mardi 31 mars 2015
EWG's 2015 Shopper's Guide to Pesticides in Produce™
EWG's 2015 Shopper's Guide to Pesticides in Produce™: EWG's 2015 Shopper's Guide helps you make informed choices about the produce you buy. Check out our 'Dirty Dozen' and 'Clean 15' lists to shop smarter.
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lundi 30 mars 2015
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Fawkes News - Plus on est de Fawkes moins ils rient !: Le mouvement pour la vérité: fustigé en France, su...: On n'est pas prêt de voir ce genre de reportage en France. ça décape !
dimanche 29 mars 2015
(blog à finir et à corriger)
Bon, mes chers cinq lecteurs, ci-dessous, les zones de gaz de schiste aux States.
Conséquence : Région morte, atmosphère et eau empoisonnée.
La ceinture du maïs. Tout en Ogm, engrais chimique et pesticides en veux-tu, en voilà.
Terre empoisonnée et biologiquement morte, eau empoisonnée.
Agriculture en général aux States, tout ogm.
Compter les dégâts de l'élevage et tout ça descend les fleuves Missouri et Mississippi. En Louisine, les industries ont laissé un "TAS" de déchets toxiques dont une partie a fini dans les bayous. Donc, tout cela stagne dans les marais et dans le golfe du Mexique qui borde les côtes américaines.
Sauf qu'à chaque cyclone ou ouragan et inondation, ça revient recouvrir les terres. Actuellement, les quartiers de la Nouvelle Orléans rebâtis après l'ouragan katrina ont été recouverts de métaux lourds.
Normalement, les autorités auraient dû refusé les permis de construire, mais, nous sommes aux States et on arrête pas le business.
A part cela, mes chers lecteurs, les américains qui nous vantent leur way of life au point que l'ex président français sarkozy voulait que l'on nomme des shérifs en France et souhaite nommer son nouveau parti, parti républicain comme aux States où peuvent-ils vivre sans être empoisonnés à petits feux ?
Voilà, c'est la réflexion du matin bien que nous en France au niveau pesticide et engrais chimique, on fasse aussi bien qu'eux, à part le gaz de schiste, que Dieu nous en préserve !
Et, que, dans la bouche d'un jeune homme sort la vérité de l'innocence.
(source : Esprit Science Métaphysiques)
Et, en France, on aide les banques qui vont pouvoir vous piquer votre épargne pour gonfler leur fond propre en vous refilant des actions bidons invendables la première année, mais, on aide pas les français. On les vire de leur domicile si, ils sont en difficulté financière et on va leur couper l'eau et l'électricité. Merci hollande et valls !
(source : L'Humanité)
vvv
Et, pendant ce temps au Etats-Unis, les très riches (banquiers) continuent à piller l'état en toute impunité. Sauf que comme les conseillers d'Obama viennent de Goldman Sachs et sont un peu partout, comme les représentants des multinationales dans la haute administration, ils n'ont pas de souci à se faire. De toute façon, aux States, pratiquement, y'a que les noirs qui vont en prison.
(source : SRV497.FR.NF)
Le 5 Mai 2009, Alain Grayson questionne l’Inspecteur Général, Elisabeth Coleman,de la FED sur les 9,7 trillions de dollars qui ont disparu et sur ceux ou celui qui ont bénéficié de cet argent. Car selon les informations de Bloomberg, des trillions de $ de crédits ont été prolongés par la FED.
Mais, il est vrai, aux Etats-Unis, c'est l'habitude que l'argent public disparaisse sans qu'aucune des enquêtes soi-disant sérieuses n'aboutisse.
(source : le Monde)
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2008/05/25/guerre-en-irak-huit-milliards-portes-manquants_1049377_3222.html#givFlcmjLpkjLlyS.99
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2008/05/25/guerre-en-irak-huit-milliards-portes-manquants_1049377_3222.html#givFlcmjLpkjLlyS.99
(source : souk-fares.blogspot.com)
Parlons d'argent. Parlons du plus gros scandale financier de tous les temps.
Mais d'abord, un petit rappel pour lever toute ambiguïté : les termes "billion" et "trillion" n'ont pas le même sens en français et en anglais :
Trillion : http://fr.wikipedia.org/wiki/Trillion
Trillion en anglais : 10^12 (1 avec 12 zéros derrière), donc 1000 milliards
Trillion en français : 10^18 (1 avec 18 zéros derrière)
Billion : http://fr.wikipedia.org/wiki/Billion
Billion en anglais : 1 milliard
Billion en français : 1000 milliards
Donc un "trillion" (en anglais) est égal à un "billion" (en français) : soit 1000 milliards.
Si vous n'avez rien compris, relisez depuis le début. Reprenez calmement.
Mais si au bout de 3 fois vous n'avez toujours rien compris, cassez-vous et ne revenez pas sur ce blog.
Le 10 septembre 2001 (la veille des attentats donc), le Ministre de la Défense des Etats-Unis, Donald Rumsfeld, annonce la "disparition" de "2.3 trillion $" (en anglais) : soit 2300 milliards de $.
Lire l'article CBS et voir la vidéo.
Le Pentagone a "perdu la trace" de 2300 milliards de dollars (deux mille trois cent milliards de dollars) sur l'année fiscale 1999. Et également 1100 milliards de dollars sur l'année fiscale 2000.
Ce sont des sommes astronomiques : on est entrain de parler de l'évaporation de sommes qui sont supérieures au PIB de la France de l'époque.
A titre de comparaison, le scandale Enron en quelques chiffres :
Allez, comme je suis sympa, je vous rajoute aussi la société Andersen, ses 9 milliards de dollars de chiffre d'affaire et ses 85000 salariés. C'est cadeau, tout doit disparaître.
On le voit en comparant les chiffres : le scandale Enron ne pèse pas lourd en comparaison des 2300 milliards de $ dont parle Donald Rumsfeld. Cet aveu aurait pu (et aurait du) provoquer un véritable cataclysme politique outre-atlantique. Mais voilà, cette info est passée totalement inaperçue : le lendemain c'est le 11 septembre 2001. Les attentats contre les tours jumelles (et le Pentagone) occupent tout l'espace médiatique. Le plus gros scandale financier de l'Histoire passe à la trappe. Quel coup de bol !
Mais un coup de bol n'arrive jamais seul. Le 11 septembre 2001, l'attentat contre le Pentagone a lieu pile à l'endroit où était situé le système d'information des analystes financiers chargés d'enquêter sur la disparition de ces sommes (voir le documentaire Pandora's Black Box entre 6min30 et 6min55). Voir également la liste des victimes au Pentagone et la proportion importante de "accountants", "bookkeepers" et de "budget analysts".
Voilà qui vient compléter mon billet précédent à propos du Pentagone.
Certains tentent de forcer de vraies enquêtes sur ces questions, mais jusque là sans succès.
Voir l'intervention de la député Cynthia McKinney, et la réaction de Donald Rumsfeld : voir la vidéo(question n°2).
Sa question n°3 porte sur les exercices qui ont paralysé l'aviation américaine le 11 septembre : voir lebillet précédent à ce sujet.
Si vous vous demandez où a bien pu passer tout ce pognon, sachez que vous n'êtes pas le seul. Posez donc la question à votre moteur de recherche favori : "where is the money ?" (où est l'argent ?), il vous répondra : http://www.whereisthemoney.org :)
Et, pendant ce temps, des millions d'américains sont à la rue et 13 millions sont dans la précarité alors que l'argent disparu aurait largement suffi à les sortir de la précarité et à leur offrir un logement.
Et, voilà, parce que les très riches dont les grandes banques américaines en premier volent l'or de fort knox et l'argent des américains, les Etats-Unis sont devenus un pays du tiers monde, beaucoup de pauvres, une dette irremboursable, n'est-ce pas là, la définition d'un pays du tiers monde ?
Shame to America !
Bon, mes chers cinq lecteurs, ci-dessous, les zones de gaz de schiste aux States.
Conséquence : Région morte, atmosphère et eau empoisonnée.
La ceinture du maïs. Tout en Ogm, engrais chimique et pesticides en veux-tu, en voilà.
Terre empoisonnée et biologiquement morte, eau empoisonnée.
Agriculture en général aux States, tout ogm.
Les principales zones agricoles en 1989 |
Compter les dégâts de l'élevage et tout ça descend les fleuves Missouri et Mississippi. En Louisine, les industries ont laissé un "TAS" de déchets toxiques dont une partie a fini dans les bayous. Donc, tout cela stagne dans les marais et dans le golfe du Mexique qui borde les côtes américaines.
Sauf qu'à chaque cyclone ou ouragan et inondation, ça revient recouvrir les terres. Actuellement, les quartiers de la Nouvelle Orléans rebâtis après l'ouragan katrina ont été recouverts de métaux lourds.
Normalement, les autorités auraient dû refusé les permis de construire, mais, nous sommes aux States et on arrête pas le business.
A part cela, mes chers lecteurs, les américains qui nous vantent leur way of life au point que l'ex président français sarkozy voulait que l'on nomme des shérifs en France et souhaite nommer son nouveau parti, parti républicain comme aux States où peuvent-ils vivre sans être empoisonnés à petits feux ?
Voilà, c'est la réflexion du matin bien que nous en France au niveau pesticide et engrais chimique, on fasse aussi bien qu'eux, à part le gaz de schiste, que Dieu nous en préserve !
Et, que, dans la bouche d'un jeune homme sort la vérité de l'innocence.
(source : Esprit Science Métaphysiques)
Alimentaire : un enfant de 11 ans détruit Monsanto
De Claire C. | 12 février 2015
2 commentaires
- Alimentaire : un enfant de 11 ans détruit Monsanto
Des millions de personnes de 250 villes du monde entier ont défilé pour protester contre Monsanto et les cultures OGM. L’événement a été à peine mentionné par les médias . Les militants, blogueurs et les médias sociaux luttent contre Monsanto et d’autres sociétés du mal comme celles qui sont dirigées par les frères Koch, pour obtenir des informations sur le développement et même une application de téléphone intelligent qui permet aux gens de facilement boycotter les frères Koch et Monsanto cliquez ICI.
Birke Baehr a 11 ans, et a fait une présentation tellement inspirante de notre système nutritionnel, que nous sommes sûrs que si Monsanto le pouvait, il l’interdirait. « Qu’est-ce qui ne va pas avec notre système alimentaire ? Et que pouvons-nous faire pour faire une différence ? » Il présente son point de vue sur une de nos plus importantes sources de nourriture, les fermes industrielles qu’on se garde bien de nous montrer. Il soutient que garder les fermes hors de vue favorise une image mentale irréaliste de l’agriculture à grande échelle et il défend le concept de l’écologie et de la production de produits locaux.
Birke Baehr veut que nous sachions comment est faite notre nourriture, d’où elle vient, et ce qu’il y a dedans. À 11 ans, il envisage une carrière d’agriculteur biologique. À 9 ans lors d’un voyage avec sa famille, Birke Baehr a commencé à étudier les pratiques agricoles durables et biologiques telles que le compostage, la lombriculture, la mise en conserve et la conservation des aliments.
Il a découvert très tôt son autre passion : éduquer les autres, surtout ses camarades, sur la destruction du système alimentaire industriel, et les solutions de rechange. Baehr est bénévole à la Humane Society et aime travailler avec les animaux.
