(blog à finir et à corriger)
Bon, mes chers cinq lecteurs, un grand bravo aux Etats-Unis, toujours les premiers à donner l'exemple.
(source : Sciences et Avenir)
Après, évidement, la France a fait pareil et l'Europe, itou. Nos experts aussi, ils sont membres des agences sanitaires nationales et travaillent en même temps pour un laboratoire pharmaceutique, comme aux States. D'ailleurs, l'Europe, s'y est mise aussi et au final, tout le monde s'y est mis.
En fait, il faudrait tous les mettre en prison pour que cela s'arrête en n'oubliant pas de leur confisquer leurs biens comme pour la maffia pour redistribuer à des centres d'aides aux démunis.
Mais, passons à une nouvelle de l'Ukraine (source : RFI)
(...) Ce mardi, pour la première fois depuis le début du conflit, le siège de l'état-major ukrainien à Kramatorsk a été touché par des tirs de roquette qui ont fait six victimes civiles. Les perspectives d'un règlement diplomatique s'annoncent minces.(...)
On dirait, mes chers lecteurs, que la guerre attire comme un aimant. En Syrie, ils sont de plus en plus à vouloir massacrer, violer, décapiter sans retenue et sans être inquiéter. Du jeu vidéo, mieux que la télé réalité et le viol en plus avec des femmes qui ont juste le droit de fermer leur "gueule". Et, ce sont ces gens-là dont les autorités acceptent le retour en France !
(source : Le vif.be)
vvv
Bon, mes chers cinq lecteurs, un grand bravo aux Etats-Unis, toujours les premiers à donner l'exemple.
(source : Sciences et Avenir)
L'Agence de sécurité du médicament américaine couvre-t-elle la fraude scientifique ?
Un journaliste américain révèle que la Food and Drug Administration (FDA) chargée de la sécurité des essais cliniques et des médicaments mis sur le marché aurait couvert de façon délibérée plusieurs cas de fraudes scientifiques.
Scandale FDA ©Food and Drug Administration
FRAUDE. Chaque année, l'Agence de sécurité sanitaire américaine, la Food and Drug Administration (FDA), inspecte des centaines de centres médicaux où sont entrepris des essais cliniques testant de nouveaux traitements sur l'homme. L'Agence examine pareillement des centaines d'études scientifiques publiées pour présenter les résultats de ces essais cliniques, lesquelles comportent parfois des erreurs voire des fraudes manifestes. Ce sont ces manquements qui sont traqués par la FDA. Car qu'il s'agisse d'erreurs méthodologiques ou de falsification de résultats, ils sont très préjudiciables aux travaux de la communauté scientifique et, par extension, au développement de traitements fiables.
Problème : la FDA ne dispose pas de méthode pour alerter efficacement la communauté scientifique sur ces faux résultats. Ceux-ci peuvent donc entrer dans le corpus de connaissances scientifiques admises et induire en erreur d'autres travaux. Plus grave encore, des médicaments peuvent se voir attribuer une autorisation de mise sur le marché alors même que les résultats d'essais cliniques s'avèrent erronés ou falsifiés. Un "problème" qui fleure bon le scandale.
À plusieurs reprises, la FDA a caché des preuves de fraude scientifique, pas seulement du public, mais aussi de ses conseillers scientifiques les plus fiables" - Charles Seife, professeur de journalisme à l'université de New York
C'est Charles Seife qui révèle cette affaire dans un article publié lundi 9 février 2015 dans la prestigieuse revue JAMA Internal Medicine, doublé d'un article paru dans Slate (en anglais). Ce professeur de journalisme à l'institut Arthur L. Carter de l’université de New York révèle ainsi qu'entre 1998 et 2013, la FDA a identifié 57 essais cliniques présentant des résultats erronés ou falsifiés et des approximations dans la description des effets secondaires des médicaments testés. Pourtant, seuls trois ont fait l'objet d'une alerte de la part de la FDA. Dans son enquête au long cours, Charles Seife explique ainsi :
"Quand la FDA découvre des fraudes ou des erreurs, elle n’informe ni le public, ni les établissements médicaux, ni même la communauté scientifique que les résultats de ces essais cliniques ne sont pas dignes de confiance. Au contraire. Pendant plus d’une décennie, la FDA a eu tendance à cacher les détails de ces manquements. Avec pour conséquence que personne ne découvre jamais quelles données sont fausses, quelles expériences entachées et quels médicaments pourraient se retrouver sur le marché sur la base de faux résultats. À plusieurs reprises, la FDA a caché des preuves de fraude scientifique, pas seulement du public, mais aussi de ses conseillers scientifiques les plus fiables, au moment même où ceux-ci devaient décider de la mise sur le marché d'un nouveau médicament."
