(blog à finir et à corriger)
Bizarre, mes chers cinq lecteurs, les apparences seraient-elles trompeuses ?
(source : Le Grand Soir)
il est vrai que les témoignages sur des largages d'armes en faveur de daech en Irak ou en Libye se multiplient.
Alors quoi, on n'a pas besoin du pétrole irakien ou libyen en tout cas officiellement. La déstabilisation du moyen orient avantage Israël qui peut tranquillement continuer à spolier les terres palestiniennes sans que l'attention ne se porte sur lui, à part à la marge.
Mais, quel serait l'objectif final d'une telle stratégie, geler sur le terrain un état de guerre civile perpétuel ?
Et, quels en seraient les protagonistes ?
Il semblerait qu'à Washington, il y aurait la positon officielle et les activistes de l'ombre dont les membres sont complètement imbriqués dans les services officiels et non officiels. Et, le résultat est que sur les terrains la situation est inextricable.
Prenons daech, la Turquie l'aide et le combat en trainant les pieds, les occidentaux le bombardent et aident l'armée irakienne et les kurdes. Mais, les anglo-saxons, USA et Angleterre semble jouer perso,si, ces largages d'armes sont avérés.
Les frontières, héritage des partages coloniales sont remis en question, même, si, aucun média n'en parle. Et, cette modification des frontières avec apparition de nouvelles entités étatiques sans réels pouvoir de nuisances avantage Israël et les multinationales américaines qui pourront faire de la région une chasse gardée et leur donner un droit de pillage sans pouvoir fort en face pour s'y opposer.
Cela serait le plan A, sauf que les corporations et les banques américaines qui pourraient être derrière cette stratégie ont toujours un plan B ou C ou des projections qui amalgame entre eux les avantges des différents plans.
D'ailleurs, si, en Ukraine, ils ne veulent pas de la partition, c'est que là-bas, le gouvernement est sous contrôle et qu'il leur faut "TOUT" le territoire. Par contre, au moyen orient, le nationalisme arabe a toujours été un obstacle à la "domination étrangère", l'émergence de l'islamisme radical, le liquide en ouvrant une voie royale à la main mise sur les richesses minières et pétrolières. La revendication islamique se perdant dans la conquête des nations mécréantes et pour cela dépendant de la manne financière fournis par les corporations étrangères. La finance étant là pour marquer les limites de leur indépendance réelles.
Bon, voilà, j'ai trop cogité, mais, je pense que j'approche de la vérité.
Mais, passons à autre chose. Par exemple, comment se porte les ukrainiens ?
(source : le Contrarien Matin)
Bizarre, mes chers cinq lecteurs, les apparences seraient-elles trompeuses ?
(source : Le Grand Soir)
L’armée irakienne abat deux avions britanniques transportant des armes pour l’Etat Islamique (Fars News)
TEHERAN (FNA) – Un parlementaire a révélé lundi que l’armée irakienne avait abattu deux avions britanniques transportant des armes pour les terroristes de l’EI dans la province d’Al-Anbar,
« La Commission de sécurité nationale et de la défense du Parlement irakien a accès aux photos des deux avions qui sont britanniques et qui se sont écrasés alors qu’ils transportaient des armes pour l’EI, » a déclaré le président de la commission, Hakem al-Zameli, selon un rapport publié lundi par le centre d’information en langue arabe du Conseil suprême islamique d’Irak.
Il a déclaré que le parlement irakien a demandé des explications à Londres.
Le législateur irakien a aussi révélé que le gouvernement de Bagdad reçoit des rapports quotidiens de la population et des forces de sécurité dans la province d’al-Anbar sur de nombreux vols par les avions de la coalition sous commandement américain qui larguent des armes et des fournitures pour l’EI dans les zones contrôlées par les terroristes.
Le législateur irakienne a en outre souligné le motif de ces aides occidentales au groupe terroriste en expliquant que les États-Unis préfèrent une situation chaotique dans la province d’Anbar qui est près des villes de Kerbala et Bagdad car ils ne veulent pas résoudre la crise de l’EI.
Plus tôt dans la journée, un haut responsable provincial irakien a accusé les pays occidentaux et leurs alliés régionaux de soutenir les terroristes takfiri en Irak, révélant que des armes de fabrication US et israélienne ont été découvertes dans les zones libérées.
