Salut aux indignés. Levez-vous et présentez-vous à toutes les élections locales, nationales, car, nos politiques nous mentent et nous vendent !
Allons, allons, mes chers cinq lecteurs, voici une nouvelle destination touristique faîte pour le repos des yeux.
(source : Midi Libre)
Allons, allons, mes chers cinq lecteurs, voici une nouvelle destination touristique faîte pour le repos des yeux.
(source : Midi Libre)
Hérault : Lavérune premier village de France à bouter la pub hors de sa commune
La nouvelle réglementation ouvre un boulevard à la publicité dans les villages de l'Agglo. La mairie riposte. Les anti applaudissent. L'association Paysages de France qui ferraille contre "la pollution visuelle" de la publicité, a salué l'initiative de la municipalité de Lavérune.
La mairie a pris un arrêté pour interdire la pub dans le cœur de village. En fait, la situation dans ce domaine a changé en 2012, quand un décret a étendu les règles en matière de publicité dans les grandes villes, à l'ensemble des communes d'une agglomération.
"Désormais il était possible d'implanter des panneaux publicitaires de 8 ou 12 m2 à Lavérune. Nous avons dû réagir car nous avions ce type de demandes. Ce serait une pollution visuelle importante dans le vieux village. Avec la Direction départementale des territoires et de la mer, nous avons vu qu'il était possible de prendre un arrêté municipal pour l'interdire", explique Roger Caizergues, maire de Lavérune.
"La publicité en France ne respecte pas les normes en vigueur"
Les textes en questions permettent de protéger les bâtiments architecturaux pittoresques, artistiques ou historiques qui, à Lavérune, sont donc désormais à l'abri de toutes publicités dans un périmètre de 100 m autour du bâtiment concerné. "Ce qui n'inclut pas les enseignes commerciales", tient à préciser le maire.
"Cette démarche exemplaire aura permis, en moins d'un mois, de protéger totalement le cœur du village de toute agression publicitaire. Renforçant l'attractivité touristique de la localité et la visibilité des commerces", se réjouit Jean-Paul Rebouillat, le représentant de Paysages de France pour le Languedoc-Roussillon. L'association se targue d'avoir gagné une soixantaine de procès devant les tribunaux administratifs contre plusieurs préfectures en France.
Dans l'Hérault la préfecture se distingue par sa bonne volonté
Les sentinelles de l'association pistent les publicités illégales qui ne respectent pas la réglementation et en demandent leur retrait.
"Ce sont les préfectures qui en dernier recours sont responsables de la non-application de la loi. On se heurte à des lenteurs administratives et des refus. Ce qui n'est pas le cas dans l'Hérault où la préfecture se distingue par sa bonne volonté, note Jean-Paul Rebouillat. La publicité en France ne respecte pas les normes en vigueur. Nos actions pour faire appliquer la loi prennent parfois des années. À Montpellier, nous avons signalé plusieurs cas et nous attendons la réponse."
En tout cas, à Lavérune, la question ne se pose plus."
Et dans le même style à San Francisco :
(source : Sooonsoonsoon.com)
AUJOURD'HUI...
TRANSFORMER LES ARBRES MUNICIPAUX EN DISTRIBUTEURS DE CERISES
19 novembre 2013
A San Francisco, les Guerrilla Grafters greffent des branches fruitières sur des arbres publics afin de transformer les trottoirs de la ville en verger ouvert à tous...
Cueillir une pomme en attendant le bus, déguster des cerises en sortant du travail... Pourquoi ces petits plaisirs seraient-ils réservés aux ruraux ?
Dans les grandes villes américaines, le rêve de voir l'espace urbain transformé en potager géant fait son chemin, comme on l'avait vu à Seattle. Et bien souvent, l'initiative vient des citadins eux-mêmes, davantage que des pouvoirs publics. A San Francisco par exemple, la municipalité a banni les arbres fruitiers des trottoirs de la ville afin de maintenir la propreté de l'espace urbain. Dommage. Alors, n'en déplaise aux autorités, une association mystérieuse,Guerrilla Grafters, a décidé de transformer les arbres publics en fruitiers productifs. Armés de tenailles et de ficelles, ils pratiquent l'art de la greffe : ils ajoutent des branches fruitières sur des arbres municipaux.L'opération est méticuleuse et un responsable local en suit les progrès. Sur leur site, vous trouverez le mode d'emploi du guerrillero vert – car bien sûr toutes les greffes ne sont pas biologiquement possibles. Un vandalisme largement toléré par la ville.
Et salué par la 13ème biennale internationale d'architecture de Venise, qui l'a présenté lors d'une exposition sur le bien commun... "
Et, pourtant, ils ne nous lâchent pas la grappe. A quand, des amandes conséquentes et décourageantes de la part de l'Europe ?
(source : Scott.net)
Comme si les fraudes n'existaient pas, la réglementation européenne autorise désormais toutes les dérives.
C'est une affaire dont la presse n'a pas fait ses choux gras. En décembre, la police italienne a démantelé un énorme trafic de faux produits bio. Les margoulins, soupçonnés d'être liés à la mafia, avaient trouvé la combine: acheter en Roumanie des céréales et des fruits secs bon marché, transformés en produits bio grâce à de faux documents, et revendus quatre fois plus cher à des grossistes qui n'y voyaient que du feu. Neuf pays européens, dont la France, ont profité de ces marchandises pleines de pesticides, dûment étiquetées « bio ».
Depuis cinq ans que durait le trafic, des milliers de tonnes de faux produits bio auraient ainsi été écoulées pour un paquet d'oseille, au moins 220 millions d'euros. Parmi les fraudeurs, cinq dirigeants italiens d'entreprises agroalimentaires et ça ne s'invente pas - deux responsables d'organismes de certification censés contrôler la filière bio...
Question : quelles quantités de céréales, pâtes alimentaires, farine de froment, raisins secs ou huile de tournesol faussement bio les consommateurs français ont-ils ingurgitées ? Huit mois après ce joli coup de filet, on n'en sait que pouic. Comme d'habitude, la Répression des fraudes, dont la mission est de traquer les tricheurs, est dans les choux. Incapable d'apporter la queue d'une précision. Au ministère de l'Agriculture, on parle de 7 000 tonnes importées en deux ans.
Ça la fiche mal quand on sait que 32 % du bio qui est dans notre assiette est importé. Même si les prix sur l'étiquette sont de 20 à 50 % plus élevés, les ventes de bio, chez nous, ont quadruplé en dix ans.