La conférence est intitulée «Quel est le problème avec notre système alimentaire »
Discours :
« Bonjour. Je m’appelle Birke Baehr, et j’ai 11 ans. Je suis venu ici aujourd’hui pour vous parler de ce qui ne va pas avec nos sources de nourriture. D’abord je voudrais dire que je suis sidéré de voir à quel point il est facile de faire croire aux enfants tous les discours de marketing et la publicité à la télé, dans les écoles publiques, et quasiment partout où vous regardez. On dirait que les sociétés essayent tout le temps de pousser les enfants comme moi à faire acheter à leurs parents des choses qui ne sont pas vraiment bonnes pour nous ou pour la planète. Les jeunes enfants sont particulièrement attirés par les emballages colorés et les jouets en plastique. J’avoue que j’étais comme ça. Je pensais aussi que toute notre nourriture venait de ces petites fermes idylliques où les cochons se roulaient dans la boue et les vaches broutaient toute la journée.
J’ai découvert que c’est ce n’est pas vrai. J’ai commencé à faire des recherches sur internet, dans des livres et dans des documentaires, pendant mes voyages avec ma famille. J’ai découvert le côté sombre du système de la nourriture industrielle. D’abord il y a les graines et les organismes génétiquement modifiés. C’est quand une graine est manipulée dans un laboratoire pour faire quelque chose qui n’était pas prévu par la nature — comme prendre l’ADN d’un poisson et le mettre dans l’ADN d’une tomate — berk.
Ne vous méprenez pas, j’aime les poissons et les tomates, mais c’est juste malsain. Ensuite les graines sont plantées et grandissent. Il a été démontré que la nourriture ainsi créée provoque le cancer et d’autres problèmes chez les animaux de laboratoire. Et les gens mangent cette nourriture depuis les années 90. Et la plupart des gens ne savent même pas que cela existe. Est-ce que vous saviez que les rats qui mangent du maïs transgénique ont développé des signes d’infection du foie et des reins ? Dont des inflammations et des lésions des reins et une augmentation de leur masse. Et pourtant, presque tout le maïs que nous mangeons est génétiquement modifié d’une manière ou d’une autre. Et laissez-moi vous dire qu’il y a du maïs partout. Et ne me lancez pas sur les opérations d’alimentation des animaux enfermés appelé CAFOS.
Les fermiers traditionnels utilisent des engrais chimiques à base d’énergie fossile qu’ils mélangent à la terre pour faire pousser les plantes. Ils le font parce qu’ils ont épuisé tous les nutriments du sol à force de faire pousser les mêmes plantes tout le temps. Et puis, des produits chimiques plus toxiques sont vaporisés sur les fruits et les légumes, comme les pesticides et les herbicides, pour tuer les mauvaises herbes et les insectes. Quand il pleut, ces produits chimiques sont absorbés par la terre, ou s’infiltrent dans nos cours d’eau,empoisonnant aussi notre eau. Ensuite ils irradient notre nourriture, pour la faire durer plus longtemps, pour qu’elle puisse voyager sur des milliers de kilomètres de là où elle a poussé jusqu’à nos supermarchés.
Alors je me demande, qu’est-ce que je peux faire ? Comment puis-je changer cela ?
Et voici ce que j’ai trouvé. J’ai découvert qu’il existe un mouvement pour améliorer les choses. Il y a quelque temps, je voulais être footballeur professionnel. J’ai décidé que je préférerais plutôt être agriculteur biologique. Et comme ça je peux avoir plus d’impact sur le monde. Cet homme, Joel Salatin, ils l’appellent le fermier fou parce qu’il cultive sans tenir compte du système. Comme je suis mes cours à la maison, j’ai pu aller l’écouter un jour. Cet homme, ce fermier fou, n’utilise pas de pesticides, d’herbicides ou de graines transgéniques. Et à cause de cela, le système le qualifie de fou.
Je veux que vous sachiez que l’on peut tous faire une différence en faisant des choix différents, en achetant notre nourriture directement chez des fermiers locaux, chez nos voisins que nous connaissons depuis toujours. Il y a des gens qui disent que la nourriture bio ou locale est plus chère, mais est-ce vraiment le cas ? Avec tout ce que j’ai appris sur le système de production alimentaire , j’ai l’impression que soit on paye le fermier, soit on paye l’hôpital. Et maintenant je sais une fois pour toute ce que je choisirais. Je veux que vous sachiez qu’il existe des fermes — comme la ferme Sequachie Cove de Bill Keener au Tennessee — où les vaches mangent de l’herbe et les cochons se roulent dans la boue, juste comme je le pensais.
Parfois je vais à la ferme de Bill et je participe comme bénévole, pour voir en personne et de près d’où vient la viande que je mange. Je veux que vous sachiez que je crois que les enfants mangeront des légumes frais et de la bonne nourriture s’ils ont plus d’informations et s’ils savent vraiment d’où elle vient. Je veux que vous sachiez qu’il y a des marchés bio qui apparaissent dans toutes les communautés. Je veux que vous sachiez que moi, mon frère et ma sœur aimons vraiment manger des chips de chou. J’essaye de faire passer ce message partout où je vais.
Il n’y a pas si longtemps, mon oncle a proposé des céréales à mon cousin de six ans. Il lui a demandé s’il voulait des céréales bio Toasted O’s ou celles couvertes de sucre — vous savez celles avec le grand personnage de dessin animé sur la boite. Mon petit cousin a dit à son père qu’il préférerait avoir les céréales bio parce qu’il ne devrait pas manger de céréales qui brillent. Et c’est comme ça mes amis que nous pouvons faire une différence,un enfant à la fois.
Alors la prochaine fois que vous allez faire des courses, pensez local, choisissez organique, connaissez votre fermier et votre nourriture. Merci. »
Regardez la vidéo ici «Quel est le problème avec notre système alimentaire » :
Vous pouvez afficher les sous-titres en français. Appuyez sur lecture puis allez dans options sous-titres « oui » , puis traduire en français
Et, en France, on aide les banques qui vont pouvoir vous piquer votre épargne pour gonfler leur fond propre en vous refilant des actions bidons invendables la première année, mais, on aide pas les français. On les vire de leur domicile si, ils sont en difficulté financière et on va leur couper l'eau et l'électricité. Merci hollande et valls !
(source : L'Humanité)
Fin de la trêve hivernale. Recours
pour éviter d'être expulsé
QUESTION-REPONSE
DANIEL ROUCOUS
LUNDI, 30 MARS, 2015
HUMANITE.FR
SOS impayés de loyers 0 805 16 00 75 - Photo FOTOLIA
VOTRE QUESTION En difficulté financière suite à mon licenciement je suis ennuyé pour payer mon loyer. Mon propriétaire veut profiter de la fin de la trêve hivernale pour résilier le bail. Comment l’éviter, qui peut m’aider ?
NOTRE REPONSE : Il est vrai que l’article 7 de la loi du 6 juillet 1989 relative aux rapports locatifs fait obligation aux locataires de payer les loyers et les charges locatives aux termes convenus. Le défaut de paiement entraîne la résiliation du bail et donc l’expulsion du locataire mais seulement sur décision de justice et en dehors de la période hivernale qui prend fin le 31 mars.
Cependant, lorsque le locataire se retrouve en difficultés financières (perte d’emploi ou chômage comme c’est votre cas, baisse de revenu par exemple suite au départ en retraite, surendettement, maladie, accident, perte d’un conjoint etc.), il existe des recours pour éviter l’expulsion tant en ville que dans les villages.
Voici quelques démarches à faire qui plus sont gratuites.
Vous pouvez d’abord demander à votre propriétaire un délai de paiement exceptionnel de votre loyer ou un échéancier (modèle de lettre joint). Vous devez faire valoir que, d’une part vous avez toujours réglé, sans retard, votre loyer et donc que vous êtes de bonne foi, d’autre part qu’il s’agit d’une exception due à une baisse de revenu pour cause de chômage.
Cependant, le propriétaire est libre d’accepter ou pas. S’il accepte un étalement du paiement, convenez de le mettre par écrit, daté et signé des deux parties.
S’il refuse vous devrez alors trouver des sources de financement ou une conciliation auprès des commissions de conciliation ou de prévention des expulsions qui siègent à la DDT (direction départementale des territoires).
Sans attendre appelez « SOS impayés de loyers » au 0 805 16 00 75 qui est un numéro d’appel gratuit mis à disposition par l’ANIL (Agence nationale d’information sur le logement). Vous serez alors mis en relation avec l’ADIL de votre département qui vous aidera à trouver la bonne solution rapidement.
Si ça ne vous dit rien ou que vous hésitez, voyez donc avec votre caisse d’allocations familiales ou de MSA, celle-ci octroyant des aides financières à cet effet, certes sous conditions à voir avec elle. Elle peut aussi faire intervenir le FSL (Fonds de Solidarité pour le Logement).
Autres possibilités intéressantes :
- vous bénéficiez d’une aide au logement (APL, ALS, ALF). Contactez l’organisme (Caf, MSA) qui vous la verse afin de la transmettre directement au bailleur ;
- vous pouvez demander à votre bailleur de faire exceptionnellement intervenir sa garantie des risques locatifs (GRL). Il s’agit d’une assurance que les bailleurs privés sont tenus de souscrire auprès d’une assurance agréée pour garantir toutes les locations dont les loyers représentent au plus 50% des revenus du locataire. Elle garantit les loyers impayés dans la limite de 2 000 euros par mois, les frais de recouvrement dans la limite de 70 000 euros et les dégradations locatives dans la limite de 7 700 euros (3 500 euros s’il s’agit d’un meublé) ;
- demandez à un tiers ou un parents de vous prêter de l’argent au moyen d’un prêt écrit familial dont vous conviendrez du mode de remboursement et surtout du délai ;
- sachez enfin que vous pouvez demander à bénéficier de l’avance LOCA-PASS du 1% Logement qui est une caution gratuite et immédiate à destination notamment des retraités depuis moins de 5 ans.
Dernier recours
Si rien de tout cela n’aboutit ou que vous ne répondez pas aux conditions d’aides, il reste à contacter la commission de conciliation qui siège à la DDT (direction départementale des territoires)Pour les saisir aller sur le lien ci-dessous.Si la conciliation n’aboutit pas, l’avis de la commission peut être déterminant devant le tribunal de grande instance.En pratique, lorsque le locataire de bonne foi justifie ses difficultés financières et le licenciement en est une, le juge peut ordonner au propriétaire d’accepter des délais de paiement ou, si le propriétaire lui-même, est tributaire de ce loyer, débloquer une aide du FSL (Fonds de solidarité pour le logement).Avant d’en arriver là, une solution amiable avec le propriétaire c’est mieux.
vvv
Et, pendant ce temps au Etats-Unis, les très riches (banquiers) continuent à piller l'état en toute impunité. Sauf que comme les conseillers d'Obama viennent de Goldman Sachs et sont un peu partout, comme les représentants des multinationales dans la haute administration, ils n'ont pas de souci à se faire. De toute façon, aux States, pratiquement, y'a que les noirs qui vont en prison.
(source : SRV497.FR.NF)
Le 5 Mai 2009, Alain Grayson questionne l’Inspecteur Général, Elisabeth Coleman,de la FED sur les 9,7 trillions de dollars qui ont disparu et sur ceux ou celui qui ont bénéficié de cet argent. Car selon les informations de Bloomberg, des trillions de $ de crédits ont été prolongés par la FED.
