(blog à finir et à corriger)
Bon, il faudrait un jour que nos politiques se posent enfin des questions au sujet de l'industrie pharmaceutique au lieu de se laisser acheter par elle pour qu'elle fasse n'importe quoi concernant notre santé, et là, je parle au niveau de la planète.
(source : wikistrike)
Les vaccinés contre la coqueluche répandent la maladie
Traduit de l'anglais par Expovaccins
Les récents articles de presse impressionnants (1) de cette dernière semaine reconnaissent enfin ce que les épidémiologistes et les officiels de la Santé savaient depuis un bon bout de temps : les personnes qui sont vaccinées contre la coqueluche sont porteuses des bactéries et les répandent. (2) Elles sont responsables de la plupart des foyers.
Ces informations font que l'on pourrait se poser la question :
Faut-il tenir les personnes vaccinées contre la coqueluche responsables des épidémies ?
Si l'on jette un coup d'oeil aux articles scientifiques qui ont porté sur les dernières flambées de rougeole, on trouve des documents universitaires qui traitent d'une entité appelée « la paradoxe de la rougeole » (3). Il s'agit d'un paradoxe parce que ce sont surtout ceux qui ont été vaccinés qui ont contracté la maladie tandis que la plupart des non vaccinés sont restés indemnes.
En outre, la hausse des cas de zona qui se sont produits au cours de la dernière décenniesont dus au vaccin contre la varicelle (4, 5). Ce lien n'est pas contesté dans la littérature académique et a même été prédit par des épidémiologistes et biologistes mathématiciens. (6). Ce lien a également été confirmé par une autre étude. (7)
Si les enfants et les adultes vaccinés sont susceptibles de propager la maladie, allons-nous les tenir légalement responsables des épidémies ? Allons-nous imposer la « non vaccination » comme exigence pour fréquenter l'école publique ? Etant donné qu'il n'y a pas moyen de revenir en arrière une fois que la personne ou l'enfant a été vacciné, va-t-on exclure de l'école ces enfants vaccinés ?
Alors que les arguments ci-dessus semblent absurdes, Ils sont pourtant équivalents à ceux que Art Caplan, expert en bioéthique, continue d'avancer.
Caplan pense que les parents d'enfants non vaccinés devraient être tenus légalement responsables des foyers de la maladie.
Il convient de se rappeler que Caplan n'est pas un simple expert en bioéthique. En tant qu'expert en bioéthique, il a fait pas mal d'argent avec des interventions favorables à l'industrie.
Si vous vous informez sur les conflits d'intérêts directs d'Art Caplan, vous pourrez prendre connaissance que, pour lui, ces conflits d'intérêts peuvent parfaitement être gérés tout en permettant de produire un travail impartial. Art Caplan, comme son précédent employeur, l'Université de Pennsylvanie (Département de bioéthique) ont reçu des sommes importantes des principales firmes pharmaceutiques et le département de bioéthique de l'université de Pennsylvanie ayant trait aux vaccins a été massivement financé par les grands producteurs de vaccins.
En ce qui concerne les personnes qui ont été vaccinées par le DTC (Diphtérie, Tétanos Coqueluche acellulaire) et qui ont été colonisées par la bactérie de la coqueluche, il est intéressant de prendre en compte les points suivants :
a) Les enfants récemment vaccinés devaient être tenus à l'écart des patients atteints de cancer de peur qu'ils ne propagent le virus du vaccin.
b) Le vaccin oral contre la polio a été la cause de tous les cas de polio aux Etats-Unis depuis plusieurs décennies (8) jusqu'à ce que l'industrie trouve un autre vaccin pour le remplacer.
c) Les personnes qui reçoivent le vaccin nasal contre la grippe répandent le virus pendant plusieurs jours.
d) Le vaccin contre le rotavirus (9) est excrété dans les selles et peut provoquer la diarrhée chez d'autres enfants.
Les exemples repris ci-dessus ne constituent que quelques exemples de la manière dont les vaccinés récents peuvent répandre des pathogènes et donc propager des maladies.
Alors que les médias traditionnels sont en train de se réveiller aux réalités des vaccinations et des épidémies, allons-nous nous retourner contre ceux qui ont choisi de se faire vacciner et les considérer comme des parias ?
Je pense vraiment qu'en fonction de la relation bénéfices/risques, il faut laisser à chacun la liberté de choisir et non la laisser aux mains de ceux qui ont des conflits d'intérêts.
Références
1.http://thetimes-tribune.com/news/health-science/despite-vaccine-pertussis-spreads-1.1591349
2. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/20200027
3. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/8053748
4. http://www.greenmedinfo.com/blog/shingles-goes-epidemic-chicken-pox-vax-blame
5.http://www.greenmedinfo.com/search/gmi/blog%20pox%20cdc%20s%20vaccination%20agenda%20rise%20herpes%20zoster%20shingles
6. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/17879870
7. http://www.whale.to/vaccines/goldman.pdf
8. http://www.greenmedinfo.com/blog/polio-vaccines-now-1-cause-polio-paralysis
9. http://www.greenmedinfo.com/anti-therapeutic-action/vaccination-rotavirus
Source: http://www.greenmedinfo.com/blog/those-vaccinated-pertussis-vaccine-are-spreading-disea
Ils nous prennent vraiment pour de sacrés cons tous ces abrutis qui nous font croire que science signifie vérité.
(source : bon-coin-santé.com)
La chimiothérapie nous vient de la recherche sur les armes chimiques de la seconde guerre mondiale, elle a fait son apparition dans les années cinquante.
Ensuite fut découvert le gaz moutarde et autres produits chimiques dangereux du même genre qui pouvait réduire la croissance des tumeurs.
Cette fameuse découverte arrivait pile poil à un moment où la recherche piétinait dans ce domaine (ça n’a pas changé depuis). Le problème, évidemment, est que ces produits tuent autant de cellules saines que de cellules cancéreuses et, en particulier, les cellules à reproduction rapide, c’est-à-dire le sang. C’est ainsi que ce traitement est capable de mettre dans un état déplorable n’importe quelle personne en pleine santé.
