primordiale pour l'économie, tous ces gens sont condamnés........à mort !
Le rêve américain prend une drôle de tournure, celle d'une société qui euthanasie ses citoyens sans le dire accompagnée d'un système sanitaire mortifère qui les neutralise par une prise de calmants et psychotropes massives propres à éteindre toute "colère" et qui les tuent à petit feu.
Les Etats-Unis se transforment en cauchemar sans moral et sans éthique, quelque chose qui se rapproche le plus de l'enfer et c'est cette enfer là que nous propose comme modèle social l'ancien président français sarkozy et le nouveau hollande.
C'est bien pour cela qu'il faut casser le bi-partisme qui où les intérêts des deux parties sont les mêmes, ceux des intérêts privés qui alimentent les dettes publiques.
Aux States, ils feraient mieux de voter pour le seul démocrate qui annonce un socialisme à l'américaine et en France, nous ferions bien de bouter dehors du jeu politique sarkozy et hollande et leur parti réciproque, même, si, j'ai toujours porté un regard amical à Alain Juppé tout en votant à gauche, c'est à dire, en m'abstenant depuis deux ans.

(source : Le Journal de Montréal)

Congédiée pour avoir donné des repas aux élèves qui avaient faim



Della Curry, mariée et mère de deux enfants, s’est fait congédier vendredi de 
son poste de gérante de cuisine à l’école primaire de Dakota Valley à Aurora, 
au Colorado.
Elle a perdu son emploi après avoir distribué des repas gratuits à des étudiants qui 
n’avaient pas assez d’argent pour manger.
«J’avais une élève de première année en avant de moi, pleurant parce qu’elle n’avait 
pas assez d’argent pour dîner. Oui, je lui ai donné un repas», a affirmé Curry à KCNC-TV.
Dans le district scolaire de Cherry Creek, les étudiants qui n’ont pas droit au programme 
de repas gratuits reçoivent une tranche de fromage sur un pain à hamburger et un petit lait.
Selon Della, ce repas n’est pas suffisant. Elle a dit qu’elle a souvent payé des repas 
aux étudiants de son propre argent.
Pour être admissible au programme de repas gratuits, une famille de quatre doit avoir u
n revenu total d’environ 31 000 $ US ou moins.
Della a affirmé que les étudiants qu’elle a aidés n’étaient pas admissibles au programme.
«Certains enfants dont les parents font trop d’argent pour avoir droit au programme 
n’ont souvent pas assez d’argent pour manger», elle a affirmé.
Le district scolaire de Cherry Creek a affirmé que tous les gens qui ont été congédiés 
ont commis une infraction quelconque à une politique écrite.
Della a confirmé que c’est ce qui s’est produit dans son cas, mais qu’elle a hâte de 
discuter avec le conseil scolaire pour tenter d’apporter des modifications à la politique 
des dîners."
A part cela, en Syrie, l'Etat Islamique, daech qui dispose d'un stock d'armement  qui ne faiblit pas bizarrement vu que les pays autour sont contre lui, Jordanie, Liban, Israël, Turquie, Irak continue à engranger les combattants et les armes. Seul la Turquie et Israël qui soigne les combattants djihadistes blessés et les renvoie en Syrie sont en position de le faire.
Les frappes aériennes des Etats-Unis bizarrement aussi n'affaiblissent pas la capacité militaire de daech. Et, dans ce bourbier que fait la France, continue-t-elle à soutenir financièrement et en armement Al nosra ?
A mon avis, oui !

(source : RFI)





SYRIE BACHAR EL-ASSAD EI HEZBOLLAH 

Syrie: 10 000 volontaires rejoignent Damas pour soutenir le régime


mediaLes combats sont violents dans les environs de la capitale syrienne, comme ici dans la Ghouta, le 21 mai 2015.REUTERS/Diaa Al-Din
Après une série de revers infligés ces deux derniers mois par les rebelles à l'armée syrienne, les alliés régionaux de Damas se sont mobilisés pour lui venir en aide. Des milliers de volontaires ont été envoyés à Damas.


