(blog à finir et à corriger)
Eh, oui, mes chers cinq lecteurs, à une époque, on a raté le coche.
Les compagnies pétrolières nous ont floué en rachetant les sociétés qui construisaient des voitures et des camions électrique.
Et, on n'aurait pas eu ce monde de "merde" qui détruit la planète.
(source : La France pittoresque)
Et, une aberration, une de plus :
(source : Le Figaro.fr)
Peut-être que cela va donner des idées à l'Europe pour renflouer ses caisses.
(source : 7sur7.be)
Eh, oui, mes chers cinq lecteurs, à une époque, on a raté le coche.
Les compagnies pétrolières nous ont floué en rachetant les sociétés qui construisaient des voitures et des camions électrique.
Et, on n'aurait pas eu ce monde de "merde" qui détruit la planète.
(source : La France pittoresque)
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Et, une aberration, une de plus :
(source : Le Figaro.fr)
L'aéroport de Caracas impose une taxe sur l'air respiré
Peut-être que cela va donner des idées à l'Europe pour renflouer ses caisses.
(source : 7sur7.be)
L'Europe est à court d'argent
L'Union européenne a besoin d'urgence de 4,7 milliards d'euros pour continuer à payer ses factures, est-il ressorti mercredi d'un débat à Strasbourg lors duquel les eurodéputés ont à nouveau déploré les problèmes budgétaires récurrents des institutions européennes.
Le problème se pose depuis des années. Les Etats membres coupent systématiquement dans les budgets européens, ce qui fait que la Commission européenne n'a pas assez d'argent pour payer les factures des projets que les Etats membres ont eux-mêmes approuvés. Les factures impayées sont reportées à l'année budgétaire suivante et représentent désormais un montant total de 23 milliards d'euros.
Cette année, les eurodéputés ont tiré la sonnette d'alarme avant même les congés d'été. Ils ont lancé mercredi un appel aux Etats membres pour voter en urgence un budget complémentaire de 4,7 milliards d'euros. Cela doit permettre de combler les trous dans plusieurs rubriques budgétaires telles que la politique de cohésion (3,3 milliards d'euros), les programmes de recherche et d'emploi (587 millions d'euros) ou la politique étrangère (651 millions).
Le manque d'argent signifie entre autres que le financement de l'aide humanitaire aux réfugiés syriens est menacé. Le programme d'échange Erasmus est concerné aussi. La commissaire européenne Androulla Vassiliou a également souligné les conséquences pour les PME qui ont participé à des projets européens, ont consenti des frais et attendent maintenant des paiements de l'Europe. "
Mais, il n'y a pas que l'Europe qui va mal.
(source : Examiner.com)
En France, mes chers lecteurs, le gouvernement pleure sur la juste amende que les autorités judiciaires américaines ont infligé à la banque BNP Paribas.
Elle n'est pas la seule.
(source : La voix de l'Amérique)
vvv
Cette année, les eurodéputés ont tiré la sonnette d'alarme avant même les congés d'été. Ils ont lancé mercredi un appel aux Etats membres pour voter en urgence un budget complémentaire de 4,7 milliards d'euros. Cela doit permettre de combler les trous dans plusieurs rubriques budgétaires telles que la politique de cohésion (3,3 milliards d'euros), les programmes de recherche et d'emploi (587 millions d'euros) ou la politique étrangère (651 millions).
Le manque d'argent signifie entre autres que le financement de l'aide humanitaire aux réfugiés syriens est menacé. Le programme d'échange Erasmus est concerné aussi. La commissaire européenne Androulla Vassiliou a également souligné les conséquences pour les PME qui ont participé à des projets européens, ont consenti des frais et attendent maintenant des paiements de l'Europe. "
Mais, il n'y a pas que l'Europe qui va mal.
(source : Examiner.com)
Donald Trump à l'Amérique: Préparez-vous à «la ruine financière»
13 décembre 2013
Ce n'est pas tous les jours que des personnalités et des dirigeants de renommée mondiale font des déclarations apocalyptiques concernant les États-Unis et mondial économie . C'est pourquoi, lorsque l'une de ces personnes ne fait il devrait être fait les manchettes. Bien que le dernier avertissement n'a pas exactement fait des nouvelles internationales, il a fait le tour.
