lundi 9 février 2015

(blog à finir et à corriger)

Pauvre de nous, mes chers cinq lecteurs, les français sont autant imbibés de médicaments que les américains. Ah, oui, c'est la mode, l'américan way of life en France et que peut-être même que proportionnellement au nombre d'habitants, on les dépasse.
Le français fier de sa baguette imbibée de pesticides et premier consommateur de ce produit en Europe et premier consommateur européen ce calmants.
A part ça, champion en handball i

(source : Sciences et Avenir)



Les seniors sont-ils menacés par une overdose de médicaments ?

Selon l'association UFC-Que Choisir, de nombreuses ordonnances prescrites aux patients âgés contiennent trop de médicaments et seraient "potentiellement inappropriées".


Selon l'association, parmi les 350 ordonnances analysées, près de quatre sur dix sont potentiellement dangereuses pour les patients âgés. © SIMON ISABELLE/SIPA Selon l'association, parmi les 350 ordonnances analysées, près de quatre sur dix sont potentiellement dangereuses pour les patients âgés. © SIMON ISABELLE/SIPA







ANALYSE. L'association UFC-Que Choisir s'inquiète des fortes quantités de médicaments prescrites aux personnes âgées et des effets "potentiellement dangereux" d'ordonnances "inappropriées", invitant la Haute autorité de Santé à se pencher sur le sujet. Dans une enquête publiée mercredi 28 janvier 2015, l'association a analysé près de 350 ordonnances contenant au moins 5 lignes de prescription (médicaments et autres dispositifs, comme les appareils pour mesurer le diabète), à destination de patients d'au moins 75 ans. En moyenne, "les ordonnances collectées contenaient 8,6 médicaments, avec un maximum de 21 médicaments pour une seule personne", relève l'UFC-Que Choisir. Parmi elles,"près de quatre sur dix sont potentiellement dangereuses pour les patients âgés", c'est-à-dire qu'elles contiennent au moins un médicament "potentiellement inapproprié" aux personnes âgées, s'alarme l'UFC.

Des médicaments qui peuvent aggraver les problèmes existants

Ces résultats ont été obtenus au regard d'une liste de médicaments à écarter chez les seniors, publiée en 2009 par le Dr Marie-Laure Laroche. Un inventaire lui-même adapté de "la liste (américaine, ndlr) de Beers", "référence en la matière". En vieillissant, l'organisme, plus fragile, supporte moins certains médicaments, et met plus de temps à les éliminer, rappelle l'enquête. Et la prescription de ces produits, quand elle n'est pas simplement inutile, peut s’avérer plus néfaste que bénéfique pour les patients âgés. 
RISQUES. Ainsi, les somnifères et tranquillisants retrouvés dans une ordonnance sur quatre, exposent à des "risques de somnolence, des troubles de la mémoire, (...) et des chutes", souligne l'enquête.  De même, certains antidépresseurs ou antispasmodiques, prescrits dans une ordonnance sur dix, "peuvent nuire gravement au confort de vie, voire aggraver des problèmes existants" chez les seniors. Observés dans une ordonnance sur vingt, des médicaments autorisés pour les troubles cognitifs (hors démence et Alzheimer) comme le Tanakan, par exemple, exposent à des risques alors qu'ils sont "vraisemblablement inefficaces", estime l'UFC.







"Impossible toutefois de juger de la pertinence de ces prescriptions au cas par cas", précise l'association, qui n'a "pas voulu utiliser des critères fondés sur l'état de santé des patients".  Mais si certaines peuvent s'avérer justifiées, c'est leur caractère "systématique" qui interpelle les auteurs de l'enquête. L'UFC demande ainsi que la "déprescription" soit "incluse dans les critères de rémunération à la performance des médecins, et que la Haute autorité de santé fasse de ce sujet une priorité de travail""Au delà des enjeux sanitaires, la surprescription a un coût pour notre système de sécurité sociale", fait-elle valoir, rappelant que les dépenses de médicaments ont atteint 33,5 milliards d'euros en 2013."