Le site d’informations Al-Ahad a cité Khalaf Tarmouz, Chef du Conseil Provincial : « Nous avons découvert des armes fabriquées aux États-Unis, dans les pays européens et Israël, dans les zones libérées du contrôle de l’EI dans la région d’Al-Baqdadi, »
Il a noté que les armes fabriquées par les pays européens et Israël ont été découvertes aux mains des terroristes dans les régions orientales de la ville de Ramadi.
Al-Zameli avait également révélé en Janvier que les avions de la coalition anti-EI avaient largué des armes et des denrées alimentaires pour l’EI dans les provinces de Salahuddin, Al-Anbar et Diyala.
Al-Zameli a souligné que la coalition est la principale cause de la survie de l’EI en Irak.
« Il y a des preuves et des témoignages de l’aide militaire que la coalition menée par les USA fournit par air (largages) aux terroristes l’EI » a-t-il déclaré à FNA en Janvier.
Il a précisé que les membres de sa commission ont déjà prouvé que les avions américains ont largué des armes de pointe, y compris des armes anti-aériennes, pour l’EI, et qu’il avait mis en place une commission d’enquête sur la question.
« Les Etats-Unis larguent des armes pour l’EI en prétextant ne pas connaître les positions de l’EI et s’efforcent de déformer la réalité avec leurs allégations. »
Il a noté que la commission avait recueilli des données et des preuves fournies par des témoins oculaires, dont des officiers de l’armée irakienne et les forces populaires, et a dit : « Ces documents ont été remis à la commission d’enquête ... et les mesures nécessaires seront prises pour protéger l’espace aérien irakien. »
Toujours en Janvier, un autre législateur irakienne a réitéré que la coalition menée par les USA est la principale cause de la survie de l’EI en Irak.
« La coalition internationale n’est qu’une excuse pour protéger l’EI et aider le groupe terroriste avec des fournitures et des armes, » a déclaré Jome Divan, membre du bloc al-Sadr au parlement irakien.
Il a dit que le soutien de la coalition à l’EI est désormais évident pour tout le monde, et a ajouté, « La coalition n’a pas ciblé les principales positions de l’EI en Irak. »
À la fin de Décembre, le député de la Commission de sécurité nationale et de la défense du Parlement irakien a révélé qu’un avion américain avait fourni à l’organisation terroriste EI des armes et des munitions dans la province de Salahuddin.
Selon Irak TradeLink, le député Majid al-Gharawi a déclaré que les informations disponibles indiquaient que les avions américains fournissent l’organisation EI, non seulement dans la province de Salahuddin, mais aussi dans d’autres provinces.
Il a ajouté que les Etats-Unis et de la coalition internationale ne sont « pas sérieux dans la lutte contre l’organisation EI, parce qu’ils ont les moyens technologiques pour déterminer la position des hommes de l’EI et les détruire en un mois, »
Gharawi a ajouté que « Les Etats-Unis cherchent à faire traîner la guerre contre l’EI pour obtenir des garanties du gouvernement irakien d’avoir des bases dans les provinces de Mossoul et d’Anbar, »
La commission de sécurité de Salahuddin a également révélé que « des avions inconnus ont largué des armes et des munitions aux hommes de l’EI dans la ville du sud-est, Tikrit »
Aussi à la fin Décembre, un député irakien a émis des doutes quant au sérieux de la coalition anti-EI dirigée par les Etats-Unis, et a déclaré que le groupe terroriste avait encore reçu des aides larguées par des avions non identifiés.
« La coalition internationale n’est pas sérieuse au sujet des frappes aériennes contre les terroristes de l’EI et a même cherché à éliminer les forces populaires (volontaires) du champ de bataille contre les Takfiris afin que le problème de l’EI ne soit pas résolu dans un avenir proche » a déclaré Nahlah al-Hababi à FNA.
« Les terroristes de l’EI reçoivent toujours des aides d’avions de combat non identifiés en Irak et en Syrie », a-t-elle ajouté.
Hababi a dit que la coalition ne lançait des frappes aériennes précises que dans les zones où les forces Pishmarga kurdes sont présentes, alors que les frappes dans d’autres régions sont moins précises.
À la fin de Décembre, la coalition menée par les Etats-Unis a largué de l’aide aux militants takfiri dans une zone au nord de Bagdad.
Des sources sur place en Irak ont déclaré à Al-Manar que les avions de la coalition internationale ont largué des aides aux militants terroristes à Balad, une zone qui se trouve dans la province de Salahuddin au nord de Bagdad.
En Octobre, un commandant iranien de haut rang a également critiqué les Etats-Unis pour fournir du matériel à l’EI, en ajoutant que les allégations des Etats-Unis, selon lesquelles les armes avaient été larguées à l’EI par erreur, étaient fausses.
« Les États-Unis et la soi-disant coalition anti-EI affirment qu’ils ont lancé une campagne contre ce groupe terroriste et criminel - tout en leur fournissant des armes, de la nourriture et des médicaments dans la région de Jalawla (une ville dans le gouvernorat de Diyala, Irak). Ce qui contredit explicitement les affirmations de la coalition et des Etats-Unis » a déclaré le chef adjoint d’état-major des forces armées iraniennes, le général de brigade Massoud Jazayeri.
Les États-Unis ont affirmé qu’ils avaient largué des armes et une aide médicale aux combattants kurdes qui combattent l’EI à Kobani, près de la frontière turque dans le nord de la Syrie.
Le Département de la Défense américain a déclaré qu’ils avait largué 28 colis d’armes et de fournitures, mais que l’un des colis n’était pas arrivé aux combattants kurdes.
Plus tard, des images vidéo ont montré que certaines de ces armes larguées par les Etats-Unis s’étaient retrouvées entre les mains des militants de l’EI.
Le commandant iranien a insisté que les États-Unis avaient les informations nécessaires sur le déploiement de l’EI dans la région et que leurs affirmations selon lesquelles ils leur auraient largué des armes par erreur sont aussi improbables que fausses.
Traduction « c’est sûr que ça nous change de BFMTV » par VD pour le Grand Soir avec probablement toutes les fautes et coquilles habituelles
« La Commission de sécurité nationale et de la défense du Parlement irakien a accès aux photos des deux avions qui sont britanniques et qui se sont écrasés alors qu’ils transportaient des armes pour l’EI, » a déclaré le président de la commission, Hakem al-Zameli, selon un rapport publié lundi par le centre d’information en langue arabe du Conseil suprême islamique d’Irak.
Il a déclaré que le parlement irakien a demandé des explications à Londres.
Le législateur irakien a aussi révélé que le gouvernement de Bagdad reçoit des rapports quotidiens de la population et des forces de sécurité dans la province d’al-Anbar sur de nombreux vols par les avions de la coalition sous commandement américain qui larguent des armes et des fournitures pour l’EI dans les zones contrôlées par les terroristes.
Le législateur irakienne a en outre souligné le motif de ces aides occidentales au groupe terroriste en expliquant que les États-Unis préfèrent une situation chaotique dans la province d’Anbar qui est près des villes de Kerbala et Bagdad car ils ne veulent pas résoudre la crise de l’EI.
Plus tôt dans la journée, un haut responsable provincial irakien a accusé les pays occidentaux et leurs alliés régionaux de soutenir les terroristes takfiri en Irak, révélant que des armes de fabrication US et israélienne ont été découvertes dans les zones libérées.
Le site d’informations Al-Ahad a cité Khalaf Tarmouz, Chef du Conseil Provincial : « Nous avons découvert des armes fabriquées aux États-Unis, dans les pays européens et Israël, dans les zones libérées du contrôle de l’EI dans la région d’Al-Baqdadi, »
Il a noté que les armes fabriquées par les pays européens et Israël ont été découvertes aux mains des terroristes dans les régions orientales de la ville de Ramadi.
Al-Zameli avait également révélé en Janvier que les avions de la coalition anti-EI avaient largué des armes et des denrées alimentaires pour l’EI dans les provinces de Salahuddin, Al-Anbar et Diyala.
Al-Zameli a souligné que la coalition est la principale cause de la survie de l’EI en Irak.
« Il y a des preuves et des témoignages de l’aide militaire que la coalition menée par les USA fournit par air (largages) aux terroristes l’EI » a-t-il déclaré à FNA en Janvier.
Il a précisé que les membres de sa commission ont déjà prouvé que les avions américains ont largué des armes de pointe, y compris des armes anti-aériennes, pour l’EI, et qu’il avait mis en place une commission d’enquête sur la question.
« Les Etats-Unis larguent des armes pour l’EI en prétextant ne pas connaître les positions de l’EI et s’efforcent de déformer la réalité avec leurs allégations. »
Il a noté que la commission avait recueilli des données et des preuves fournies par des témoins oculaires, dont des officiers de l’armée irakienne et les forces populaires, et a dit : « Ces documents ont été remis à la commission d’enquête ... et les mesures nécessaires seront prises pour protéger l’espace aérien irakien. »
Toujours en Janvier, un autre législateur irakienne a réitéré que la coalition menée par les USA est la principale cause de la survie de l’EI en Irak.
« La coalition internationale n’est qu’une excuse pour protéger l’EI et aider le groupe terroriste avec des fournitures et des armes, » a déclaré Jome Divan, membre du bloc al-Sadr au parlement irakien.
Il a dit que le soutien de la coalition à l’EI est désormais évident pour tout le monde, et a ajouté, « La coalition n’a pas ciblé les principales positions de l’EI en Irak. »
À la fin de Décembre, le député de la Commission de sécurité nationale et de la défense du Parlement irakien a révélé qu’un avion américain avait fourni à l’organisation terroriste EI des armes et des munitions dans la province de Salahuddin.
Selon Irak TradeLink, le député Majid al-Gharawi a déclaré que les informations disponibles indiquaient que les avions américains fournissent l’organisation EI, non seulement dans la province de Salahuddin, mais aussi dans d’autres provinces.
Il a ajouté que les Etats-Unis et de la coalition internationale ne sont « pas sérieux dans la lutte contre l’organisation EI, parce qu’ils ont les moyens technologiques pour déterminer la position des hommes de l’EI et les détruire en un mois, »
Gharawi a ajouté que « Les Etats-Unis cherchent à faire traîner la guerre contre l’EI pour obtenir des garanties du gouvernement irakien d’avoir des bases dans les provinces de Mossoul et d’Anbar, »
La commission de sécurité de Salahuddin a également révélé que « des avions inconnus ont largué des armes et des munitions aux hommes de l’EI dans la ville du sud-est, Tikrit »
Aussi à la fin Décembre, un député irakien a émis des doutes quant au sérieux de la coalition anti-EI dirigée par les Etats-Unis, et a déclaré que le groupe terroriste avait encore reçu des aides larguées par des avions non identifiés.
« La coalition internationale n’est pas sérieuse au sujet des frappes aériennes contre les terroristes de l’EI et a même cherché à éliminer les forces populaires (volontaires) du champ de bataille contre les Takfiris afin que le problème de l’EI ne soit pas résolu dans un avenir proche » a déclaré Nahlah al-Hababi à FNA.
« Les terroristes de l’EI reçoivent toujours des aides d’avions de combat non identifiés en Irak et en Syrie », a-t-elle ajouté.
Hababi a dit que la coalition ne lançait des frappes aériennes précises que dans les zones où les forces Pishmarga kurdes sont présentes, alors que les frappes dans d’autres régions sont moins précises.
À la fin de Décembre, la coalition menée par les Etats-Unis a largué de l’aide aux militants takfiri dans une zone au nord de Bagdad.
Des sources sur place en Irak ont déclaré à Al-Manar que les avions de la coalition internationale ont largué des aides aux militants terroristes à Balad, une zone qui se trouve dans la province de Salahuddin au nord de Bagdad.
En Octobre, un commandant iranien de haut rang a également critiqué les Etats-Unis pour fournir du matériel à l’EI, en ajoutant que les allégations des Etats-Unis, selon lesquelles les armes avaient été larguées à l’EI par erreur, étaient fausses.
« Les États-Unis et la soi-disant coalition anti-EI affirment qu’ils ont lancé une campagne contre ce groupe terroriste et criminel - tout en leur fournissant des armes, de la nourriture et des médicaments dans la région de Jalawla (une ville dans le gouvernorat de Diyala, Irak). Ce qui contredit explicitement les affirmations de la coalition et des Etats-Unis » a déclaré le chef adjoint d’état-major des forces armées iraniennes, le général de brigade Massoud Jazayeri.
Les États-Unis ont affirmé qu’ils avaient largué des armes et une aide médicale aux combattants kurdes qui combattent l’EI à Kobani, près de la frontière turque dans le nord de la Syrie.
