lundi 28 juillet 2008

"La vie, c'est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l'équilibre". Albert Einstein.

Salut à toutes les associations qui s'investissent pour aider l'autre. Votre combat est sans fin.

Bon, que dire aujourd'hui. Bof !
Les vacances arrivent, nos députés partent aussi. Ils vont nous lâcher au moins pendant le mois d'août. Le temps que nous comprenions bien ce qu'ils nous ont concocté sur la durée du travail et les acquis sociaux qui se sont fait la malle.
Quant-aux casernes, même à Tahiti, y'a mille militaires qui se cassent avec les fermetures de bases. Au niveau des territoires d'Outre-mer le dispositif se concentrera sur la Réunion, la Nouvelle Calédonie et la Guyanne.
Par contre sur le pouvoir d'achat, gageons que comme d'habitude, les commerçants vont augmenter leurs prix dans les zones touristiques.
Comme ça, à la rentrée, on aura encore moins de tunes. Et, n'oubliez pas pour ceux qui comme moi ne sont pas mensualisés, le dernier tiers provisionnel, c'est pour septembre.
Alors, vacances ou pas, le porte feuille restera sous haute surveillance ce mois d'août.
En attendant, y'a toujours des islamistes qui balancent des bombes un peu partout. Et, alors, y'a cinq milliards de gens qui ne connaissent pas Allah. Ils vont tous les tuer ?
De toute façon, la prochaine génération de human bomb qui va apparaître le fera au nom de l'écologie. Histoire de sauver la planète avant qu'il ne soit trop tard. Eux, ils seront un peu comme El Quaida. Partout, se lèveront des combattants sans qu'une organisation centrale ne se détache. Et, vu, que les états comme la Chine et les Etats-Unis ne se pressent pas pour réagir, un moment, cela va craindre sérieusement. Et, réveiller chez certains l'envie de se battre.
Notamment, au Japon quand ils vont se prendre des pluies acides en provenance de Chine.
Parce qu'entre-nous, les pluies acides en on parle plus beaucoup en ce moment et quand on va le faire, il sera un peu tard.
Alors, réagissons et réagissons vite !
Voilà, le message que je tenais à vous faire parvenir aujourd'hui. Même, si ce message est récurrent chez moi.
Sauf que, sauf que, si les conditions de la conjoncture continuent à se détériorer, le respect de l'environnement passera après cette difficulté qui est, "comment va-t-on finir le mois ?"
Et, sur ces bonnes paroles, je vous souhaite, bien le bonjour chez vous.
René.

Aucun commentaire: