jeudi 12 mars 2015

(blog à finir et à corriger)

Alors, mes chers cinq lecteurs, les multinationales américaines ou dirons-nous établis judiciairement aux Etats-Unis traitent les citoyens américains comme ils ont l'habitude de traiter les indigènes dans les pays du tiers monde. Et, ceux-ci mettent autant de temps que ceux-là pour obtenir réparation.

(source : Esprit Science Métaphysiques)





Monsanto est condamné à payer 93 millions de dollars

De  | 16 février 2015

Monsanto est condamné à payer 93 millions de dollars

Monsanto est condamné
Il peut y avoir de grandes victoires dans de petits endroits. C’est un gros coup dur pour le géant de la biotechnologie Monsanto ce mois-ci, la Cour Suprême de la Virginie de l’Ouest le condamne à payer 93 000 000 de dollars à la ville de Nitro, située en Virginie de l’Ouest, pour avoir empoisonné les citoyens aux produits chimiques de l’Agent Orange.
La com a été approuvé l’année dernière, mais les détails ont été réglés il y a seulement quelques semaines sur la manière dont les fonds seront distribués.

Monsanto est condamné à faire ce qui suit :

-Dépenser 9 millions de dollars pour nettoyer la poussière contaminée à la dioxine de 4 500 maisons.
-Dépenser 21 millions de dollars pour faire des tests sur les gens afin de déterminer s’ils ont été empoisonnés à la dioxine.
-Les citoyens seront surveillés pendant 30 ans pour ces intoxications, et pas seulement quelques mois.
-63 millions supplémentaires seront attribués si des tests supplémentaires sont nécessaires.
-Tous ceux qui ont vécu à Nitro entre le 1er janvier 1948, et le 3 septembre 2010 feront un test pour voir s’ils ont été contaminés à la dioxine. Même s’ils doivent apporter la preuve qu’ils vivaient dans cette ville, ils pourront bénéficier du test, même s’ils ne vivent plus à Nitro.
-Les anciens ou les employés actuels ne pourront pas bénéficier de ces avantages.
-Un bureau sera mis en place pour organiser des tests pour les citoyens de Nitro. L’inscription des participants , sera surveillée par l’avocat de Charleston Thomas Flaherty qui a été désigné par la Cour.
Les résidents ont le droit d’intenter des poursuites individuelles contre Monsanto si les tests médicaux montrent qu’ils ont subi un préjudice matériel suite à l’exposition à la dioxine.

Monsanto est condamné car il produisait des produits chimiques à Nitro.