Le Département de la Défense américain a déclaré qu’ils avait largué 28 colis d’armes et de fournitures, mais que l’un des colis n’était pas arrivé aux combattants kurdes.
Plus tard, des images vidéo ont montré que certaines de ces armes larguées par les Etats-Unis s’étaient retrouvées entre les mains des militants de l’EI.
Le commandant iranien a insisté que les États-Unis avaient les informations nécessaires sur le déploiement de l’EI dans la région et que leurs affirmations selon lesquelles ils leur auraient largué des armes par erreur sont aussi improbables que fausses.
Traduction « c’est sûr que ça nous change de BFMTV » par VD pour le Grand Soir avec probablement toutes les fautes et coquilles habituelles
il est vrai que les témoignages sur des largages d'armes en faveur de daech en Irak ou en Libye se multiplient.
Alors quoi, on n'a pas besoin du pétrole irakien ou libyen en tout cas officiellement. La déstabilisation du moyen orient avantage Israël qui peut tranquillement continuer à spolier les terres palestiniennes sans que l'attention ne se porte sur lui, à part à la marge.
Mais, quel serait l'objectif final d'une telle stratégie, geler sur le terrain un état de guerre civile perpétuel ?
Et, quels en seraient les protagonistes ?
Il semblerait qu'à Washington, il y aurait la positon officielle et les activistes de l'ombre dont les membres sont complètement imbriqués dans les services officiels et non officiels. Et, le résultat est que sur les terrains la situation est inextricable.
Prenons daech, la Turquie l'aide et le combat en trainant les pieds, les occidentaux le bombardent et aident l'armée irakienne et les kurdes. Mais, les anglo-saxons, USA et Angleterre semble jouer perso,si, ces largages d'armes sont avérés.
Les frontières, héritage des partages coloniales sont remis en question, même, si, aucun média n'en parle. Et, cette modification des frontières avec apparition de nouvelles entités étatiques sans réels pouvoir de nuisances avantage Israël et les multinationales américaines qui pourront faire de la région une chasse gardée et leur donner un droit de pillage sans pouvoir fort en face pour s'y opposer.
Cela serait le plan A, sauf que les corporations et les banques américaines qui pourraient être derrière cette stratégie ont toujours un plan B ou C ou des projections qui amalgame entre eux les avantges des différents plans.
D'ailleurs, si, en Ukraine, ils ne veulent pas de la partition, c'est que là-bas, le gouvernement est sous contrôle et qu'il leur faut "TOUT" le territoire. Par contre, au moyen orient, le nationalisme arabe a toujours été un obstacle à la "domination étrangère", l'émergence de l'islamisme radical, le liquide en ouvrant une voie royale à la main mise sur les richesses minières et pétrolières. La revendication islamique se perdant dans la conquête des nations mécréantes et pour cela dépendant de la manne financière fournis par les corporations étrangères. La finance étant là pour marquer les limites de leur indépendance réelles.
Bon, voilà, j'ai trop cogité, mais, je pense que j'approche de la vérité.
Mais, passons à autre chose. Par exemple, comment se porte les ukrainiens ?
(source : le Contrarien Matin)
Ukraine : le salaire minimum inférieur à celui en Zambie et au Tchad !!
L’Ukraine attend désespérément ses 17 miliards d’euros d’aides financières payées par l’Europe et le FMI, sinon c’est l’effondrement pur et simple. De façon générale, un pays en guerre civile c’est évidemment une catastrophe économique pour tous, qu’il s’agisse de la Syrie – où une maison dans la banlieue de Damas valait le prix d’une maison en France (si, si je vous assure !! et au Liban c’est encore plus cher !!) – ou de l’Ukraine, la guerre est toujours une catastrophe économique.
L’Ukraine, déjà pas brillante avant, n’est plus que l’ombre d’elle-même, et ceux qui en font les frais c’est bien entendu les Ukrainiens.
Charles SANNAT
Une brusque chute de la hryvnia s’est répercutée sur le niveau de salaire des Ukrainiens de sorte qu’en dollars, leur salaire minimum n’atteint même pas 43 dollars, ce qui est bien moins que ce que gagnent les Zambiens, les Tchadiens, les Ghanéens ou les Gambiens.