Pour ne pas tuer la poule aux œufs d'or - un marché annuel de 4 milliards - , les tenants français de l'agriculture biologique font valoir que leur filière est archi contrôlée.
« AB », ah bon ?
Au fait, comment ça marche, les contrôles du bio en France ? Neuf organismes certificateurs sont chargés de repérer les tricheurs parmi les 22 500 producteurs et 7 400 transformateurs qui arborent le fameux logo « AB ». Ces gendarmes du bio épluchent les dossiers de candidature et renouvellent, ou pas, les licences octroyées pour un an. On compterait chaque année une petite centaine de suspensions ou de retraits de licence. Dans sa chasse aux filous, la Répression des fraudes intervient en deuxième ligue, sur les étals. Ou plutôt sur le papier, parce qu'elle n'a pas les troupes suffisantes pour veiller au grain. D'ailleurs, quand on demande le nombre et le résultat des contrôles à la chef de cabinet du patron, responsable de la com', c'est silence radio.
Mais, qu'on ne s'y trompe pas, la vraie menace qui pèse sur le bio, ce n'est pas la fraude mais une entourloupe parfaitement légale, et même encouragée par l'Europe : le bio « industriel ». Un oxymore inventé par de puissantes coopératives agricoles liées aux géants de l'agroalimentaire.
Une nouvelle réglementation, pondue par Bruxelles, a rendu possible cette dérive. Quand vous achetez votre poulet bio, vous n'imaginez pas un instant qu'il ait pu être élevé dans un poulailler de 25 600 places. C'est pourtant ce qu'autorise, depuis 2009, le logo « AB » revu par la Commission européenne. Et, du côté des pondeuses bio, il n'existe aucune limite de taille pour les ateliers.
Privilège du bio, les poulets profitent toutefois, dès leur âge adulte, d'un parcours extérieur où ils peuvent s'ébattre en journée sur... 40 cm2 chacun. Mais la promiscuité leur tape sur les nerfs, et ils sont souvent « ébecqués » pour ne pas s'étriper. Enfin, le poulet bio a désormais droit, une fois par an, à des antibiotiques et, sans aucune limite, aux traitements antiparasitaires.
Poulet ou pigeon ?
Autrefois, la réglementation imposait qu'au moins 40 % du menu des volailles soit cultivé dans la ferme. Aujourd'hui, l'éleveur bio n'a plus à se décarcasser pour faire pousser lui-même blé ou maïs : il peut acheter toute la pitance à l'extérieur. Exit, le sacro-saint « lien au sol »qui garantissait la traçabilité et une transparence sur le contenu de la gamelle.
Tout cela permet de faire du poulet bio en système « intégré », pour le plus grand bonheur des monstres coopératifs qui ont investi le créneau. Comme Terrena (4 milliards de chiffre d'affaires annuel) ou Maïsadour (1,2 milliard), filiale du géant suisse de l'agrochimie Syngenta. Simple exécutant,l'éleveur bio se contente d'engraisser en quatre-vingt-un jours des volailles qui ne lui appartiennent pas, nourries avec des aliments fournis par la coopérative. Comme son cousin industriel, le poulet estampillé « AB » se goinfre désormais de soja importé, certes bio, mais qui peut contenir jusqu'à 0,9 % d'OGM sans perdre son label. Un aliment hypercalorique moins cher que le maïs ou le blé. Sauf qu'en s'approvisionnant à bas coût sur les marchés internationaux on n'y voit pas toujours plus clair sur la qualité du produit. Il y a quatre ans, Terrena s'est fait refourguer par les Chinois 300 tonnes de tourteaux de soja bio contaminé à la mélamine...
La qualité aux fraises
Le consommateur, lui, ne décèle aucune différence sur l'étiquette quand il achète son poulet bio. Le gallinacé élevé dans une ferme traditionnelle, où il picore ce qui pousse sur place, et la volaille produite en élevage intensif ont droit au même logo « AB ».
Avec les fruits et légumes bio, au moins, il ne devrait pas y avoir de mauvaises surprises. Eh bien, si ! Grâce à l'Europe, on peut produire hors-sol dans des serres géantes. La mode du bio a même gagné la province de Huelva, en Espagne, l'usine à fraises de l'Europe, avec 7 000 hectares de serres qui produisent toute l'année. « Un des plus gros maraîchers du coin, qui faisait de l'intensif, produit aujourd'hui des fraises bio en exploitant les mêmes immigrés et avec quasiment les mêmes techniques agricoles dans les mêmes serres », raconte Philippe Baqué, coauteur du décapant livre La bio entre business et projet de société. Au lieu de plonger les racines dans du gravier ou de la laine minérale, on utilise du sable, isolé du sol par une enveloppe en plastique, le tout irrigué au goutte-à-goutte. Et rebelote : aucune différence de logo entre une tomate bio cultivée en plein champ par un producteur local et une autre élevée hors-sol et hors saison.
C'est bio comme l'antique !
Mais, mes chers lecteurs, une plante saine peut vous aider, si, elles n'est pas imbibé de pesticides qui neutralise ses effets bénéfiques et par accumulation de molécules toxiques dans votre corps provoque d'autres maladies.
(source : Le Point.fr)
Oui, mes chers lecteurs, méfions-nous de l'industrie pharmaceutique qui nous transforme en clients éternels, de plus en plus dépendants.
(source : l'Union, l'Ardennais)
Sauf que, sauf que, mes chers lecteurs, les laboratoires pharmaceutiques défendent férocement leur droit à nous empoisonner.
(source : Rebellion, Claude Severac)
Jeudi, 24 Octobre 2013 00:17
L’exemple le plus récent de cette montée en douceur d’une « soft tyrannie » s’est produit à l’autre bout du monde, en Australie – jadis connue pour sa vision farouchement individualiste. C’est dans ce pays que le gouvernement travailliste socialiste dirigé par le Premier Ministre Kevin Rudd, veut forcer les parents à vacciner leurs enfants sous la menace de perdre un crédit d’impôt non négligeable.
Selon l’Australian Broadcasting Corporation News (ABC News) :
« …Rudd a annoncé que les parents qui choisissent de ne pas faire vacciner leurs enfants vont passer à côté de milliers de dollars qu’ils pourraient autrement recevoir du gouvernement.»
S’exprimant dimanche à l’hôpital Westmead à Sydney, M.Rudd a déclaré que « les parents qui ne feraient pas vacciner leurs enfants ne pourront recevoir le supplément de fin d’année du « Family Tax Benefit ».