Dans son ouvrage Cancer: médecine traditionnelle et médecine alternative, Jane Heimlich rappelle que, tout au long du XIXe siècle, l’on a prescrit un remède a base de mercure appelée Calomel, et ceci pour soigner à peu près toutes les maladies. Ce traitement administré au long cours était souvent fatal. L’on recommandait 5 à 10 grains à prendre la nuit. Soit environ 320 à 640 mg de chlorate de mercure. Des études menées en 1984 précisèrent que 500 mg de ce sel pouvait entraîner la mort. Donc, pendant près d’un siècle, les médecins ont allègrement «exécuté» leurs malades par empoisonnement, sans trop se poser de questions.
Les choses n’ont guère changé depuis, la chimiothérapie et autres drogues homologuées ont juste pris le relais.
Une fois les questionnaires étudiés, il en ressort que trois docteurs sur quatre (75 %) refusent toute chimiothérapie sur eux-mêmes en cas de cancer pour la simple et bonne raison de son inefficacité sur la maladie et de ses effets dévastateurs sur l’ensemble de l’organisme humain.
Tiens donc, 75% des médecins refuseraient la chimiothérapie ?
Donc 75% des médecins SAVENT que la chimiothérapie et la plupart des traitements allopathiques hyper-agressifs contre le cancer et promus par Big Pharma TUENT plus qu’ils ne guérissent.
Un ami médecin est entré un jour dans une salle où dix-huit personnes alitées se faisaient perfuser un cocktail chimio. Il fut pris à la gorge et resta aphone pendant deux jours. Il y a de quoi s’inquiéter pour le personnel soignant.
Une personne m’a raconté après avoir reçu une chimio que l’infirmière lui avait dit pendant la perf: «Il ne faut pas qu’une seule goutte du produit sorte de la seringue, car les vapeurs attaquent les bronches et cela laisserait une marque indélébile sur votre peau». Lorsque l’on pense que c’est cela qui est diffusé dans les veines, ça fait froid dans le dos !
Plus « cocasse » encore, un scoop du Figaro datant d’une dizaine d’années: Trois morts dans une salle d’opération parmi le personnel médical suite à l’ouverture de l’abdomen d’une patiente. Elle venait de recevoir une chimio, et des gaz très toxiques ont été libérés.
Mais selon le cocktail administré, il semblerait que la facture peut atteindre dans certains cas, plus de 6000 €uros !
Qui paie ? La Sécurité Sociale bien sûr, mais la Sécu, c’est le contribuable, donc c’est nous. Prenons comme exemple les chiffres français, soit en moyenne 20 séances multiplié par 60000 cancéreux chimiqués annuellement, ça nous donne une base moyenne de 4500 €uros, soit 90.000 €uros que rapporte chaque cancéreux, et cela pour un jackpot annuel de 5,4 milliards d’€uros !
Tout en sachant que le coût de fabrication certainement dérisoire de ce type de produits, qui à la base était prévus pour des objectifs militaire, l’on imagine aisément les gigantesques profits générés dans la distribution d’un tel produit et l’on comprend aussi que personne n’a vraiment intérêt à ce que le cancer soit éradiqué, sauf peut-être les malades eux-mêmes.
Un jour un haut responsable de grands laboratoires pharmaceutiques dont l’épouse a été guérie «illégalement» d’un cancer de la langue, à avoué à un de mes amis que depuis plus de 30 ans, ils avaient des «recommandations» pour n’orienter aucune recherche en ce qui concerne le cancer ! Ce n’est vraiment pas une surprise mais seulement une confirmation de nos certitudes.
A lire également:
Bon, passons, pour une fois à une bonne nouvelle :
(source : Change.org)
Mais, cet autre nouvelle qui n'est pas bonne : (pour ceux qui connaissent)
(source :PTB.be)
Le maire révolutionnaire de Marinaleda, connu chez nous suite à un reportage diffusé sur TerZake et une interview de L’Humanité publiée dans Solidaire est, pour reprendre les termes du quotidien britannique The Guardian, l’homme qui a transformé le petit village défavorisé de Marinaleda en « utopie communiste ». En 2012, le village connaissait un taux de chômage de 5 %, alors qu’à la même époque le reste de l’Espagne affichait un taux de 25 %.
La semaine dernière, la Cour suprême d’Andalousie a également condamné le secrétaire général du syndicat SAT, Diego Cañamero. Les deux hommes sont poursuivis pour avoir occupé le domaine Las Turquillas durant l’été 2012. Cette finca est une propriété publique, le ministère de la Défense n’utilise que 20 des 1 200 hectares de cette propriété pour un haras, le reste est laissé en friche. En 2010 déjà, même le parti de droite Partido Popular (PP) avait reproché que seules 25 personnes étaient employées sur cette propriété, alors qu’une gestion saine et efficace générerait au moins 800 emplois. L’Andalousie est l’une des régions les plus touchées par le chômage en Espagne, avec un taux de 35,9 % selon les derniers chiffres officiels.
« Nous avons un problème, et ce problème c’est le capitalisme », a déclaré le maire Sánchez Gordillo le 11 novembre dernier lors d’une assemblée à Grenade, à l’ouverture du procès. « Ce qu’il faut c’est une véritable lutte anticapitaliste, à la fois révolutionnaire et capable d’ébranler le système. » Sur les 54 membres du syndicat assignés à comparaître, quatre ont été condamnés à une peine, les cinquante autres ont été acquittés.
Le SAT est connu pour ses actions spectaculaires. L’an dernier, le syndicat a fait la Une des journaux espagnols pour avoir mené dans les supermarchés une action de confiscation symbolique et avoir redistribué les aliments aux familles démunies. A plusieurs reprises, le syndicat a occupé des terres agricoles à l’abandon pour réclamer leur redistribution aux paysans sans terre. Depuis mai 2012, le syndicat occupe le domaine Somontes à Cordoue et y a créé une coopérative qui cultive des fruits et des légumes revendus sur les marchés locaux des alentours.