Ces cinq minutes de vidéo proviennent d’une audition du Congrès où l’Inspecteur Général de la FED, Elisabeth Coleman est interrogée par le Membre Du Congrès, Alain Grayson, le 5 mai 2009, sur les sommes d’argent énormes dont la FED est responsable. (voir plus haut)
L’Inspecteur Général évite de répondre à chaque question demandée. En fait, elle semble en savoir moins que le Membre du Congrès Grayson, mais reconnaît que des trillions de dollars ne peuvent pas être retrouvés.
Car, effectivement, selon les informations de Bloomberg, des trillions de $ de crédits ont été prolongés par la FED.
On s’inquiétait pour la dette US, qui vient de dépasser les 11300 milliards de dollars US , mais on découvre avec stupéfaction que la banque centrale des USA, la “Federal Reserve”, qui n’est en fait rien d’autre qu’un cartel constitué par les plus grands établissements bancaires des États-Unis d’Amérique, aurait égaré pas moins de 9000 milliards de dollars !
Disparus. Volatilisés. Plus aucune trace de ce qui représente une dette supplémentaire de 30 000 dollars par citoyen des USA.
Pourquoi les grands médias n’en ont pas en parlé ? Que fera l’Administration Obama pour résoudre cela ? Qu’elle est la responsabilité de l’administration Bush ?"
L’Inspecteur Général évite de répondre à chaque question demandée. En fait, elle semble en savoir moins que le Membre du Congrès Grayson, mais reconnaît que des trillions de dollars ne peuvent pas être retrouvés.
Car, effectivement, selon les informations de Bloomberg, des trillions de $ de crédits ont été prolongés par la FED.
On s’inquiétait pour la dette US, qui vient de dépasser les 11300 milliards de dollars US , mais on découvre avec stupéfaction que la banque centrale des USA, la “Federal Reserve”, qui n’est en fait rien d’autre qu’un cartel constitué par les plus grands établissements bancaires des États-Unis d’Amérique, aurait égaré pas moins de 9000 milliards de dollars !
Disparus. Volatilisés. Plus aucune trace de ce qui représente une dette supplémentaire de 30 000 dollars par citoyen des USA.
Pourquoi les grands médias n’en ont pas en parlé ? Que fera l’Administration Obama pour résoudre cela ? Qu’elle est la responsabilité de l’administration Bush ?"
(source : le Monde)
Guerre en Irak : huit milliards portés manquants
LE MONDE | • Mis à jour le | Par Sylvain Cypel - De notre correspondant à New York
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2008/05/25/guerre-en-irak-huit-milliards-portes-manquants_1049377_3222.html#givFlcmjLpkjLlyS.99
Un audit de l'Inspection générale du département de la défense américain, intitulé " Contrôle interne des versements payés en Irak, au Koweït et en Egypte ", a décelé que ses responsables sont incapables de justifier 8,2 milliards de dollars payés à des contractants américains ou des sous-traitants locaux en Irak. Cette somme représente 1,5 % des dépenses du Pentagone depuis le début de la guerre, en mars 2003. Selon le service des recherches du Congrès, celles-ci atteignent à ce jour 540 milliards de dollars (d'autres sources poussent le calcul jusqu'à 800 milliards).
Ces sommes ont fait l'objet de facturations ne permettant pas d'en retracer la destination ou ont été versées sans factures. Un contractant américain, IAP Worldwide Services, a par exemple perçu, à une occasion, 11,1 millions de dollars sur présentation d'un bon, sans que la nature du service rendu soit connue. Le même audit indique par ailleurs que 1,8 milliard de dollars d'avoirs irakiens gelés après la conquête de Bagdad ont disparu. Il n'a pas plus retrouvé la trace de 134,8 millions de dollars versés aux alliés britanniques, polonais et sud-coréens des Etats-Unis en Irak.
Vu le nombre monumental de documents à vérifier, les auditeurs ont sélectionnés 702 contrats représentatifs. La somme sans traçabilité est une extrapolation faite à partir de leur bilan. Le cas le plus exceptionnel consiste en un versement de 320,8 millions de dollars avec la simple mention " paiement de salaires irakiens ", sans aucune indication de l'identité des personnes ou des organismes rémunérés ni du travail qu'ils avaient effectué. Dans la colonne suivante apparaît le chiffre " 1 000 ". Un représentant au Congrès a demandé s'il s'agissait du nombre de personnes payées. Auquel cas chacune aurait perçu 320 800 dollars…
Interrogée par des parlementaires pour savoir si elle avait une idée de la destination de ces sommes, Mary Ugone, directrice-adjointe de l'Inspection générale du Pentagone, a répondu : " nous ne savons pas ce qu'il en est ".
Sylvain Cypel - De notre correspondant à New York
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2008/05/25/guerre-en-irak-huit-milliards-portes-manquants_1049377_3222.html#givFlcmjLpkjLlyS.99
(source : souk-fares.blogspot.com)
mardi 22 janvier 2008
Pour une poignée de milliers-de-milliards de dollars
Parlons d'argent. Parlons du plus gros scandale financier de tous les temps.
Mais d'abord, un petit rappel pour lever toute ambiguïté : les termes "billion" et "trillion" n'ont pas le même sens en français et en anglais :
Trillion : http://fr.wikipedia.org/wiki/Trillion
Trillion en anglais : 10^12 (1 avec 12 zéros derrière), donc 1000 milliards
Trillion en français : 10^18 (1 avec 18 zéros derrière)
Billion : http://fr.wikipedia.org/wiki/Billion
Billion en anglais : 1 milliard
Billion en français : 1000 milliards
Donc un "trillion" (en anglais) est égal à un "billion" (en français) : soit 1000 milliards.
Si vous n'avez rien compris, relisez depuis le début. Reprenez calmement.
Mais si au bout de 3 fois vous n'avez toujours rien compris, cassez-vous et ne revenez pas sur ce blog.
Le 10 septembre 2001 (la veille des attentats donc), le Ministre de la Défense des Etats-Unis, Donald Rumsfeld, annonce la "disparition" de "2.3 trillion $" (en anglais) : soit 2300 milliards de $.
Lire l'article CBS et voir la vidéo.
Le Pentagone a "perdu la trace" de 2300 milliards de dollars (deux mille trois cent milliards de dollars) sur l'année fiscale 1999. Et également 1100 milliards de dollars sur l'année fiscale 2000.
Ce sont des sommes astronomiques : on est entrain de parler de l'évaporation de sommes qui sont supérieures au PIB de la France de l'époque.
A titre de comparaison, le scandale Enron en quelques chiffres :
- Une société qui avait un chiffre d'affaire de 100 milliards de $.
- 1 milliard de $ de délits d'initiés que se sont partagés 29 cadres dirigeants qui ont retiré leurs billes juste avant que l'action ne plonge.
- 67 milliards de $ de dettes.
- 20000 salariés à la porte.
- 2 milliards de $ de fonds de retraites évaporés.
Allez, comme je suis sympa, je vous rajoute aussi la société Andersen, ses 9 milliards de dollars de chiffre d'affaire et ses 85000 salariés. C'est cadeau, tout doit disparaître.
On le voit en comparant les chiffres : le scandale Enron ne pèse pas lourd en comparaison des 2300 milliards de $ dont parle Donald Rumsfeld. Cet aveu aurait pu (et aurait du) provoquer un véritable cataclysme politique outre-atlantique. Mais voilà, cette info est passée totalement inaperçue : le lendemain c'est le 11 septembre 2001. Les attentats contre les tours jumelles (et le Pentagone) occupent tout l'espace médiatique. Le plus gros scandale financier de l'Histoire passe à la trappe. Quel coup de bol !
Mais un coup de bol n'arrive jamais seul. Le 11 septembre 2001, l'attentat contre le Pentagone a lieu pile à l'endroit où était situé le système d'information des analystes financiers chargés d'enquêter sur la disparition de ces sommes (voir le documentaire Pandora's Black Box entre 6min30 et 6min55). Voir également la liste des victimes au Pentagone et la proportion importante de "accountants", "bookkeepers" et de "budget analysts".
Voilà qui vient compléter mon billet précédent à propos du Pentagone.
Certains tentent de forcer de vraies enquêtes sur ces questions, mais jusque là sans succès.
Voir l'intervention de la député Cynthia McKinney, et la réaction de Donald Rumsfeld : voir la vidéo(question n°2).
Sa question n°3 porte sur les exercices qui ont paralysé l'aviation américaine le 11 septembre : voir lebillet précédent à ce sujet.
Si vous vous demandez où a bien pu passer tout ce pognon, sachez que vous n'êtes pas le seul. Posez donc la question à votre moteur de recherche favori : "where is the money ?" (où est l'argent ?), il vous répondra : http://www.whereisthemoney.org :)
Et, pendant ce temps, des millions d'américains sont à la rue et 13 millions sont dans la précarité alors que l'argent disparu aurait largement suffi à les sortir de la précarité et à leur offrir un logement.
Et, voilà, parce que les très riches dont les grandes banques américaines en premier volent l'or de fort knox et l'argent des américains, les Etats-Unis sont devenus un pays du tiers monde, beaucoup de pauvres, une dette irremboursable, n'est-ce pas là, la définition d'un pays du tiers monde ?
Shame to America !
Paul Craig Roberts : la fabrique de la dissidence étasunienne -- Les Maîtres du Monde -- Sott.net
Paul Craig Roberts : la fabrique de la dissidence étasunienne -- Les Maîtres du Monde -- Sott.net: http://fr.sott.net/article/25176-Paul-Craig-Roberts-la-fabrique-de-la-dissidence-etasunienne
(blog à finir et à corriger)
Reçu sur mon mail, concernant uniquement la France, mes chers cinq lecteurs.
Coucou,
Je t'envoie un petit résumé d'un dossier du journal Fakir n° 68 : "Gaz, le jackpot tranquille".
Au minimum, soyons informé(e)s... :
Le prix du gaz est monté de 72% en 10 ans : 258 E pour 2 mois contre 104 E avant.
L'abonnement a grimpé de 50 % entre 2008 et 2014, largement au dessus de l'inflation (6%).
La précarité énergétique dans le logement grimpe elle aussi : elle touche 20% de la population en France (11 millions d'individus). Or le Dr Bernard Delesert a mené une étude qui montre les effets de la précarité énergétique sur la santé.
PENDANT CE TEMPS...
Jusqu'en 2004 GDF versait 0 E a ses actionnaires, aujourd'hui 100 % des profits sont versés en dividendes, soit 3,5 milliards par an, soit 304,34 E par an par abonné. Ces euro ne servent pas à la recherche, l'investissement, à préparer la transition énergétique.
Pendant ce temps, Gerard Mestrallet (le PDG) et Jean-François Cirelli (le vice-PDG) ont eux aussi accepté la précarité... Leurs rémunérations fixes sont de 1 400 000 E et 1 000 000 E. Mais conte tenu de la situation difficile du secteur de l'énergie en Europe et des impacts sur le groupe (y compris les efforts demandés au personnel), les 2 dirigeant ont renoncé à 50% de leur rémunération variable (pas la fixe sus-citée) au titre de 2013 : J-F. Cirelli , qui ne percevait donc "que" 300 000 E en 2004 voit ses appointements tourner autour de 2 à 3 Millions.