Mais, passons à l'Ukraine, où l'avis de Poutine me semble objectif.

(source : Sputniknews)

Poutine: quelques conditions qui permettraient de stabiliser la crise en Ukraine

© AP Photo/ Evgeniy Maloletka
INTERNATIONAL
(mis à jour 12:32 09.02.2015)
Règlement de la situation en Ukraine (1976)
1483150
Le président russe a noté que la crise se poursuivrait jusqu'à ce que les Ukrainiens eux-mêmes trouvent un accord entre eux et tant qu'on ne mettrait pas un terme à la débauche de radicalisme et de nationalisme qui touche le pays.
Le président russe Vladimir Poutine a évoqué les conditions qui permettraient de normaliser la situation en Ukraine.
"La condition première pour stabiliser la situation est un cessez-le-feu immédiat, la cessation de l'opération dite antiterroriste mais de facto punitive dans le sud-est de l'Ukraine", a-t-il déclaré dans une interview écrite accordée au quotidien égyptien Al Ahram.
Selon Poutine, les tentatives de Kiev d'exercer une pression économique sur le Donbasscompliquent la situation.
"C'est une voie sans issue susceptible de provoquer une grande catastrophe", estime le président.
Poutine a noté que la crise se poursuivrait jusqu'à ce que les Ukrainiens eux-mêmes trouvent un accord entre eux et tant qu'on ne mettrait pas un terme à la débauche de radicalisme et de nationalisme qui touche le pays.
La société doit s'unir autour des valeurs positives et des véritables intérêts de l'Ukraine, d'après lui.
"Pour cela, il faut que les autorités de Kiev entendent leur peuple. Qu'ils trouvent un terrain d'entente et s'accordent avec toutes les forces politiques et régions du pays", ajoute le président


Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/international/20150209/1014480009.html#ixzz3RFa9fslT



