Salut mes chers lecteurs, vous ne croyez pas à la dictature des multinationales, eh, bien, vous allez comprendre votre douleur quand l'état français deviendra leur gendarme !
Mes chers cinq lecteurs, de plus en plus de personnes ont conscience qu'il faut remettre le système à plat aux Etats-Unis, mais, auront-ils le temps et l'influence nécessaire pour le faire avant que la finance et les multinationales prennent définitivement le pouvoir sur les états ?
(source : les Moutons Enragés)
Et, dans la rubrique les socialistes français sont des menteurs et le président françois hollande nous prend pour des GROS CONS, voici :
(source : idem)
Et, dans la rubrique, cela n'arrivera pas en France, retour sur l'Islande :
(source : le Monde Europe)
Et, oui, mes chers lecteurs, nous avec l'Union Européenne, nos comptes en banque sont carrément mis à la disposition des banquiers au cas où ils frôlent la faillite frauduleuse.
Les dépôts seront garantis jusqu'à 100.000 euros. Sipa
Quant-à l'accord de libre échange entre les Etats-Unis et l'Europe, aucune organisation n'appelle les citoyens européens à descendre dans la rue. La morale de cette histoire, c'est qu'elles critiquent tout en laissant faire.
Et, c'est valable pour le Front de Gauche en France.
A bientôt.
René.
PS : (source : TV5 monde)
Mes chers cinq lecteurs, de plus en plus de personnes ont conscience qu'il faut remettre le système à plat aux Etats-Unis, mais, auront-ils le temps et l'influence nécessaire pour le faire avant que la finance et les multinationales prennent définitivement le pouvoir sur les états ?
(source : les Moutons Enragés)
Ron Paul declare : » Après 100 ans d’échec , il est temps de mettre fin à la Fed »
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Dans un silence médiatique de cathédrale, la majorité socialiste installe Big Brother à l’Elysée
Et, dans la rubrique, cela n'arrivera pas en France, retour sur l'Islande :
(source : le Monde Europe)
Cinq ans après la crise, l'Islande juge toujours ses ex-banquiers
Le Monde.fr avec AFP | • Mis à jour le
Cinq ans après avoir été balayée par une crise économique qui avait laissé le pays exsangue, l'Islande continue à juger les « Néo-Vikings » de la finance, des responsables du secteur financier accusés d'avoir mené le pays à la faillite. Trois anciens dirigeants de la banque Kaupthing – l'une des trois principales banques islandaises à avoir fait faillite en 2008 – ont été condamnés pour fraude, jeudi 12 décembre.
Les trois anciens banquiers ont été reconnus coupables par un tribunal de Reykjavik d'avoir enfreint leurs obligations de transparence et d'avoir manipulé le marché boursier. Ils avaient en effet caché qu'un investisseur qatari qui avait acheté 5,1 % de la banque en pleine crise financière l'avait fait avec des sommes qu'elle lui avait prêtées. A l'époque, l'arrivée de cet investisseur, alors que le système bancaire islandais était en pleine déliquescence, avait été saluée par Kaupthing comme un signe de solidité évident. Mais la banque avait fait faillite dès le mois suivant, emportée avec ses consœurs par la panique qu'avait déclenchée l'effondrement de la banque d'affaires américaine Lehman Brothers.
L'ancien directeur général, Hreidar Mar Sigurdsson, a été condamné à cinq ans et demi de prison, et l'ancien président, Sigurdur Einarsson, à cinq ans. L'ancien directeur de la filiale luxembourgeoise, Magnus Gumundsson, qui avait joué un rôle clé dans ce prêt, a été condamné à trois ans et demi d'emprisonnement. Une peine de trois ans de prison a également été prononcée contre un actionnaire important, Olafur Olafsson, qui avait donné son assentiment.
« PURGER » LE SECTEUR FINANCIER
Ce jugement est l'aboutissement du travail d'une commission mise en place en janvier 2009 qui cherche et traduit en justice ceux qui ont joué un rôle dans l'effondrement économique du pays. A la tête de cette commission, l'enquêteur Olafur Hauksson définissait son rôle dans un entretien au Monde.fr en 2012 « D'un côté, il s'agit d'enquêter sur toutes les suspicions de fraudes et délits commis avant 2009, de l'autre, nous engageons nous-mêmes des poursuites en justice contre les présumés coupables. » Une procédure unique au monde, qui a permis selon lui « de montrer à quel point le système bancaire qui avait été mis en place était à mille lieues de ce qu'on imaginait de lui. »
Lire notre reportage à Reykjavik sur la commission : Comment l'Islande traque ses "Néo-Vikings" de la finance, responsables de la crise
Dans ce pays de 320 000 habitants, l'idée du gouvernement qui avait mis en place cette commission d'enquête était de « purger » le secteur financier de l'île. Malgré un indéniable redémarrage économique — la croissance y a atteint 3 % sur les trois premiers trimestres 2013 — les Islandais restent profondément marqués par ce 6 octobre 2008, quand le ciel leur est tombé sur la tête. En direct à la télévision nationale, le premier ministre avait conclu ce jour-là son discours en appelant Dieu à « sauver l'Islande ». En moins d'un mois, les trois banques du pays, surendettées à hauteur de 800 % du produit intérieur brut, s'étaient déclarées en faillite, et la couronne s'effondrait sous les yeux médusés de ceux qui avaient cru au « miracle islandais ».