Avec ces nouvelles mesures, le gouvernement espagnol espère empêcher que d’autres manifestations comme celle du 25 septembre 2012 puissent avoir lieu. Pour rappel, ce jour-là, des milliers de personnes ont participé à un blocage symbolique du Congrès et réclamé la démission du gouvernement. L’intervention brutale de la police a été filmée par de nombreuses caméras de télévision et téléphones portables. Des images choquantes montrent les forces de l’ordre poursuivant des manifestants dans la gare Atocha et tirant sur eux des balles en caoutchouc à l’intérieur du bâtiment. Plusieurs plaintes ont été déposées, mais, plutôt que d’enquêter, le ministre de l’Intérieur, Jorge Fernández Díaz, a invité un inspecteur des forces de l’ordre à se pencher sur un durcissement du droit pénal.
A l’avenir, ce ne sont plus les brutalités des agents qui seront punies, mais les journalistes et les manifestants qui les photographient.
A l’avenir, toute manifestation sur un monument ou un immeuble public sera interdite. Greenpeace, connue pour ce genre d’actions spectaculaires, a déjà réagi. La semaine dernière, les activistes de l’ONG ont déployé sur l’immeuble de l’entreprise pétrolière Shell à Madrid une banderole de 315 m2 pour protester contre « la limitation du droit de protester pacifiquement ».
Et, pour continuer sur les mauvaises nouvelles, parlons ou reparlons de mosanto.
(source : agenceinfolibre.fr)
L’endroit choisi pour ce projet de « méga-fabrique » se nomme Malvinas Argentinas dans la proche banlieue de Cordoba, une ville entourée de soja GM et dont les habitations sont régulièrement soumises à des fumigations intempestives. Face au mutisme des autorités qui cautionnent le projet, des associations de défense de l’environnement, des organisations sociales, et des habitants bloquent désormais l’accès au chantier depuis fin septembre 2013.
Rapidement après l’annonce du projet, l’Assemblée des Habitants de Malvinas en Lutte pour la Vie s’est constituée à l’initiative de mères de famille et de résidents fatigués de subir cette pollution quotidienne. Les habitants ont vainement réclamé des informations à la municipalité et au gouvernement provincial.
En novembre 2012, l’Assemblée a commencé à exiger que la population de Malvinas Argentinas puisse se prononcer par référendum. Le maire Daniel Arzani et le gouverneur José Manuel de la Sota ont à nouveau refusé l’initiative. Les habitants exigent également le respect de la Loi Générale de défense de l’environnement qui oblige la réalisation d’une étude d’impact environnemental, mais faute d’avoir été réclamé par les autorités, Monsanto s’est affranchie sans difficulté de cette contrainte.
Occupation et résistance
Le 19 septembre 2013 un festival populaire, un « Printemps sans Monsanto », se tenait sur le site marquant le lancement d’une opération de blocage qui dure depuis deux mois. Depuis, les entreprises de construction avait retiré leurs machines et les ouvriers ne se rendaient plus sur le site. Mais face à la résistance qui s’installe, Monsanto cherche à intimider les leaders locaux et menace de traîner en justice les habitants participants à l’occupation.
Le 31 octobre dernier, Monsanto a accusé Sofia Gatica de l’organisation des Mères de Ituzaingo et Eduardo Quispe, de l’Assemblée de Malvinas Argentinas, de « porter atteinte à la sécurité publique » en raison du blocage, tout en dénonçant de supposés « actes de violence contre le personnel » du chantier. En 2012, Sofia Gatica recevait le prix Goldman Environmental Prize pour son combat des mères argentines contre les pollutions agrochimiques affectant la santé des enfants. Les avocats de Monsanto accusent ces militants d’occuper illégalement le terrain, ce qui, selon le code pénal argentin pourrait leur valoir des peines de prison allant jusqu’à trois ans et de lourdes amendes au civil pour préjudices économiques.
Dernier rebondissement marquant une détérioration du conflits, le 28 novembre au matin, un groupe d’environ 60 « gros bras » s’est présenté sur le site pour saccager le camp. Les militants ont dénoncé la participation du délégué d’un syndicat de la construction (UOCRA), des engins de chantier et des camions étant par ailleurs immobilisés sur le site depuis plusieurs jours après une première tentative de déloger les occupants.
Un mouvement qui prend de l’ampleur
Deux enquêtes d’opinion révèlent que 63,2% des argentins sont contre l’installation de la multinationale dans la province et 66,8% soutiennent le mouvement de résistance des habitants. Trois universités nationales ont également dénoncé publiquement la légalité de l’installation de Monsanto. Les professeurs de droit de l’Université Catholique, celle de Rio Cuarto (UNRC) et celle de Cordoba ont souligné le fait que la construction ait été autorisée sans la réalisation préalable d’une évaluation d’impact environnemental ni consultation publique, deux dispositions pourtant obligatoires. Elles ont également rappelé l’existence d’un « principe de précaution » argentin, des mesures de protection devant être prises lorsque il y a des risques sur la santé publique et l’environnement.
Depuis, la grogne s’étend dans la province voisine de San Luis et reçoit un soutien grandissant dans la capitale. « Monsanto promeut un modèle d’agriculture industrielle, elle fait déboiser des milliers d’hectares pour y semer ses cultures transgéniques de maïs et de soja pour en tirer des graines, elle y fait régulièrement pulvériser des produits hautement dangereux pour la santé durant le cycle de culture, sans le consentement de notre communauté », a dénoncé l’Association Paysans de la Vallée Conlara, réunissant les familles rurales voisines de l’entreprise.