À quel point les citoyens de Nitro ont été exposés à la dioxine ? Monsanto produisait l’herbicide toxique Agent Orange à Nitro, et la dioxine est un sous-produit chimique de cette substance. L’Agent Orange est connu pour provoquer des problèmes de santé graves. L’usine qui produisait l’Agent Orange a été ouverte en 1948 et est restée en activité jusqu’en 2004, alors que dans le passé cet herbicide (au Vietnam et d’autres pays d’Asie) a été fatal à des millions de citoyens et d’anciens combattants qui y ont été exposés.
« Il ne fait aucun doute que, pendant et après la guerre, de nombreux Vietnamiens ont absorbé ce produit très toxique (la dioxine). Nous sommes convaincus des recherches toxicologiques et des études épidémiologiques de nombreux pays que cette dioxine a probablement provoqué des effets désastreux sur la santé au Vietnam. » -Arnold Schecter et John Constable.
« C’est vraiment sur le long terme », a déclaré l’avocat Stuart Calwell à The Charleston Gazette. Calwell représentait les citoyens de Nitro pour intenter un recours collectif qui a poussé Monsanto à faire ce règlement.
« La politique de la dioxine est âprement négociée depuis la guerre du Vietnam, mais… nous savons qu’il y a un problème de santé là-bas et nous espérons que les maisons des gens seront nettoyées et qu’on mettra un terme à cet exposition dangereuse et que ceux qui y ont été exposés dans le passé pourront bénéficier d’une surveillance de leur état de santé. »
Les habitants de Nitro doivent encore remplir un formulaire pour recevoir la liste des avantages décrits dans le règlement. En raison de l’enjeu primordial de ce règlement historique, les citoyens de Nitro doivent participer autant que possible pour créer un précédent pour d’autres recours collectifs que les agriculteurs et les consommateurs d’aliments OGM du monde entier pourraient intenter contre Monsanto à l’avenir pour enfin les vaincre. Si nous sommes assez nombreux à le faire tout de suite, alors même leurs caisses bien remplies finiront par être épuisées, et nous pourrons profiter d’un monde sans mourir empoisonnés.
Même si cette affaire ne concernait pas le glyphosate , un autre toxine mortelle utilisée dans les herbicides comme le Roundup de Monsanto, son heure viendra bientôt.
Crédits: Écrit par Christina Sarich de naturalsociety.com
Après Monsanto est condamné à payer 93 millions de dollars voir aussi:
Claire C.
Bon, mais, nous, en France, nous allons y avoir droit aussi, peut-être plus vite que la guerre américaine contre la Russie, nous avons le FRONT NATIONAL !
Eh, oui, ce parti d'extrême droite prédit, si, il gagne les prochaines élections, "LE GRAND SOIR !"pour tous les gens qu'il n'aime pas.
Et, cela de la nièce de marine lepen, maréchal lepen, comme maréchal nous voilà, jusqu'au plus obscur militant de base.
La question étant, "Combien, ils vont en tuer ?" et ces morts ne seraient-ils pas plus utile pour mourir dans la grande guerre américaine (avec le sang des européens) qui s'annonce contre la Russie.

(source : Midi Libre)

Candidat FN en Lozère : '"On saura trouver" Taubira "lorsqu'éclatera le grand soir"





Candidat FN en Lozère : '"On saura trouver" Taubira "lorsqu'éclatera le grand soir"
Jean-Francis Étienne, candidat FN en Lozère, propose sur Facebook de "couler un ou deux bateaux poubelles" avec "quelques mines bien placée", assorti d'une photo d'un bateau de migrants noirs, ou dit qu'"on saura bien trouver" Christine Taubira "lorsqu'éclatera le grand soir".
AFP JEFF PACHOUD

Couler un ou deux bateaux poubelles" avec "quelques mines bien placée", assorti d'une photo d'un bateau de migrants noirs, c'est ce que propose, selon l'Obs, Jean-Francis Étienne, candidat FN en Lozère sur Facebook.

Jean-Francis Étienne, candidat FN en Lozère, propose  sur Facebook de "couler un ou deux bateaux poubelles" avec "quelques mines bien placée", assorti d'une photo d'un bateau de migrants noirs, ou dit qu'"on saura bien trouver" Christine Taubira "lorsqu'éclatera le grand soir". C'est l'hebdomadaire L'Obs qui révèle dans son numéro, à paraître jeudi, plusieurs cas de candidats FN aux départementales auteurs de propos xénophobes, islamophobes ou racistes sur les réseaux sociaux. Une compilation réalisée à partir du travail du collectif Lentente.net qui dit "observer le FN". (...)


A mon avis, il faut être con ou désespéré pour voter FN. Ces gens n'ont aucune idée salvatrice, et, ne sont pas très intelligents, dans le sens bouillonnement d'idées pour sauver la France. Ce sont les autres partis français qui en pensant l'utiliser l'ont installé définitivement dans le paysage politique. Mais, il fait croire que et c'est tout.
Quand à marine lepen qui dit sortir de l'euro sans sortir de l'europe, c'est tout simplement n'importe quoi. Cela veut dire, qu'elle nous fait assumer une crise et je suis d'accord pour cela en nous maintenant sous les directives européennes qui ne servent que la finance et les multinationales au détriment de l'intérêt des peuples.
En fait, elle propose à l'aveuglette, une fois-ci, une fois-ça selon la tendance de l'opinion du moment. Et, son opinion, elle l'a construit sur la rumeur public, ce que l'on appelle le "ON dit".
Mais, passons, car, au moins sur la sortie de l'euro, elle a raison, sans en prévoir les scénarios de sortie, ce qui entre-nous prouve qu'il n'y a pas de stratèges économistes dans ses rangs.

(source : Réseau International)

La fin de l’Euro et les opportunités pour la Russie – Jacques Sapir

La fin de l’Euro et les opportunités pour la Russie – Jacques Sapir
Les dernières déclarations et articles qui ont été écrits ces derniers jours par plusieurs économistes et hommes politiques européens montrent que nous sommes à nouveau entrés dans une phase aiguë de la crise de l’Euro.
En Grèce, la question d’un possible retour à la Drachme est ouvertement discutée. En Italie, c’est Stefano Fassina, un économiste du Parti Démocrate (parti de centre gauche dont les premier Ministre actuel, Mattéo Renzi est issu), qui fut par ailleurs vice-ministre à l’Économie et aux Finances dans le gouvernement Letta, qui a décidé de franchir le Rubicon sur laquestion de l’Euro. Cette « conversion » de Fassina indique bien que le débat est en train de prendre de l’ampleur en Italie, allant de la Ligue du Nord au Parti Démocrate, et en passant par Forza Italia, le parti de Silvio Berlusconi ainsi que le Movimente Cinque Stelle de Bepe Grillo.
Plus récemment c’est un sociologue et économiste allemand, Wolfgang Streeck, qui dans Le Monde a publié une longue tribune pour indiquer que l’Europe doit abandonner la monnaie unique. Ces différentes prises de position, sans oublier celles de Podemos en Espagne, sont un bon indicateur du fait que nous sommes actuellement à un point de rupture. Streeck le dit sans ambages, le maintien de l’Euro est en train de tuer l’Europe et de provoquer une montée de l’antagonisme antiallemand. Ceci était prévisible depuis plusieurs années. Mais conduit à poser une série de questions. Quelles seront les conséquences d’un tel acte pour la Russie?
L’importance de la zone Euro pour la Russie
On le sait, ce pays commerce beaucoup avec les pays de l’Union Européenne, et de la zone Euro. Il faut donc regarder avec attention quelles seraient les conséquences pour la Russie d’une dissolution de la zone Euro.
Cette dernière pourrait être déclenchée par plusieurs événements: un échec des négociations actuellement en cours en Grèce, un changement politique en Italie (survenant après les élections régionales de ce printemps), ou un retrait des investisseurs  » hors zone-Euro  » survenant à la suite d’une forte inquiétude sur les pays dits  » périphériques « , à la suite de la victoire possible en Espagne de Podemos au début de l’automne. Notons ici que ces divers scénarii ne sont nullement exclusifs l’un de l’autre. Nous serions alors confrontés à une succession de crises entraînant la sortie, de proche en proche, de plusieurs pays. La question se posera de savoir à partir de quand le gouvernement français prendra la décision de sortir de l’Euro. Économiquement, il est clair que la sortie soit de l’Espagne soit de l’Italie, rendra impérative pour la France de quitter la zone Euro.
Les effets d’une dissolution de la zone Euro pour la Russie
Si la zone Euro est dissoute, voire simplement  » suspendue  » (et l’on sait que l’on raffole à Bruxelles et dans d’autres capitales de ces euphémismes) sine die, on reviendrait aux monnaies nationales. Ce processus s’accompagnerait de dévaluation (pour les pays souffrant de problèmes de compétitivité) et de réévaluation pour les pays ayant un excès de compétitivité. En fait, c’est bien l’impossibilité actuelle de procéder à des dépréciations ou des appréciations des monnaies qui est l’une des causes de la récession que connaissent nombre de pays de la zone Euro.
On voit, sur le graphique 1, où l’on a reporté les évolutions du coût unitaire de la main d’œuvre depuis 1999 (soit depuis la création de l’Euro), que des écarts importants se sont constitués par rapport à l’Allemagne. La correction de ces écarts implique soit des baisses de salaire, qui provoqueraient une forte contraction de la demande intérieure dans ces pays, soit une dépréciation de leurs monnaies. En fait, cette dépréciation pourrait aller de —10% pour le Portugal à —25% pour l’Italie. Il est par contre probable que le Deutschemark se réévaluerait dans des proportions importantes. Cela aurait immédiatement des conséquences importantes pour le commerce extérieur de la Russie, rendant les produits allemands plus chers, et les produits français et italiens moins chers. Par ailleurs, permettant alors à une grande partie de l’Europe de renouer avec la croissance, une dissolution de l’Euro aurait des effets d’entraînement très bénéfiques sur l’économie de la Russie. Cette dernière, après avoir  » importé  » la crise européenne depuis 2011, importerait se croissance retrouvée.Vers une coopération étendue entre la Russie et les pays européens?
