jeudi 17 juillet 2014

(blog à finir et à corriger)

Eh, oui, mes chers cinq lecteurs, à une époque, on a raté le coche.
Les compagnies pétrolières nous ont floué en rachetant les sociétés qui construisaient des voitures et des camions électrique.
Et, on n'aurait pas eu ce monde de "merde" qui détruit la planète.

(source : La France pittoresque)

Véhicule électrique (Le) : promis à
gagner la capitale et à remplacer
la voiture à pétrole en... 1900
(D’après « La Science française », paru en 1897)
Publié le SAMEDI 28 JUIN 2014, par LA RÉDACTION


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En 1897, un chroniqueur scientifique de la revue La Science française, observant l’inquiétante prolifération annoncée des véhicules à pétrole, bruyants et polluants, au sein de la capitale, rassure ses lecteurs en leur présentant comme hautement improbable le fait de généraliser ce moyen de transport, l’estimant d’ores et déjà supplanté par la très prometteuse voiture électrique, dont l’essor inéluctable est à ses yeux imminente. « Etonnamment », cet avènement n’aura pas lieu...
Plusieurs grands journaux quotidiens de Paris nous ont annoncé, ces jours derniers, que la capitale allait enfin être dotée de ces fameux fiacres automobiles dont il a été si souvent question depuis plusieurs mois mais dont aucun spécimen n’a été mis jusqu’à ce jour en service régulier à la disposition du public.
Ces mêmes journaux, prenant leurs désirs pour des réalités, annoncent bravement que d’ici peu cinq cents fiacres automobiles seront mis en circulation par les soins de la seule Compagnie générale des Petites Voitures de Paris. Pour peu que d’autres Compagnies de louage aient pris, toute proportion gardée, la même initiative, c’est au bas mot plus d’un millier de sapins automobiles qui muteraient bientôt sur les boulevards.
Que le bon public se rassure, cet événement ne se réalisera pas de sitôt. Pour une bonne raison d’abord, c’est qu’en supposant qu’un type d’automobile ait été définitivement adopté et qu’on pût réquisitionner tous les constructeurs d’automobiles de France et de Navarre, d’Angleterre et d’Amérique pour le mettre sur roues, leur production totale ne fournirait pas d’ici la fin de l’année 1897 les seuls cinq cents fiacres de la Compagnie générale.
Il faut bien se figurer qu’on ne fait pas des automobiles comme on fait des fusils, des montres, et des bicyclettes. On monte et règle, toutes pièces réunies, une bicyclette en quelques heures ; il faut plus d’une semaine pour obtenir ce résultat avec une automobile. D’autre part, si les voitures à moteur à essence minérale font le bonheur du touriste, et, par-ci par-là, celui des magasins de nouveautés, à qui elles servent de réclame, plutôt qu’elles ne rendent réellement service à leurs livraisons à domicile, il faut se pénétrer de cette idée que ces deux types de véhicules ne seront tolérés dans les agglomérations que tant qu’ils seront à l’état d’exception.
Quels qu’aient été les progrès de toute sorte apportés ces temps derniers à la construction de ces automobiles, celles-ci n’en ont pas moins l’inconvénient de faire du bruit et de dégager des odeurs désagréables.
Le jour où des files de véhicules a pétrole feraient la queue aux bifurcations des rues fréquentées, les terrasses des cafés ne seraient plus habitables, les magasins fermeraient leurs portes et les quartiers les plus commerçants de Paris, ceux qui font surtout vivre la grande ville, seraient réduits à fermer boutique, aucune tête ne se montrerait aux fenêtres, ce serait la grève générale des vendeurs, des consommateurs et des locataires.
Nous l’avons dit à plusieurs reprises, la vapeur, jusqu’à nouvel ordre, convient seule aux gros transports, et encore, en parlant des exploits automobiles de la vapeur, ne voyons-nous guère que l’omnibus Weidknecht qui ait fait ses preuves. L’omnibus à pétrole du système Cambier, que nous verrons au concours des gros poids en juillet prochain, lui fera peut-être un heureux pendant. Mais ces types-là sont surtout destinés aux grandes routes : ils ne feront qu’un court séjour dans les villes,
Les voitures électriques sont les seules qui conviennent aux agglomérations populeuses. Celles-là ne dégageront ni fumée, ni odeur, ne feront pas de bruit, s’arrêteront et repartiront sans que le cocher soit tenu de descendre de son siège, et se ravitailleront aux sources d’énergie disséminées à profusion dans tous les quartiers.
Or, il n’existe pas actuellement de voiture électrique légère et économique, mûre pour le trafic des villes. Nous en aurons quelques-unes cet été en essai à Paris, mais si elles donnent des espérances, il n’est pas encore permis de leur prédire le succès à brève échéance. Et en supposant que ce rara avis nous soit bientôt montré, il faudra de longs mois avant que les constructeurs en aient mis des centaines sur le pave de Paris. M. Pierre Giffard pense qu’il faudra deux ou trois années avant que les automobiles fassent couramment le service de place. Nous ne sommes pas loin d’être de son avis.
Donc ce n’est pas au cours de l’an de grâce 1897 que nous assisterons à cette débauche d’automobiles. Et c’est vraiment fâcheux, car le fiacre électrique ferait le bonheur de tous les Parisiens. Ils prendront moitié moins de place que les voitures à chevaux portant le même nombre de personnes, ils iront plus vite, et évolueront plus facilement : tout le monde y trouvera donc son compte, surtout le client, qui fera davantage de chemin et paiera moitié moins cher l’heure, s’il faut en croire les affirmations de M. Rixio, directeur de la Compagnie générale des Petites Voitures.
Ces voitures seront sûrement montées sur pneus : on se croira a Venise, dans les gondoles, tellement l’allure sera douce. La transformation se fera sans douleur, deux ou trois journées d’apprentissage suffisant pour transformer le cocher en excellent chauffeur. Le cheval sera envoyé au vert ou à la boucherie, et le fiacre électrique roulera silencieusement sur le pavé en bois qu’il brûlera sans y mettre le feu.
Restera le piéton, qui aura un nouvel apprentissage à faire, car les tramways mécaniques d’une part, les cyclistes et les automobiles de l’autre, tous filant à qui mieux mieux, lui laisseront difficilement le passage au milieu de tous ces démons déchaînés. C’est là où le bâton du sergent de ville sera d’une réelle utilité. Au besoin on électrisera aussi l’un et l’autre, et il suffira au policeman d’étendre le bras pour arrêter net l’élan des automobilistes lancés dans les passages dangereux.