Ce payement équivaut à 726 $ par enfant et par année. Cette somme est allouée après que les enfants aient été vaccinés à un, deux et cinq ans.
Ce payement équivaut à 726 $ par enfant et par année. Cette somme est allouée après que les enfants aient été vaccinés à un, deux et cinq ans.
Il faut vacciner parce qu’il s’agit d’une « science qui a fait ses preuves »Le rapport indique que, depuis l’année dernière, les parents qui avaient encore à faire vacciner leurs enfants, n’ont pas reçu la somme de fin d’année (pour laquelle ils avaient cependant cotisé (en tant que contribuables). Mais, poursuit ABC News, les parents qui se sont inscrits comme objecteurs de conscience ont cependant bien reçu la somme en question.
En vertu de la nouvelle politique du Parti Travailliste, les seules exceptions qui seront accordées seront celles qui sont fondées sur des motifs religieux ou médicaux.
Les fonctionnaires et les parlementaires du Parti du Travail précisent que leur politique de décapage des libertés vise à faire vacciner davantage d’enfants, pour « éviter que les enfants qui ne sont pas vaccinés ne contractent des maladies comme la coqueluche, la rougeole et qu’ils fassent courir des risques aux autres. » a précisé ABC News. En outre, selon les responsables Australiens de la santé, la science de la vaccination «ne peut être contestée» ( c'est-à-dire, jusqu’à ce qu’une vaccination tue ou handicape un enfant, comme ce fut le cas d’un vaccin contre la grippe qui a depuis été interdit) : voir ICIUn communiqué du gouvernement précise : « La vaccination est le moyen le plus sûr et le plus efficace pour les parents de protéger leurs enfants contre la maladie, et l’une des mesures de santé publique les plus importantes à notre disposition. »
Tanya Plibersek, Ministre Fédéral de la Santé, a déclaré à Sky News que la toute dernière menace du gouvernement va en fait augmenter les taux de vaccination.
« C’est l’une des façons les plus simples et les moins chères de maintenir la communauté en bonne santé. » a-t-elle précisé.
« Nous pensons que, chaque année, environ 3 millions de vies sont sauvées dans le monde grâce à la vaccination. » a-t-elle précisé. Nous sommes très heureux qu’en Australie, un si grand nombre de ces maladies aient pratiquement disparu, ce qui devrait quelque peu satisfaire le public. »
L’Association Médicale Australienne a aussi pesé de tout son poids. Le Dr Steve Hambleton a déclaré que les bénéfices de la vaccination l’emportaient de loin sur les risques.
« Le message fort, c’est que le gouvernement récompense les personnes qui font ce qu’il faut (la bonne chose) … [et] vaccinent complètement leurs enfants. » a précisé ABC News. «Si nous pouvons obtenir des taux de vaccinations supérieurs à 90%, nous allons pouvoir abolir des maladies comme la rougeole et nous pourrons nous attaquer à des maladies comme la coqueluche. »
Même la presse Australienne est biaisée. Le Daily Telegraph de Sydney « lu par des milliers d’électeurs dans les principaux centres de l’ouest de Sydney » a publié une campagne très critique à l’égard des parents qui choisissent de ne pas faire vacciner leurs enfants.
Même en Australie, tout est pour le Bien des enfants !
Mike Adams rédacteur en chef de Natural News n’est pas dupe de ces bénédictions «officielles » des vaccins. Il y a quelques années, il s’est ouvertement moqué de la « logique » erronée à propos du vaccin contre la grippe :
« Les Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies, de même que l’industrie du vaccin versent dans une logique apparemment contradictoire. « Nos vaccins fonctionnent si bien qu’ils offrent une immunité quasi-totale contre la grippe », prétendaient-ils. Et pourtant ils sont si peu efficaces qu’un an après, il faut se refaire vacciner, et revacciner chaque année.
C’est là le grand mensonge de l’industrie du vaccin : ce mensonge qui vous oblige à vous faire revacciner chaque année, souvent avec les mêmes souches qui ont servi à vous vacciner l’année précédente. Les vaccins pour l’hiver 2011, par exemple, ont été fabriqués avec les mêmes souches que les vaccins de 2010. »
Qui plus est, la menace du gouvernement Australien de refuser ces sommes aux contribuables est typique d’un autoritarisme inhérent à une mentalité anti-démocratique : faites ce qu’on vous dit ou bien nous allons vous punir.
Mais, passons à autre chose qui pourrait créer une nouvelle filière en France.
(source : L'Humanosphère)
Et, pour finir, parlons de notre santé.
(source : Docteur Philippe Beury)
A bientôt.
René.
Dans les grandes villes américaines, le rêve de voir l'espace urbain transformé en potager géant fait son chemin, comme on l'avait vu à Seattle. Et bien souvent, l'initiative vient des citadins eux-mêmes, davantage que des pouvoirs publics. A San Francisco par exemple, la municipalité a banni les arbres fruitiers des trottoirs de la ville afin de maintenir la propreté de l'espace urbain. Dommage. Alors, n'en déplaise aux autorités, une association mystérieuse,Guerrilla Grafters, a décidé de transformer les arbres publics en fruitiers productifs. Armés de tenailles et de ficelles, ils pratiquent l'art de la greffe : ils ajoutent des branches fruitières sur des arbres municipaux.L'opération est méticuleuse et un responsable local en suit les progrès. Sur leur site, vous trouverez le mode d'emploi du guerrillero vert – car bien sûr toutes les greffes ne sont pas biologiquement possibles. Un vandalisme largement toléré par la ville.
Et salué par la 13ème biennale internationale d'architecture de Venise, qui l'a présenté lors d'une exposition sur le bien commun... "
Et, pourtant, ils ne nous lâchent pas la grappe. A quand, des amandes conséquentes et décourageantes de la part de l'Europe ?
(source : Scott.net)
C'est une affaire dont la presse n'a pas fait ses choux gras. En décembre, la police italienne a démantelé un énorme trafic de faux produits bio. Les margoulins, soupçonnés d'être liés à la mafia, avaient trouvé la combine: acheter en Roumanie des céréales et des fruits secs bon marché, transformés en produits bio grâce à de faux documents, et revendus quatre fois plus cher à des grossistes qui n'y voyaient que du feu. Neuf pays européens, dont la France, ont profité de ces marchandises pleines de pesticides, dûment étiquetées « bio ».
Depuis cinq ans que durait le trafic, des milliers de tonnes de faux produits bio auraient ainsi été écoulées pour un paquet d'oseille, au moins 220 millions d'euros. Parmi les fraudeurs, cinq dirigeants italiens d'entreprises agroalimentaires et ça ne s'invente pas - deux responsables d'organismes de certification censés contrôler la filière bio...
Question : quelles quantités de céréales, pâtes alimentaires, farine de froment, raisins secs ou huile de tournesol faussement bio les consommateurs français ont-ils ingurgitées ? Huit mois après ce joli coup de filet, on n'en sait que pouic. Comme d'habitude, la Répression des fraudes, dont la mission est de traquer les tricheurs, est dans les choux. Incapable d'apporter la queue d'une précision. Au ministère de l'Agriculture, on parle de 7 000 tonnes importées en deux ans.
Ça la fiche mal quand on sait que 32 % du bio qui est dans notre assiette est importé. Même si les prix sur l'étiquette sont de 20 à 50 % plus élevés, les ventes de bio, chez nous, ont quadruplé en dix ans.
Pour ne pas tuer la poule aux œufs d'or - un marché annuel de 4 milliards - , les tenants français de l'agriculture biologique font valoir que leur filière est archi contrôlée.
« AB », ah bon ?
Au fait, comment ça marche, les contrôles du bio en France ? Neuf organismes certificateurs sont chargés de repérer les tricheurs parmi les 22 500 producteurs et 7 400 transformateurs qui arborent le fameux logo « AB ». Ces gendarmes du bio épluchent les dossiers de candidature et renouvellent, ou pas, les licences octroyées pour un an. On compterait chaque année une petite centaine de suspensions ou de retraits de licence. Dans sa chasse aux filous, la Répression des fraudes intervient en deuxième ligue, sur les étals. Ou plutôt sur le papier, parce qu'elle n'a pas les troupes suffisantes pour veiller au grain. D'ailleurs, quand on demande le nombre et le résultat des contrôles à la chef de cabinet du patron, responsable de la com', c'est silence radio.
Mais, qu'on ne s'y trompe pas, la vraie menace qui pèse sur le bio, ce n'est pas la fraude mais une entourloupe parfaitement légale, et même encouragée par l'Europe : le bio « industriel ». Un oxymore inventé par de puissantes coopératives agricoles liées aux géants de l'agroalimentaire.
Une nouvelle réglementation, pondue par Bruxelles, a rendu possible cette dérive. Quand vous achetez votre poulet bio, vous n'imaginez pas un instant qu'il ait pu être élevé dans un poulailler de 25 600 places. C'est pourtant ce qu'autorise, depuis 2009, le logo « AB » revu par la Commission européenne. Et, du côté des pondeuses bio, il n'existe aucune limite de taille pour les ateliers.
Privilège du bio, les poulets profitent toutefois, dès leur âge adulte, d'un parcours extérieur où ils peuvent s'ébattre en journée sur... 40 cm2 chacun. Mais la promiscuité leur tape sur les nerfs, et ils sont souvent « ébecqués » pour ne pas s'étriper. Enfin, le poulet bio a désormais droit, une fois par an, à des antibiotiques et, sans aucune limite, aux traitements antiparasitaires.
Poulet ou pigeon ?
Autrefois, la réglementation imposait qu'au moins 40 % du menu des volailles soit cultivé dans la ferme. Aujourd'hui, l'éleveur bio n'a plus à se décarcasser pour faire pousser lui-même blé ou maïs : il peut acheter toute la pitance à l'extérieur. Exit, le sacro-saint « lien au sol »qui garantissait la traçabilité et une transparence sur le contenu de la gamelle.
Tout cela permet de faire du poulet bio en système « intégré », pour le plus grand bonheur des monstres coopératifs qui ont investi le créneau. Comme Terrena (4 milliards de chiffre d'affaires annuel) ou Maïsadour (1,2 milliard), filiale du géant suisse de l'agrochimie Syngenta. Simple exécutant,l'éleveur bio se contente d'engraisser en quatre-vingt-un jours des volailles qui ne lui appartiennent pas, nourries avec des aliments fournis par la coopérative. Comme son cousin industriel, le poulet estampillé « AB » se goinfre désormais de soja importé, certes bio, mais qui peut contenir jusqu'à 0,9 % d'OGM sans perdre son label. Un aliment hypercalorique moins cher que le maïs ou le blé. Sauf qu'en s'approvisionnant à bas coût sur les marchés internationaux on n'y voit pas toujours plus clair sur la qualité du produit. Il y a quatre ans, Terrena s'est fait refourguer par les Chinois 300 tonnes de tourteaux de soja bio contaminé à la mélamine...
La qualité aux fraises
Le consommateur, lui, ne décèle aucune différence sur l'étiquette quand il achète son poulet bio. Le gallinacé élevé dans une ferme traditionnelle, où il picore ce qui pousse sur place, et la volaille produite en élevage intensif ont droit au même logo « AB ».
Avec les fruits et légumes bio, au moins, il ne devrait pas y avoir de mauvaises surprises. Eh bien, si ! Grâce à l'Europe, on peut produire hors-sol dans des serres géantes. La mode du bio a même gagné la province de Huelva, en Espagne, l'usine à fraises de l'Europe, avec 7 000 hectares de serres qui produisent toute l'année. « Un des plus gros maraîchers du coin, qui faisait de l'intensif, produit aujourd'hui des fraises bio en exploitant les mêmes immigrés et avec quasiment les mêmes techniques agricoles dans les mêmes serres », raconte Philippe Baqué, coauteur du décapant livre La bio entre business et projet de société. Au lieu de plonger les racines dans du gravier ou de la laine minérale, on utilise du sable, isolé du sol par une enveloppe en plastique, le tout irrigué au goutte-à-goutte. Et rebelote : aucune différence de logo entre une tomate bio cultivée en plein champ par un producteur local et une autre élevée hors-sol et hors saison.
C'est bio comme l'antique !
Mais, mes chers lecteurs, une plante saine peut vous aider, si, elles n'est pas imbibé de pesticides qui neutralise ses effets bénéfiques et par accumulation de molécules toxiques dans votre corps provoque d'autres maladies.
(source : Le Point.fr)
Publié le
Légumes, fruits, épices et racines de plantes pourraient constituer les futurs ingrédients sans effets secondaires des chimiothérapies du cancer du sein.