La disparition de l’Euro ne veut pas dire qu’il n’y aurait plus de coordination entre les pays européens. Cette coordination resterait nécessaire à la suite d’une dissolution, même conflictuelle, de la zone Euro. Cette coordination s’imposera tout d’abord au sujet du contrôle des capitaux qui devra être envisagé dans les deux à trois ans après la dissolution de la zone Euro. Il faudra à la fois éviter des sorties importantes et brutales de capitaux que des entrées tout aussi massives qui auraient comme effet de déstabiliser les parités atteintes par les différentes monnaies. Le contrôle des capitaux apparaît comme un élément clef de la politique de  » cible de change  » qui deviendra l’un des principes de la politique de la Banque Centrale dans chaque pays.
Mais, ce contrôle des capitaux sera aussi important pour permettre à la Banque Centrale (en France, la Banque de France) de retrouver une large autonomie pour la fixation des taux d’intérêts. Cette coordination s’imposera aussi, et assez rapidement, quant aux objectifs de la politique de change. Il faudra laisser une certaine flexibilité aux divers taux de change, à la fois parce que le niveau d’inflation structurel est différent selon les pays, parce que les gains de productivité et l’évolution des salaires seront eux aussi différents, et enfin parce qu’un pays pourrait connaître un  » choc exogène  » important, imposant une dépréciation extraordinaire de sa monnaie. Notons que le système de change sera d’autant plus stable que le contrôle des capitaux sera maintenu. L’une des leçons des crises spéculatives qui sont survenues lors du Système Monétaire Européen dans les années 1990 est que la liberté totale des capitaux est contradictoire avec un système de coordination. La Russie pourrait alors avoir intérêt à s’associer à ce mécanisme de coordination et de contrôle des changes. Le point est important. Une Europe  » post-Euro  » serait bien plus prête à accepter une coopération monétaire avec la Russie.
La Russie et l’Europe dans le système monétaire international
Mais, cette coopération entre les pays européens et la Russie trouverait un autre terrain de développement. A terme, on pourrait imaginer une monnaie commune assurant les transactions entre l’Europe et le reste du monde, transactions commerciales et financières, a du sens. Cette monnaie n’existerait que comme un  » panier de monnaies  » des pays qui accepteraient de faire partie de ce système. C’est ainsi que fonctionnent les Droits de Tirage Spéciaux du FMI. Cette  » monnaie commune  » pourrait servir de monnaie de réserve aux Banques Centrales des pays européens, mais aussi au niveau international. De ce point de vue, il y a une véritable attente dans les pays dits  » émergents  » d’une monnaie qui soit une réelle alternative au dollar. L’Euro n’a pu que très imparfaitement remplir ce rôle, en raison des problèmes liés à sa conception même. Il n’a jamais dépassé 26% des réserves des banques centrales et il est aujourd’hui au troisième rang, derrière le Dollar et le Yuan, comme monnaie de transactions financières. De ce point de vue, il faut reconnaître le relatif échec de l’Euro sur le terrain de l’affirmation d’une monnaie internationale. Une  » monnaie commune « , débarrassée des problèmes intrinsèques à l’Euro, pourrait sans doute mieux s’affirmer. Ici encore, on voit l’intérêt de la Russie à une telle évolution. Adossée à une monnaie commune européenne, le Rouble pourrait bien mieux jouer son rôle de monnaie régionale de réserve dans les pays de l’ex-URSS, et supplanterait complètement le Dollar.
On le voit, la fin de l’Euro ouvrirait de nouvelles perspectives de coopération entre la Russie et les pays de l’ex-zone Euro. La crise qui semble désormais s’annoncer doit être dès lors vue comme une immense opportunité, tant pour les pays qui souffrent aujourd’hui de l’Euro que pour la Russie.
Jacques Sapir