Et, une aberration, une de plus :

(source : Le Figaro.fr)

L'aéroport de Caracas impose une taxe sur l'air respiré




L'aéroport de Maiquieta au Venezuela.
Pour couvrir le coût d'installation d'un nouveau système de climatisation, le plus gros aéroport du Venezuela fait payer aux voyageurs l'air qu'ils respirent. La taxe lui permettrait aussi de réduire sa dette envers certaines compagnies aériennes.
Après les bagages, c'est l'air qui devient payant. Les passagers des vols en partance de l'aéroport de Maiquetía devront désormais s'acquitter d'une taxe supplémentaire de 127 bolivars, soit 20 dollars ou 15 euros environ, pour l'air qu'ils respirent, révèle CNN .
La somme récoltée servirait à couvrir le coût d'installation d'un nouveau système de climatisation. Ce dernier utiliserait l'ozone pour purifier l'air et «éliminer les contaminants», protégeant ainsi la santé des voyageurs. Le système serait une «première en Amérique du sud et dans les Caraïbes», revendique l'aéroport vénézuélien.

Les voyageurs réagissent sur les réseaux sociaux

Pour exprimer leurs mécontentements, beaucoup ont choisi les réseaux sociaux et les réactions sont nombreuses sur Twitter.
«L'aéroport de Maiquetia sera un lieu pour respirer l'ozone, parce qu'il n'y a pas de vol!», ironise un internaute. 
«Tandis que la puanteur des toilettes m'asphyxie... ils ont commencé à facturer 127 bolivars pour respirer l'ozone à Maiquetía», écrit une autre. 
Certain parle même de vol: «J'ai annulé «pour le concept d'ozone» la somme de 127 bolivars dans l'aéroport de Maiquetia... Le vol au Venezuela agit sous diverses formes». 
Cette nouvelle taxe permettra peut être d'apaiser les tensions entre le pays et certaines compagnies aériennes. Elles sont nombreuses à avoir réduit leurs vols internationaux pour dénoncer la dette du gouvernement à leur encontre, qui s'élèverait désormais à 4,2 milliards de dollars. Le groupe américain Delta Airlines passera ainsi d'un vol journalier à un vol hebdomadaire à partir du 1er août. La compagnie American Airlines a quant à elle réduit de 48 à 10 le nombre de vols hebdomadaires à destination du pays. La taxe de climatisation pourrait être un moyen pour l'aéroport de résorber sa dette.


Peut-être que cela va donner des idées à l'Europe pour renflouer ses caisses.

(source : 7sur7.be)

L'Europe est à court d'argent


Par: r�daction
16/07/14 - 20h54  Source: Belga
© thinkstock.
L'Union européenne a besoin d'urgence de 4,7 milliards d'euros pour continuer à payer ses factures, est-il ressorti mercredi d'un débat à Strasbourg lors duquel les eurodéputés ont à nouveau déploré les problèmes budgétaires récurrents des institutions européennes.

