(blog à finir et à corriger)
Hélas, mes chers cinq lecteurs, que laisserons-nous de la surface de cette planète à nos enfants ?
(source : Sciences et Avenir)
Et, une information santé, une.
(source : idem)
Hélas, mes chers cinq lecteurs, que laisserons-nous de la surface de cette planète à nos enfants ?
(source : Sciences et Avenir)
Pêche : la situation se dégrade en Méditerranée
Au cours des 20 dernières années, les stocks de poissons méditerranéens ont dangereusement chuté.
Des poissons pêchés en Méditerranée. George Tserpes
STOCK. Une nouvelle étude portant sur l'évaluation des stocks de neufs espèces de poissons méditerranéens, publié dans la revueCurrent Biology, démontre une détérioration des réserves.
Plus de juvéniles capturés
Des biologistes du Centre hellénique de recherche marine ont étudié l'évolution des neuf espèces entre 1990 et 2010. Ils ont constaté une augmentation des prises et une diminution des stocks sur cette période. Avec un élément inquiétant : la hausse des captures d'éléments juvéniles n'ayant pas atteint leur maturité sexuelle, des poissons qui ne se sont donc pas encore reproduits. Or les modèles qui permettent de simuler l'évolution de chaque espèce indiquent que les stocks seraient plus résistants à la pêche si les individus étaient prélevés quelques années après qu'ils aient atteint l'âge adulte. C'est particulièrement vrai pour des poissons comme les rougets et les merlus.
EUROPE. "Il est temps pour l'Union européenne et les gouvernements régionaux de commencer à prendre la recherche et la gestion des pêcheries méditerranéennes plus au sérieux", avertit Paraskevas Vasilakopoulos, principal auteur de l'étude. "La politique européenne commune a contribué à améliorer l'état des stocks de poissons de l'Atlantique nord au cours des 10 dernières années mais elle n'a pas réussi à obtenir des résultats similaires pour les stocks méditerranéens gérés de la même façon" insistent les auteurs.
Bateaux de pêcheurs en Méditerranée. Christos Maravelias.
DIVERSITÉ. Certaines raisons expliquent que la pêche en Méditerranée soit plus difficile à contrôler et à gérer. Il y a une plus grande diversité de bateaux et de chaluts. 95% des navires sont de petits modèles et opèrent sur une petite échelle dans un vaste littoral, rendant l'application des règlements européens particulièrement difficile. La diversité des espèces pêchées y est aussi plus importante. Ces difficultés sont aggravées par des contraintes financières dans de nombreux pays méditerranéens.
Les chercheurs estiment que de nombreuses autres espèces de poissons sont susceptibles d'être dans le même état de déclin, en Méditerranée mais aussi dans les mers d'autres régions du monde, dont la Chine, l'Afrique sub-saharienne et les tropiques."
(source : idem)
Pancréatite aigüe : attention au risque de diabète
La plus fréquente des affections du pancréas entraîne souvent des troubles de la glycémie qui s'aggravent progressivement.
Un scanner permet l'exploration d'une pancréatite aigüe. ©
La pancréatite aigüe est la plus fréquente des affections du pancréas. En France, elle est le plus souvent liée à la consommation excessive d’alcool (40 % des cas) ou à un calcul biliaire (40 %), quand elle n’est pas d’origine infectieuse,cancéreuse ou génétique (20 %).
L’atteinte portant sur la production d’enzymes pancréatiques — la fonction de la glande diteexocrine — s’améliore souvent spontanément. En revanche, les troubles de la glycémie — la fonction endocrine — sont fréquents et s’aggravent progressivement.
Selon la revue de 24 études regroupant plus de 1100 patients, le risque de survenue d’un prédiabète (hyperglycémie à jeun) est de 16 % après hospitalisation pour un premier épisode de pancréatite aigüe.
La fréquence du diabète est de 23 % et le recours au traitement par l’insuline nécessaire dans 15 % des cas. Mais la fonction endocrine continuant à se dégrader, le risque de diabète est doublé en cinq ans. Et ce, indépendamment de la sévérité et de la cause de la pancréatite et quel que soit l'âge ou le sexe du patient.
Source : Société nationale française de gastro-entérologie ; Gut, mai 2014.
Par le Dr Pierre Miquel
Bon, en attendant, les pays européens et les peuples européens comprennent que l'attitude impérialiste du gouvernement américain est, non pas téléguidée par l'intérêt du peuple américain, mais, par wall street, ses banquiers et ses multinationales.
(source : Histoire de la fin de la croissance)
Et, en attendant, les banques vont mal !
(source : idem)
La banque portuguaise n'est pas la seule :
(source : Romandie.com)
Sofia - La quatrième banque bulgare, Corporate commercial bank (CCB), va être fermée et ses actifs vont être transférés vers sa filiale Crédit Agricole Bulgaria, qui sera elle-même nationalisée, a annoncé vendredi le gouverneur de la Banque centrale bulgare (BNB) Ivan Iskrov.