En attendant, rothschild se paie l'Ukraine !
Maintenant, mes petits nazillons vous appartenez à un juif, trop drôle !

(source : Reseau International)

Rothschild a racheté la majeure partie de la dette souveraine de l’Ukraine

Rothschild a racheté la majeure partie de la dette souveraine de l’Ukraine
La majeure partie de la dette souveraine de l’Ukraine a été rachetée par le fonds d’investissement américain Franklin Templton pour la famille américaine Rothschild. Cette conclusion découle  d’une information de Bloomberg.
Ainsi, le groupe Rothschild a proposé la création d’un groupe de détenteurs des titres de l’Ukraine. Le groupe français Rothschild & Cie a exprimé sa volonté de devenir un médiateur dans les négociations entre le  ministère des Finances de l’Ukraine et les créanciers pour restructurer la dette du pays.
Les prêteurs sont dans l’attente des propositions de Kiev, qui devraient être connues à la mi-Mars, a déclaré le directeur général de Rothschild & Cie en Russie et dans les pays de la CEI, Giovanni Salvetti. Selon lui, de nombreux négociateurs se préparent à des conditions difficiles.
Salvetti a également noté que les points de vue sur cette question varient selon les créanciers : certains préfèrent attendre les propositions du gouvernement ukrainien, tandis que d’autres veulent établir quelques règles dures et rapides. « Pour le moment, la Fondation et les prêteurs participent à un échange de points de vues et discutent de la répartition des responsabilités et du programme d’action, » . dit-il.
Suite et Source

Euh, c'est quoi, cette nouvelle concernant l'Irak ?

(source : Reseau International)

Les Etats-Unis menacent l’armée irakienne, et passent même à l’acte

Les Etats-Unis menacent l’armée irakienne, et passent même à l’acte
Photo : le sénateur Patrick Leahy 
Si, au début, il y a eu un peu de confusion sur la nature de l’Etat Islamique, la duperie n’aura pas duré bien longtemps. Combien y a-t-il de pays au sein de la coalition américaine supposée lutter contre l’Etat Islamique ? Une bonne dizaine au moins. Mais aucun de ces valeureux pays ne participe aux vrais combats contre les militants de DAESH.
Dans une vaste offensive, l’armée irakienne, aidée par des forces chiites et des volontaires, vient de libérer Tikrit. Aucun des coalisés étatsuniens n’était présent. Mais maintenant un problème se pose. Les Etats-Unis ne peuvent tout de même pas laisser leurs chers « ennemis » se faire décimer sans aucune action de leur part.
Et ils ont réagi, en effet… mais contre l’armée irakienne.
Pendant que les soldats irakiens se battaient dans Tikrit ce mercredi, les avions de l’armée américaine ont bombardé une base de l’armée dans l’ouest de l’Irak, dans la province d’al-Anbar. Deux missiles ont été tirés pendant le raid, faisant 45 morts parmi les soldats et les officiers, et des dizaines de blessés. En un seul raid contre les forces irakiennes, ils arrivent à faire ce qu’ils n’ont jamais pu faire avec des dizaines de raids contre DAESH.
En tout cas, ça a le mérite d’éclaircir un peu plus la situation. L’heure n’est plus aux fausses pudeurs, il faut enrayer le processus de délabrement qui est en cours dans l’Etat Islamique. A Washington, on cherche déjà les moyens d’officialiser les interventions américaines contre l’armée irakienne, ou au moins d’intimider Bagdad et freiner son enthousiasme, en servant les leitmotivs habituels : crimes de guerre, droits de l’homme, etc…
C’est d’abord un sénateur qui s’y colle. Selon Reuters, le sénateur Patrick Leahy menace l’Irak d’une rupture pure et simple des aides militaires, si « les soldats irakiens commettaient des crimes de guerre » contre les terroristes de Daesh ! Rappelons juste que cette fameuse aide militaire n’a jamais eu lieu. Les irakiens attendent encore les avions et les chars promis. Toujours selon Reuters, un responsable du Département d’Etat menace d’ouvrir une enquête, pour « faire toute la lumière sur les cas de crimes commis par les forces irakiennes ». A partir de là, il ne reste plus qu’à enclencher la machine communicationnelle, avec faux témoignages et fausses vidéos. Le sénateur Patrick Leahy dit pouvoir révéler des images où les « forces irakiennes se livrent à des tortures, des viols, des meurtres » ! Cela, personne n’en doute. Peut-être même que les images avaient déjà été tournées bien avant l’arrivée de DAESH en Irak.
La « libération » de l’Irak par les américains rappelle étrangement la « libération » de l’Europe par ces mêmes américains pendant la deuxième guerre mondiale. On pourrait presque se livrer au jeu des 7 erreurs.