Vous me direz, mes chers lecteurs, que le Pentagone américain a les rangers qui le démangent et veulent s'impliquer à fond en Ukraine. En commençant par livrer de l'artillerie lourde, par exemple.
Comme l'armée ukrainienne bombarde en premier lieu les populations civiles plutôt que militaires pour terroriser les populations et les obliger à partir en exil en Russie, cela s'appelle entre autre de l'épuration ethnique,  ces livraisons vont tout simplement accentuer les souffrances civiles.
Bon, vous me direz, mes chers lecteurs, que de la souffrance des populations civiles l'armée américaines n'en ont rien à "foutre !"
Il n'u a qu'à voir les grandes victoires qu'elle a obtenu en Afghanistan, en Irak, en Libye, en Syrie !
Vous me direz qu'en Irak, Libye, Syrie, il y a des odeurs de pétrole et de gaz, en Afghanistan, il y a une grosse, grosse production d'opium que la CIA se charge, en partie de livrer.
Sauf, qu'il y a risque de dérapage et, à mon avis de dérapage provoqués par le Pentagone, la CIA ou les mercenaires américains tout le long de la frontière entre l'UE et la Russie.
Il serait temps que les leaders américains arrêtent de s'allonger à chaque fois que les Etats-Unis exigent qu'ils suivent tel ou tel position. Les intérêts de l'UE ne sont pas les mêmes que ceux des States, qu'ils soient économiques ou politico-stratégiques.
Parce que, je ne sais pas si hollande ou merckel sont au courant, mais, la révolte des peuples européens contre l'austérité et l'hostilité contre leur europe a pour toile de fond une hostilité latente contre les Etats-Unis.
Certainement, en France,  les journaux patronaux comme libération et le monde vont partir en guerre contre la Russie, mais, qui lit encore libération et le monde ?
Charlie hebdo aurait été racheté par la famille rotschild avant les attentats, mais, qui lit charlie hebdo, même si, ils ont désormais 200.000 abonnés ?
Ah, oui, c'est vrai, il y a la téloche, grave outil d'abrutissement des peuples.
On verra chez qui les français prendront l'information et si, ils ne descendront pas dans la rue pour s'opposer à la politique belliciste de l'UE et des USA.
Car, je n'oublie pas, le gouvernement de Kiev et les milices fascistes armées ont obligés les russophones de l'Est à réagir pour défendre leurs "VIES !"
Et, cela, hollande le sait, ainsi que son abruti de ministre des affaires étrangères qui est prêt à déclarer la guerre à tous ceux qui ne plaisent pas à Israël.
Le gouvernement de Kiev n'a jamais cherché à négocier, par contre, il a toujours cherché à internationaliser le conflit, en faisant descendre l'airbus de la malaysian airline en faisant porter le chapeau à Poutine, en s'attaquant dernièrement à un bus civils à Marioupol, donnant l'occasion à hollande et merkel de parler de "GUERRE !"
Mais, quelle guerre, européenne ?