Il faudrait 20 ans de travail dans ses steaks hachés congelés à Stéphanie pour égaler un mois d'appointements du vice- PDG.
Mais lui n'est qu'un prolétaire comparé à Gérard Mestrallet. Le PDG prépare sa retraite : 16 Millions d'euros sont provisionnés pour sa retraite chapeau en plus des 77 000 E mensuels pour sa retraite de base.
Au total, d'après Le Figaro et le document de référence 2013 de GDF-Suez, pour les 27 membres du comité exécutif, le groupe gazier a provisionné 103 millions d'euro.
Ah, la crise, elle touche tout le monde vraiment durement...
A faire suivre, pour informer les consommateurs de gaz, ainsi que les administrés (les services publics sont asséchés par la "crise").
Mais, dites-moi, mes chers lecteurs, l'Europe distribue de l'argent à l'Ukraine, surtout pour payer les intérêts de la dette pour aider les banques, donc, distribue notre argent, mais, où finit-il cet argent ?
(source : Histoire de la fin de la croissance)
Et, un conseil concernant notre santé.
(source : Express.be)
Reçu sur mon mail, concernant uniquement la France, mes chers cinq lecteurs.
Coucou,
Je t'envoie un petit résumé d'un dossier du journal Fakir n° 68 : "Gaz, le jackpot tranquille".
Au minimum, soyons informé(e)s... :
Le prix du gaz est monté de 72% en 10 ans : 258 E pour 2 mois contre 104 E avant.
L'abonnement a grimpé de 50 % entre 2008 et 2014, largement au dessus de l'inflation (6%).
La précarité énergétique dans le logement grimpe elle aussi : elle touche 20% de la population en France (11 millions d'individus). Or le Dr Bernard Delesert a mené une étude qui montre les effets de la précarité énergétique sur la santé.
PENDANT CE TEMPS...
Jusqu'en 2004 GDF versait 0 E a ses actionnaires, aujourd'hui 100 % des profits sont versés en dividendes, soit 3,5 milliards par an, soit 304,34 E par an par abonné. Ces euro ne servent pas à la recherche, l'investissement, à préparer la transition énergétique.
Pendant ce temps, Gerard Mestrallet (le PDG) et Jean-François Cirelli (le vice-PDG) ont eux aussi accepté la précarité... Leurs rémunérations fixes sont de 1 400 000 E et 1 000 000 E. Mais conte tenu de la situation difficile du secteur de l'énergie en Europe et des impacts sur le groupe (y compris les efforts demandés au personnel), les 2 dirigeant ont renoncé à 50% de leur rémunération variable (pas la fixe sus-citée) au titre de 2013 : J-F. Cirelli , qui ne percevait donc "que" 300 000 E en 2004 voit ses appointements tourner autour de 2 à 3 Millions.
Il faudrait 20 ans de travail dans ses steaks hachés congelés à Stéphanie pour égaler un mois d'appointements du vice- PDG.
Mais lui n'est qu'un prolétaire comparé à Gérard Mestrallet. Le PDG prépare sa retraite : 16 Millions d'euros sont provisionnés pour sa retraite chapeau en plus des 77 000 E mensuels pour sa retraite de base.
Au total, d'après Le Figaro et le document de référence 2013 de GDF-Suez, pour les 27 membres du comité exécutif, le groupe gazier a provisionné 103 millions d'euro.
Ah, la crise, elle touche tout le monde vraiment durement...
A faire suivre, pour informer les consommateurs de gaz, ainsi que les administrés (les services publics sont asséchés par la "crise").
(source : Histoire de la fin de la croissance)
From www .rts .ch - March 24, 7:26 PM
L’un des politiciens les plus influents du parti ukrainien au pouvoir est soupçonné d’avoir reçu des millions de francs de pot-de-vin sur un compte de la banque privée suisse Hottinger Cie.
Le Ministère public de la Confédération a indiqué dimanche que depuis 2013 une enquête pénale vise en effet "un citoyen ukrainien", sans le nommer, en raison d'une affaire de corruption d'agents publics étrangers. Ceci confirme une information du Matin Dimanche et de la SonntagsZeitung.
La banque Hottinger, présente à Genève, Zurich, Bâle et Sion, l'avait accepté comme client en 2011, malgré des accusations de corruption en 2005. En juillet 2013, les banquiers ont remarqué une série de paiements suspects. Sur les comptes de l'Ukrainien s’accumulaient subitement quelque 30 millions de francs."
Et, un conseil concernant notre santé.
(source : Express.be)
3 verres de lait par jour… La recette pour une mort précoce?
Une nouvelle étude, menée par une équipe de chercheurs de l’Université d’Uppsala, en Suède, conclut que consommer de grandes quantités de lait présente plus de risques pour la santé qu’on ne le pensait jusqu’alors.
L’équipe de scientifiques a suivi un groupe comprenant plus de 100 000 Suédois pendant une vingtaine d’années. Des données provenant de la FAO, l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture, ont montré qu’en 2007, la Suède était le pays du monde où l’on consommait le plus de lait par tête dans le monde.
Jusqu’à présent, le corps médical recommandait de consommer une grande quantité de produits laitiers pour réduire le risque de fractures, en raison du calcium qu’ils contiennent. Cela est particulièrement vrai pour les femmes, qui sont plus sujettes à l’ostéoporose.
Or, non seulement l’étude n’a pas mis en évidence de réduction du risque de fracture chez les femmes avec une consommation plus élevée de lait, mais de plus, elle a montré qu’au-delà de 3 verres de lait, les femmes encourraient un risque de fracture plus grand que lorsqu’elles se contentaient d’un seul verre. Pour chaque verre de lait additionnel que les femmes consommaient, leur taux de mortalité augmentait de 15%. Pour les hommes, l’augmentation correspondante était de 3%.
« Les femmes mouraient plus tôt et avaient plus souvent des fractures lorsqu’elles buvaient de grandes quantités de lait. Les hommes avaient aussi des taux de mortalité plus élevés, mais nous n’avons pas constaté une augmentation des fractures osseuses chez eux », a expliqué le Professeur Karl Michaëlsson.
Les chercheurs soulignent que leurs travaux ne permettent pas de tirer des conclusions définitives, et que des études complémentaires seront nécessaires avant de formuler toute recommandation de modification de l’alimentation quotidienne. Ils soupçonnent que ce sont les niveaux élevés de galactose et de lactose qui sont responsables de la nocivité relative du lait.
Ces deux constituants du lait, qui sont en fait des sucres, peuvent en effet augmenter le stress oxydatif et l’inflammation chronique, qui sont tous deux des facteurs de maladies mortelles.
En revanche, la consommation de produits laitiers fermentés, comme le yaourt, était associée à des taux de mortalité et de fractures moins élevés, notamment pour les femmes."
Et, toujours en Ukraine, une question, "Est-ce que les Etats-Unis soutiennent kolomoisky parce qu'il a la double nationalité israélienne-ukrainienne ?"
(source : histoireetsociete)
Ukraine : les Américains gardent deux fers au feu… Porochenko, Kolomoisky et les autres…
29MAR
La question est comment peut on vendre au naïf occidental que nous sommes, de tels jeux mafieux comme l’essence de la vertu démocratique?
En fait tout est en germe dans la « Révolution orange », l’intervention directe des Etats-Unis ou plutôt les oligarques étatsuniens qui possèdent l’appareil d’Etat le plus puissant du monde et ont décidé de soumettre la Russie qui prétend se relever et avoir sa part du gâteau mondial… L’intervention orange c’est-à-dire le financement de « révolutions », des sortes de mai 68 d’une jeunesse qui rêve de modernité et de gens réellement excédés par le pillage… La « Révolution orange » invente également un retour de l’ultranationalisme comme moyen de faire face à la nostalgie de l’Union soviétique en particulier dans l’est du pays.
Mais la « Révolution orange » porte à son plus haut niveau la concurrence entre les oligarques, ainsi ceux qui ont joué le vainqueur Iouchtchenko ont reçu leur récompense, on leur a non seulement offert les biens de l’Etat mais aussi ceux des adversaires vaincus, ceux qui avaient choisi le mauvais camp. Les requins qui se sont développés dans le sillage dela dite « révolution orange » et parmi eux il y a Porochenko, Kolomoisky,M. Pintchouk et bien d’autres ont soutenu en 2005-2006, ceux que les américains intronisaient Iouchtchenko et Timochenko pour s’assurer une position financière, entrepreneuriale.
Ce n’était qu’un hors d’oeuvre et aussi une manière d’agir devenue méthode après le coup d’Etat dit de l’Euromaïdan en fait organisé par madame Nuland et entériné piteusement par la France, l’Allemagne et la Pologne… D’autres oligarques comme Ianoukovitch père et fils, Firtash et Akhmetov ont été à leur tour la proie du même dépeçage… Kolomoiski s’est positionné immédiatement à proximité du Donbass pour s’emparer, avec l’aide de ses complices néonazis, en s’inventant une lutte contre le séparatisme et la pseudo intervention russe. Akhmetov paraît le perdant pour avoir voulu rester entre deux sans vraiment choisir Poutine ou le nouveau pouvoir américain à Kiev. Kolomoiski a récupéré toutes ses positions et d’autres dans tout l’espace considéré comme pro-russe après avoir tenté de faire assassiner le maire de Kharkov, un autre oligarque pro-russe, avec l’aide du ministre de l’intérieur.
Kolomoisky s’est affirmé comme le soutien de Poroshenko, son « employé » a-t-il dit récemment au Wahington post, tout en s’appuyant sur l’ultranationaliste, néo-nazi Yarosh, le chef de pravy sektor, et en le lui jetant dans les pattes. Ce d’abord dans les combats de l’est où il n’était pas question que pravy sektor respecte le cessez- le feu. Porochenko pouvait compter sur l’état-major général pour prétendre avoir le contrôle au moins partiel de l’armée. En juillet 2014, Porochenko avait nommé l’ancien général soviétique Muzhenko à la direction de l’Etat major, à charge pour lui de la maintenir loyale, ce qu’il fait tant bien que mal parce qu’il est complètement disqualifié à la fois par ses échecs sur le front et par les campagnes de l’extrême-droite et de Kolomoiski et d’autres oligarques contre lui. On n’est pas plus assuré d’ailleurs que les faucons des USA comme Victoria Nuland, Mac Cain et tous ceux qui aux Etats-Unis participent du pillage ukrainien soient réellement derrière Porochenko, qui couvre Muzhenko malgré toutes les catastrophes militaires.
Porochenko d’un côté avec les accords de Minsk 2 s’est assuré le soutien de certains européens comme Merkel et Hollande, peut-être même celui de Poutine, mais si officiellement dans son récent affrontement avec Kolomoisky, les Etats-unis ont soutenu Porochenko, celui-ci a dû transiger au point de passer un compromis avec Kolomoisky qui l’avait défié en venant à Kiev avec sa bande de mercenaires néo-nazis mettre au pas la société pétrolière, il a obtenu d’autres avantages bancaires en particulier. Mais plus caractéristique encore est le compromis passé avec Yaroch et dont nous faisons état dans un autre article.
Kolomoiski a partiellement obtenu ce qu’il voulait http://lifenews.ru/news/151571 (en russe), Porochenko a dû accepter certaines des conditions de Kolomoisky, formant un compromis temporaire avec lui et a assuré une partie du butin.