Par SOPHIE BARTCZAK
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Par Chloé Durand-ParentiLa méningite, une urgence absolue
Par Anne JeanblancSchrödinger : le nucléaire expliqué par un chat
Bientôt une chimiothérapie naturelle ? Une étude publiée dans leJournal of Cancer révèle qu'un cocktail de six super-substances végétales - légumes, fruits, épices et racines de plantes - a été capable de tuer 100 % des cellules de cancer du sein d'un échantillon, et cela, sans toxicité pour les cellules normales. Ces résultats laissent entrevoir des pistes prometteuses de nouveaux traitements sans effets secondaires. Le cancer du sein demeure une des principales causes de mortalité féminine dans le monde. Chaque année, 1,3 million de femmes découvrent qu'elles en sont atteintes, et plus de 450 000 en décèdent. Si le nombre de cancers du sein continue inexorablement d'augmenter, petit à petit, on parvient à mieux les soigner, dans les pays occidentaux du moins.
Ainsi, en France, grâce aux dépistages précoces et surtout aux nouveaux traitements de plus en plus adaptés à la tumeur, environ 80 % des femmes en guérissent. Néanmoins, comme le soulignent les chercheurs de cette étude américaine, les traitements actuels par chimiothérapie ou radiothérapie génèrent des effets secondaires souvent éprouvants et rencontrent parfois des résistances. "En effet, explique le Dr Raj, qui pilote cette étude, une des principales causes de la récidive du cancer du sein et de ses décès est un petit groupe de cellules souches cancéreuses qui se soustrait à la thérapie. Ces cellules, souvent multirésistantes aux médicaments, ont la capacité de générer de nouvelles tumeurs, aussi est-il essentiel d'élaborer de nouvelles approches plus efficaces et plus sûres du traitement et de la prévention du cancer du sein."
Éradication complète des cellules cancéreuses
L'équipe de chercheurs a voulu tester les propriétés de certaines substances végétales connues présentes dans des aliments tels que les brocolis, les raisins, les pommes, le tofu ou encore la racine de curcuma. De récentes études ont souligné les qualités antioxydantes, anti-inflammatoires ou anti-prolifératives de certains super-aliments, sans jamais démontrer une éradication complète des cellules cancéreuses. Après avoir commencé leurs expériences avec dix composés phytochimiques, le Dr Raj et son équipe ont dégagé une synergie de six super-substances : la curcumine du curcuma, une isoflavone de soja (la génistéine), l'indole-3-carbinol des crucifères (choux, brocolis...), la C-phycocyanine de la spiruline, le resvératrol du raisin et la quercétine, un flavonoïde des fruits et légumes et du thé.
Les six molécules ont donc été testées une par une sur des cellules cancéreuses, tandis qu'un autre test comparait leurs effets lorsqu'elles étaient regroupées en synergie dans un super-cocktail. Individuellement, les substances s'avèrent peu efficaces, mais, combinées, elles ont réussi à stopper la croissance des cellules cancéreuses à plus de 80 % après le 6e jour et à limiter leur migration. Enfin, un processus de mort cellulaire s'est installé, conduisant au final à la disparition de 100 % des cellules cancéreuses sans effet nocif pour les cellules saines. L'équipe de scientifiques a également noté que les métastases pouvaient être diminuées.
Alors qu'il pourrait y avoir 75 % de cancers en plus d'ici 2030 - surtout dans les pays pauvres -, ces premiers résultats constituent un bel espoir : ils montrent le potentiel de puissance des végétaux combinés entre eux dans la lutte et la prévention du cancer du sein. De nombreuses études seront néanmoins encore nécessaires pour donner lieu, un jour peut-être, à une chimiothérapie d'un nouveau genre, naturelle et sans effets secondaires.
Oui, mes chers lecteurs, méfions-nous de l'industrie pharmaceutique qui nous transforme en clients éternels, de plus en plus dépendants.
(source : l'Union, l'Ardennais)
Une mère et sa fille en croisade contre le Gardasil
PUBLIÉ LE 04/12/2013
Par
SOISSONS (02). Le vaccin contre le cancer du col de l’utérus fait l’objet d’une controverse depuis le dépôt d’une plainte visant son fabricant. Une famille Soissonnaise compte enclencher une démarche similaire.
" La plainte déposée récemment m’a redonné la niaque… Il faut que les gens sachent que ce vaccin fait prendre un risque ». Le produit désigné par Alice Meunier, résidant dans le Soissonnais, n’est autre que celui qui sous les feux des projecteurs la semaine passée : le Gardasil. Une plainte très médiatisée a été déposée fin novembre par Marie-Océane, une jeune femme de 18 ans auprès du parquet du tribunal de Bobigny (Seine-Saint-Denis), pour de graves effets secondaires liés, selon la victime, à ce vaccin contre le cancer du col de l’utérus. La fille d’Alice Meunier, Sarah, a également souffert d’une grave maladie après sa vaccination.
Sarah a 16 ans lorsqu’elle reçoit la première des trois injections de Gardasil. « Nous avions vu la publicité à la télévision. Se protéger contre le cancer du col de l’utérus paraissait rassurant. Nous en avons parlé à notre médecin qui nous a précisé que le vaccin est sur le marché depuis 2006, et nous a rassurés quant aux effets secondaires », raconte sa maman. Le 24 février 2010, la première dose du vaccin est administrée à Sarah.
Les choses vont prendre une autre tournure trois semaines après la fin du traitement, dans le courant du mois de septembre de la même année. Les ennuis de Sarah sont multiples : essoufflements, douleurs musculaires etc. Il lui devient difficile de se coiffer, impossible de courir après un bus. « Durant quinze jours, nous avons multiplié les consultations et les examens à l’hôpital de Soissons… Sarah était de plus en plus faible et fatiguée. On devenait fou », se souvient la maman. Finalement, l’adolescente sera admise dans un service spécialisé à Reims, où elle restera durant deux mois. Elle souffre d’une dermatopolymyosite, caractérisée par une inflammation et une dégénérescence des fibres constituant les muscles squelettiques. « Un traitement stabilise sa maladie, mais ne la guérit pas ». La jeune fille a d’ailleurs fait une rechute en début d’année.
L’intention
de déposer plainte
Pour Alice Meunier, le défaut d’information sur les effets secondaires du vaccin doit être dénoncé. « C’est une fois que votre fille est gravement malade qu’on finit par vous dire : tout vaccin peut déclencher une maladie auto-immune. En gros, que l’on a pris un risque pour rien. Et, dans le cas du Gardasil, il n’y avait pas d’avertissement à ce sujet sur la notice. »
Aujourd’hui, pour Alice et sa fille, c’est le début des démarches. En contact avec le cabinet de Maître Coubris, qui défend déjà Marie-Océane, elles préparent un dossier pour in finedéposer plainte, à leur tour, contre le fabricant. « La procédure est lourde car elle comporte plusieurs expertises. Mais il y a une brèche, on peut y arriver », commente Alice Meunier."