Sur fond de chute du cours de la hryvnia, le salaire minimum en Ukraine a enregistré une sorte de record, en constituant 218 hryvnias, ce qui est moins de 43 dollars, rapporte mardi la chaîne de télévision Ukraïna.
Selon la chaîne, certains Ukrainiens touchent à présent moins que les habitants du Bangladesh, du Ghana, de la Zambie, de la Gambie ou du Tchad où le salaire minimum se monte à 51 dollars. Le gouvernement ukrainien ne promet pas d’élever le salaire avant décembre 2015.
La hryvnia s’est retrouvée en chute libre sur fond d’hostilités dans l’est de l’Ukraine et de dégradation rapide de l’économie nationale. Par rapport au début 2014, la monnaie ukrainienne s’est dépréciée de quatre fois.
Lire la suite : http://fr.sputniknews.com/international/20150224/1014878657.html#ixzz3Sgh4uF1P
Et, parlons un peu sur le front du gaz de schiste. Pas de gaz de schiste ou de mauvaise qualité et en si peu de quantité en Lituanie, en Pologne et en Roumanie. CHevron se tire, non sans avoir pollué quelques nappes phréatiques pour lesquelles, ils ne sera jamais condamné à indemniser les populations locales. Elles n'ont plus qu'à acheter de l'eau de source en plastique pour boire, faire la cuisine et se laver. Naturellement, les gouvernements polonais, lituaniens, roumains n'ont pas moufté, à mon avis, ils ont peur de la colère des paysans !
Actuellement, c'est le tour de l'Ukraine où les puits de gaz de schiste poussent comme des champignons jusqu'à derrière la ligne de front.
(source : Sputknik)
Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/international/20150224/1014873268.html#ixzz3Sqz9Ee6Q
Et, sur un autre front, celui de mosanto ?
(source : Francetvinfo)
vvv
Et, parlons un peu sur le front du gaz de schiste. Pas de gaz de schiste ou de mauvaise qualité et en si peu de quantité en Lituanie, en Pologne et en Roumanie. CHevron se tire, non sans avoir pollué quelques nappes phréatiques pour lesquelles, ils ne sera jamais condamné à indemniser les populations locales. Elles n'ont plus qu'à acheter de l'eau de source en plastique pour boire, faire la cuisine et se laver. Naturellement, les gouvernements polonais, lituaniens, roumains n'ont pas moufté, à mon avis, ils ont peur de la colère des paysans !
Actuellement, c'est le tour de l'Ukraine où les puits de gaz de schiste poussent comme des champignons jusqu'à derrière la ligne de front.
(source : Sputknik)
Après la Pologne et la Lituanie, l’américain Chevron abandonne sa quête de gaz de schiste en Roumanie.
Le groupe pétrolier américain Chevron Corp. compte mettre fin à ses efforts de prospection de gaz de schiste en Roumanie, dernier pays européen où il était encore actif après l’arrêt de ses projets en Pologne et en Lituanie, a annoncé mardi un porte-parole de l'entreprise.
Les analystes estiment que la compagnie américaine abandonne ses opérations liées au gaz de schiste en Europe en raison de leur faible rentabilité. Par ailleurs, le gaz de schiste, plus coûteux à produire que les hydrocarbures conventionnels, est frappé de plein fouet par la chute des cours du brut qui rend sa production bien trop coûteuse.
"Il restait la Roumanie où nous sommes en passe d’abandonner nos intérêts dans les concessions" accordées par le gouvernement local, a déclaré le responsable au Wall Street Journal.
Et d'ajouter que "les résultats du forage en Roumanie ne justifient pas les espoirs et les progrès ont été trop lents pour étendre les investissements".
Selon le journal, le retrait de Chevron des projets de schiste en Europe serait une grande déception pour les gouvernements de plusieurs pays de l’Union européenne, qui espéraient que le gaz de schiste leur garantirait une sécurité énergétique et mettrait un terme à leur dépendance de la Russie.
Par ailleurs, la compagnie se heurte aux protestations de riverains et d’environnementalistes, craignant que le forage et l’injection de grandes quantités de produits chimiques dans le sol ne causent de la pollution.
Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/international/20150224/1014873268.html#ixzz3Sqz9Ee6Q
Et, sur un autre front, celui de mosanto ?