Pour les paysans argentins, « ce modèle n’a pas créé d’emplois, il ne produit pas d’aliment pour notre région et menace notre santé », dénonçant également les fumigations à proximité de leurs maisons, dont les effets terrifiants ont été démontrés par une enquête récente d’Associated Press. Au pays des soyeros tout puissant, tenant la presse et la politique, la population argentine a décidé d’affronter Monsanto sur le terrain, ils auront besoin de soutien !
Source : Dos meses de bloqueo, Dario Aranda, Pagina12, 23 novembre 2013.http://www.pagina12.com.ar/diario/sociedad/3-234192-2013-11-23.html
vvv
Bon, il faudrait un jour que nos politiques se posent enfin des questions au sujet de l'industrie pharmaceutique au lieu de se laisser acheter par elle pour qu'elle fasse n'importe quoi concernant notre santé, et là, je parle au niveau de la planète.
(source : wikistrike)
Jeudi 5 décembre 2013
Les vaccinés contre la coqueluche répandent la maladie
Traduit de l'anglais par Expovaccins
Les récents articles de presse impressionnants (1) de cette dernière semaine reconnaissent enfin ce que les épidémiologistes et les officiels de la Santé savaient depuis un bon bout de temps : les personnes qui sont vaccinées contre la coqueluche sont porteuses des bactéries et les répandent. (2) Elles sont responsables de la plupart des foyers.
Ces informations font que l'on pourrait se poser la question :
Faut-il tenir les personnes vaccinées contre la coqueluche responsables des épidémies ?
Si l'on jette un coup d'oeil aux articles scientifiques qui ont porté sur les dernières flambées de rougeole, on trouve des documents universitaires qui traitent d'une entité appelée « la paradoxe de la rougeole » (3). Il s'agit d'un paradoxe parce que ce sont surtout ceux qui ont été vaccinés qui ont contracté la maladie tandis que la plupart des non vaccinés sont restés indemnes.
En outre, la hausse des cas de zona qui se sont produits au cours de la dernière décenniesont dus au vaccin contre la varicelle (4, 5). Ce lien n'est pas contesté dans la littérature académique et a même été prédit par des épidémiologistes et biologistes mathématiciens. (6). Ce lien a également été confirmé par une autre étude. (7)
Si les enfants et les adultes vaccinés sont susceptibles de propager la maladie, allons-nous les tenir légalement responsables des épidémies ? Allons-nous imposer la « non vaccination » comme exigence pour fréquenter l'école publique ? Etant donné qu'il n'y a pas moyen de revenir en arrière une fois que la personne ou l'enfant a été vacciné, va-t-on exclure de l'école ces enfants vaccinés ?
Alors que les arguments ci-dessus semblent absurdes, Ils sont pourtant équivalents à ceux que Art Caplan, expert en bioéthique, continue d'avancer.
Caplan pense que les parents d'enfants non vaccinés devraient être tenus légalement responsables des foyers de la maladie.
Il convient de se rappeler que Caplan n'est pas un simple expert en bioéthique. En tant qu'expert en bioéthique, il a fait pas mal d'argent avec des interventions favorables à l'industrie.
Si vous vous informez sur les conflits d'intérêts directs d'Art Caplan, vous pourrez prendre connaissance que, pour lui, ces conflits d'intérêts peuvent parfaitement être gérés tout en permettant de produire un travail impartial. Art Caplan, comme son précédent employeur, l'Université de Pennsylvanie (Département de bioéthique) ont reçu des sommes importantes des principales firmes pharmaceutiques et le département de bioéthique de l'université de Pennsylvanie ayant trait aux vaccins a été massivement financé par les grands producteurs de vaccins.
En ce qui concerne les personnes qui ont été vaccinées par le DTC (Diphtérie, Tétanos Coqueluche acellulaire) et qui ont été colonisées par la bactérie de la coqueluche, il est intéressant de prendre en compte les points suivants :
a) Les enfants récemment vaccinés devaient être tenus à l'écart des patients atteints de cancer de peur qu'ils ne propagent le virus du vaccin.
b) Le vaccin oral contre la polio a été la cause de tous les cas de polio aux Etats-Unis depuis plusieurs décennies (8) jusqu'à ce que l'industrie trouve un autre vaccin pour le remplacer.
c) Les personnes qui reçoivent le vaccin nasal contre la grippe répandent le virus pendant plusieurs jours.
d) Le vaccin contre le rotavirus (9) est excrété dans les selles et peut provoquer la diarrhée chez d'autres enfants.
Les exemples repris ci-dessus ne constituent que quelques exemples de la manière dont les vaccinés récents peuvent répandre des pathogènes et donc propager des maladies.
Alors que les médias traditionnels sont en train de se réveiller aux réalités des vaccinations et des épidémies, allons-nous nous retourner contre ceux qui ont choisi de se faire vacciner et les considérer comme des parias ?
Je pense vraiment qu'en fonction de la relation bénéfices/risques, il faut laisser à chacun la liberté de choisir et non la laisser aux mains de ceux qui ont des conflits d'intérêts.
Références
1.http://thetimes-tribune.com/news/health-science/despite-vaccine-pertussis-spreads-1.1591349
2. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/20200027
3. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/8053748
4. http://www.greenmedinfo.com/blog/shingles-goes-epidemic-chicken-pox-vax-blame
5.http://www.greenmedinfo.com/search/gmi/blog%20pox%20cdc%20s%20vaccination%20agenda%20rise%20herpes%20zoster%20shingles
6. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/17879870
7. http://www.whale.to/vaccines/goldman.pdf
8. http://www.greenmedinfo.com/blog/polio-vaccines-now-1-cause-polio-paralysis
9. http://www.greenmedinfo.com/anti-therapeutic-action/vaccination-rotavirus
Source: http://www.greenmedinfo.com/blog/those-vaccinated-pertussis-vaccine-are-spreading-disea
Ils nous prennent vraiment pour de sacrés cons tous ces abrutis qui nous font croire que science signifie vérité.
(source : bon-coin-santé.com)
Cancer et guérison, une cure de détox contre les effets de la chimio ?