Dites-moi, monsieur hollande, elles sont où les armées européennes ?
La Russie va repositionner ses têtes nucléaires vers l'Europe, ah, oui, les françaises ont toujours été dirigées vers l'URSS, donc pas besoin de les rediriger, car, rassurez-moi, monsieur hollande, elles n'étaient pas dirigées vers les Etats-Unis, non, oui ?
Les dirigeants de Kiev sont des criminels dangereux, ils veulent éradiquer la population du Donbass et les russophones en général. Sauf, qu'il y en a Huit millions en Ukraine et que la Russie n'acceptera jamais que huit millions de russes soient, soit assassinés, soit, obligé de quitter une terre qui a toujours été russe avant qu'un abruti de secrétaire général du parti communiste d'Urss ne l'accorde d'un trait de plume à l'Ukraine.
Et, maintenant, il y a des milliers de morts !
Mais, passons, parce qu'il me dégouté tous, et le front national a raison, "TOUS POURRIS !"
Et, si, c'est vrai, eh, bien, il faut le dire et il faut les virer et virer ce parti socialiste, qu'il disparaisse définitivement du paysage politique français !
Ils me donnent envie de vomir les valls, premier ministre français, les fabius, les sarkozy, les cahuzac, les copé.
Alors, question, résisteront-ils à l'offensive à venir des compagnies pétrolières ?

Mr Mondialisation

L'industrie veut faire sauter l'interdiction d'exploiter le gaz de schiste
Les industriels viennent de créer une structure spéciale au nom trouble de Centre Hydrocarbures Non Conventionnels. Son but affiché est de faire sauter les blocages français qui empêchent l'exploitation du gaz du schiste, le fameux gaz récupéré par fracturation hydraulique des sols.
Rappelons que l’Écosse vient juste de bannir cette technique pour une durée indéterminée : https://mrmondialisation.org/la-fracture-hydraulique-banni…/


J'avoue, le front national n'est pas ma tasse de thé, ils feront pire que les autres, sauf, si, il tourne réellement le dos à l'UE.
Le Front de gauche, pour l'instant, ça démarre pas. Mélenchon, en faisant du front national sa cible principale s'est trompé de cible, sa cible, c'était le gouvernement et le parti socialiste. A moi, en tout cas, il m'a paru être un sous marin du PS pour isoler ses opposants dans une stratégie anti-fn plutôt qu'anti-gouvernementale.
Tribun, certes, sauf qu'il emploie des mots que le commun des français ne comprend pas.
L'ennemi et non plus l'adversaire pour les français n'est pas le peuple français, c'est "LEUR" Europe.
Si, la gauche veut gagner, il faut qu'un nouveau leader émerge, car, nous n'avons plus confiance dans tous ceux qui trop traînés dans les couloirs du pouvoir.
Autrement, la dynamique se fait au profit du front national au point qu'un face à face hollande-marine lepen donnerait lepen gagnante.
Car, qui va nous faire croire qu'ils ne sont pas pourris !