(source : Francetvinfo)
Pour un agriculteur, Paul François a un agenda de ministre. Par chance, il n'a jamais eu besoin de beaucoup de sommeil. Le céréalier parcourt des milliers de kilomètres par an, et passe presque autant de temps à Paris que dans sa ferme. Il reçoit le visiteur dans cette bâtisse proprette, avec ses dépendances aux murs de vieilles pierres, à l'entrée de Bernac, un petit village de Charente, entre Poitiers et Angoulême.
Habillé d'un camaïeu de gris assorti à ses cheveux poivre et sel, le quinquagénaire parle d'une voix rapide et passionnée. De sa bataille judiciaire contre Monsanto. De son combat pour les agriculteurs victimes, comme lui, des produits phytosanitaires. Et de sa lutte contre l'agriculture intensive nourrie aux pesticides.
"Je vis avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête"
Paul François a cessé d'en manipuler depuis bientôt onze ans. Depuis le 27 avril 2004, précisément. Ce jour-là, il vient d'épandre du Lasso, un puissant herbicide, sur son champ de maïs. Il ouvre la cuve de son pulvérisateur et se penche pour vérifier qu'elle est vide. Mais l'engin est resté au soleil tout l'après-midi et sous l'effet de la chaleur, le liquide s'est évaporé. Paul François inhale le gaz toxique. La suite ? Une amnésie de onze jours, de redoutables migraines, des comas à répétition, cinq mois d'hospitalisation et neuf mois d'arrêt de travail.
Je me souviendrai toujours de ce que m’a dit un médecin : 'Vous auriez dû mourir dans l’heure qui a suivi votre accident.'
Aujourd'hui, il évoque ses séquelles avec pudeur. A 51 ans, il souffre de lésions neurologiques, immunitaires et rénales, de problèmes d'élocution, de douleurs dans les membres et toujours de terribles maux de tête. Son taux d’incapacité est de 40%, et il doit passer un check-up complet tous les six mois. "Il y a des jours où je ne peux pas travailler", dit-il sans s'apitoyer. "Je vis avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête, mais je n’y pense pas en me réveillant chaque matin." Il sort sur le pas de la porte donner des consignes à ses deux ouvriers agricoles. Il faudrait traiter un champ, mais aujourd'hui, il y a trop de vent.
"Pragmatique avant tout", il a organisé sa succession, "comme si tout pouvait s’arrêter demain". Ses deux filles étudiantes ne se destinent pas à devenir agricultrices, mais l'aînée sait déjà qu'elle reprendra la gestion de l'exploitation. Dans la grande cuisine, les bûches crépitent dans le poêle à bois. Le téléphone allumé sur la table, Paul François participe par textos à une réunion.
Paul François est un battant. Son premier combat a été la reconnaissance de ses maux comme maladie professionnelle par la Mutuelle sociale agricole (MSA). Il l'a remporté en 2010, au bout de cinq longues années de procédure. En parallèle, il s'est lancé dans une bataille d'une toute autre ampleur : attaquer en justice le fabricant du Lasso, le géant américain Monsanto.
En février 2012, en première instance, Monsanto a été jugé responsable de son intoxication et condamné à l'indemniser. Une expertise médicale doit évaluer le montant du préjudice. Monsanto décide de faire appel.
"Cela a a été très dur, mais je n'avais encore rien vu, confie l'agriculteur. Pendant l'expertise, les avocats de Monsanto ont refait le procès, mettant en cause ma bonne foi, contestant toutes les décisions devant le tribunal. C'est une pression énorme, psychologique et financière. Tous les frais de justice sont à ma charge. Cela représente plusieurs dizaines de milliers d'euros." Ses avocats l'avaient mis en garde. Il s'exposait à dix à quinze années de procédure. Il s'en approche. L'affaire revient devant le tribunal le 28 mai prochain.
Aujourd'hui, s'il fallait recommencer, je me demande si je le ferais. Ce n'est pas sûr.
Paul François est devenu agriculteur "un peu par défaut" en travaillant dès 14 ans dans la ferme de ses parents. "Je n'ai pas été très longtemps à l'école, je n'aimais pas ça. J'ai bac moins 5", plaisante-t-il. En 1987, il s'est installé à quelques champs de là. Il a débuté avec 20 hectares. Il en gère aujourd'hui 400 avec son associé. "J'ai tout fait à la force du poignet", s'enorgueillit-il. Sous les appentis, devant et derrière le corps de ferme, des tonnes de maïs séchés sont entreposées.