L'Agence serait spécialisée dans les alertes restant lettres mortes
L'accusation est lourde, et l'affaire parait sérieuse, le journaliste décrivant même le cas de données falsifiées qui auraient conduit au décès d'un patient dans le cadre d'un essai comparant différents types de chimiothérapie. Charles Seife explique également que pour faire de telles révélations, il n'a pas eu à aller chercher bien loin, un coup d'œil jeté àn'importe quel document de d'inspection de la FDA suffisant à s'en convaincre.
Document FDA. Cliquez dessus pour accéder à l'intégralité du document.
Interrogé sur ces révélations par l'agence Reuters, la FDA a fait part de son "engagement à accroitre la transparence (...) dans le but d'améliorer la compréhension du public sur les décisions de la FDA et de promouvoir la responsabilité de l'agence". Au vu du document ci-dessus, la FDA alerte bien les auteurs des manquements constatés. Mais à en croire Charles Seife, la démarche resterait "privée" sans qu'aucune alerte publique ne soit lancée. Ainsi, de nombreux cas d'articles aux résultats erronés ou falsifiés ne feraient jamais l'objet de rétractation ou au moins de corrections ou autres commentaires reconnaissant les manquements constatés par l'agence américaine de sécurité du médicament."
Après, évidement, la France a fait pareil et l'Europe, itou. Nos experts aussi, ils sont membres des agences sanitaires nationales et travaillent en même temps pour un laboratoire pharmaceutique, comme aux States. D'ailleurs, l'Europe, s'y est mise aussi et au final, tout le monde s'y est mis.
En fait, il faudrait tous les mettre en prison pour que cela s'arrête en n'oubliant pas de leur confisquer leurs biens comme pour la maffia pour redistribuer à des centres d'aides aux démunis.
Mais, passons à une nouvelle de l'Ukraine (source : RFI)
(...) Ce mardi, pour la première fois depuis le début du conflit, le siège de l'état-major ukrainien à Kramatorsk a été touché par des tirs de roquette qui ont fait six victimes civiles. Les perspectives d'un règlement diplomatique s'annoncent minces.(...)
On dirait, mes chers lecteurs, que la guerre attire comme un aimant. En Syrie, ils sont de plus en plus à vouloir massacrer, violer, décapiter sans retenue et sans être inquiéter. Du jeu vidéo, mieux que la télé réalité et le viol en plus avec des femmes qui ont juste le droit de fermer leur "gueule". Et, ce sont ces gens-là dont les autorités acceptent le retour en France !
(source : Le vif.be)
Syrie : les combattants étrangers arrivent à un rythme sans précédent
Les Etats-Unis estiment que 20.000 étrangers de 90 pays ont rejoint la Syrie pour combattre, arrivant sur place à un rythme "sans précédent", selon un haut responsable du renseignement américain.
L'estimation est légèrement supérieure à celle fournie jusqu'à présent de 19.000 étrangers, selon le Centre national antiterroriste (NCTC). Le rythme des arrivées est "sans précédent", y compris par comparaison avec d'autres lieux de conflit comme l'Afghanistan et le Pakistan, l'Irak, le Yémen ou la Somalie, a indiqué Nicolas Rasmussen, directeur du NCTC, dans un témoignage écrit rendu public avant son audition mercredi devant la commission de la Sécurité intérieure de la chambre des Représentants. "Nous estimons qu'au moins 3.400 de ces combattants étrangers viennent de pays occidentaux, dont 150 Américains", a estimé M. Rasmussen.
Le nombre d'aspirants au voyage augmente lui aussi, a-t-il poursuivi, notant que "la majorité" de ceux qui partent en ce moment vont rejoindre les rangs du groupe djihadiste Etat islamique (EI) en Syrie et en Irak. "Les tendances sont claires et inquiétantes", a-t-il estimé."
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