La licence de la CCB sera retirée et une procédure d'insolvabilité sera lancée, a déclaré M. Iskrov. La solution est acceptée par la Commission européenne, a indiqué devant le Parlement le ministre des Finances, Petar Tchobanov, avec laquelle il est en contact permanent.
Les dossiers d'un portefeuille de 3,5 milliards de leva (1,8 milliard d'euros) de crédits accordés par la CCB manquent. Ils ont probablement été détruits, ce qui fait penser à des abus prémédités, a-t-il expliqué au cours d'une conférence de presse.
Un audit n'a pas pu établir la capacité de ces débiteurs à rembourser leurs crédits. Il a constaté qu'ils étaient étroitement liés à l'actionnaire majoritaire de la banque, Tsvetan Vassilev, a-t-il ajouté.
Les crédits accordés à ces entreprises dans les communications, le tabac, le pétrole et le commerce, constituent 65% de tous les crédits accordés par la CCB, selon les chiffres communiqués par la BNB.
Les actifs de la CCB s'élevaient fin mai à 3,7 milliards d'euros, soit 8,4% du secteur bancaire bulgare.
Les comptes de particuliers et d'entreprises, à l'exception de ceux dont les dossiers ont été détruits, seront transférés vers la banque Crédit Agricole Bulgaria.
La banque française Crédit Agricole avait racheté en juillet 2012 une filiale de la grecque Emporiki en Bulgarie, renommée Crédit Agricole Bulgaria, puis l'avait cédé à CCB. Cette vente s'est clôturée en juin 2014.
Crédit Agricole Bulgaria sera nationalisé, a indiqué le gouverneur de la Banque centrale. L'institut recevra un soutien absolu pour sa liquidité par le Fonds de garantie des dépôts, par le budget de l'État et par la BNB. C'est une banque bien gérée, a-t-il martelé.
Le 20 juin, la CCB avait suspendu ses paiements et avait été placée sous supervision spéciale par la Banque centrale. Quelque 22% des fonds publics - dont ceux des entreprises du domaine de l'énergie - y étaient déposés, ainsi que des épargnes de particuliers, attirés par des taux d'intérêt élevés.
Selon les analystes, ses déboires découlent d'un conflit entre deux hommes d'affaires politiquement très influents: Tsvetan Vassilev, propriétaire de la CCB et Delyan Peevski, député et propriétaire de médias.
Des articles parus dans les médias détenus par M. Peevski sur une faillite imminente de la CCB ont créé une panique (bank run) le 20 juin, la banque étant assaillie par des centaines de clients.
Ce même jour, M. Vassilev a retiré de la CCB, par un intermédiaire, 205,7 millions de leva (106 M EUR) en numéraire, selon la BNB qui a saisi le parquet.
Après une deuxième panique le 27 juin concernant cette fois la troisième banque du pays, le gouvernement appuyé par le Commission européenne, avait mis a disposition des banques le 30 juin une ligne de crédit à la hauteur de 3,3 milliards de leva (1,7 milliard d'euros).
Les Bulgares vivent dans la hantise d'un retour de l'hyperinflation, qui avait contraint 14 banques à la faillite en 1996-97.
vs/tba/ilp/LyS
Est-cela qui explique la décision du gouvernement allemand ?
Eh, oui, mes chers lecteurs, ils nous mentent, les financiers et les multinationales nous préparent une autre crise pour finir de liquider au plus vite ce qu'il reste des états nations et faire de nous leurs serfs, corvéables et emprisonnables à merci.
(source : Histoire de la fin de la croissance)
Et, en attendant, les banques vont mal !
(source : idem)
Des pertes inédites de la Banco Espirito Santo sèment le trouble sur les marchés financiers, alors que le pays sort tout juste d'un programme d'aides internationales de trois ans.
C'est la panique sur les places financières portugaises. Le 10 juillet, l'autorité financière du pays a été contrainte de suspendre la cotation de la Banco Espirito Santo (BES), la plus importante banque du pays, dont la cotation était en plein plongeon. Le titre a perdu la moitié de sa valeur en trois semaines. En cause, les révélations de pertes colossales dissimulées du holding Espirito Santo International, qui s'élèvent à 1,3 milliard d'euros, explique le Diário de Notícias.
Les craintes de contagion sur le marché européen sont fortes, mais Bruxelles a réaffirmé sa confiance dans la gestion "attentive" et "efficace" du système financier portugais, relaie le quotidien. "Le système a été fortement renforcé dans les dernières années, en partie à travers une recapitalisation et un soutien de la Banque centrale européenne (BCE)", a assuré dans le journal Simon O'Connor, le porte-parole de la Commission européenne pour les affaires économiques.
Le FMI s'est de son côté prononcé dès le 10 juillet en faveur de "mesures correctives" et d'une "supervision intrusive" dans le système bancaire portugais, annonçait l'Expresso. Dans un communiqué transmis aux principales rédactions du pays, l'institution financière se refusait pour autant à commenter directement les pertes de la BES, préférant "se focaliser sur l'état financier global du pays".