"J'ai cru à cette agriculture intensive"
Paul François est à la tête d'une grosse exploitation. "J'ai cru à cette agriculture intensive. J'étais formaté, un pur produit du tout-chimique. Je considérais qu'on ne pouvait pas se passer de ces produits qui apportaient une solution à tout", confesse-t-il. Mais dès les années 1990, "le modèle montre ses limites". La monoculture et les produits phytosanitaires épuisent les sols. Les rendements stagnent. Il décide de réduire les doses dans "une démarche purement économique".
"Il m'a fallu dix ans pour ramener de la vie dans le sol. Je sais combien il est difficile de sortir de ces méthodes-là", déplore-t-il. "Il m'a fallu ce que j'ai vécu pour comprendre que tous ceux qui nous disaient : 'On ne peut pas faire autrement' étaient ceux qui en profitaient."
Désormais, il a diminué "de façon drastique" le recours au chimique. Il a remplacé les sempiternels maïs, blé et colza par une douzaine d’espèces végétales cultivées en alternance, réintroduit des engrais verts, fumier, paillage et couverts végétaux, qui apportent de l'azote et font vivre le sol. Sa coopérative agricole, elle aussi, a réduit la dose, et sélectionne les produits les moins toxiques possibles.
Il faut changer notre agriculture dans sa globalité. Il faut retrouver le bon sens paysan. Ce n’est pas rétrograde. Au contraire, c’est l’avenir.
Cette "agriculture durable", il la prêche dans les lycées agricoles. "Je leur dis : 'Vous avez l’un des plus beaux métiers du monde entre les mains. Ma génération a été stigmatisée. On nous disait qu’on vivait des subventions de la PAC. Et maintenant, nous sommes les empoisonneurs. Retrouvez cette fierté d’être agriculteurs, parce que nous, on rase les murs.'"
"L'agriculture biologique est beaucoup plus technique"
Cette année, il va passer une centaine d'hectares en agriculture biologique. "Ce n'est pas un petit challenge, reconnaît-il. L'agriculture biologique est beaucoup plus technique." Il le fait par conviction. Et par intérêts. Parce qu'il est dans une zone semi-urbaine et qu'il ne peut pas utiliser de produits chimiques trop près des habitations.
Il reste encore des produits phytosanitaires sur son exploitation. Ils sont stockés dans un conteneur à l'arrière de la ferme, à côté du hangar des engins agricoles. Ses employés n'y touchent pas sans avoir revêtu leur tenue de protection, gants, bottes et masque intégral.
Avec d'autres victimes des produits phytosanitaires, il a créé, en 2011, une association, Phyto-Victimes, pour venir en aide aux agriculteurs atteints de Parkinson, de lymphomes et de cancers après avoir été exposés, souvent de longues années, aux produits phytosanitaires. Il veut éveiller les consciences.
"Des agriculteurs ont perdu la santé et se retrouvent dans un gouffre financier, et on les laisse crever la gueule ouverte", s'insurge-t-il, renvoyant industriels et politiques dos à dos. "On a parfois travaillé n'importe comment avec ces produits, c'est vrai. Mais on a fait avec les préconisations qu'on avait. Et les pouvoirs publics ont fait preuve de laxisme." Le Lasso n'a été interdit qu'en 2007 par la France, alors que le Canada et le Royaume-Uni l'avaient banni depuis 25 et 15 ans.
La Légion d'honneur épinglée à la veste
"Les produits les plus dangereux ont été retirés, mais ceux qui restent entre les mains des agriculteurs sont bien trop nombreux. Il faut une politique d'élimination très rapide", lance-t-il, pointant les carences du plan Ecophyto. Il met en garde contre une bombe à retardement : "Les agriculteurs qui ont aujourd'hui entre 40 et 70 ans sont la génération qui aura utilisé la plus grande quantité de produits et le plus de molécules différentes."
En 2014, il a été décoré de la Légion d’honneur, à sa "grande surprise". "J’ai mis longtemps à savoir si j’allais l’accepter, assure-t-il. Je l’ai acceptée au nom de mon combat et de mon association. Et aussi pour dire aux politiques : 'Vous me l’avez donnée, alors maintenant, vous allez m’écouter.'"
vvv
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