Sauf que, sauf que, mes chers lecteurs, les laboratoires pharmaceutiques défendent férocement leur droit à nous empoisonner.
(source : Rebellion, Claude Severac)
Australie: les avantages fiscaux bientôt supprimés pour les parents qui ne font pas vacciner leurs enfants
Jeudi, 24 Octobre 2013 00:17
Publié dans Info/désinfo
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Lentement, mais sûrement les grandes puissances de la démocratie sont en train de glisser vers le totalitarisme, tout en nous jurant que cette transition qui prend ses distances par rapport à la liberté, et à nos libertés est pour notre plus grand Bien.
L’exemple le plus récent de cette montée en douceur d’une « soft tyrannie » s’est produit à l’autre bout du monde, en Australie – jadis connue pour sa vision farouchement individualiste. C’est dans ce pays que le gouvernement travailliste socialiste dirigé par le Premier Ministre Kevin Rudd, veut forcer les parents à vacciner leurs enfants sous la menace de perdre un crédit d’impôt non négligeable.
Selon l’Australian Broadcasting Corporation News (ABC News) :
« …Rudd a annoncé que les parents qui choisissent de ne pas faire vacciner leurs enfants vont passer à côté de milliers de dollars qu’ils pourraient autrement recevoir du gouvernement.»
S’exprimant dimanche à l’hôpital Westmead à Sydney, M.Rudd a déclaré que « les parents qui ne feraient pas vacciner leurs enfants ne pourront recevoir le supplément de fin d’année du « Family Tax Benefit ».
Ce payement équivaut à 726 $ par enfant et par année. Cette somme est allouée après que les enfants aient été vaccinés à un, deux et cinq ans.
Ce payement équivaut à 726 $ par enfant et par année. Cette somme est allouée après que les enfants aient été vaccinés à un, deux et cinq ans.
Il faut vacciner parce qu’il s’agit d’une « science qui a fait ses preuves »Le rapport indique que, depuis l’année dernière, les parents qui avaient encore à faire vacciner leurs enfants, n’ont pas reçu la somme de fin d’année (pour laquelle ils avaient cependant cotisé (en tant que contribuables). Mais, poursuit ABC News, les parents qui se sont inscrits comme objecteurs de conscience ont cependant bien reçu la somme en question.
En vertu de la nouvelle politique du Parti Travailliste, les seules exceptions qui seront accordées seront celles qui sont fondées sur des motifs religieux ou médicaux.
Les fonctionnaires et les parlementaires du Parti du Travail précisent que leur politique de décapage des libertés vise à faire vacciner davantage d’enfants, pour « éviter que les enfants qui ne sont pas vaccinés ne contractent des maladies comme la coqueluche, la rougeole et qu’ils fassent courir des risques aux autres. » a précisé ABC News. En outre, selon les responsables Australiens de la santé, la science de la vaccination «ne peut être contestée» ( c'est-à-dire, jusqu’à ce qu’une vaccination tue ou handicape un enfant, comme ce fut le cas d’un vaccin contre la grippe qui a depuis été interdit) : voir ICIUn communiqué du gouvernement précise : « La vaccination est le moyen le plus sûr et le plus efficace pour les parents de protéger leurs enfants contre la maladie, et l’une des mesures de santé publique les plus importantes à notre disposition. »
Tanya Plibersek, Ministre Fédéral de la Santé, a déclaré à Sky News que la toute dernière menace du gouvernement va en fait augmenter les taux de vaccination.
« C’est l’une des façons les plus simples et les moins chères de maintenir la communauté en bonne santé. » a-t-elle précisé.
« Nous pensons que, chaque année, environ 3 millions de vies sont sauvées dans le monde grâce à la vaccination. » a-t-elle précisé. Nous sommes très heureux qu’en Australie, un si grand nombre de ces maladies aient pratiquement disparu, ce qui devrait quelque peu satisfaire le public. »
L’Association Médicale Australienne a aussi pesé de tout son poids. Le Dr Steve Hambleton a déclaré que les bénéfices de la vaccination l’emportaient de loin sur les risques.
« Le message fort, c’est que le gouvernement récompense les personnes qui font ce qu’il faut (la bonne chose) … [et] vaccinent complètement leurs enfants. » a précisé ABC News. «Si nous pouvons obtenir des taux de vaccinations supérieurs à 90%, nous allons pouvoir abolir des maladies comme la rougeole et nous pourrons nous attaquer à des maladies comme la coqueluche. »
Même la presse Australienne est biaisée. Le Daily Telegraph de Sydney « lu par des milliers d’électeurs dans les principaux centres de l’ouest de Sydney » a publié une campagne très critique à l’égard des parents qui choisissent de ne pas faire vacciner leurs enfants.
Même en Australie, tout est pour le Bien des enfants !
Mike Adams rédacteur en chef de Natural News n’est pas dupe de ces bénédictions «officielles » des vaccins. Il y a quelques années, il s’est ouvertement moqué de la « logique » erronée à propos du vaccin contre la grippe :
« Les Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies, de même que l’industrie du vaccin versent dans une logique apparemment contradictoire. « Nos vaccins fonctionnent si bien qu’ils offrent une immunité quasi-totale contre la grippe », prétendaient-ils. Et pourtant ils sont si peu efficaces qu’un an après, il faut se refaire vacciner, et revacciner chaque année.
C’est là le grand mensonge de l’industrie du vaccin : ce mensonge qui vous oblige à vous faire revacciner chaque année, souvent avec les mêmes souches qui ont servi à vous vacciner l’année précédente. Les vaccins pour l’hiver 2011, par exemple, ont été fabriqués avec les mêmes souches que les vaccins de 2010. »
Qui plus est, la menace du gouvernement Australien de refuser ces sommes aux contribuables est typique d’un autoritarisme inhérent à une mentalité anti-démocratique : faites ce qu’on vous dit ou bien nous allons vous punir.
Source(s) de l'article
- 1 - :http://www.initiativecitoyenne.be/article-australie-les-avantages-fiscaux-bientot-supprimes-pour-les-parents-qui-ne-font-pas-vacciner-leurs-en-120679191.html
- 2 - :http://www.naturalnews.com/z041729_tax_benefits_forced_medication_child_vaccination.htm
Mais, passons à autre chose qui pourrait créer une nouvelle filière en France.