Avec notre correspondant à Beyrouth au Liban,  Paul Khalifeh
D'Iran, d'Irak, du Liban, mais aussi d'Afghanistan, les renforts arrivent de partout pour soutenir l'armée syrienne. Ces dernières semaines, quelque 7 000 volontaires iraniens etchiites irakiens sont arrivés à Damas par voie aérienne. Ils devraient être rejoints par 3 000 autres combattants.
La mission de cette force de 10 000 hommes est de protéger la capitale, qui est la prochaine cible des offensives rebelles, comme l'a réaffirmé la semaine dernière Abou Mohammad al-Joulani, le chef du Front al-Nosra, la branche syrienne d'al-Qaïda, dans une interview accordée à la chaîne de télévision qatarienne, al-Jazeera.
La priorité de ces combattants est de protéger le mausolée de Sayeda Zeinab, où est enterrée la sœur du petit-fils du prophète Mahomet, l'imam Hussein, vénéré par les chiites. Sur un plan plus stratégique, l'objectif est d'empêcher la prise par les insurgés de l'aéroport international de Damas, au sud de la capitale, qui est la principale voie de ravitaillement du régime syrien.
Le Hezbollah libanais déploie en Syrie quelque 8 000 combattants aguerris pour soutenir l'armée syrienne. La moitié d'entre eux participent depuis trois semaines à la bataille du Qalamoun, qui vise à chasser les jihadistes de cette chaîne de montagnes, à la frontière libano-syrienne, au nord-ouest de Damas.
Il y a aussi des chiites afghans de l'ethnie des Hazaras, regroupés au sein d'une brigade appelée les « Fatimides ». Leur nombre n'est pas connu mais ils seraient de redoutables combattants.
Manque de soldats
Ces renforts témoignent du soutien réaffirmé de l'Iran, pour venir en aide à son allié syrien. Mais ils témoignent également de la faiblesse croissante, sur le terrain militaire, de l'armée syrienne, qui ne parvient plus à elle seule à répondre aux coups portés par ses adversaires.
« Après à peu près quatre ans de bataille, les forces du régime sont très affaiblies. Tout cela a été prouvé par les grandes retraites [d'un] régime [déployé] sur plusieurs fronts et dans plusieurs cités tout autour du territoire syrien, analyse Mario Abou Zeid, chercheur au Centre Carnegie pour le Moyen-Orient à Beyrouth. On a vu que l’opposition, après avoir été fragmentée, s’est réunie. Ils sont en train de coordonner leurs attaques. Et ça a prouvé que c’était très efficace contre les forces affaiblies du régime. »
Pour autant, le chercheur estime que la balance ne penche pas encore d'un côté ou de l'autre. « Pour le moment, on a [constaté] un équilibre dans la crise syrienne, mais on ne peut pas dire que l’opposition va totalement être victorieuse ou que le régime va perdre tout soudainement. Pour le moment, nous connaissons que l’opposition est en train de préparer leur attaque pour Damas et que le régime est en train de préparer la défense. On va voir comment les choses vont se développer. »
Recrutement
Des soldats de l'armée syrienne combattent l'organisation Etat islamique aux alentours de Palmyre.AFP PHOTO / STR
Le principal défi auquel le régime syrien est confronté après quatre ans de guerre est aujourd'hui le renouvellement des effectifs de l'armée. Le recrutement est difficile, malgré toutes les structures mises en place. Elle en compterait aujourd'hui 125 000, au lieu de 300 000 au début du conflit. Il faut y ajouter une centaine de milliers de volontaires de l'Armée de défense nationale ou de miliciens des comités populaires. Ce nombre est insuffisant pour tenir les 70 fronts sur lesquels se battent les troupes gouvernementales.
Selon des sources proches de Damas, l'armée aurait perdu 15 000 hommes ces douze derniers mois. Malgré une vigoureuse campagne nationale relayée par les médias officiels, 6 000 nouvelles recrues se sont enrôlées au lieu des 20 000 attendues. Le nombre d'insurgés dépasse les 70 000. On comprend, alors, que les alliés de Damas se soient énergiquement mobilisés pour lui apporter une aide indispensable pour poursuivre le combat.

En attendant, en France et aux Etats-Unis, plus le gouvernement coupe dans les dépenses sociales et des services publics, enseignement, services de retraites, etc, plus la dette augmente et plus le budget de l'armée augmente aussi. Au Japon, l'armée aura le droit d'envoyer des troupes à l'extérieur, en Allemagne, on réinvestit dans des brigades de chars, bref, tout le monde s'aligne sur les States.
Mais pour quoi ce faire ?