(source : Les Moutons Enragés)

Le Sénat rejette l’interdiction des pesticides néonicotinoïdes

Ils ont osé! Ils ont osé rejeter une telle interdiction alors qu’il est avéré que ceux-ci sont des neurotoxiques pour les humains! Quand au plan Ecophyto 2 pour réduire le nombre de pesticides de 50 % d’ici 2018, c’est rappé, le plan est reporté à 2025 !
La proposition de résolution portée par le sénateur écologiste Joël Labbé demandait au Gouvernement d’ « agir auprès de l’Union européenne pour une interdiction de toutes les utilisations des pesticides néonicotinoïdes en Europe tant que les risques graves pour la santé humaine, animale et l’environnement ne seront pas écartés». Elle vient d’être rejetée par le Sénat.
néonicotinoïdes sénat
Lors de son examen au Sénat, la proposition de résolution visant à faire interdire les néonicotinoïdes au niveau européen a été rejetée. Sur 347 votants, 312 suffrages ont été exprimés. 248 sénateurs se sont exprimés contre cette proposition, seulement 64 sénateurs se sont prononcés pour. Le vote étant à scrutin publique, vous pouvez voir quels sénateurs ont voté pour, contre ou se sont abstenus ici.
Lors de la séance au Sénat, le ministre Stéphane Le Foll a défendu son opposition au vote de cette résolution. Il a notamment rappelé qu’une restriction d’utilisation existait déjà au niveau européen pour 3 substances néonicotinoïdes pour toutes les cultures attractives pour les abeilles. « Elles ne peuvent plus être utilisées en période de floraison. Pour les cultures restantes et pour les céréales à paille, les semis ne peuvent pas se faire à la période de forte activité des abeilles», a rappelé Stéphane Le Foll. L’interdiction de semer des semences enrobées a lieu de Janvier à Juin.
Dans ce cadre, interdire les néonicotinoïdes n’est pas pour lui la solution. « C’est un pensée globale qu’il faut avoir », assure-t-il. Le débat doit prendre en compte l’ensemble des parties prenantes et notamment la réalité du monde agricole. C’est « parce qu’on ne doit pas caricaturer le débat » et « réussir l’objectif de réduction des phytosanitaires et de l’utilisation des néonicotinoïdes qu’il faut qu’on soit en capacité, collectivement, de mener ces débats en assurant les transitions nécessaires », défend-il. C’est le rôle du plan Ecophyto 2 qui vient d’être annoncé.

Pourquoi vouloir interdire les pesticides néonicotinoïdes ?

Sous la dénomination de « néonicotinoïdes », on trouve plusieurs substances actives, à savoir le thiaméthoxam, l’imidaclopride, le thiaclopride, le dinotéfuran, l’acétamipride et le clothianidine. Ces néonicotinoïdes sont des pesticides systémiques. En tant que tels, ils sont présents dans et sur la plante tout au long de sa vie. Ils sont repris par la plante et transportés dans tous les tissus de façon préventive, même en absence de ravageurs. On les retrouve donc sur les feuilles, fleurs, racines, tiges, mais aussi dans le pollen et le nectar. Persistantes dans l’environnement, ils contaminent le sol, l’eau et l’air.
En séance au Sénat, Joël Labbé a rappelé les principales motivations qui l’ont conduit à proposer ce texte : le caractère systémique de ces insecticides agissant sur le système nerveux central des insectes, les impacts sur les pollinisateurs et les effets supposés sur la santé humaine, notamment sur le développement du système nerveux humain. De plus, il a rappelé que plusieurs rapports et publications font valoir que l’utilisation de ces molécules n’a pas permis une augmentation significative des rendements pour les agriculteurs.
Auteur :Hugo Lebout, journaliste du webzine Natura-sciences.com
Source: Natura-Sscience

Car, qui va nous faire croire que les experts et les élus européens ne sont pas pourris !