(source : L'Humanosphère)
Débrouille – Orties : Quand j’étais petite, quelqu’un m’a raconté que mon grand-père se flagellait les jambes avec des orties pour réactiver sa circulation sanguine et soigner ses rhumatismes… hummm!
Je ne sais pas si cela pouvait fonctionner, bien que l’on sache que l’ortie peut aider à lutter contre l’arthrite, mais entre nous ça doit faire mal!
Par contre, les orties qui piquent sont utiles à confectionner bien des choses. Voici un lien pour la reconnaître, la cueillir sans se piquer, etc… >>> Clic Clic Clic
Explications et photos … Hop!
Très riches en fer et ne contenant pas de matière grasses… la soupe d’ortie est fort bien connue. Si vous y ajoutez quelques pommes de terre… elle est nourrissante. Mais il est aussi possible de réaliser des quiches, des sablés, etc…
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L’ortie régule la sécrétion de sébum, elle est utilisée contre les peaux grasses et les cheveux gras, les pellicules ainsi que l’acné. Elle est bénéfique au niveau des affections de la peau telles que l’eczéma et le psoriasis. Soit pour votre santé : l’ortie est votre amie!
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L’ortie peut servir de matière pour créer de l’art… Eh oui, on peut en faire de la laine, des cordes et de la soie… et donc des vêtements!
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Le purin d’orties contre les pucerons!
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Pour vos poules et votre bétail, l’ortie est appréciée… mais il faut la soumettre à dessiccation (l’empêcher de piquer)… pour cela IL SUFFIT de la cuire dans de l’eau bouillante…ou de la laisser sécher plus de 24 heures…
Et, pour finir, parlons de notre santé.
(source : Docteur Philippe Beury)
L’arthrose n’est pas causée par l’usure des cartilages.
mardi 8 janvier 2013, par
Un texte de Jean-Marc Dupuis duquel il n’y a rien à retrancher...
Dr Ph. Beury
Si vous avez peur d’avoir un jour de l’arthrose, vous avez raison. L’arthrose empoisonne la vie de la moitié des personnes de plus de 65 ans dans les pays industrialisés : c’est le problème articulaire le plus répandu et la cause principale de handicap chez les personnes âgées.
Si vous avez entre 45 et 64 ans, vous avez un risque de 30 %. (1)
Vu les ennuis et les douleurs que cause cette maladie, pendant des années ou des décennies, il semble indispensable de vous préoccuper dès maintenant de l’empêcher d’apparaître, surtout si vous avez une des prédispositions suivantes :
• excès de poids ;
• blessures aux articulations ;
• hérédité ;
• sexe (les femmes ont plus d’arthrose que les hommes) ;
• mauvais alignement des os (jambes en X ou jambes arquées).
• excès de poids ;
• blessures aux articulations ;
• hérédité ;
• sexe (les femmes ont plus d’arthrose que les hommes) ;
• mauvais alignement des os (jambes en X ou jambes arquées).
Alors voici ce que vous devez savoir sur l’arthrose :
L’arthrose n’est pas causée par l’usure du cartilage
On imagine souvent que l’arthrose est causée par l’usure du cartilage, au point de jonction entre les os. A force de frotter l’une contre l’autre, les deux surfaces de cartilage finiraient par s’éroder.
C’est une vision sympathique mais naïve. Voici comment les choses se passent réellement :
Le cartilage est une couche mince (quelques millimètres au plus dans les plus grosses articulations) qui recouvre le bout des os et qui joue le rôle de « pneu » de l’articulation. Sa surface ferme et élastique est très lisse. Le cartilage est de plus imbibé de synovie, le liquide articulaire, présent normalement en très petite quantité, et de consistance filante (comme du blanc d’oeuf). Cette synovie est si efficace comme lubrifiant, que le cartilage glisse plus facilement sur le cartilage adjacent qu’un patin sur la glace !
Lorsque vous avez de l’arthrose, votre cartilage s’amincit puis disparaît. Mais ce n’est pas à cause de l’usure.
Au contraire : le cartilage n’étant pas irrigué par des vaisseaux sanguins, sa seule façon de se procurer des nutriments pour se renouveler est que la synovie y pénètre et y circule, car c’est dans la synovie que se trouve la « nourriture » des cellules productrices de cartilage. Or, cela ne se produit que sous l’effet des pressions provoquées par les mouvements : compressé puis relâché, le cartilage, un peu à la manière d’une éponge, s’imprègne puis expulse la synovie, se chargeant au passage des précieux nutriments qu’elle contient.
Ainsi, plus vous bougez, plus vous utilisez vos articulations, mieux votre cartilage est irrigué et peut se renouveler ! C’est le miracle du cartilage, qui ne s’use que quand on ne l’utilise pas.
Ainsi, bien souvent, le sportif qui souffre d’arthrose accuse le sport qu’il a pu faire jeune alors que le vrai responsable est en fait la décennie d’inactivité récente.
Lorsque vous avez compris ça, vous avez une avance immense sur les autres personnes qui souffrent d’arthrose. Non seulement vous éviterez les erreurs les plus communes des personnes qui veulent se prémunir de l’arthrose, mais vous avez les outils pour suivre une vraie stratégie efficace contre l’arthrose, qui peut être aussi simple que de... faire le bon choix au supermarché.
Une nouvelle théorie sur les vraies causes de l’arthrose
Car vous allez voir, sur le sujet de l’arthrose comme sur tant d’autres, vos aliments peuvent avoir l’effet de poison, ou de médicament, selon les choix que vous ferez.
Selon le Dr Cheras, un professeur de médecine australien, l’arthrose est causée par la qualité de votre sang, exactement comme les maladies cardiovasculaires. Les études épidémiologiques (études sur le nombre de personnes touchées par des maladies) indiquent un lien entre les deux maladies. (2)
Une étude a montré que les personnes ayant de l’arthrose dans les articulations de la main avaient 40 % de risque en plus de mourir de maladie cardiovasculaire. (3) Une étude menée par le Professeur Cheras a montré que les facteurs de risque annonçant une maladie cardiovasculaires, en particulier les problèmes de coagulation et de fluidité du sang, annonçaient aussi (dans une moindre mesure) l’arthrose. (4)
Ce phénomène pourrait s’expliquer par le fait que l’extrémité des os, juste en-dessous du cartilage, sont irrigués par des capillaires (vaisseaux sanguins extrêmement fins). Selon une récente revue d’études, cela pourrait jouer un rôle clé dans le déclenchement et la progression de l’arthrose. (5)
En fait, l’arthrose ne serait pas causée par la destruction du cartilage, mais par la mort des cellules de l’os, à l’endroit du cartilage, due à une mauvaise irrigation sanguine. On appelle cette partie de l’os « os subchondral ». L’interruption de l’irrigation sanguine entraînerait une baisse des apports en nutriments des cellules osseuses. Après la mort cellulaire, l’os se résorberait, se fissurerait, et le cartilage délicatement posé dessus serait affaibli puis endommagé et détruit.
