samedi 7 mars 2015

(blog à finir et à corriger)

Bon, mes chers cinq lecteurs, si, les néo-nazis ukrainiens, parce que pour moi, ce sont eux les commanditaires, ont parié sur l'assassinat de Nemstov à Moscou pour déclencher un maïdan à Moscou, ils se sont mis le doigt dans l'oeil.
Nemtsov n'a jamais été le leader de l'opposition russe, il n'est le leader que d'un petit parti d'opposition qu'il a fondé pour être sûr d'en être le chef incontesté.
Par ailleurs, chigago boy de Boris Elstine, il a participé au dépeçage de l'ex économie de l'URSS au bénéfice d'oligarques qui ont levé des fonds à l'étranger pour s'octroyer les parts des grandes sociétés d'état.
Donc, mauvais pari !
Souvenons-nous, de l'assassinat du PDG de la société pétrolière Total, Christophe de Margerie, qui s'opposait aux sanctions contre la Russie et l'Iran.
Souvenons-nous, des snipers néo-nazis et étrangers de la place Maïdan à Kiev.
Et, maintenant, l'assassinat de Nemstov à Moscou, cela sent vraiment les coups tordus et malgré ce que veut nous faire croire la propagande américaine bien rodée et reprise comme telle par les médias européens, Poutine n'a pas descendu l'avion de la Malaisian airlines, ni commandité le meurtre de Nemstov, qui pour lui ne représentait même pas 1% de l'opinion russe.
Par contre les médias occidentaux ont repris comme un seul homme que Saddam Hussein possédait la bombe atomique, alors qu'il n'avait que des stocks chimiques fournis par les français et les américains.
Après, ils ont joué les sainte Nitouche en disant que Bush leur avait menti et Bush a joué la même en affirmant qu'il avait été abusé par les rapports de la CIA, qui elle même a affirmé que ses rapports disaient le contraire.
Donc, pari raté, mais, comme cela fait parti des stratégies des commanditaires pour déstabiliser la Russie de l'intérieur, pari à renouveler.
Sans doute, le tueur est reparti vers l'Ukraine, mais, si, les néo-nazis sont les exécutants, les commanditaires restent dans l'ombre.
A moins qu'un grand quotidien américain ne décide d'engager une enquête sérieuse.
Mais, passons.

(source : Sputnik)


EU Foreign Affairs chief Federica Mogherini.

EU Will Not Be Dragged Into Confrontation With Russia - Mogherini



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POLITICS
(updated 15:47 07.03.2015)
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According to EU top diplomat, the Europen Union believes that "cooperation is far better than confrontation."
RIGA (Sputnik) — The European Union will not allow to drag itself into a confrontation, EU foreign policy chief Federica Mogherini said Saturday.
“The European Union today is extremely realistic about the developments in Russia, but we’ll never be trapped, or forced, or pushed, or pulled into a confrontative attitude. We still believe that … not only in our continent, but around our continent cooperation is far better than confrontation,” Mogherini told journalists after the informal meeting of the European Union’s foreign ministers in the Latvian capital of Riga.
On Friday, Mogherini also stated that the bloc had never sought and would never seek confrontation with Moscow. The European Union must engage with average Russians, especially youth, she said.
The relations between Russia and the West worsened significantly as the Ukrainian conflict evolved. Since last March, Western countries imposed several rounds of sanctions against Moscow over Russia’s alleged negative role in the internal crisis in Ukraine.
On February 16, the European Union unveiled its most recent set of individual sanctions, targeting 19 Russian and Ukrainian individuals and nine entities.
Russian authorities have repeatedly denied any involvement in the Ukrainian internal conflict, stressing that the sanctions are counterproductive and do not contribute to the peaceful resolution of the situation


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Et, c'est d'ailleurs, parce que l'Europe se divise concernant les sanctions contre la Russie que le camp anglo-saxon commence à la jouer solo en Ukraine.