Kolomoiski a partiellement obtenu ce qu’il voulait http://lifenews.ru/news/151571 (en russe), Porochenko a dû accepter certaines des conditions de Kolomoisky, formant un compromis temporaire avec lui et a assuré une partie du butin.
En fait tout dépend des États-Unis qui ont un contrôle total sur la politique et l’économie de l’Ukraine, du jour au lendemain il peuvent en finir avec la « légitimité démocratique » de l’oligarque… Alors c’est l’élimination et elles ont été nombreuses ces derniers temps dans le milieu où les suicides (le mort s’est tiré deux balles dont la première était mortelle) sont fréquents et les assassinats couverts… Il est clair que dans l’affaire Kolomoiski celui ci n’a pas été exécuté et conserve d’importantes positions, les Etats-Unis ont donc choisi de laisser ouverts les possibles. Timochenko qui avait prétendu s’opposer à Porochenko a été bien vite éliminée du jeu. Bref nous n’en sommes qu’au premier round."
Et, concernant la Chine, les States ont perdu la main.
(source : Sputnik)
Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/analyse/20150329/1015384793.html#ixzz3VnNoMx79
Au final, les faucons américains et sa finance ont perdu la main. Pour le moment, avant qu'ils n'ouvrent un nouveau front, sur leur reste la reprise de la guerre en Ukraine.
Un nouveau front qui pourrait être l'Iran.
(source : Le Grand Soir)
Et, encore une nouvelle sur la santé qui m'interroge.
(source : Sain et naturel)
vvv
(source : Sputnik)
Deux grands alliés américains dans la région d'Asie-Pacifique : l'Australie et le Canada ont soutenu le projet chinois de fondation de la Banque asiatique d'investissements dans les infrastructures (AIIB).
Le ministre australien des finances Mathias Cormann doit annoncer officiellement l'adhésion à la Banque à la prochaine séance du forum asiatique à Boao, dans le Sud de la Chine, à la fin de la semaine. Le Canada le fera à un autre forum d'ici le 31 mars, délai limite fixé par la Chine.
Ce fut un geste diplomatique fort de la Chine ayant déjà placé 100 milliards de dollars en tant que capital statutaire de l'AIB. Pékin pourra multiplier cette somme et les pays européens et l'Australie entendent y investir au maximum 3 milliards de dollars. Qui plus est, l'AIB placera les capitaux et accordera des crédits en yuans pour aménager l'infrastructure en se fondant sur l'initiative du président de la RPC Xi Jinping concernant la Nouvelle route de la Soie, terrestre et maritime, d'Asie en Europe. De l'aveu de la Chine, les deux projets sont interdépendants.
Les Etats-Unis adoptent une attitude négative envers cette idée chinoise. La Corée du Sud est contrainte, tout comme le Japon, de prendre en considération la position de leur partenaire aîné. Or, certains partenaires et alliés de Washington ont décidé de soutenir l'initiative chinoise et il est possible que leur exemple encourage Séoul.
L'Autriche a fait le 25 mars son choix en faveur de l'AIIB. Les grands partenaires des Etats-Unis en Europe: Grande-Bretagne, Allemagne, France, Italie, Luxembourg et Suisse ont annoncé leur décision de rejoindre les pays fondateurs. Le « château de cartes » des pays qui auraient dû jouer du côté de Washington contre Pékin s'est écroulé après la renonciation de la Chine au droit de veto dans la Banque.
Le Canada ayant annoncé officiellement son adhésion au projet chinois, parmi les alliés américains au sein du G7 seul le Japon qui ne le fait pas sous la pression de Washington. Le politologue Vladimir Evseev a dit à notre correspondant que le Japon ne resterait pas pendant longtemps dans l'ombre des Etats-Unis:
La Chine accèdera d'ici 2025 au leadership mondial dans l'économie et entend former vers ce moment le système financier national. Les Etats-Unis essaient sans doute de le bloquer. S'ils parviennent quand même à supporter une percée économique de la Chine, ils ne sauront tolérer le leadership bancaire et financier de Pékin. C'est pour ça que Washington exerce une puissante pression sur le Japon pour qu'il ne participe pas au projet. Or, une telle pression a des limites. Les Etats-Unis ne réussiront pas à se soumettre le Japon en la matière.
La Corée du Sud et un autre « tigre asiatique » qui ne figure pas parmi les pays fondateurs de l'AIB. Selon l'expert de l'Institut d'études orientales de l'Académie des sciences de Russie Alexandre Vorontsov, Séoul fera un choix juste entre l'aspect commercial du projet chinois et les engagements politiques devant Washington:
L'Inde et le Pakistan ont rejoint les premiers la Banque asiatique d'investissements dans les infrastructures. Le Vietnam, les Philippines, la Malaisie ayant le litige territorial avec la Chine dans la mer de Chine méridionale en ont fait de même. Il n'est pas exclu que l'Indonésie et la Nouvelle-Zélande suivent leur exemple dès la semaine en cours lorsque les leaders de ces pays se rendront au « Davos chinois » à Boao.
Les opinions exprimées dans ce contenu n'engagent que la responsabilité de l'auteur.
Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/analyse/20150329/1015384793.html#ixzz3VnNoMx79
Au final, les faucons américains et sa finance ont perdu la main. Pour le moment, avant qu'ils n'ouvrent un nouveau front, sur leur reste la reprise de la guerre en Ukraine.
Un nouveau front qui pourrait être l'Iran.
(source : Le Grand Soir)
Le New York Times publie un appel à bombarder l’Iran (Consortium News)
Robert PARRY
Après avoir imité le Washington Post en publiant un éditorial préconisant le bombardement sans provocation de l’Iran, le New York Times poursuit sa dérive pour devenir guère plus qu’une feuille de propagande néocon.
Si deux grands journaux, par exemple en Russie, avaient publié des éditoriaux prônant ouvertement le bombardement sans provocation d’un pays, par exemple, Israël, les médias et le gouvernement américains se seraient embrasés pour dénoncer « l’agression », « la criminalité », « la folie », et « un comportement indigne du XXIe siècle. »
Mais quand les journaux sont américains - le New York Times et le Washington Post - et que le pays cible est l’Iran, personne dans le gouvernement et les médias américains ne sourcille. Ces articles incendiaires - des incitations au meurtre et à la violation du droit international - sont considérées comme de simples discussions normales au pays de l’ « exceptionnalisme ».
Ce jeudi, le New York Times a publié un éditorial qui a exhorté le bombardement de l’Iran comme une alternative à un accord diplomatique qui ralentirait fortement le programme nucléaire iranien et garantirait son usage à des fins pacifiques. Il y a deux semaines, le Washington Post a publié un article similaire, genre « il-faut-bombarder-l’Iran ».
L’article du Times de John Bolton, un érudit néo-conservateur de l’American Enterprise Institute (AEI), était intitulé « Pour arrêter la bombe de l’Iran, bombardez l’Iran. » Il suivait l’éditorial du Washington Post par Joshua Muravchik, ancien de l’AEI et maintenant membre du School of Advanced International Studies à l’Université Johns Hopkins, dominé par les néocons.
Les deux articles appelaient les Etats-Unis à monter une campagne de bombardement soutenue contre l’Iran pour détruire ses installations nucléaires et promouvoir un « changement de régime » à Téhéran. Ironiquement, ces « savants » rationalisèrent leurs appels à une agression non provoquée contre l’Iran en vertu de la théorie selon laquelle l’Iran est un Etat agressif, bien que l’Iran n’a pas envahi un autre pays depuis des siècles.
Bolton, qui a servi comme ambassadeur du président George W. Bush à l’ONU, a fondé son appel à la guerre sur la possibilité que si l’Iran cherche à développer une bombe nucléaire – ce que l’Iran nie et ce que les services de renseignement américains confirment – un tel événement hypothétique pourrait déclencher une course aux armements au Moyen-Orient.
Curieusement, Bolton a reconnu qu’Israël a déjà développé un arsenal d’armes nucléaires non déclarées en dehors des contrôles internationaux, mais il n’a pas appelé à bombarder Israël. Il a écrit allègrement que « Ironiquement peut-être, les armes nucléaires d’Israël n’ont pas déclenché une course aux armements. D’autres États de la région ont compris - même s’ils ne peuvent pas l’admettre publiquement - que les armes nucléaires d’Israël ont été conçues comme un moyen de dissuasion, et non comme une mesure offensive ».
Bolton n’explique pas comment il parvient à lire dans les pensées des voisins d’Israël qui ont été les victimes des invasions israéliennes et autres attaques transfrontalières. Il n’envisage pas non plus la possibilité que la possession par Israël de quelque 200 bombes nucléaires pourrait être présents à l’esprit des dirigeants iraniens s’ils décident de développer l’arme nucléaire.
Bolton n’explique pas non plus son hypothèse que si l’Iran fabriquait une ou deux bombes, il les utiliserait de manière agressive, plutôt que s’en servir comme un moyen de dissuasion. Il affirme simplement : « L’Iran est une autre histoire. Les grands progrès accomplis dans l’enrichissement de l’uranium et du retraitement du plutonium révèlent leurs ambitions. »
Limiter l’enrichissement.
Mais est-ce exact ? Dans son enrichissement de l’uranium, l’Iran n’a pas progressé vers le niveau requis pour se doter d’une arme nucléaire depuis l’accord intérimaire avec les puissances mondiales connues comme « le p5 + 1 » - les membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU plus l’Allemagne. Au lieu, l’Iran a fait marche arrière pour revenir à une niveau d’enrichissement de moins de 5% (niveau requis pour produire de l’électricité) de son niveau antérieur de 20 % (nécessaire pour la recherche médicale) – à comparer aux 90 % requis pour construire une arme nucléaire.
En d’autres termes, plutôt que de défier la « ligne rouge » d’enrichissement que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a tracé lors d’un discours aux Nations Unies en 2012, les Iraniens sont allés dans la direction opposée - et ils ont convenu de respecter ces contraintes si un accord définitif est conclu avec le p5+1.
Cependant, au lieu de soutenir un tel accord, les néoconservateurs américains – en écho aux extrémistes israéliens - exigent la guerre, suivie par la subversion de l’Iran par les Etats-Unis à travers le financement d’une opposition interne pour un coup d’Etat ou une « révolution colorée ».
Bolton a écrit : « Il n’est pas nécessaire de détruire toutes les infrastructures nucléaires de l’Iran, mais la destruction de certains sites clés de son industrie nucléaire pourrait retarder son programme de trois à cinq ans. Les États-Unis pourraient accomplir un travail méticuleux de destruction, mais Israël seul pourrait accomplir le travail nécessaire. Cette action devrait être combinée avec un soutien vigoureux des Eatst-Unis à l’opposition iranienne, visant à un changement de régime à Téhéran ».
Mais il faut se rappeler que les plans de néocons - élaborés dans leurs think tanks et éditoriaux - ne se déroulent pas toujours comme prévu. Depuis les années 1990, les néo-conservateurs ont dressé une liste de pays considérés comme gênants pour Israël et qui sont donc ciblés pour un « changement de régime », dont l’Irak, la Syrie et l’Iran. En 2003, les néo-conservateurs ont saisi leur chance d’envahir l’Irak, mais la victoire facile qu’ils avaient prédit ne s’est pas vraiment réalisée.