Sauf, que les States ne seront pas les maîtres du monde ou plutôt devrais-je dire Wall Street et la City qui sont prêts à déclencher une guerre mondiale nucléaire pour dominer le monde.

(source : idem)

Les USA avaient oublié que le Vietnam avait gagné le droit de leur dire « No »

Les USA avaient oublié que le Vietnam avait gagné le droit de leur dire « No »
Le Vietnam a qualifié d’ingérence dans ses affaires intérieures la démarche des Etats-Unis qui ont demandé à Hanoï de fermer l’aérodrome de Cam Ranh aux avions-ravitailleurs russes.
La demande d’interdire à Moscou l’accès à la base aérienne de Cam Ranh utilisée pour le ravitaillement de bombardiers stratégiques russes n’est rien d’autre qu’une ingérence dans les affaires intérieures du Vietnam, estime le colonel Le The Mau, expert de l’Institut vietnamien de stratégie militaire.
« La Russie est un partenaire stratégique du Vietnam. Nous développons notre coopération technico-militaire qui prévoit, entre autres, l’utilisation de l’aérodrome de Cam Ranh par des avions-ravitailleurs russes », a déclaré Le The Mau à l’agence Sputnik.
Les Etats-Unis avaient auparavant demandé au Vietnam d’interdire à la Russie d’utiliser l’ancienne base aérienne américaine de Cam Ranh pour ravitailler les bombardiers porteurs d’armes nucléaires. Selon l’expert, les avions-ravitailleurs « ne sont pas des appareils militaires » et les fonctions techniques qu’ils remplissent « s’inscrivent parfaitement dans le cadre des services internationaux fournis par la base de Cam Ranh ».
« Quant à l’exigence de Washington, elle ne peut être considérée que comme une ingérence dans les affaires intérieures du Vietnam, Etat souverain qui détermine lui-même sa politique de coopération avec ses partenaires et amis », a souligné l’expert.
Le commandant de l’armée américaine du Pacifique, le général Vincent Brooks, avait antérieurement déclaré que des bombardiers russes effectuaient des « vols provocateurs », y compris autour de l’île de Guam qui abrite une importante base aérienne américaine. Selon M. Brooks, les bombardiers russes évoluant autour de Guam sont réapprovisionnés en vol par des avions-ravitailleurs russes décollant de l’aérodrome de Cam Ranh.
Construit par des militaires américains pendant la guerre du Vietnam, cet aérodrome a été utilisé après la guerre par les forces aériennes de l’URSS et de la Russie.
En 2004, une partie de la base de Cam Ranh a été rénovée pour accueillir un aéroport civil. Depuis décembre 2009, ce dernier reçoit des vols internationaux.

bbb

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