(source : L'Usine Nouvelle)




L'Europe dédouane le bisphénol A et réjouit les lobbies

Par  - Publié le 



Biberons - Bisphénol A 
© Fred_v - Flickr - C.C

  Alors que le gouvernement français vient d'étendre l’interdiction du bisphénol A, l’agence sanitaire européenne dédouane cette substance chimique. En coulisses, beaucoup pointent du doigt le lobbying exercé par l’industrie pour repousser la réglementation des perturbateurs endocriniens.
C’est une décision très controversée que vient de prendre l'Autorité européenne pour la sécurité des aliments (Efsa). Alors que se multiplient les études dénonçant les effets secondaires potentiels du bisphénol A (BPA) sur le système hormonal, cet antioxydant et plastifiant vient d’être dédouané dans un rapport publié ce mercredi 21 janvier. "Aux niveaux actuels d’exposition, le BPA ne présente pas de risque pour la santé des consommateurs de tous les groupes d'âge (y compris les enfants à naître, les nourrissons et les adolescents)", estime l’Efsa. "L'exposition par voie alimentaire ou par l’intermédiaire d'une combinaison d’autres sources (alimentation, poussière, cosmétiques et papier thermique) est considérablement inférieure au niveau sans danger (la 'dose journalière tolérable' ou DJT)." 
L'Agence préconise de diviser par douze le seuil de sécurité pour l'exposition humaine. "En mettant l’accent sur ce qui serait une'attitude de précaution' avec l’abaissement de la DJT, l’Efsa fait l’impasse sur la question des cocktails de perturbateurs endocriniens,dénonce le député socialiste Gérard Bapt, père de la loi française de 2012 interdisant le BPA dans les contenants alimentaires pour bébés. Elle admet néanmoins des 'incertitudes' au sujet de l’exposition cutanée au BPA... Une nouvelle fois, la question de l’indépendance de l’agence européenne est posée."
ATTENDRE LES RÉSULTATS D’UNE ÉTUDE AMÉRICAINE DANS... "DEUX À TROIS ANS"
L’attitude de l’Efsa pose question. Dans un rapport intermédiaire publié il y a un an, elle se montrait plus prudente, jugeant que le BPA pouvait être nocif, même s'il présentait un risque sanitaire "faible" au vu des taux réels d'exposition. Depuis 2011, les biberons en contenant sont même interdits en Europe ! 
Aujourd'hui, l’Efsa reconnaît des "incertitudes sur les effets sanitaires potentiels du BPA sur la glande mammaire ainsi que sur les systèmes reproductif, métabolique, neurocomportemental et immunitaire", et des effets indésirables possibles à haute dose pour les reins et le foie. Elle n’est pas parvenue à exclure un possible lien avec le développement de cancers, même s’il est jugé "peu probable". Malgré toutes les incertitudes, pas d’interdiction néanmoins. Pour les plus sceptiques, l’agence préfère renvoyer aux résultats, attendus... "dans deux à trois ans", d'une étude menée dans le cadre du programme national de toxicologie des Etats-Unis.
LE LOBBYING DE L’INDUSTRIE CHIMIQUE POUR GAGNER DU TEMPS
Difficile de ne pas y voir l’impact du lobbying exercé par l’industrie chimique européenne… Alors que la question des perturbateurs endocriniens - dont le BPA fait partie - a émergé depuis 2009 au Parlement européen, on attend toujours leur définition par la Commission européenne. A tel point que la Suède a menacé l’an passé de la poursuivre pour son inaction ! Entre temps, les lobbyistes n’ont pas chômé, selon l’enquête publiée par le magazine Terra Eco. Ils ont fait réaliser leurs propres études, ont démarché le plus grand nombre, ont obtenu une étude d’impact pour évaluer les conséquences d’une réglementation et gagner du temps. 
"Pourquoi les milieux de la science académique, représentés par les sociétés savantes comme l’Endocrine Society – qui rassemble près de 20 000 chercheurs et cliniciens –, n’ont-ils cessé d’alerter sur les dangers du BPA et des perturbateurs endocriniens, alors que les grandes agences d’expertise (comme la Food and Drug Administration américaine ou l’Efsa), sur lesquelles les politiques fondent leurs décisions, en relativisent-elles systématiquement les risques ?", se demande le journaliste Stéphane Foucart dans un article du Monde. "L'affaire du BPA a tous les traits d'un scandale sanitaire mondial, potentiellement l'un des plus graves de la décennie écoulée..."
L’INDUSTRIE DE L’EMBALLAGE ESPÈRE UNE SUSPENSION DE LA LOI FRANÇAISE
Côté industriels, le rapport de l’Efsa est évidemment accueilli avec bienveillance. D’autant que les fabricants de l’agroalimentaire et de l’emballage ont dû se plier à l’interdiction du BPA dans les contenants alimentaires décrétée par la France depuis le 1er janvier. "Nous espérons bien que la suspension imposée par une loi de précaution et d’émotion va être levée, réagit Olivier Draullette, patron du syndicat de l’emballage métallique (SNFBM) auprès de nos confrères d’Emballages Magazine. Le gouvernement doit prendre conscience du blocage de notre industrie et, a minima, nous autoriser à répondre aux cahiers des charges de notre clientèle internationale, sinon nous risquons de ne pas survivre."
Du côté de l’industrie française des plastiques, régis par l’Efsa, on avait déjà décidé, à la lumière du pré-rapport publié il y a un an par l’agence, de ne pas mettre en œuvre d’alternatives. C’est ce qu’on appelle avoir le nez fin.
Gaëlle Fleitour
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Quand, je vous dis 'tous" pourris, vous ne me croyez pas ?
Alors, je vais vous résumer ce qu'il s'est passé en Libye.