Quand le remède est pire que le mal…
La chimiothérapie est un moyen parmi bien d’autres de traiter le cancer, mais il faut passer par une détox complète de l’organisme pour minimiser les effets négatifs de la chimio…La chimio c’est quoi ?
La chimiothérapie consiste à administrer un ou plusieurs médicaments dont le rôle est de tuer les cellules cancéreuses. Parfois, elle est utilisée seule; parfois en association avec d’autres moyens thérapeutiques comme la chirurgie ou la radiothérapie. Contrairement aux rayons (radiothérapie) qui sont concentrés sur les parties malades, la chimio elle, passe dans tout le corps pour détruire d’éventuelles cellules malignes qui auraient migrées. Dans un cas comme dans l’autre, ces thérapies détruisent les cellules malignes, et les saines aussi !La chimiothérapie nous vient de la recherche sur les armes chimiques de la seconde guerre mondiale, elle a fait son apparition dans les années cinquante.
Ensuite fut découvert le gaz moutarde et autres produits chimiques dangereux du même genre qui pouvait réduire la croissance des tumeurs.
Cette fameuse découverte arrivait pile poil à un moment où la recherche piétinait dans ce domaine (ça n’a pas changé depuis). Le problème, évidemment, est que ces produits tuent autant de cellules saines que de cellules cancéreuses et, en particulier, les cellules à reproduction rapide, c’est-à-dire le sang. C’est ainsi que ce traitement est capable de mettre dans un état déplorable n’importe quelle personne en pleine santé.
Soigner avec du poison ?
L’utilisation des poisons mortels en médecine ne date pas d’hier.Dans son ouvrage Cancer: médecine traditionnelle et médecine alternative, Jane Heimlich rappelle que, tout au long du XIXe siècle, l’on a prescrit un remède a base de mercure appelée Calomel, et ceci pour soigner à peu près toutes les maladies. Ce traitement administré au long cours était souvent fatal. L’on recommandait 5 à 10 grains à prendre la nuit. Soit environ 320 à 640 mg de chlorate de mercure. Des études menées en 1984 précisèrent que 500 mg de ce sel pouvait entraîner la mort. Donc, pendant près d’un siècle, les médecins ont allègrement «exécuté» leurs malades par empoisonnement, sans trop se poser de questions.
Les choses n’ont guère changé depuis, la chimiothérapie et autres drogues homologuées ont juste pris le relais.
75% des médecins refusent la chimiothérapie pour eux-mêmes
Un grand manque de confiance parmi les médecins.Une fois les questionnaires étudiés, il en ressort que trois docteurs sur quatre (75 %) refusent toute chimiothérapie sur eux-mêmes en cas de cancer pour la simple et bonne raison de son inefficacité sur la maladie et de ses effets dévastateurs sur l’ensemble de l’organisme humain.
Tiens donc, 75% des médecins refuseraient la chimiothérapie ?
Donc 75% des médecins SAVENT que la chimiothérapie et la plupart des traitements allopathiques hyper-agressifs contre le cancer et promus par Big Pharma TUENT plus qu’ils ne guérissent.
Un ami médecin est entré un jour dans une salle où dix-huit personnes alitées se faisaient perfuser un cocktail chimio. Il fut pris à la gorge et resta aphone pendant deux jours. Il y a de quoi s’inquiéter pour le personnel soignant.
Une personne m’a raconté après avoir reçu une chimio que l’infirmière lui avait dit pendant la perf: «Il ne faut pas qu’une seule goutte du produit sorte de la seringue, car les vapeurs attaquent les bronches et cela laisserait une marque indélébile sur votre peau». Lorsque l’on pense que c’est cela qui est diffusé dans les veines, ça fait froid dans le dos !
Plus « cocasse » encore, un scoop du Figaro datant d’une dizaine d’années: Trois morts dans une salle d’opération parmi le personnel médical suite à l’ouverture de l’abdomen d’une patiente. Elle venait de recevoir une chimio, et des gaz très toxiques ont été libérés.
Le jackpot de la chimio pour les labos
La facture d’une seule séance de chimio «douce»: 2600 €uros.Mais selon le cocktail administré, il semblerait que la facture peut atteindre dans certains cas, plus de 6000 €uros !
Qui paie ? La Sécurité Sociale bien sûr, mais la Sécu, c’est le contribuable, donc c’est nous. Prenons comme exemple les chiffres français, soit en moyenne 20 séances multiplié par 60000 cancéreux chimiqués annuellement, ça nous donne une base moyenne de 4500 €uros, soit 90.000 €uros que rapporte chaque cancéreux, et cela pour un jackpot annuel de 5,4 milliards d’€uros !
Tout en sachant que le coût de fabrication certainement dérisoire de ce type de produits, qui à la base était prévus pour des objectifs militaire, l’on imagine aisément les gigantesques profits générés dans la distribution d’un tel produit et l’on comprend aussi que personne n’a vraiment intérêt à ce que le cancer soit éradiqué, sauf peut-être les malades eux-mêmes.
Un jour un haut responsable de grands laboratoires pharmaceutiques dont l’épouse a été guérie «illégalement» d’un cancer de la langue, à avoué à un de mes amis que depuis plus de 30 ans, ils avaient des «recommandations» pour n’orienter aucune recherche en ce qui concerne le cancer ! Ce n’est vraiment pas une surprise mais seulement une confirmation de nos certitudes.
Quelques avis de docteurs et scientifiques à propos de la chimiothérapie :
« La majorité des patients atteints de cancer dans ce pays meurent à cause de la chimiothérapie, qui ne soigne ni les cancers du sein, ni ceux du côlon ou des poumons. Cela été consigné depuis plus de dix ans. Néanmoins les docteurs continuent à utiliser la chimiothérapie pour combattre ces tumeurs. »
(Allen Lewin)
« Si je devais contracter le cancer, je ne recourrais jamais à un certain modèle thérapeutique pour soigner cette maladie. Les patients du cancer qui se tiennent éloignés de ces centres ont une certaine chance de s’en sortir. »
(Georges Mathé)
« Il n’y a aucune preuve que la chimiothérapie prolonge les attentes de survie. Et c’est le grand mensonge de cette thérapie, qu’il y a une corrélation entre la réduction des tumeurs et le prolongement de la vie du patient. »Selon les associations médicales, les effets secondaires dangereux des médicaments représenteraient aujourd’hui la 4 eme cause de mortalité après l’infarctus, le cancer et l’apoplexie.