Le rédacteur en chef du journal portugais précisait sur CNN les enjeux de cette journée noire. "Nous parlons d'un groupe bancaire historique au Portugal, qui risque la banqueroute, c'est un cas exceptionnel. Des dettes ont vraisemblablement été masquées, mais la question qui demeure d'actualité est : combien la banque va-t-elle véritablement perdre ?" Le journaliste portugais insistait pour autant sur la solvabilité du Portugal.
"Nous sortons d'un programme d'aides de trois ans, le pays est solvable aujourd'hui, il ne peut y avoir d'inquiétudes des bourses mondiales sur ce point. Nous sommes capables d'opérer à une capitalisation nationale officielle de la BES si nécessaire." Les capacités de la BES à couvrir par elle-même ses pertes restent ce 11 juillet sans réponse, constate en une l'Expresso.
La première question du journaliste de CNN demeure pour autant sans réponse : comment a-t-on pu se rendre compte si tard d'une telle situation ?"
La banque portuguaise n'est pas la seule :
(source : Romandie.com)
Bulgarie: fermeture de la quatrième banque du pays
Sofia - La quatrième banque bulgare, Corporate commercial bank (CCB), va être fermée et ses actifs vont être transférés vers sa filiale Crédit Agricole Bulgaria, qui sera elle-même nationalisée, a annoncé vendredi le gouverneur de la Banque centrale bulgare (BNB) Ivan Iskrov.
La licence de la CCB sera retirée et une procédure d'insolvabilité sera lancée, a déclaré M. Iskrov. La solution est acceptée par la Commission européenne, a indiqué devant le Parlement le ministre des Finances, Petar Tchobanov, avec laquelle il est en contact permanent.
Les dossiers d'un portefeuille de 3,5 milliards de leva (1,8 milliard d'euros) de crédits accordés par la CCB manquent. Ils ont probablement été détruits, ce qui fait penser à des abus prémédités, a-t-il expliqué au cours d'une conférence de presse.
Un audit n'a pas pu établir la capacité de ces débiteurs à rembourser leurs crédits. Il a constaté qu'ils étaient étroitement liés à l'actionnaire majoritaire de la banque, Tsvetan Vassilev, a-t-il ajouté.
Les crédits accordés à ces entreprises dans les communications, le tabac, le pétrole et le commerce, constituent 65% de tous les crédits accordés par la CCB, selon les chiffres communiqués par la BNB.
Les actifs de la CCB s'élevaient fin mai à 3,7 milliards d'euros, soit 8,4% du secteur bancaire bulgare.
Les comptes de particuliers et d'entreprises, à l'exception de ceux dont les dossiers ont été détruits, seront transférés vers la banque Crédit Agricole Bulgaria.
La banque française Crédit Agricole avait racheté en juillet 2012 une filiale de la grecque Emporiki en Bulgarie, renommée Crédit Agricole Bulgaria, puis l'avait cédé à CCB. Cette vente s'est clôturée en juin 2014.
Crédit Agricole Bulgaria sera nationalisé, a indiqué le gouverneur de la Banque centrale. L'institut recevra un soutien absolu pour sa liquidité par le Fonds de garantie des dépôts, par le budget de l'État et par la BNB. C'est une banque bien gérée, a-t-il martelé.
Le 20 juin, la CCB avait suspendu ses paiements et avait été placée sous supervision spéciale par la Banque centrale. Quelque 22% des fonds publics - dont ceux des entreprises du domaine de l'énergie - y étaient déposés, ainsi que des épargnes de particuliers, attirés par des taux d'intérêt élevés.
Selon les analystes, ses déboires découlent d'un conflit entre deux hommes d'affaires politiquement très influents: Tsvetan Vassilev, propriétaire de la CCB et Delyan Peevski, député et propriétaire de médias.
Des articles parus dans les médias détenus par M. Peevski sur une faillite imminente de la CCB ont créé une panique (bank run) le 20 juin, la banque étant assaillie par des centaines de clients.
Ce même jour, M. Vassilev a retiré de la CCB, par un intermédiaire, 205,7 millions de leva (106 M EUR) en numéraire, selon la BNB qui a saisi le parquet.
Après une deuxième panique le 27 juin concernant cette fois la troisième banque du pays, le gouvernement appuyé par le Commission européenne, avait mis a disposition des banques le 30 juin une ligne de crédit à la hauteur de 3,3 milliards de leva (1,7 milliard d'euros).
Les Bulgares vivent dans la hantise d'un retour de l'hyperinflation, qui avait contraint 14 banques à la faillite en 1996-97.
vs/tba/ilp/LyS
Est-cela qui explique la décision du gouvernement allemand ?
samedi 12 juillet 2014
L'Allemagne donne son feu vert à la confiscation partielle des dépôts en cas de faillite bancaire
(voir plus haut, article Fawkes)
Eh, oui, mes chers lecteurs, ils nous mentent, les financiers et les multinationales nous préparent une autre crise pour finir de liquider au plus vite ce qu'il reste des états nations et faire de nous leurs serfs, corvéables et emprisonnables à merci.
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