(source : Les Echos.fr)

Hollande consent un effort budgétaire «considérable» pour l’armée

ALAIN RUELLO / CHEF DE SERVICE ADJOINT | 

+ VIDEO - Le chef de l’Etat a conforté le budget 2015 de la défense et décidé une rallonge de 3,8 milliards jusqu’à la fin de la loi de programmation militaire en 2019. L’armée a obtenu de sauver 18.500 postes sur les 25.800 restant à supprimer.


En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/economie-france/budget-fiscalite/02138502215-le-budget-de-la-defense-sanctuarise-en-2015-1115445.php?YtrpfgGsGbsMjRWX.99



Le chef de l’Etat a conforté le budget 2015 de la défense et décidé une rallonge de 3,8 milliards jusqu’à la fin de la loi de programmation militaire en 2019. L’armée a obtenu de sauver 18.500 postes sur les 25.800 restant à supprimer. (...)"
 


Trop fort, notre président, il fait du sarkozy sans en avoir l'air, sauf, que plus personne ne le croit à part les suivistes du parti socialiste qui ne savent pas réfléchir sans être intégrés dans un appareil.
Eh, bien, qu'ils y restent !
A part cela, l'histoire du pipeline russe qui doit fournir en gaz l'Europe de l'Ouest sans passer par l'Ukraine va finir par provoquer des révolutions de couleur organisées par les ONG américaines dans tous les pays qui se déclarent en sa faveur, la Grèce, la Macédoine et maintenant la Slovaquie et naturellement en sous main avec la commission de Bruxelles.

(source : RT en français)

Après la Grèce, la Slovaquie envisage d'être reliée au gazoduc russo-turc

L'entreprise Gazprom a déjà pu définir le tracé du futur gazoduc Turkish stream© Flickr
L'entreprise Gazprom a déjà pu définir le tracé du futur gazoduc Turkish stream
La Slovaquie craint de subir de lourdes pertes financières si le gaz russe ne passe plus par son territoire. Le pays souhaite désormais être relié au projet de gazoduc Russie-Turquie, le Turkish Stream.

«Si nous cessons d'être un pays de transit de gaz vers l'Europe, notre budget subira de lourdes pertes». Cette déclaration est l’oeuvre du Premier ministre slovaque, Robert Fico. Alors qu’il était en visite à Moscou ce mardi, il a fait part de ses inquiétudes durant une conférence de presse commune avec son homologue, Dimitri Medvedev. Robert Fico a également rencontré le président Vladimir Poutine. 

La Slovaquie sert actuellement de pays de transit du gaz russe à destination de l’Europe via l’Ukraine. Mais Moscou a annoncé ne plus vouloir livrer cette source d’énergie en passant par Kiev à partir de 2019. Le chef du gouvernement slovaque a présenté son projet baptisé Eastring. Incluant la Bulgarie, la Roumanie, la Hongrie et la Slovaquie. Il a été préparé par Eustream, le gérant des infrastuctures gazières slovaques. Le projet serait en lien avec la connexion russo-turque. Autrement dit le Turkish Stream. 

South Stream, Turkish Stream et maintenant Eastring

Vous n’y comprenez plus rien ? C’est pourtant simple. Aujourd’hui, la majeure partie du gaz russe qui alimente l’Europe passe par l’Ukraine. Le volume de gaz en provenance de Moscou équivaut à près de 30% de la quantité totale importée par l’Europe. Et près de 50% passe par Kiev. Le Kremlin a décidé de suspendre la livraison de gaz à l’Europe via l’Ukraine dès 2019. Décision prise de longue date après que Kiev a siphonné du gaz à destination de l'Europe en 2006 et 2009.
Le projet South Stream aurait pu être une alternative. Ce gazoduc géant était censé relier la Russie à l’Europe en contournant l’Ukraine. Estimé à 40 milliards de dollars, il devait passer par la Bulgarie, la Serbie, la Hongrie et la Slovénie. Le projet était géré par un consortium de quatre entreprises, Gazprom (50%), l’italien ENI (25%), l’allemand Wintershall Holding (15%) et enfin le français EDF (10%).
Mais les travaux, débutés en 2012, n’iront jamais au bout. Vladimir Poutine a décidé d’abandonner le projet à la fin de l’année dernière. Dans le contexte de la crise ukrainienne, l’Union européenne s’était montrée très réticente à l’idée que le projet puisse aller au bout. Bruxelles avait tout d’abord dénoncé les contrats signés par Gazprom en les accusant de violer les règles européennes. Puis Moscou avait accusé en retour l’UE de faire pression sur certains états membres comme la Bulgarie afin qu’ils mettent fin à leur participation dans le projet. Ce que Sofia avait fait en juin dernier. En décembre, le président russe avait déclaré: «Si l'Europe ne veut pas de ce gazoduc, alors il ne sera pas construit». 