Pourtant, les néocons ne revoient jamais leur copie. Ils recommencent simplement avec de nouveaux plans qui, au final, ont jeté une grande partie du Moyen-Orient, de l’Afrique du Nord et maintenant de l’Ukraine dans une effusion de sang et le chaos. En effet, les néo-conservateurs ont rejoint Israël dans son alliance de fait avec l’Arabie saoudite dans un conflit sectaire des sunnites contre les chiites et leurs alliés. Tout comme les Saoudiens, les responsables israéliens radotent contre le soi-disant « croissant chiite » de Téhéran à Bagdad et de Damas à Beyrouth.
Puisque l’Iran est considéré comme la nation chiite la plus puissante et qu’il est allié avec la Syrie, qui est dirigé par des alaouites, une émanation de l’islam chiite, les deux pays sont toujours dans la ligne de mire des néoconservateurs. Mais les néoconservateurs ne tirent jamais eux-mêmes sur la gâchette. Leur rôle principal est de fournir les arguments émotionnels et politiques pour obtenir que le peuple américain confie ses impôts et ses enfants pour aller combattre dans ces guerres.
Les néo-conservateurs sont tellement confiants dans leurs compétences à manipuler le processus de décision des États-Unis que certains sont allés jusqu’à suggérer que les Américains devraient se ranger aux côtes du Front Al Nosra d’al-Qaïda en Syrie ou de l’Etat islamique, encore plus brutal, parce que ces groupes aiment tuer les chiites et sont donc considérés comme les combattants les plus efficaces contre les alliés de l’Iran.
La folie de Friedman
Le chroniqueur néocon vedette du New York Times, Thomas Friedman, a frôlé la folie lorsqu’il lancé l’idée que les États-Unis pourraient armer les décapiteurs de l’Etat islamique, en écrivant ce mois-ci : « Il faut dire que je méprise ISIS autant que n’importe qui, mais permettez-moi juste une autre question : Devrions-nous armer ISIS ? »
Je sais que le New York Times et le Washington Post sont protégés par le Premier amendement et peuvent théoriquement publier ce qu’ils veulent. Mais la vérité est que ces journaux sont extrêmement restrictifs quant à ce qu’ils impriment. Leurs pages éditoriales ne sont pas simplement une zone de libre expression.
Par exemple, aucun de ces journaux ne publierait un article qui exhorterait les Etats-Unis à lancer une campagne de bombardements pour détruire l’arsenal nucléaire d’Israël comme prélude à la création d’une zone libre d’armes nucléaires au Moyen-Orient. Ce serait considéré comme une idée irresponsable et hors du débat raisonnable.
Cependant, lorsqu’il s’agit de défendre une campagne de bombardement contre le programme nucléaire pacifique de l’Iran, les deux journaux sont très heureux de publier ce genre de plaidoyer. The Times ne rougit pas, même lorsque l’un de ses plus célèbres chroniqueurs rumine l’idée d’envoyer des armes aux terroristes de l’EI - sans doute parce qu’Israël a identifié « le croissant chiite » comme son principal ennemi actuel et que l’État islamique se trouve dans le camp adverse.
Mais au-delà de l’hypocrisie et, sans doute, de la criminalité de ces articles de propagande, il y a aussi l’habitude des néocons à se tromper. Vous rappelez-vous comment l’invasion de l’Irak devait se terminer avec les Irakiens lançant des pétales de rose sur les soldats américains au lieu de poser des « engins explosifs improvisés » - et comment le nouvel Irak allait devenir une démocratie pluraliste modèle ?
Eh bien, pourquoi supposer que ces mêmes génies qui se sont tellement trompés sur l’Irak auraient raison sur l’Iran ? Que faire si le bombardement et la subversion ne conduisent pas au nirvana en Iran ? N’est-il pas tout aussi possible, sinon plus, que l’Iran réagirait à cette agression en décidant qu’il lui fallait des bombes nucléaires pour dissuader toute nouvelle agression et pour protéger sa souveraineté et son peuple ?
En d’autres termes, se pourrait-il que les intrigues de Bolton et Muravchik - telles que publiées par le New York Times et le Washington Post - produisent exactement le résultat qu’ils disent vouloir éviter ? Mais ne vous inquiétez pas. Si ces derniers plans des néocons tournent mal, ils en concocteront tout simplement de nouveaux.
Robert Parry
Traduction "et dire qu’on a les mêmes chez nous et qui se disent de gauche" par VD pour le Grand Soir avec probablement toutes les fautes et coquilles habituelles."
Mais quand les journaux sont américains - le New York Times et le Washington Post - et que le pays cible est l’Iran, personne dans le gouvernement et les médias américains ne sourcille. Ces articles incendiaires - des incitations au meurtre et à la violation du droit international - sont considérées comme de simples discussions normales au pays de l’ « exceptionnalisme ».
Ce jeudi, le New York Times a publié un éditorial qui a exhorté le bombardement de l’Iran comme une alternative à un accord diplomatique qui ralentirait fortement le programme nucléaire iranien et garantirait son usage à des fins pacifiques. Il y a deux semaines, le Washington Post a publié un article similaire, genre « il-faut-bombarder-l’Iran ».
L’article du Times de John Bolton, un érudit néo-conservateur de l’American Enterprise Institute (AEI), était intitulé « Pour arrêter la bombe de l’Iran, bombardez l’Iran. » Il suivait l’éditorial du Washington Post par Joshua Muravchik, ancien de l’AEI et maintenant membre du School of Advanced International Studies à l’Université Johns Hopkins, dominé par les néocons.
Les deux articles appelaient les Etats-Unis à monter une campagne de bombardement soutenue contre l’Iran pour détruire ses installations nucléaires et promouvoir un « changement de régime » à Téhéran. Ironiquement, ces « savants » rationalisèrent leurs appels à une agression non provoquée contre l’Iran en vertu de la théorie selon laquelle l’Iran est un Etat agressif, bien que l’Iran n’a pas envahi un autre pays depuis des siècles.
Bolton, qui a servi comme ambassadeur du président George W. Bush à l’ONU, a fondé son appel à la guerre sur la possibilité que si l’Iran cherche à développer une bombe nucléaire – ce que l’Iran nie et ce que les services de renseignement américains confirment – un tel événement hypothétique pourrait déclencher une course aux armements au Moyen-Orient.
Curieusement, Bolton a reconnu qu’Israël a déjà développé un arsenal d’armes nucléaires non déclarées en dehors des contrôles internationaux, mais il n’a pas appelé à bombarder Israël. Il a écrit allègrement que « Ironiquement peut-être, les armes nucléaires d’Israël n’ont pas déclenché une course aux armements. D’autres États de la région ont compris - même s’ils ne peuvent pas l’admettre publiquement - que les armes nucléaires d’Israël ont été conçues comme un moyen de dissuasion, et non comme une mesure offensive ».
Bolton n’explique pas comment il parvient à lire dans les pensées des voisins d’Israël qui ont été les victimes des invasions israéliennes et autres attaques transfrontalières. Il n’envisage pas non plus la possibilité que la possession par Israël de quelque 200 bombes nucléaires pourrait être présents à l’esprit des dirigeants iraniens s’ils décident de développer l’arme nucléaire.
Bolton n’explique pas non plus son hypothèse que si l’Iran fabriquait une ou deux bombes, il les utiliserait de manière agressive, plutôt que s’en servir comme un moyen de dissuasion. Il affirme simplement : « L’Iran est une autre histoire. Les grands progrès accomplis dans l’enrichissement de l’uranium et du retraitement du plutonium révèlent leurs ambitions. »
Limiter l’enrichissement.
Mais est-ce exact ? Dans son enrichissement de l’uranium, l’Iran n’a pas progressé vers le niveau requis pour se doter d’une arme nucléaire depuis l’accord intérimaire avec les puissances mondiales connues comme « le p5 + 1 » - les membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU plus l’Allemagne. Au lieu, l’Iran a fait marche arrière pour revenir à une niveau d’enrichissement de moins de 5% (niveau requis pour produire de l’électricité) de son niveau antérieur de 20 % (nécessaire pour la recherche médicale) – à comparer aux 90 % requis pour construire une arme nucléaire.
En d’autres termes, plutôt que de défier la « ligne rouge » d’enrichissement que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a tracé lors d’un discours aux Nations Unies en 2012, les Iraniens sont allés dans la direction opposée - et ils ont convenu de respecter ces contraintes si un accord définitif est conclu avec le p5+1.
Cependant, au lieu de soutenir un tel accord, les néoconservateurs américains – en écho aux extrémistes israéliens - exigent la guerre, suivie par la subversion de l’Iran par les Etats-Unis à travers le financement d’une opposition interne pour un coup d’Etat ou une « révolution colorée ».
Bolton a écrit : « Il n’est pas nécessaire de détruire toutes les infrastructures nucléaires de l’Iran, mais la destruction de certains sites clés de son industrie nucléaire pourrait retarder son programme de trois à cinq ans. Les États-Unis pourraient accomplir un travail méticuleux de destruction, mais Israël seul pourrait accomplir le travail nécessaire. Cette action devrait être combinée avec un soutien vigoureux des Eatst-Unis à l’opposition iranienne, visant à un changement de régime à Téhéran ».
Mais il faut se rappeler que les plans de néocons - élaborés dans leurs think tanks et éditoriaux - ne se déroulent pas toujours comme prévu. Depuis les années 1990, les néo-conservateurs ont dressé une liste de pays considérés comme gênants pour Israël et qui sont donc ciblés pour un « changement de régime », dont l’Irak, la Syrie et l’Iran. En 2003, les néo-conservateurs ont saisi leur chance d’envahir l’Irak, mais la victoire facile qu’ils avaient prédit ne s’est pas vraiment réalisée.
Pourtant, les néocons ne revoient jamais leur copie. Ils recommencent simplement avec de nouveaux plans qui, au final, ont jeté une grande partie du Moyen-Orient, de l’Afrique du Nord et maintenant de l’Ukraine dans une effusion de sang et le chaos. En effet, les néo-conservateurs ont rejoint Israël dans son alliance de fait avec l’Arabie saoudite dans un conflit sectaire des sunnites contre les chiites et leurs alliés. Tout comme les Saoudiens, les responsables israéliens radotent contre le soi-disant « croissant chiite » de Téhéran à Bagdad et de Damas à Beyrouth.
Puisque l’Iran est considéré comme la nation chiite la plus puissante et qu’il est allié avec la Syrie, qui est dirigé par des alaouites, une émanation de l’islam chiite, les deux pays sont toujours dans la ligne de mire des néoconservateurs. Mais les néoconservateurs ne tirent jamais eux-mêmes sur la gâchette. Leur rôle principal est de fournir les arguments émotionnels et politiques pour obtenir que le peuple américain confie ses impôts et ses enfants pour aller combattre dans ces guerres.
Les néo-conservateurs sont tellement confiants dans leurs compétences à manipuler le processus de décision des États-Unis que certains sont allés jusqu’à suggérer que les Américains devraient se ranger aux côtes du Front Al Nosra d’al-Qaïda en Syrie ou de l’Etat islamique, encore plus brutal, parce que ces groupes aiment tuer les chiites et sont donc considérés comme les combattants les plus efficaces contre les alliés de l’Iran.