Cette hypothèse est d’autant plus intéressante qu’une nouvelle étude publiée au Royaume-Uni semble précisément aller dans ce sens :
Il s’agit d’une étude épidémiologique sur les jumeaux atteints d’arthrose. (6) Dans cette étude, la consommation de fruits (hors agrumes) et d’alliacées (ail, oignon, poireaux) a démontré un fort effet protecteur contre le développement d’arthrose dans l’os de la hanche. Au contraire, la consommation de frites et de pommes de terre sautées a été associée à un risque beaucoup plus élevé. Or, les alliacées (ail, oignon, poireau) améliorent la circulation sanguine, en particulier dans les vaisseaux les plus fins comme les capillaires. Ce serait par ce biais qu’ils protègeraient de l’arthrose.
Méfiez-vous de la « glycation »
Cette étude a également établi un autre lien intéressant concernant l’arthrose : il s’agit des effets de la « glycation » pour déclencher la dégénération du cartilage et l’inflammation dans l’articulation.
La « glycation » est le phénomène au cours duquel du glucose se lie de façon irrémédiable à des protéines constitutives de vos tissus, ce qui peut empêcher ces protéines de fonctionner normalement.
Les protéines « glyquées » se forment proportionnellement à la quantité de glucose dans vos tissus, qui elle-même dépend de la façon dont vous réagissez à l’insuline. Il s’en trouve aussi dans votre alimentation : c’est le « grillé » si délicieux des pommes de terre sautées, des frites, de la peau de poulet rôtie, des côtes d’agneau au barbecue...
C’est pourquoi ces modes de cuisson sont malheureusement peu recommandés si vous souhaitez vivre longtemps et surtout en bonne santé.
Cette théorie est appuyée par le fait qu’il existe une corrélation entre la gravité de l’arthrose et le niveau élevé de protéines glyquées dans le cartilage. (7)
En effet, les récepteurs de protéines glyquées déclenchent une augmentation de l’activité catabolique des cellules inflammatoires, et notamment la production de cytokines et d’enzymes dégradant la matrice du cartilage, qui est faite de fibres de collagène. (8) Un cycle d’inflammations se déclenche dans le corps, ce qui nuit fortement au cartilage, comme le savent toutes les personnes qui ont lu nos rapports détaillés sur l’arthrose.
Le meilleur régime pour prévenir l’arthrose
L’accumulation de protéines glyquées dans votre corps peut être fortement réduite si vous évitez déjà d’en manger, c’est évident. Les aliments grillés, rôtis, frits sont très mauvais de ce point de vue, en particulier lorsqu’il s’agit de noix de tous types (incluant les amandes, noisettes, noix de cajou...), les chips, les frites, les viandes et les œufs, les fromages et les huiles de cuisson.
Je sais, ce sont de mauvaises nouvelles, mais votre bien compréhensible tristesse sera peut-être atténuée par l’information suivante : faire mariner vos viandes dans le jus de citron ou le vinaigre avant de les griller réduit fortement la glycation. Et il existe aujourd’hui des techniques de cuisson à basse température qui permettent une cuisine délicieuses, comme par exemple le four à basse température.
J’ajouterais que la qualité déplorable et l’absence de goût navrante des fruits et légumes que l’on trouve actuellement dans le commerce (y compris les boutiques bios) est une raison de plus de ne pas faire surcuire ses aliments. On évite ainsi qu’il ne se transforment en bouillie insipide.
Evitez la glycation spontanée dans vos tissus
Vous aviez toutefois noté que votre corps produit malheureusement lui aussi des protéines glyquées, quand bien même vous n’en auriez pas dans votre alimentation. C’est vrai, mais souvenez-vous aussi que cette production est proportionnelle à la quantité de sucre que vous avez dans vos tissus.
Or, si vous avez beaucoup de sucre, c’est parce que vous mangez trop des nourritures qui se transforment trop rapidement en sucre. Et que, avec le temps, votre sensibilité à l’insuline a diminué, puisque, normalement, quand votre taux de sucre sanguin monte, votre pancréas fabrique une hormone, l’insuline, qui va « ouvrir » des petites portes dans vos cellules, qui vont absorber le glucose sanguin et ainsi, miraculeusement, faire baisser votre taux de sucre, et limiter la glycation.
Pour éviter de développer une résistance à l’insuline et ainsi réduire la formation endogène de protéines glyquées (endogène veut dire : à l’intérieur de votre corps, autrement dit produit dans vos tissus, et non issu de l’alimentation), il faut suivre une diète alimentaire à faible index glycémique (ce qui est tout un sujet en soi, mais vous pouvez aller faire un tour sur le site montignac.com ou lanutrition.fr pour tout savoir sur l’index glycémique).
Enfin, et c’est là aussi tout un sujet en soi, il existe des produits naturels qui vont ralentir votre vitesse d’absorption du sucre que vous mangez, et des plantes qui maintiennent une bonne sensibilité à l’insuline, comme le chardon-Marie, la Gymnema sylvestris, le ginseng coréen, ainsi que le Coleus forskohlii. Le résultat sera un meilleur contrôle de votre niveau d’insuline – et vous pourriez constater de fortes améliorations sur vos douleurs articulaires, parmi tous les bienfaits que vous en retirerez.
Pour conclure sur le chapitre des plantes, vous vous souvenez que l’effet protecteur des allicées (surtout l’ail) contre l’arthrose est probablement dû à leur effet sur la microcirculation sanguine.
Mais il existe de nombreux fruits qui ont également des bienfaits sur la circulation : ce sont les légumes riches en oligo-proanthocyanidines et en anthocyanines, tels que les raisins et les petits fruits rouges et noirs. D’autres plantes sont bénéfiques pour la microcirculation et pourraient contribuer à prévenir l’arthrose : la myrtille, les extraits d’écorce de pin, le Gingko biloba, et le Gotu kola (ou centella asiatique).
A votre santé !
Jean-Marc Dupuis
A bientôt.
René.
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