(Philip Day)
Conclusion
A tous ceux et a toutes celles qui ont un proche, un parent ou un ami atteint d’un cancer, sachez que le Cancer se soigne, que des thérapies existent et elles datent de très longtemps et que la chimiothérapie, radiothérapie ont été et sont encore une des arnaques du corps médical de notre siècle. Etonnant tout de même que les pseudos cancérologues n’aient jamais voulu utiliser la méthode Gerson ou la thérapie du Dr Hamer pour soigner le Cancer. Il est regrettable que ces médecins soient méconnus alors qu’ils ont consacrés toute leur vie à soigner les malades.A lire également:
- Cancer : chimio ou pas chimio ?
- Traitement du cancer, rémission ou guérison ?
- Cancer, chimiothérapie la grande imposture enfin révélée
- Traitement naturel du cancer – Cure Breuss
- Cancer : Les dangers de la radiothérapie
- Autorisation de traitement du cancer
Bon, passons, pour une fois à une bonne nouvelle :
(source : Change.org)
Abandon des poursuites contre Emmanuel Giboulot, viticulteur Bio ayant refusé l'épandage de pesticides
"Aujourd'hui,
un viticulteur encourt 30 000 euros d'amende et 6 mois d'emprisonnement
pour avoir refuser de traiter, à titre préventif, sa propre production
avec des pesticides . Retour sur une affaire étonnante qui révèle
l'incompatibilité et l'incompréhension entre deux modes de production
agricole : le conventionnel et la biodynamie.
Juin 2013 : dans le cadre de la lutte contre un insecte vecteur d'une maladie de la vigne, la cicadelle (Scaphoideus titanus), agent vecteur de la flavescence dorée, un arrêté préfectoral impose "dans toutes les vignes en production ou non (...) une application unique d'un insecticide disposant d'une autorisation de mise sur le marché pour cet usage." Ceci sur "l'ensemble des vignobles de la Côte d'Or excepté ceux du Châtillonnais et de l'Auxois".
Emmanuel Giboulot, viticulteur engagé en biodynamie, un mode de culture relativement proche de l'Agriculture Biologique, exploite 10 ha de côtes-de-beaune et de hautes-côtes de nuits. Or, la biodynamie rejette catégoriquement l'épandage préventif de pesticides. C'est pourquoi, au début de l'été 2013, il refuse de traiter ses vignes contre la flavescence dorée, comme l'exige l'arrêté. Comme d'autres viticulteurs qui s'y opposent, il s'expose alors aux dispositions pénales prévues à l'article L 251-20 du code rural et de la pêche maritime, c'est à dire "six mois d'emprisonnement" et "30 000 euros d'amende", rien que ça.
Emmanuel Giboulot, exploitant bio, est alors contrôlé par la direction régionale de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt (Draaf), fin juillet et fait aujourd'hui l'objet d'une convocation devant le délégué du procureur de la République du tribunal d'instance de Beaune pour infraction au Code rural."(source notre-planete.info)
La comparution devant le tribunal de Beaune initialement prévue le 12 décembre a été reportée, mais pour combien de temps?
Nous demandons l'abandon pur et simple des charges retenues contre Emmanuel Giboulot.
Signez et partagez cette pétition avec le plus grand nombre, l'éthique ne doit pas se soustraire à l'Etat.
Merci pour votre attention.
Juin 2013 : dans le cadre de la lutte contre un insecte vecteur d'une maladie de la vigne, la cicadelle (Scaphoideus titanus), agent vecteur de la flavescence dorée, un arrêté préfectoral impose "dans toutes les vignes en production ou non (...) une application unique d'un insecticide disposant d'une autorisation de mise sur le marché pour cet usage." Ceci sur "l'ensemble des vignobles de la Côte d'Or excepté ceux du Châtillonnais et de l'Auxois".
Emmanuel Giboulot, viticulteur engagé en biodynamie, un mode de culture relativement proche de l'Agriculture Biologique, exploite 10 ha de côtes-de-beaune et de hautes-côtes de nuits. Or, la biodynamie rejette catégoriquement l'épandage préventif de pesticides. C'est pourquoi, au début de l'été 2013, il refuse de traiter ses vignes contre la flavescence dorée, comme l'exige l'arrêté. Comme d'autres viticulteurs qui s'y opposent, il s'expose alors aux dispositions pénales prévues à l'article L 251-20 du code rural et de la pêche maritime, c'est à dire "six mois d'emprisonnement" et "30 000 euros d'amende", rien que ça.
Emmanuel Giboulot, exploitant bio, est alors contrôlé par la direction régionale de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt (Draaf), fin juillet et fait aujourd'hui l'objet d'une convocation devant le délégué du procureur de la République du tribunal d'instance de Beaune pour infraction au Code rural."(source notre-planete.info)
La comparution devant le tribunal de Beaune initialement prévue le 12 décembre a été reportée, mais pour combien de temps?
Nous demandons l'abandon pur et simple des charges retenues contre Emmanuel Giboulot.
Signez et partagez cette pétition avec le plus grand nombre, l'éthique ne doit pas se soustraire à l'Etat.
Merci pour votre attention.
To:
Draaf Bourgogne, Direction régionale de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt de Bourgogne
Pascal MAILHOS, Préfet de la région Bourgogne et Côte d'Or
Délégué du procureur de la République du tribunal d'instance de Beaune, Tribunal d'instance de Beaune
Draaf Bourgogne, Direction régionale de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt de Bourgogne
Pascal MAILHOS, Préfet de la région Bourgogne et Côte d'Or
Délégué du procureur de la République du tribunal d'instance de Beaune, Tribunal d'instance de Beaune
Monsieur le délégué du procureur de la République du tribunal d'instance de Beaune.
Nous demandons l'abandon pur et simple des charges retenues contre Emmanuel Giboulot car celui-ci a agi dans le respect de l'esprit et du texte de la loi constitutionnelle n° 2005-205 du 1.03.2005 relative à la Charte de l'Environnement.
Il ne devrait encourir aucune poursuite mais être au contraire aidé de mieux que nous le pouvons.
A l'heure actuelle où tout pousse à favoriser la biodynamie et les cultures biologiques, comment ce fait-il que nous accordions encore du crédit au lobby?
Merci d'annuler les poursuites et d'allouer nos impôts à des causes plus nobles que celle-ci.
Nous demandons l'abandon pur et simple des charges retenues contre Emmanuel Giboulot car celui-ci a agi dans le respect de l'esprit et du texte de la loi constitutionnelle n° 2005-205 du 1.03.2005 relative à la Charte de l'Environnement.
Il ne devrait encourir aucune poursuite mais être au contraire aidé de mieux que nous le pouvons.
A l'heure actuelle où tout pousse à favoriser la biodynamie et les cultures biologiques, comment ce fait-il que nous accordions encore du crédit au lobby?
Merci d'annuler les poursuites et d'allouer nos impôts à des causes plus nobles que celle-ci.
Sincerely,
[Your name]
[Your name]
Mais, cet autre nouvelle qui n'est pas bonne : (pour ceux qui connaissent)
(source :PTB.be)
3 décembre 2013 16:07 |
Il y a : 3 jour(s)
| Thème: International, Espagne, Démocratie, Justice, Société
| Thème: International, Espagne, Démocratie, Justice, Société
Espagne :: Le maire de Marinaleda sous les verrous
Quatre dirigeants du syndicat des travailleurs andalous SAT ont été condamnés à sept mois de réclusion. Parmi eux, le charismatique maire de Marinaleda, Juan Manuel Sánchez Gordillo, qui est aussi élu au Parlement.
Le maire révolutionnaire de Marinaleda, connu chez nous suite à un reportage diffusé sur TerZake et une interview de L’Humanité publiée dans Solidaire est, pour reprendre les termes du quotidien britannique The Guardian, l’homme qui a transformé le petit village défavorisé de Marinaleda en « utopie communiste ». En 2012, le village connaissait un taux de chômage de 5 %, alors qu’à la même époque le reste de l’Espagne affichait un taux de 25 %.
La semaine dernière, la Cour suprême d’Andalousie a également condamné le secrétaire général du syndicat SAT, Diego Cañamero. Les deux hommes sont poursuivis pour avoir occupé le domaine Las Turquillas durant l’été 2012. Cette finca est une propriété publique, le ministère de la Défense n’utilise que 20 des 1 200 hectares de cette propriété pour un haras, le reste est laissé en friche. En 2010 déjà, même le parti de droite Partido Popular (PP) avait reproché que seules 25 personnes étaient employées sur cette propriété, alors qu’une gestion saine et efficace générerait au moins 800 emplois. L’Andalousie est l’une des régions les plus touchées par le chômage en Espagne, avec un taux de 35,9 % selon les derniers chiffres officiels.
« Nous avons un problème, et ce problème c’est le capitalisme », a déclaré le maire Sánchez Gordillo le 11 novembre dernier lors d’une assemblée à Grenade, à l’ouverture du procès. « Ce qu’il faut c’est une véritable lutte anticapitaliste, à la fois révolutionnaire et capable d’ébranler le système. » Sur les 54 membres du syndicat assignés à comparaître, quatre ont été condamnés à une peine, les cinquante autres ont été acquittés.
Le SAT est connu pour ses actions spectaculaires. L’an dernier, le syndicat a fait la Une des journaux espagnols pour avoir mené dans les supermarchés une action de confiscation symbolique et avoir redistribué les aliments aux familles démunies. A plusieurs reprises, le syndicat a occupé des terres agricoles à l’abandon pour réclamer leur redistribution aux paysans sans terre. Depuis mai 2012, le syndicat occupe le domaine Somontes à Cordoue et y a créé une coopérative qui cultive des fruits et des légumes revendus sur les marchés locaux des alentours.
Photographier des agents de police : interdit !
Le gouvernement espagnol et le parlement, dominé par une majorité absolue du Partido Popular (PP), ont décidé de durcir le Code pénal contre ce type d’actions en particulier, mais aussi contre les simples manifestations. Ils ont proposé l’insertion d’au moins 16 nouveaux délits dans le Code pénal pour réprimer la protestation sociale. Ainsi, photographier des agents de police lors d’une manifestation sera désormais passible d’une amende d’un demi-million d’euros. Participer à une manifestation non autorisée devant le Congrès ou tout autre bâtiment public sera puni d’une amende pouvant aller jusqu’à 600 000 euros, même si cette manifestation est pacifique.Avec ces nouvelles mesures, le gouvernement espagnol espère empêcher que d’autres manifestations comme celle du 25 septembre 2012 puissent avoir lieu. Pour rappel, ce jour-là, des milliers de personnes ont participé à un blocage symbolique du Congrès et réclamé la démission du gouvernement. L’intervention brutale de la police a été filmée par de nombreuses caméras de télévision et téléphones portables. Des images choquantes montrent les forces de l’ordre poursuivant des manifestants dans la gare Atocha et tirant sur eux des balles en caoutchouc à l’intérieur du bâtiment. Plusieurs plaintes ont été déposées, mais, plutôt que d’enquêter, le ministre de l’Intérieur, Jorge Fernández Díaz, a invité un inspecteur des forces de l’ordre à se pencher sur un durcissement du droit pénal.