La folie de Friedman
Le chroniqueur néocon vedette du New York Times, Thomas Friedman, a frôlé la folie lorsqu’il lancé l’idée que les États-Unis pourraient armer les décapiteurs de l’Etat islamique, en écrivant ce mois-ci : « Il faut dire que je méprise ISIS autant que n’importe qui, mais permettez-moi juste une autre question : Devrions-nous armer ISIS ? »
Je sais que le New York Times et le Washington Post sont protégés par le Premier amendement et peuvent théoriquement publier ce qu’ils veulent. Mais la vérité est que ces journaux sont extrêmement restrictifs quant à ce qu’ils impriment. Leurs pages éditoriales ne sont pas simplement une zone de libre expression.
Par exemple, aucun de ces journaux ne publierait un article qui exhorterait les Etats-Unis à lancer une campagne de bombardements pour détruire l’arsenal nucléaire d’Israël comme prélude à la création d’une zone libre d’armes nucléaires au Moyen-Orient. Ce serait considéré comme une idée irresponsable et hors du débat raisonnable.
Cependant, lorsqu’il s’agit de défendre une campagne de bombardement contre le programme nucléaire pacifique de l’Iran, les deux journaux sont très heureux de publier ce genre de plaidoyer. The Times ne rougit pas, même lorsque l’un de ses plus célèbres chroniqueurs rumine l’idée d’envoyer des armes aux terroristes de l’EI - sans doute parce qu’Israël a identifié « le croissant chiite » comme son principal ennemi actuel et que l’État islamique se trouve dans le camp adverse.
Mais au-delà de l’hypocrisie et, sans doute, de la criminalité de ces articles de propagande, il y a aussi l’habitude des néocons à se tromper. Vous rappelez-vous comment l’invasion de l’Irak devait se terminer avec les Irakiens lançant des pétales de rose sur les soldats américains au lieu de poser des « engins explosifs improvisés » - et comment le nouvel Irak allait devenir une démocratie pluraliste modèle ?
Eh bien, pourquoi supposer que ces mêmes génies qui se sont tellement trompés sur l’Irak auraient raison sur l’Iran ? Que faire si le bombardement et la subversion ne conduisent pas au nirvana en Iran ? N’est-il pas tout aussi possible, sinon plus, que l’Iran réagirait à cette agression en décidant qu’il lui fallait des bombes nucléaires pour dissuader toute nouvelle agression et pour protéger sa souveraineté et son peuple ?
En d’autres termes, se pourrait-il que les intrigues de Bolton et Muravchik - telles que publiées par le New York Times et le Washington Post - produisent exactement le résultat qu’ils disent vouloir éviter ? Mais ne vous inquiétez pas. Si ces derniers plans des néocons tournent mal, ils en concocteront tout simplement de nouveaux.
Robert Parry
Traduction "et dire qu’on a les mêmes chez nous et qui se disent de gauche" par VD pour le Grand Soir avec probablement toutes les fautes et coquilles habituelles."
Et, encore une nouvelle sur la santé qui m'interroge.
(source : Sain et naturel)
97% des malades atteints du cancer en phase terminale ont auparavant subi cette intervention dentaire. Avez-vous une maladie dégénérative chronique? Si oui, avez-vous été informé que « c’est juste dans votre tête? ». Eh bien, ce n’est peut-être pas loin de la vérité…
97% des malades atteints du cancer en phase terminale ont auparavant subi cette intervention dentaire
La vrai cause de votre maladie pourrait se trouver dans votre bouche.
Il y a une procédure dentaire fréquente dont presque tous les dentistes vous diront que c’est complètement sans danger, en dépit du fait que les scientifiques ont mis en garde contre ses dangers depuis plus de 100 ans.
Chaque jour aux Etats-Unis seulement, 41 000 de ces procédures dentaires sont pratiquées sur des patients qui croient qu’ils ont résolu leur problème en toute sécurité et de façon permanente.
Quelle est cette procédure dentaire?
Cette intervention dentaire est La dévitalisation.
Il y a plus de 25 millions de dévitalisations qui sont effectuées chaque année dans ce pays.
Les dents dévitalisées sont surtout des dents mortes qui peuvent devenir des incubateurs silencieux pour les bactéries anaérobies hautement toxiques qui peuvent, sous certaines conditions, faire leur chemin dans la circulation sanguine et causer un certain nombre de graves affections, dont la plupart peuvent n’apparaître que des décennies plus tard.
La plupart de ces dents toxiques paraissent sans problème pendant de nombreuses années, ce qui rend leur rôle dans une maladie systémique encore plus difficile à retracer.
Seulement, la grande majorité des dentistes sont inconscients des graves risques de santé potentiels qu’ils font courir à leurs patients, des risques qui persistent pour le reste de la vie de leurs patients. L’Association Dentaire Américaine (The American Dental Association) prétend que les arbres canalaires des dents dévitalisées se sont avérés sans danger, mais ils n’ont publié aucune donnée ni de réelle recherche pour étayer cette affirmation.
Heureusement, j’ai eu quelques mentors tôt dans ma vie, comme le Dr Tom Stone et le Dr Douglas Cook, qui m’ont enseigné sur cette question il y a près de 20 ans. Sans un dentiste pionnier brillant, qui, il y a plus d’un siècle, fait le lien entre les dents dévitalisées et la maladie, cette cause sous-jacente de la maladie aurait pu rester cachée jusqu’à ce jour. Ce dentiste s’appelait Weston Price et est considéré par beaucoup comme le plus grand dentiste de tous les temps.
Weston A. Price: le plus grand dentiste du monde
La plupart des dentistes rendraient un énorme service à la santé publique s’ils se familiarisaient avec les travaux du Dr Weston Price (1). Malheureusement, ses travaux sont toujours ignorés et cachés par les professionnels médicaux et dentaires.
Le Dr Price était un dentiste chercheur qui a parcouru le monde pour étudier les dents, les os, et les régimes alimentaires des populations indigènes vivant sans le « bénéfice » de la nourriture moderne. Vers l’année 1900, Price avait traité des infections persistantes de l’arbre canalaire et a suspecté que les dents traitées de cette façon restaient toujours infectées, en dépit des traitements. Puis, un jour, il a recommandé à une femme clouée à son fauteuil roulant depuis 6 ans, de se faire extraire sa dent dévitalisée, même si elle semblait être saine.
Elle a accepté, il a extrait sa dent puis l’a implantée sous la peau d’un lapin. Le lapin a étonnamment développé la même arthrite invalidante que la femme et est mort 10 jours plus tard de l’infection. Mais la femme désormais débarrassée de la dent toxique, a immédiatement récupéré de son arthrite et pouvait alors marcher sans même l’aide d’une canne.
Price a découvert qu’il est mécaniquement impossible de stériliser une dent dévitalisée et obturée.
Il a ensuite montré que de nombreuses maladies dégénératives chroniques proviennent de racines obturées, la plus fréquente étant des maladies de coeur et circulatoires. Il a trouvé effectivement 16 agents pathogènes bactériens différents pour ces affections. Mais il y avait aussi de fortes corrélations entre les dents aux racines obturées et les maladies des articulations, du cerveau et du système nerveux. Le Dr Price a ensuite écrit deux livres révolutionnaires en 1922, détaillant ses recherches sur le lien entre la pathologie dentaire et les maladies chroniques. Malheureusement, son travail a été délibérément enterré pendant 70 ans, jusqu’à ce que, finalement, un endodontiste nommé George Meinig reconnaisse l’importance du travail de Price et cherche à faire connaître la vérité.
Il a ensuite montré que de nombreuses maladies dégénératives chroniques proviennent de racines obturées, la plus fréquente étant des maladies de coeur et circulatoires. Il a trouvé effectivement 16 agents pathogènes bactériens différents pour ces affections. Mais il y avait aussi de fortes corrélations entre les dents aux racines obturées et les maladies des articulations, du cerveau et du système nerveux. Le Dr Price a ensuite écrit deux livres révolutionnaires en 1922, détaillant ses recherches sur le lien entre la pathologie dentaire et les maladies chroniques. Malheureusement, son travail a été délibérément enterré pendant 70 ans, jusqu’à ce que, finalement, un endodontiste nommé George Meinig reconnaisse l’importance du travail de Price et cherche à faire connaître la vérité.
Le Dr Meinig fait avancer les travaux du Dr Price
Le Dr Meinig, originaire de Chicago, était capitaine dans l’armée américaine pendant la Seconde Guerre mondiale avant de déménager à Hollywood pour devenir un dentiste pour les stars. Il a fini par devenir l’un des membres fondateurs de l’Association Américaine des Endodontistes (les spécialistes de l’arbre canalaire).
Dans les années 1990, il a passé 18 mois immergé dans la recherche du Dr Price. En juin 1993, le Dr Meinig a publié le livre Root Canal Cover-Up (le secret sur l’arbre canalaire), qui continue à être la référence la plus complète à ce sujet aujourd’hui. Vous pouvez commander votre exemplaire directement à Price-Pottenger Foundation (2).
Ce que les dentistes ne savent pas sur l’anatomie de vos dents
Vos dents sont faites des substances les plus dures de votre corps.
Au milieu de chaque dent, se trouve la chambre pulpaire, une structure interne vivante qui abrite les vaisseaux sanguins et les nerfs. Autour de la chambre pulpaire se trouve la dentine, qui est faite de cellules qui sécrètent une substance minérale dure et vivante. La couche la plus externe et la plus dure de votre dent est l’émail blanc qui enrobe la dentine.
Les racines de chaque dent descendent dans votre mâchoire et sont maintenues en place par le ligament parodontal. A l’école dentaire, les dentistes apprennent que chaque dent a quatre canaux principaux. Cependant, il y a des canaux accessoires qui ne sont jamais mentionnés (canalicules dentinaires). Ils font littéralement, des kilomètres!
Tout comme votre corps a de grands vaisseaux sanguins qui se ramifient en très petits capillaires, chacune de vos dents a un labyrinthe de minuscules tubes qui, s’ils étaient étalés, mesureraient 4,5 kilomètres. Weston Price a identifié pas moins de 75 canaux accessoires séparés dans une seule incisive centrale (dent de devant). Pour une explication plus détaillée, se reporter à un article de Hal Huggins, DDS, MS, sur le site de la Fondation Weston A. Price (3). (Ces images sont empruntées à l’article de Huggins).
Des organismes microscopiques se déplacent régulièrement dans et autour de ces tubules, comme les spermophiles dans les souterrains.
Quand un dentiste effectue un traitement de canal, il ou elle creuse la dent, puis remplit la cavité avec une substance (appelée gutta-percha), qui coupe la dent de son approvisionnement en sang, de façon à ce que les fluides ne puissent plus circuler dans la dent. Mais le labyrinthe de minuscules tubes reste. Et les bactéries, coupées de leur approvisionnement alimentaire, se cachent dans ces tunnels où elles sont remarquablement à l’abri des antibiotiques et de vos propres défenses immunitaires.
La cause profonde de nombreuses maladies
Sous le stress de la privation d’oxygène et de nutriments, ces organismes jusqu’alors amis se transforment en anaérobies plus forts, plus virulents qui produisent une variété de toxines puissantes. Ce que furent des bactéries amies ordinaires, mutent en des agents pathogènes hautement toxiques qui rôdent dans les tubules (canalicules) de la dent morte, juste dans l’attente d’une occasion de se propager.
Aucune stérilisation si forte soit-elle ne s’est avérée efficace pour atteindre ces tubules et à peu près toute dent dévitalisée a été trouvée colonisée par ces bactéries, en particulier autour de l’apex et le ligament parodontal. Souvent, l’infection s’étend dans la mâchoire elle-même où elle crée des cavitations de zones de tissu nécrotiques.