Pour ne pas perdre le bénéfice des investissements déjà réalisés, la Russie a changé son fusil d’épaule. C’est maintenant un gazoduc reliant la Russie à la Turquie qui est prévu. En février dernier, Gazprom a déclaré avoir défini les grandes lignes du tracé avec le ministre turc de l’énergie, Taner Yldiz. Le projet devrait compenser l’abandon du South Stream dès 2016. Il prévoit la mise en place d’un hub gazier à la frontière greco-turque. Le but de la manoeuvre est de permettre aux pays européens le désirant de s’y rallier.
Vladimir Poutine et le Premier ministre turque Davutoglu le 1er décembre 2014 à Ankara.Source: Reuters
Vladimir Poutine et le Premier ministre turque Davutoglu le 1er décembre 2014 à Ankara.

La Grèce et maintenant la Slovaquie


Bien décidé à tenir tête à Bruxelles, Alexis Tsipras envisage sérieusement une prolongation du Turkish Stream sur le territoire grec. Après avoir évoqué la situation avec Vladimir Poutine à plusieurs reprises, il semble que le projet avance. Le ministre grec de l’Energie, Panagiotis Lafazanis, a indiqué lundi que la question du financement était «réglée». Il a même envisagé la signature d’un accord durant un forum économique prévu du 18 au 20 juin à Saint-Pétersbourg. Le président de l’Institut de l’énergie et des finances russe, Vladimir Feïguine, est optimiste : «L'installation de l'infrastructure de Turkish Stream, que les Grecs qualifient déjà eux-mêmes de Greek, pourrait transformer le pays en État transit clé, ce qui lui offrirait des centaines de millions d'euros de recettes budgétaires.» 

Avec leur projet Eastring, les gouvernements bulgare, roumain, hongrois et slovaque pourraient rejoindre la Grèce dans leur volonté de profiter du Turkish Stream. Si Robert Fico a assuré que l’Eastring se ferait avec «la participation et le soutien de l’Union européenne», certains médias se montrent prudents. Plusieurs pays européens, par lesquels le gazoduc pourrait être prolongé, craindraient de se heurter à l’hostilité de Bruxelles."
Ah, là, là, en ce moment, les américains se mêlent de tout et se comportent en maître du monde. Et, c'est aussi bien pour cela que les grandes banques américaines  (too big to fall) veulent promouvoir la fin du cash, s'imaginant sans doute avoir trouvé le moyen de neutraliser l'effondrement du dollars qui risquerait de les tusunamiser.
Mais, en attendant, si, vous êtes un gouvernement, il faut mieux vous méfier au cas où Obama vous propose de vous aider.
Deux exemples :
Les States provoquent "LES" révolutions orange en Ukraine, au final, le pays s'écroule économiquement, les salaires sont à la hauteur des pays les plus pauvres d'Afrique, le tissu économique "collapse" et c'est la guerre civile.
En Syrie, les States, dans la foulée pour contrôler le Moyen Orient cherche à liquider le dictateur Assad, ils financent, arment, forment les mouvements islamistes et au final forme son propre mouvement, l'Etat islamique. Au final, les chrétiens se font massacrer avec les autres minorités religieuses, l'Irak s'effondre à nouveau, pareil pour la Syrie, des millions de réfugiés.
Bon, je ne vous fais pas la Libye où les américains ont accordé à sarkozy, l'ancien président français le rôle de roquet aboyant pour soigner sa pub personnel.
Mais, passons.

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