(source : RTBF)

Les Européens divisés sur les sanctions économiques contre la Russie

ECONOMIE | Mis à jour le samedi 7 mars 2015 à 15h02
    • Les Européens ont constaté à Riga leur clivage sur les lourdes sanctions économiques contre la Russie qui arrivent à échéance en juillet, sur fond de débat sur la stratégie à adopter face à Moscou.
      "Il y a une fragile amélioration" de la situation dans l'est de l'Ukraine déchiré par un conflit qui a fait 6.000 morts en dix mois, a constaté le ministre français des Affaires étrangères Laurent Fabius en marge d'une réunion ministérielle de l'Union européenne à Riga vendredi et samedi.
      "Mais nous ne sommes pas encore dans une phase de cessez-le-feu durable", a estimé son homologue allemand Frank-Walter Steinmeier alors que des combats violent encore au quotidien la trêve signée le 12 février à Minsk.
      D'autres points de ces accords de paix, comme le contrôle par Kiev de la frontière russo-ukrainienne, un retrait total des armes lourdes de la ligne de front ainsi que l'échange de tous les prisonniers, ne sont pas encore totalement respectés, selon les ministres.
      Mais déjà, le débat entre Européens sur la suite à donner aux sanctions économiques, qui interdisent notamment de financer des banques et des géants de l'énergie russes dont Rosneft, a éclaté au grand jour à Riga.
      "Il y a une discussion", a reconnu M. Fabius alors qu'une nouvelle réunion des ministres des Affaires étrangères est prévue le 16 mars, avant un sommet des chefs d'Etat à Bruxelles le 19 consacré notamment à la stratégie de l'UE face à la Russie, y compris en matière de sanctions.
      Les "faucons", emmenés par la Grande-Bretagne, les pays baltes et la Pologne, veulent un renouvellement anticipé, dès mars, des sanctions afin de maintenir la pression sur la Russie, accusée par les Occidentaux de fournir troupes et armes aux séparatistes, ce que Moscou dément catégoriquement.
      "Nous attendrons d'avoir vraiment une désescalade avant de reculer en quoi que ce soit (...) donc elles devront probablement rester en application jusqu'à la fin de l'année", a résumé le ministre belge Didier Reynders.
      "Mieux vaut tôt que tard", a estimé le ministre lituanien Linas Linkevicius, l'un des rares Européens favorables à la livraison d'armes à Kiev.
      'Echiquier diplomatique'
      "D'autres disent: +ce serait un peu contradictoire de dire que Minsk est en train d'être appliqué et (malgré cela) on va les prolonger jusqu'à la fin de l'année+", a décrit M. Fabius.
      Parmi les "colombes", l'Espagne, qui estime le coût des sanctions à 21 milliards d'euros pour l'économie européenne, l'Italie, dont le Premier ministre Matteo Renzi a rendu visite à Vladimir Poutine, Chypre ou la Grèce.
      Certes, "les sanctions sont un moyen de l'échiquier diplomatique", "mais si on va dans la bonne direction dans l'est de l'Ukraine, il faut aussi réfléchir à (les) renverser", a ainsi fait valoir le ministre luxembourgeois Jean Asselborn.
      Ces pays souhaitent attendre juin, voire fin juillet, pour décider s'ils renouvellent ou non des mesures qui pèsent lourdement sur leurs exportations en raison des embargos décrétés par la Russie en rétorsion.
      Vote à l'unanimité
      Mais selon un diplomate à Bruxelles, comme souvent, c'est la chancelière allemande Angela Merkel qui fera pencher la balance dans un sens ou dans l'autre. Et jusqu'ici, Berlin s'est gardé de tout commentaire.
      "On trouvera une solution", a assuré Laurent Fabius alors que la chef de la diplomatie européenne Federica Mogherini s'emploie à chaque conférence de presse à nier toute division entre Européens.
      "Il y a de vraies inquiétudes sur le fait que certains pourraient vouloir jouer solo" en bloquant le vote à l'unanimité requis, s'alarmait un diplomate occidental à Bruxelles cette semaine.
      Mais un autre a pointé "l'inertie" de l'UE pour prédire un prolongement jusqu'à début 2016.

      AFP

    vvvvv

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