Le Qatar persuade sarkozy, qui s'arrange avec l'Angleterre qui était partante et hillary clinton ordonne l'assassinat de kadhafi, point final !

Comment le Qatar a sensibilisé sarkozy, ça, mes chers lecteurs, vous lui demanderez.

Quant-à la Grèce, il semblerait  que Mario draghi,  le président de la Banque Centrale Européenne, ancien employé très bien noté de Goldman Sachs ferme le sac dans lequel cette banque avait enfoncé la Grèce, ce qui est d'une cruelle ironie.

(source : le Blog Finance)

Grèce : la BCE asphyxie les banques, à la plus grande joie du lobby bancaire US ?

La guerre – financière – pourrait être déclarée …
La Banque centrale européenne (BCE) vient en effet d’annoncer mercredi dans un communiqué sa décision de priver les banques grecques d’une de leurs sources de financement.
Des mesures qui pourraient conduire à terme à l’asphyxie financière de l’Etat grec. A moins que quelques banques sortant de l’ombre n’apparaissent tels des sauveurs pour porter secours à Athènes, laquelle pourrait être contrainte de céder à leurs « avances ».
Une suspension que l’institution – anticipant les critiques – présente comme étant conforme aux règles de l’eurosystème. Arguments invoqués pour suspendre « le régime de «faveur » dont bénéficiaient jusqu’alors les banques grecque : l’impossibilité de prévoir actuellement une issue positive du programme d’aide international dont bénéficie Athènes.
A noter que ce communiqué est publié quelques heures à peine après que le nouveau ministre grec des Finances, Yanis Varoufakis, ait rencontré le président de la BCE Mario Draghi, afin que ce dernier aide la Grèce à « garder la tête hors de l’eau » en soutenant les banques grecques. A la suite de cet entretien, le conseil des gouverneurs s’est réuni à Francfort.
Cette décision de la BCE intervient alors que M. Varoufakis et le nouveau Premier ministre grec, Alexis Tsipras, effectuent une tournée européenne pour tenter de renégocier la dette grecque.
Rappelons que la BCE fournit des liquidités aux banques de la zone euro  sous forme de prêts, moyennant des garanties, dénommées « collatéraux » dans le langage des banques centrales.
Les titres que les banques ont en portefeuille – telles par exemple des obligations souveraines – permettent ainsi de garantir l’emprunt.
Mais, la BCE, en vue de limiter ses risques, n’accepte comme « collatéraux » que les titres les mieux notés par les agences de notation.
Or, si les banques grecques peuvent principalement apporter en garantie des obligations émises par l’État grec, ces dernières ne remplissent pas les critères de la Banque Centrale européenne, la Grèce  étant un investissement considéré comme « pourri » (« junk »).
Depuis plusieurs années, les banques grecques bénéficiaient d’une exemption, la BCE acceptait les titres de dette publique grecque comme collatéraux.
Une solution possible  pour les banques grecques : activer l’option d’urgence, un mécanisme appelé ELA qui permet aux banques centrales nationales, telle la Banque de Grèce, de débloquer des fonds pour aider les établissements de crédit à surmonter une crise de liquidités.
Rappelons enfin qu’en février 2010, alors que certaines rumeurs laissaient entendre que des banques américaines – et non des moindres – pourraient être derrière les spéculations visant la Grèce, le New York Times affirmait de son côté que des banques de Wall Street – telles que Goldman Sachs – auraient usé d’instruments financiers complexes en vue « d’aider » Athènes à dissimuler l’ampleur de sa dette.
Des montages, précisait le journal, »de même ordre que ceux qui ont été à l’origine de la crise financière outre-Atlantique ».
Selon le New York Times, citant « des personnes au courant de la transaction », un montage élaboré par Goldman Sachs aurait ainsi permis en 2001 d’aider le gouvernement grec à emprunter des milliards. Un « soutien » qui serait intervenu quelques temps après l’adhésion d’Athènes à l’Union monétaire européenne.
Goldman Sachs n’ayant rien d’un philanthrope, la banque aurait rémunéré ses « services » à hauteur de quelque 300 millions de dollars. C’est en tout cas ce qu’affirmait alors le NYT.
Certains affirmaient également alors que des banques US pourraient tirer les ficelles, histoire de plomber la zone euro ….. et de pouvoir proposer à terme à la Grèce des emprunts à des taux prohibitifs.
Cqfd ?
Elisabeth Studer – 05 février 2015 - www.leblogfinance.com

Mais, est-ce une raison pour renouveler l'erreur fait par les précédents en s'alliant avec........le diable ?
Goldman Sachs ne leur a pas suffit, il leur faut la banque Lazard pour diriger leur économie !
C'est un jeux dangereux pour Syriza, le parti de la gauche radical, cela me déçoit terriblement, mais, vous direz, "mais, avait-il le choix ?", je répondrais bêtement, "on a toujours le choix".


(source : idem)

La Grèce : un client juteux pour la banque Lazard après Goldman Sachs ?