Le problème se pose depuis des années. Les Etats membres coupent systématiquement dans les budgets européens, ce qui fait que la Commission européenne n'a pas assez d'argent pour payer les factures des projets que les Etats membres ont eux-mêmes approuvés. Les factures impayées sont reportées à l'année budgétaire suivante et représentent désormais un montant total de 23 milliards d'euros.

Cette année, les eurodéputés ont tiré la sonnette d'alarme avant même les congés d'été. Ils ont lancé mercredi un appel aux Etats membres pour voter en urgence un budget complémentaire de 4,7 milliards d'euros. Cela doit permettre de combler les trous dans plusieurs rubriques budgétaires telles que la politique de cohésion (3,3 milliards d'euros), les programmes de recherche et d'emploi (587 millions d'euros) ou la politique étrangère (651 millions).

Le manque d'argent signifie entre autres que le financement de l'aide humanitaire aux réfugiés syriens est menacé. Le programme d'échange Erasmus est concerné aussi. La commissaire européenne Androulla Vassiliou a également souligné les conséquences pour les PME qui ont participé à des projets européens, ont consenti des frais et attendent maintenant des paiements de l'Europe. "

Mais, il n'y a pas que l'Europe qui va mal.

(source : Examiner.com)

Donald Trump à l'Amérique: Préparez-vous à «la ruine financière»

 

Voir aussi

Ce n'est pas tous les jours que des personnalités et des dirigeants de renommée mondiale font des déclarations apocalyptiques concernant les États-Unis et mondial économie . C'est pourquoi, lorsque l'une de ces personnes ne fait il devrait être fait les manchettes. Bien que le dernier avertissement n'a pas exactement fait des nouvelles internationales, il a fait le tour.
S'exprimant dans une récente interview avec Fox Nouvelles, immobilier milliardaire magnat Donald Trump a averti que les Etats-Unis est sur ​​le point de "ruine financière" et est sur ​​la voie d'un effondrement Grèce comme en raison de ses immenses niveaux d'endettement. Il a reconnu que les Etats-Unis n'est plus une nation prospère que par le passé.
«Nous allons jusqu'à $ 16000000000000 [de la dette] très bientôt, et ça va être beaucoup plus élevé que celui avant de se terminé», a expliqué Trump. Lorsque vous avez [dette] dans le $ 21 - le 22 billions de dollars, vous parlez d'un déclassement, peu importe comment vous le coupez ".
Mis à part d'énormes chiffres de la dette et son crédit érosion, le taux de chômage, qui dit-il n'est pas le nombre réel, est un autre problème qui doit être abordé. Trump fait valoir que le taux de chômage réel se situe autour de 16 pour cent - peut-être même plus de 20 pour cent.
«En ce moment, franchement, le pays ne va pas bien", a noté Trump. "La récession peut être un mot gentil."
En France, mes chers lecteurs, le gouvernement pleure sur la juste amende que les autorités judiciaires américaines ont infligé à la banque BNP Paribas.
Elle n'est pas la seule.

(source : La voix de l'Amérique)

Citigroup versera 7 milliards de dollars pour régler une plainte du gouvernement américain

(Photo AP)(Photo AP)
L’une des plus grandes banques des États-Unis, Citigroup, a annoncé lundi qu’elle va verser une amende de 7 milliards de dollars au gouvernement américain pour mettre fin à une plainte concernant la vente de titres à haut risque de prêts bancaires, qui auraient contribué à déclencher la crise du logement en 2008.

Citigroup va payer 4 milliards de dollars au ministère de la Justice, 500 millions de dollars à un fonds d'assurance du gouvernement américain et à plusieurs gouvernements d'États de l’Union, et 2,5 milliards de dollars à un fonds d’aide aux propriétaires en difficulté qui ne parviennent plus à rembourser leurs prêts.

La banque a accordé des prêts à des emprunteurs à haut risque avant de procéder à la titrisation de ces prêts immobiliers toxiques.

Le gouvernement avait accusé Citigroup d’avoir induit en erreur les investisseurs sur la qualité de ces titres. Lorsque la bulle immobilière a éclaté, des millions de propriétaires se sont retrouvés en défaut de paiement, incapables de verser quoi que ce soit sur leurs hypothèques après avoir perdu leur emploi, alors que leurs maisons perdaient fréquemment jusqu’à la moitié de leur valeur.   

Citigroup est la deuxième des grandes banques américaines à parvenir à un accord avec le gouvernement sur les titres hypothécaires toxiques qui ont contribué à la crise de 2008 - la plus grave depuis la Grande Dépression des années 1930. En 2013, JPMorgan Chase a payé une amende 13 milliards de dollars. A noter que le ministère de la Justice est toujours en négociations avec Bank of America.

vvv

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