S'exprimant dans une récente interview avec Fox Nouvelles, immobilier milliardaire magnat Donald Trump a averti que les Etats-Unis est sur le point de "ruine financière" et est sur la voie d'un effondrement Grèce comme en raison de ses immenses niveaux d'endettement. Il a reconnu que les Etats-Unis n'est plus une nation prospère que par le passé.
«Nous allons jusqu'à $ 16000000000000 [de la dette] très bientôt, et ça va être beaucoup plus élevé que celui avant de se terminé», a expliqué Trump. Lorsque vous avez [dette] dans le $ 21 - le 22 billions de dollars, vous parlez d'un déclassement, peu importe comment vous le coupez ".
Mis à part d'énormes chiffres de la dette et son crédit érosion, le taux de chômage, qui dit-il n'est pas le nombre réel, est un autre problème qui doit être abordé. Trump fait valoir que le taux de chômage réel se situe autour de 16 pour cent - peut-être même plus de 20 pour cent.
«En ce moment, franchement, le pays ne va pas bien", a noté Trump. "La récession peut être un mot gentil."
Elle n'est pas la seule.
(source : La voix de l'Amérique)
Citigroup versera 7 milliards de dollars pour régler une plainte du gouvernement américain
14.07.2014 14:33
L’une des plus grandes banques des États-Unis, Citigroup, a annoncé lundi qu’elle va verser une amende de 7 milliards de dollars au gouvernement américain pour mettre fin à une plainte concernant la vente de titres à haut risque de prêts bancaires, qui auraient contribué à déclencher la crise du logement en 2008.
Citigroup va payer 4 milliards de dollars au ministère de la Justice, 500 millions de dollars à un fonds d'assurance du gouvernement américain et à plusieurs gouvernements d'États de l’Union, et 2,5 milliards de dollars à un fonds d’aide aux propriétaires en difficulté qui ne parviennent plus à rembourser leurs prêts.
La banque a accordé des prêts à des emprunteurs à haut risque avant de procéder à la titrisation de ces prêts immobiliers toxiques.
Le gouvernement avait accusé Citigroup d’avoir induit en erreur les investisseurs sur la qualité de ces titres. Lorsque la bulle immobilière a éclaté, des millions de propriétaires se sont retrouvés en défaut de paiement, incapables de verser quoi que ce soit sur leurs hypothèques après avoir perdu leur emploi, alors que leurs maisons perdaient fréquemment jusqu’à la moitié de leur valeur.
Citigroup est la deuxième des grandes banques américaines à parvenir à un accord avec le gouvernement sur les titres hypothécaires toxiques qui ont contribué à la crise de 2008 - la plus grave depuis la Grande Dépression des années 1930. En 2013, JPMorgan Chase a payé une amende 13 milliards de dollars. A noter que le ministère de la Justice est toujours en négociations avec Bank of America.
Citigroup va payer 4 milliards de dollars au ministère de la Justice, 500 millions de dollars à un fonds d'assurance du gouvernement américain et à plusieurs gouvernements d'États de l’Union, et 2,5 milliards de dollars à un fonds d’aide aux propriétaires en difficulté qui ne parviennent plus à rembourser leurs prêts.
La banque a accordé des prêts à des emprunteurs à haut risque avant de procéder à la titrisation de ces prêts immobiliers toxiques.
Le gouvernement avait accusé Citigroup d’avoir induit en erreur les investisseurs sur la qualité de ces titres. Lorsque la bulle immobilière a éclaté, des millions de propriétaires se sont retrouvés en défaut de paiement, incapables de verser quoi que ce soit sur leurs hypothèques après avoir perdu leur emploi, alors que leurs maisons perdaient fréquemment jusqu’à la moitié de leur valeur.
Citigroup est la deuxième des grandes banques américaines à parvenir à un accord avec le gouvernement sur les titres hypothécaires toxiques qui ont contribué à la crise de 2008 - la plus grave depuis la Grande Dépression des années 1930. En 2013, JPMorgan Chase a payé une amende 13 milliards de dollars. A noter que le ministère de la Justice est toujours en négociations avec Bank of America.
vvv
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