Les cavitations sont des zones d’os non cicatrisées, souvent accompagnées par des poches de tissu infecté et de gangrène. Quelquefois, elles se forment après l’extraction d’une dent, (comme l’extraction d’une dent de sagesse), mais elles peuvent également suivre un canal radiculaire. Selon la Fondation Weston Price, dans les dossiers de 5000 nettoyages de cavitations chirurgicales, seulement deux ont été trouvées guéries.
Et tout cela a lieu avec peu, ou pas du tout de symptômes associés. Ainsi, vous pouvez avoir un abcès sur une dent morte et ne pas en prendre conscience. Cette infection locale dans la zone immédiate de la racine de la dent dévitalisée est assez mauvaise, mais les dégâts ne s’arrêtent pas là.
Les dents dévitalisées peuvent conduire à des maladies de coeur, des reins, des os, et du cerveau
Tant que votre système immunitaire reste fort, les bactéries qui s’égarent loin de la dent infectée sont capturées et détruites. Mais une fois que votre système immunitaire est affaibli par quelque chose comme un accident ou une maladie ou d’autres traumatismes, votre système immunitaire peut être incapable de garder l’infection en échec.
Ces bactéries peuvent migrer dans les tissus environnants par la voie de votre circulation sanguine où elles sont transportées vers de nouvelles zones pour s’y installer. Le nouvel emplacement peut être n’importe quel organe ou glande ou tissu.
Le Dr Price a pu transmettre des maladies hébergées par l’homme à des lapins, en implantant des fragments de dents dévitalisées, comme décrit plus haut. Il a trouvé que des fragments de dent dévitalisée d’une personne qui avait subi une crise cardiaque, implantés sur un lapin, provoqueraient une crise cardiaque chez le lapin en quelques semaines après l’implantation.
Il a découvert qu’il pouvait transférer une maladie cardiaque au lapin dans 100 % des cas. D’autres maladies sont transférables à plus de 80 % par ce procédé. Presque toutes les maladies dégénératives chroniques ont été liées à des dents dévitalisées, comme:
Il a découvert qu’il pouvait transférer une maladie cardiaque au lapin dans 100 % des cas. D’autres maladies sont transférables à plus de 80 % par ce procédé. Presque toutes les maladies dégénératives chroniques ont été liées à des dents dévitalisées, comme:
- Maladies cardiaques
- Maladie des reins
- L’arthrite, les maladies articulaires et rhumatismales
- Maladies neurologiques (y compris la sclérose amyotrophique latérale et la sclérose en plaques).
- Maladies auto-immunes (Lupus, et autres)
Il peut également y avoir un lien avec le cancer. Le Dr Robert Jones, un chercheur sur la relation ente les dents dévitalisées et le cancer du sein, a trouvé une très forte corrélation entre les deux (4). Il déclare avoir trouvé les corrélations suivantes dans une étude de cinq ans de 300 cas de cancers du sein:
- 93 % des femmes atteintes d’un cancer du sein avaient des dents dévitalisées
- 7 % avaient une autre pathologie buccale
- Les tumeurs, dans la majorité des cas, se produisaient du même côté du corps que la dent dévitalisée ou d’autre pathologies buccales.
Le Dr Jones affirme que les toxines de bactéries dans une dent ou la mâchoire infectée sont capables d’inhiber les protéines qui suppriment le développement des tumeurs. Un médecin allemand a rapporté des résultats similaires. Le Dr Josef Issels a rapporté que, dans ses 40 années de traitement des patients cancéreux « terminaux », 97 % de ses patients atteints de cancer avaient des dents dévitalisées. Si ces médecins voient juste, le remède contre le cancer peut être aussi simple que d’arracher une dent, puis de reconstruire votre système immunitaire.
Les bonnes bactéries deviennent alors des mauvaises bactéries
Comment ces bactéries buccales mutantes sont-elles reliées aux maladies du coeur ou à l’arthrite? L’ADA (The American Dental Association )et le AAE (The American Association of Endodontists) déclarent que c’est un « mythe » que les bactéries trouvées dans les dents dévitalisées et autour puissent provoquer des maladies (5). Mais ils se fondent sur l’hypothèse erronée que les bactéries de ces dents malades sont les MEMES que les bactéries normales de votre bouche – et ce n’est clairement pas le cas.
Aujourd’hui, les bactéries peuvent être identifiées en utilisant l’analyse de l’ADN, qu’elles soient mortes ou vivantes, à partir de leurs signatures d’ADN.
Dans une poursuite des travaux du Docteur Price, le Toxic Element Research Foundation (TERF) (Fondation de Recherche des Eléments Toxiques), a effectué l’analyse d’ADN pour examiner les dents dévitalisées, et ils ont trouvé une contamination bactérienne dans 100 % des échantillons testés. Ils ont identifié 42 espèces différentes de bactéries anaérobies dans 43 échantillons d’arbres canalaires. Dans la cavitation, 67 bactéries différentes ont été identifiées parmi les 85 échantillons testés, avec des échantillons individuels abritant de 19 à 53 types de bactéries chacun. Les bactéries qu’ils y trouvaient comprennent les types suivants:
- Capnocytophagaochracea (6)
- Fusobacteriumnucleatum (7)
- Gemellamorbillorum (8)
- Leptotrichiabuccalis
- Porphyromonasgingivalis (9)
Est-ce qu’il s’agit de simples bactéries buccales bénignes? Absolument pas. Quatre peuvent affecter votre coeur, trois peuvent affecter vos nerfs, deux peuvent affecter vos reins, et deux peuvent affecter votre cerveau et une peut infecter vos sinus….. alors, elles sont tout sauf amicales! (Si vous voulez voir à quel point elles peuvent être hostiles, je vous invite à aller plus loin en étudiant dans les notes de bas de page).
Environ 400 pour cent plus de bactéries ont été trouvées dans le sang autour de la dent dévitalisée que dans la dent elle-même, ce qui suggère que la dent est l’incubateur et le ligament parodontal l’approvisionnement alimentaire. L’os entourant les dents dévitalisées comporte un nombre encore plus élevé de bactéries…. ce qui n’est pas étonnant, car l’os est le buffet virtuel des nutriments des bactéries.
Depuis quand est-ce une bonne idée de laisser une partie du corps morte dans votre corps?
Il n’existe aucune autre procédure médicale impliquant de laisser une partie morte dans votre corps. Lorsque votre appendice est mort, on le retire. Si vous avez des engelures, ou la gangrène sur un doigt ou un orteil, il est amputé. Si un bébé meurt in utéro, le corps déclenche généralement une fausse couche.
Votre système immunitaire n’aime pas les substances mortes et la seule présence d’un tissu mort peut conduire votre système à lancer une attaque, ce qui est une autre raison d’éviter de dévitaliser une dent, ce qui revient à laisser une dent morte.
L’infection, plus la réaction de rejet auto-immun, entraînent une accumulation de bactéries autour des tissus morts. Dans le cas d’un arbre canalaire, les bactéries ont la possibilité de se déverser dans votre sang à chaque fois que vous mordez.
Pourquoi les dentistes s’accrochent à la croyance que les dents dévitalisées sont sans danger
L’ADA rejette le témoignage du Dr Price, affirmant que les dents dévitalisées sont sûres, mais ils n’offrent pas de données publiées ni de recherches réelles à l’appui de leur déclaration. L’American Heart Association (L’Association Américaine pour le Coeur) recommande une dose d’antibiotiques avant de nombreuses procédures dentaires de routine pour prévenir l’endocardite infectieuse (IE) si vous avez certaines maladies cardiaques qui vous prédisposent à ce type d’infection.
Donc, d’une part, l’ADA reconnaît que les bactéries buccales peuvent faire le chemin de votre bouche à votre coeur et provoquer une infection potentiellement mortelle.
Mais en même temps, l’industrie nie avec véhémence toute possibilité que ces mêmes bactéries toxiques – des souches connues pour être pathogènes pour l’homme, puissent se cacher dans les racines de vos dents mortes pour être libérées dans votre sang chaque fois que vous mâchez, et nuire ainsi à votre santé de multiples façons.
Est-ce qu’il n’y a donc aucun lien? Ou se pourrait-il qu’il y ait une autre raison pour laquelle tant de dentistes, ainsi que l’ADA et l’AAE refusent d’admettre que les dents dévitalisées sont dangereuses? Eh bien, oui, il y a une raison. Les dents dévitalisées sont la procédure la plus rentable en dentisterie (10).
Ce que vous devez savoir pour EVITER une dévitalisation
Je recommande fortement de ne jamais faire dévitaliser une dent. Risquer votre santé pour préserver une dent n’a tout simplement pas de sens. Malheureusement, il y a beaucoup de gens qui en ont déjà. Si vous en avez, vous devriez sérieusement envisager de faire enlever cette dent, même si elle paraît saine. Rappelez-vous, dès que votre système immunitaire est compromis, votre risque de développer un problème médical grave augmente – et les agressions contre votre système immunitaire sont beaucoup trop fréquentes dans le monde d’aujourd’hui.
Si on vous enlève une dent, il y a quelques options qui s’offent à vous.
- Une prothèse partielle: c’est une prothèse amovible, c’est l’option la plus simple et la moins coûteuse.
- Un bridge: c’est un montage plus permanent qui ressemble à une vraie dent, mais est un peu plus compliqué et coûteux.
- Un implant: c’est une dent artificielle permanente, généralement en titane, implantée dans vos gencives et la mâchoire. Il y a quelques problèmes en raison de réactions aux métaux utilisés. Le zirconium est un matériau d’implant plus récent qui est prometteur et présente moins de complications.
Mais se contenter de retirer la dent et insérer une sorte de remplacement n’est pas suffisant.
Les Dentistes apprennent à enlever la dent mais laissent le ligament parodontal. Et comme vous le savez maintenant, ce ligament peut servir de terrain fertile pour les bactéries mortelles. La plupart des experts qui ont étudié dans ce sens, recommandent de retirer le ligament, ainsi qu’un millimètre de la base osseuse, afin de réduire considérablement votre risque de développer une inflammation des tissus infectés par des bactéries restantes.
Les Dentistes apprennent à enlever la dent mais laissent le ligament parodontal. Et comme vous le savez maintenant, ce ligament peut servir de terrain fertile pour les bactéries mortelles. La plupart des experts qui ont étudié dans ce sens, recommandent de retirer le ligament, ainsi qu’un millimètre de la base osseuse, afin de réduire considérablement votre risque de développer une inflammation des tissus infectés par des bactéries restantes.
Je recommande fortement de consulter un dentiste holistique car ils sont particulièrement formés pour faire ces extractions correctement et en toute sécurité, tout en étant aptes à enlever les amalgames au mercure, si nécessaire. Leur approche des soins dentaires est beaucoup plus holistique et considère l’impact sur l’ensemble de votre corps, pas seulement votre bouche.
Si vous avez besoin de trouver un dentiste holistique dans votre région, je recommande de consulter holodent.fr (11). Cette organisation, créée par Estelle Vereeck, est une organisation très sérieuse qui a lutté pour protéger et éduquer les consommateurs afin qu’ils puissent prendre des décisions meilleures et plus éclairées au sujet de leurs soins dentaires.
par le Dr. Mercola
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