Et, oui, mes chers lecteurs, nous avec l'Union Européenne, nos comptes en banque sont carrément mis à la disposition des banquiers au cas où ils frôlent la faillite frauduleuse.
En cas de crise, les banques pourront prélever les dépôts des épargnants
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Les représentants de l'Union européenne ont décidé de mettre à contribution les épargnants à partir de 2016.
Après la ponction des épargnants chypriotes cette année et l'idée émise par le FMI d'une supertaxe de 10% sur le patrimoine, l'Europe vient d'entériner la participation des déposants au renflouement des banques en cas de crise grave.L'accord, scellé mercredi 11 décembre, est passé relativement inaperçu, alors qu'il pourrait être d'une importance capitale pour les épargnants.
Les Européens se sont mis d'accord sur une loi prévoyant des règles de renflouement interne des banques, ou "bail-in", afin d'éviter de ne faire participer que les Etats au sauvetage des établissements financiers.
"Grand pas franchi ce soir: accord #BRRD pour 28", a écrit sur son compte twitter le commissaire européen chargé des Services financiers, Michel Barnier, en référence à la directive sur le sauvetage des banques. "Contribuables ne seront plus premiers à payer pour erreurs des banques", a-t-il ajouté.
"C'est un pas fondamental vers la réalisation de l'union bancaire", a assuré Michel Barnier dans un communiqué.
Des représentants du Parlement européen, du Conseil qui représente les Etats, et de la Commission européenne se sont mis d'accord au cours d'un "trilogue" sur ce texte, qui s'appliquera aux 28 Etats membres.
Cette nouvelle directive s'articulera avec le Mécanisme unique européen de résolution des banques, qui fait toujours l'objet de difficiles négociations au niveau des ministres, et destiné lui à la seule zone euro. Les ministres des Finances doivent se retrouver mercredi prochain pour tenter de finaliser un accord sur ce sujet.
Dépôts garantis jusqu'à 100.000 euros
Selon la directive, lorsqu'une banque sera en difficulté, les autorités nationales pourront intervenir pour l'empêcher de sombrer. De source européenne, on a indiqué qu'une "recapitalisation préventive et des instruments publics de stabilisation" étaient prévus "sous de strictes conditions".
La recapitalisation ne concernera ainsi "que les banques solvables qui doivent être recapitalisées en cas de faiblesses identifiées par les tests de résistance".
Si une banque est proche de la faillite, le renflouement interne ou "bail-in" s'appliquera, par opposition au "bail-out" privilégié pendant la crise et qui faisait appel à l'argent public, creusant ainsi les déficits.
Les premiers à payer seront les actionnaires puis les créditeurs (autrement dit, notamment les épargnants qui disposent de fonds sur leurs comptes), qui devront couvrir au minimum 8% des pertes de la banque avant que l'on puisse faire appel à des fonds nationaux de résolution, abondés par le secteur bancaire.
Les dépôts seront garantis jusqu'à 100.000 euros. Au-dessus de cette somme, les personnes physiques et des petites et moyennes entreprises bénéficieront d'un traitement préférentiel par rapport aux autres créanciers.
Lors de la crise bancaire, pour rassurer les épargnants, l'UE avait relevé dans l'urgence cette limite de 20.000 à 50.000 euros, et elle était passée à 100.000 euros fin 2010.
Mécanisme national de garantie
Le 17 décembre, les représentants des Etats et le Parlement européen ont précisé les modalités de la garantie des dépôts bancaires. Dans un délai de 10 ans à partir de l'entrée en vigueur de ces nouvelles règles, chaque mécanisme national de garantie devra disposer d'un montant égal à 0,8% des dépôts couverts. Le délai pourra être allongé si la garantie doit être activée dans la période initiale de 10 ans.
Les banques y contribueront en fonction de leur profil de risque.
Quant aux déposants, ils recevront leur argent dans un délai de sept jours ouvrables après la faillite de la banque, contre 20 jours actuellement, même si des exceptions sont possibles jusqu'en 2024.
Les Etats auront 12 mois pour transposer cette directive dans leur législation nationale à partir de son adoption définitive, désormais imminente.
Entrée en vigueur en 2016
Les règles du "bail-in" entreront quant à elles en vigueur au 1er janvier 2016. La Commission avait d'abord prévu une application à partir de 2018, mais la Banque centrale européenne avait fait part de ses inquiétudes pour la période intermédiaire, craignant que le Mécanisme de résolution unique de la zone euro n'ait à régler le sort de certaines banques sans disposer de cet outil.
Jusqu'ici, ce sont les Etats, avec l'argent des contribuables, qui renflouaient les banques (un "bail out"). Ce renversement pose un certain nombre de questions, notamment sur la transparence de la gestion des banques pour les épargnants. Les informations disponibles pour les clients sont souvent très compliquées à décrypter pour juger de la santé financière de leur établissement bancaire. En outre, cela assure les banques que tout sera fait pour qu'elles ne fassent pas faillite, ce qui pourrait les inciter à être moins prudentes sur les marchés.
(Avec AFP)
Quant-à l'accord de libre échange entre les Etats-Unis et l'Europe, aucune organisation n'appelle les citoyens européens à descendre dans la rue. La morale de cette histoire, c'est qu'elles critiquent tout en laissant faire.
Et, c'est valable pour le Front de Gauche en France.
A bientôt.
René.
PS : (source : TV5 monde)
Accords de libre échange : les Etats de l'Union bientôt attaqués en justice ?
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