A l’avenir, ce ne sont plus les brutalités des agents qui seront punies, mais les journalistes et les manifestants qui les photographient.
A l’avenir, toute manifestation sur un monument ou un immeuble public sera interdite. Greenpeace, connue pour ce genre d’actions spectaculaires, a déjà réagi. La semaine dernière, les activistes de l’ONG ont déployé sur l’immeuble de l’entreprise pétrolière Shell à Madrid une banderole de 315 m2 pour protester contre « la limitation du droit de protester pacifiquement ».
Et, pour continuer sur les mauvaises nouvelles, parlons ou reparlons de mosanto.
(source : agenceinfolibre.fr)
Argentine, la population se soulève contre la « méga-usine » de Monsanto (Via le blog Mediapart de Benjamin Sourice)
By Lisandro on déc 04, 2013 with Commentaires 0
Monsanto annonçait en juin 2012
la construction en Argentine de sa plus grande fabrique de semences de
maïs transgéniques (OGM) d’Amérique Latine, le pays déjà deuxième producteur
mondial d’OGM est en passe de devenir un producteur de semences GM bon
marché pour l’exportation. Sur le terrain, le bras de fer entre les
habitants et la firme devient des plus musclés.L’endroit choisi pour ce projet de « méga-fabrique » se nomme Malvinas Argentinas dans la proche banlieue de Cordoba, une ville entourée de soja GM et dont les habitations sont régulièrement soumises à des fumigations intempestives. Face au mutisme des autorités qui cautionnent le projet, des associations de défense de l’environnement, des organisations sociales, et des habitants bloquent désormais l’accès au chantier depuis fin septembre 2013.
Rapidement après l’annonce du projet, l’Assemblée des Habitants de Malvinas en Lutte pour la Vie s’est constituée à l’initiative de mères de famille et de résidents fatigués de subir cette pollution quotidienne. Les habitants ont vainement réclamé des informations à la municipalité et au gouvernement provincial.
En novembre 2012, l’Assemblée a commencé à exiger que la population de Malvinas Argentinas puisse se prononcer par référendum. Le maire Daniel Arzani et le gouverneur José Manuel de la Sota ont à nouveau refusé l’initiative. Les habitants exigent également le respect de la Loi Générale de défense de l’environnement qui oblige la réalisation d’une étude d’impact environnemental, mais faute d’avoir été réclamé par les autorités, Monsanto s’est affranchie sans difficulté de cette contrainte.
Occupation et résistance
Le 19 septembre 2013 un festival populaire, un « Printemps sans Monsanto », se tenait sur le site marquant le lancement d’une opération de blocage qui dure depuis deux mois. Depuis, les entreprises de construction avait retiré leurs machines et les ouvriers ne se rendaient plus sur le site. Mais face à la résistance qui s’installe, Monsanto cherche à intimider les leaders locaux et menace de traîner en justice les habitants participants à l’occupation.
Le 31 octobre dernier, Monsanto a accusé Sofia Gatica de l’organisation des Mères de Ituzaingo et Eduardo Quispe, de l’Assemblée de Malvinas Argentinas, de « porter atteinte à la sécurité publique » en raison du blocage, tout en dénonçant de supposés « actes de violence contre le personnel » du chantier. En 2012, Sofia Gatica recevait le prix Goldman Environmental Prize pour son combat des mères argentines contre les pollutions agrochimiques affectant la santé des enfants. Les avocats de Monsanto accusent ces militants d’occuper illégalement le terrain, ce qui, selon le code pénal argentin pourrait leur valoir des peines de prison allant jusqu’à trois ans et de lourdes amendes au civil pour préjudices économiques.
Dernier rebondissement marquant une détérioration du conflits, le 28 novembre au matin, un groupe d’environ 60 « gros bras » s’est présenté sur le site pour saccager le camp. Les militants ont dénoncé la participation du délégué d’un syndicat de la construction (UOCRA), des engins de chantier et des camions étant par ailleurs immobilisés sur le site depuis plusieurs jours après une première tentative de déloger les occupants.
Un mouvement qui prend de l’ampleur
Deux enquêtes d’opinion révèlent que 63,2% des argentins sont contre l’installation de la multinationale dans la province et 66,8% soutiennent le mouvement de résistance des habitants. Trois universités nationales ont également dénoncé publiquement la légalité de l’installation de Monsanto. Les professeurs de droit de l’Université Catholique, celle de Rio Cuarto (UNRC) et celle de Cordoba ont souligné le fait que la construction ait été autorisée sans la réalisation préalable d’une évaluation d’impact environnemental ni consultation publique, deux dispositions pourtant obligatoires. Elles ont également rappelé l’existence d’un « principe de précaution » argentin, des mesures de protection devant être prises lorsque il y a des risques sur la santé publique et l’environnement.
Depuis, la grogne s’étend dans la province voisine de San Luis et reçoit un soutien grandissant dans la capitale. « Monsanto promeut un modèle d’agriculture industrielle, elle fait déboiser des milliers d’hectares pour y semer ses cultures transgéniques de maïs et de soja pour en tirer des graines, elle y fait régulièrement pulvériser des produits hautement dangereux pour la santé durant le cycle de culture, sans le consentement de notre communauté », a dénoncé l’Association Paysans de la Vallée Conlara, réunissant les familles rurales voisines de l’entreprise.
Pour les paysans argentins, « ce modèle n’a pas créé d’emplois, il ne produit pas d’aliment pour notre région et menace notre santé », dénonçant également les fumigations à proximité de leurs maisons, dont les effets terrifiants ont été démontrés par une enquête récente d’Associated Press. Au pays des soyeros tout puissant, tenant la presse et la politique, la population argentine a décidé d’affronter Monsanto sur le terrain, ils auront besoin de soutien !
Source : Dos meses de bloqueo, Dario Aranda, Pagina12, 23 novembre 2013.http://www.pagina12.com.ar/diario/sociedad/3-234192-2013-11-23.html
vvv
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