La Grèce, un « client » très rentable pour les banquiers du monde entier ! Alors que la sulfureuse banque Goldman Sachs avait « offert » ses services à Athènes dans le cadre de ce qui pourrait bien ressembler à un pacte avec le diable, le ministère grec des Finances a annoncé samedi avoir choisi la banque franco-américiane Lazard pour conseiller le gouvernement sur sa dette. Dette d’un montant pour le moins conséquent qu’Athènes souhaite effacer en grande partie d’un coup d’éponge magique.
« Le ministre grec des Finances, Yanis Varoufakis, annonce qu’il charge la société de conseil financier Lazard de conseiller le ministère des Finances sur la dette publique et la gestion de la politique fiscale », indique ainsi un communiqué.
Interrogé vendredi sur la radio BFM Business, Matthieu Pigasse, vice-président de Lazard en Europe, avait d’ores et déjà fourni des éléments sur la politique qui pourrait être menée par l’établissement, et ce, alors même que le choix de la banque n’avait pas été officialisé.
« Cette restructuration est absolument nécessaire. Elle est non seulement nécessaire mais elle est possible », a estimé vendredi Matthieu Pigasse.   »Je pense qu’il faut réduire de moitié la dette détenue par les institutions publiques en Grèce », a-t-il ajouté.
Le vice-président de Lazard a ainsi préconisé une réduction de 50 % de la dette détenue par des créanciers publics, soit une réduction d’environ 100 milliards d’euros sur les 320 environ que représente cette dette (quelque 175% du PIB grec).
Rappelons que lors de la restructuration de la dette grecque, en 2012, seule la dette privée avait été restructurée et non celle détenue par l’UE et le FMI. « Sur les 320 milliards et quelque de dette, 75% est détenue par des mains publiques » a tenu à rappeler le vice-président de Lazard. Selon lui, « la restructuration doit porter sur cette dette publique », laquelle représente environ 200 milliards d’euros.
Au final, d’après ses estimations, cette opération devrait permettre à la Grèce de retrouver « un ratio dette sur PIB acceptable, aux alentours de 100 à 120% du PIB ».
« Il y a toute une panoplie de solutions possibles: l’allongement des maturités, la baisse des taux d’intérêt et une solution beaucoup plus radicale qui est ce qu’on appelle un ‘haircut’, un abattement de la dette », a-t-il argumenté.
Mais une phrase loin d’être anecdotique devra retenir toute notre attention. Le vice-président de Lazard a en effet indiqué que « la Grèce est devenue le laboratoire de ce que peut être l’Europe demain ». Propos prémonitoires ou stratégie bien ordonnée des banquiers proches des Etats-Unis ?
Rappelons que la banque Lazard a d’ores et déjà été associée au dossier grec, puisque qu’elle a conseillé le pays de 2010 à 2012, et plus particulièrement en 2012 lors de l’opération de restructuration de la dette privée grecque. Depuis, la banque franco-américaine a participé à des opérations de privatisation d’entreprises publiques grecques. Elle est également conseiller du fonds de restructuration bancaire.
Vendredi, Matthieu Pigasse a également concédé que dans le cadre de la première restructuration de la dette grecque, Lazard avait gagné une vingtaine de millions d’euros.
Rappelons par ailleurs qu’en février 2010, alors que certaines rumeurs laissaient entendre que des banques américaines – et non des moindres – pourraient être derrière les spéculations visant la Grèce, le New York Times avait affirmé de son côté que des banques de Wall Street – telles que Goldman Sachs – auraient usé d’instruments financiers complexes en vue « d’aider » Athènes à dissimuler l’ampleur de sa dette.
Selon le New York Times, citant « des personnes au courant de la transaction », un montage élaboré par Goldman Sachs aurait ainsi permis en 2001 d’aider le gouvernement grec à emprunter des milliards. Un « soutien » qui serait intervenu quelques temps après l’adhésion d’Athènes à l’Union monétaire européenne.
Goldman Sachs n’ayant rien d’un philanthrope, la banque aurait rémunéré ses « services » à hauteur de quelque 300 millions de dollars. C’est en tout cas ce qu’affirmait alors le NYT citant « plusieurs banquiers au courant de la transaction ».
Certains affirmaient également alors que des banques US pourraient tirer les ficelles, histoire de plomber la zone euro. ….. et de pouvoir proposer à terme à la Grèce des emprunts à des taux prohibitifs.
Quant aux liens entre la banque Lazard et Goldman Sachs, rappelons que Goldman Sachs a dirigé l’opération d’introduction de Lazard à la Bourse de New York le 5 mai 2005, en tant que chef de file du syndicat de placement des actions.
Sources : RFI, Reuters,AFP
Elisabeth Studer – 02 février 2015 – www.leblogfinance.com


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