(blog à finir et à corriger)
Alors, mes chers cinq lecteurs, que se passe-t-il sur le front du gaz de schiste en Allemagne ?
(source : Actu-Environnement)
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Alors, mes chers cinq lecteurs, que se passe-t-il sur le front du gaz de schiste en Allemagne ?
(source : Actu-Environnement)
L'Allemagne dit "non" au gaz de schiste, jusqu'en 2021
L'Allemagne a l'intention d'interdire l'exploitation du gaz de schiste "au moins jusqu'à 2021", rapporte l'AFP. A cette date, un rapport d'experts doit intervenir pour aider les pouvoirs publics à adopter les mesures adéquates.
Au-dessus de 3.000 mètres, la fracturation hydraulique pour récupérer le gaz de schiste sera donc interdite, précise l'AFP. En effet, si le gaz de schiste est contenu dans des roches sédimentaires situées entre 1 et 3 kilomètres de profondeur, les nappes phréatiques se trouvent quant à elles à faible profondeur.
Ce projet d'interdiction est porté par le ministre de l'Economie et de l'Energie, Sigmar Gabriel, et la ministre de l'Environnement, Barbara Hendricks, avec pour toile de fond la méfiance croissante de l'opinion publique allemande envers le procédé de fracturation hydraulique. "L'opposition au « fracking » dépasse les écologistes", explique Les Echos, qui cite les brasseries locales et les régies municipales, inquiètes de la qualité de l'eau.
Berlin n'a en revanche pas exprimé de volonté d'interdire la fracturation hydraulique en matière de gaz naturel conventionnel, mais elle sera mieux encadrée, notamment s'agissant des produits utilisés, explique l'AFP.
Au-dessus de 3.000 mètres, la fracturation hydraulique pour récupérer le gaz de schiste sera donc interdite, précise l'AFP. En effet, si le gaz de schiste est contenu dans des roches sédimentaires situées entre 1 et 3 kilomètres de profondeur, les nappes phréatiques se trouvent quant à elles à faible profondeur.
Ce projet d'interdiction est porté par le ministre de l'Economie et de l'Energie, Sigmar Gabriel, et la ministre de l'Environnement, Barbara Hendricks, avec pour toile de fond la méfiance croissante de l'opinion publique allemande envers le procédé de fracturation hydraulique. "L'opposition au « fracking » dépasse les écologistes", explique Les Echos, qui cite les brasseries locales et les régies municipales, inquiètes de la qualité de l'eau.
Berlin n'a en revanche pas exprimé de volonté d'interdire la fracturation hydraulique en matière de gaz naturel conventionnel, mais elle sera mieux encadrée, notamment s'agissant des produits utilisés, explique l'AFP.
Et, un rappel :
(source : National Geographic)
(source : National Geographic)
L’arbre miraculeux qui pourrait changer le monde
Pour Daniel Rodary, tout est parti d’un constat : certains végétaux peuvent faire le bien. Beaucoup de bien. Cet écologue français de 43 ans travaille pour l’association Biomimicry Europa, spécialisée dans le biomimétisme.
Ce domaine de recherches s’inspire de la nature pour créer des solutions durables. En 2010, justement, Greenloop, un cabinet de conseil qui étudie comment le vivant capte et stocke le carbone lance un projet européen, CO2SolStock, afin d’imaginer de nouvelles solutions en ce sens.
Parmi elles : les végétaux dits « oxalogènes ». Un gros mot pour une propriété extraordinaire : ces plantes captent le carbone atmosphérique et, avec l’aide de champignons et de bactéries, le transforment en calcaire, piégé dans le sol pour des dizaines de millénaires.
Un rêve éveillé d’ingénieur ! En étudiant l’une de ces plantes, la noix-pain (Brosimum alicastrum), un arbre d’Amérique latine, Daniel Rodary réalise qu’elle promet bien plus encore.
Très nutritives, ses noix peuvent se conserver sèches et s’utiliser en guise de pommes de terre, en farine, dans des sauces ou des boissons. Ses feuilles font un excellent fourrage pour le bétail. B. alicastrum pourrait aussi amender l’acidité des sols et les fertiliser.
Un arbre miracle ? L’écologue veut en avoir le cœur net. En 2011, il lance le programme « Arbres sauveurs », avec deux associations implantées à Haïti. Objectif : reforester des zones érodées, arides et très isolées.
Des paysans sont formés à planter leurs arbres, et des femmes à en cuisiner les noix. Cette nouvelle denrée peu périssable fait figure de prodige. À l’université de Lausanne, Éric Verrecchia, le scientifique à l’origine de la découverte des arbres oxalogènes, suit l’expérience de près. À ce jour, 80 000 plants ont déjà été mis en terre. Dans un à trois ans, ils produiront leurs premiers miracles.
Pour en savoir plus :
> L’association spécialisée en biomimétisme : www.biomimicry.eu
> Le cabinet de conseil qui étudie comment le vivant capte et stocke le carbone : www.greenloop.eu
> Le projet européen qui vise à trouver des solutions pour stocker le carbone : www.co2solstock.org
Céline Lison
L’arbre miraculeux qui pourrait changer le monde
Pour Daniel Rodary, tout est parti d’un constat : certains végétaux peuvent faire le bien. Beaucoup de bien. Cet écologue français de 43 ans travaille pour l’association Biomimicry Europa, spécialisée dans le biomimétisme.
Ce domaine de recherches s’inspire de la nature pour créer des solutions durables. En 2010, justement, Greenloop, un cabinet de conseil qui étudie comment le vivant capte et stocke le carbone lance un projet européen, CO2SolStock, afin d’imaginer de nouvelles solutions en ce sens.
Parmi elles : les végétaux dits « oxalogènes ». Un gros mot pour une propriété extraordinaire : ces plantes captent le carbone atmosphérique et, avec l’aide de champignons et de bactéries, le transforment en calcaire, piégé dans le sol pour des dizaines de millénaires.
Un rêve éveillé d’ingénieur ! En étudiant l’une de ces plantes, la noix-pain (Brosimum alicastrum), un arbre d’Amérique latine, Daniel Rodary réalise qu’elle promet bien plus encore.
Très nutritives, ses noix peuvent se conserver sèches et s’utiliser en guise de pommes de terre, en farine, dans des sauces ou des boissons. Ses feuilles font un excellent fourrage pour le bétail. B. alicastrum pourrait aussi amender l’acidité des sols et les fertiliser.
Un arbre miracle ? L’écologue veut en avoir le cœur net. En 2011, il lance le programme « Arbres sauveurs », avec deux associations implantées à Haïti. Objectif : reforester des zones érodées, arides et très isolées.
Des paysans sont formés à planter leurs arbres, et des femmes à en cuisiner les noix. Cette nouvelle denrée peu périssable fait figure de prodige. À l’université de Lausanne, Éric Verrecchia, le scientifique à l’origine de la découverte des arbres oxalogènes, suit l’expérience de près. À ce jour, 80 000 plants ont déjà été mis en terre. Dans un à trois ans, ils produiront leurs premiers miracles.
Pour en savoir plus :
> L’association spécialisée en biomimétisme : www.biomimicry.eu
> Le cabinet de conseil qui étudie comment le vivant capte et stocke le carbone : www.greenloop.eu
> Le projet européen qui vise à trouver des solutions pour stocker le carbone : www.co2solstock.org
Céline Lison
Et, une pétition, une. Plutôt trois puisque je n'ai pas réussi à enlever les deux autres.
(source : Mesopinions.com)
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