Salut à ceux qui cherchent à s'informer. Cela ne suffit pas, il faut se mobiliser partout et dans toutes actions qui nous permettent de retrouver la main mise sur notre destion !
Dites-moi, mes chers cinq lecteurs, jusqu'à quand vont-ils attendre avant de comprendre que le nucléaire est un danger majeur pour les populations ?
Jusqu'au moment où en France un incident de centrale ira jusqu'à inonder le sud de l'Allemagne de poussière radio-active ?
Car, je vous signale que l'Allemagne a décidé après l'incident nucléaire majeur au Japon d'arrêter ses centrales nucléaires.
Sauf que les centrales françaises sont vieilles et mal entretenues, économies de coûts de production et dividendes aux actionnaires obligent.
Des incidents émaillent le fonctionnement des centrales françaises, mais, ils sont dissimulés pour la plupart. L'utilisation de personnels intérimaires n'est pas non plus un gage de sécurité.
Areva réduit ses coûts de fonctionnement, mais, cette réduction menace, non seulement la population française, mais, les populations limitrophes des autres pays.
Sans compter les centrales proches de la mer qui ont déversé en douce des eaux radioactives dans la mer sans jamais le signaler, notamment aux pêcheurs de la mer de la Manche qui nous font consommer leurs poissons.
Connaissant les courants dans cette Mer, même les pêcheurs anglais ont pu en profiter.
De telles attitudes de la part d'Areva et ce silence complice du gouvernement nous rappellent que de toute façon, tous les gouvernements nous ont livré au bon vouloir des industries les plus polluantes et aux places financières. Les plus polluantes parce qu'elles ne veulent pas dépenser un dollar pour l'être moins d'ailleurs, préférant sacrifier la santé du simple citoyen.
(source : ActuWiki)
Alors, dites-moi, mes chers lecteurs, pourquoi Areva, dont le gouvernement français est actionnaire n'a rien fait et a préféré pollué dans le silence ?
Serions-nous de la merde pour tous ces gens-là ?
Et, donc, pour nos gouvernants ?
Est-ce que les élections démocratiques ne seraient-elles plus qu'une vaste mascarade pour nous faire croire que nous avons encore notre mot à dire ?
De la Grèce, à l'Espagne en passant par le Portugal, en comptant la Russie, la Chine, les pays émergents, les multinationales qui nous ont offert la mondialisation pour mieux s'abattre sur la planète en prédateur sans foi ni loi a distribué des centaines de millions de dollars aux dirigeants de nos pays.
L'Inde va ou a autorisé la venue de la grande distribution. Au Mexique, elle fait disparaître les milliers de petits vendeurs de tapas de rue. En Inde, elle les renverra dans les bidonvilles, sans espoir.
En Argentine, avec l'accord de la présidente, Mosanto veut imposer ses graines en interdisant les graines traditionnelles utilisés par les paysans. Au Mexique, elle veut imposer sur des millions d'hectares ses graines OGM amenant la disparition programmée de la diversité des maïs mexicains.
Et, tout cela avec la complicité des Etats et grâce à l'ALENA, l'accord de libre échange entre les States, le Canada et le Mexique et qui se fait au détriment de la population mexicaine.
Les accords de libre échange, cette nouvelle forme de colonisation qui est proposée aux populations Européenne par les Etats-Unis et qui autorisera l'exploitation de gaz de schiste et les OGM et qui arrange les multinationales européennes.
Nous sommes face à une nouvelle forme d'esclavage que l'on dissimule sous les atours de la démocratie. Des sociétés comme Mosanto, après avoir corrompu les élus américains parviennent à faire voter des lois qui les protègent de toutes poursuites pénales ou judiciaires alors que même le président américain ne dispose pas d'une telle protection judiciaire.
Je vous le demande mes chers lecteurs : "Où allons-nous ?", "Où, nous amènent-ils ?"
Il est temps de se réveiller !
Il est temps de casser la dualité aux Etats-Unis entre les démocrates et les républicains, en France entre l'Ump et le parti socialiste !
Si, le vote est la dernière liberté qu'il nous reste, utilisons là pour présenter des candidats honnêtes contre ces partis malhonnêtes !
Si, nous ne le faisons pas maintenant, après, il sera trop tard et cela sera de "NOTRE" faute.
Réfléchissez-y, où nous irons directement vers des guerres civiles parce qu'ils auront imposé l'insupportable comme projet de vie sociale.
A bientôt.
René.
Et, n'oubliez pas ce qu'ils préparent.
(source : ActuWiki)
PS : (source l M'pep !"
Dites-moi, mes chers cinq lecteurs, jusqu'à quand vont-ils attendre avant de comprendre que le nucléaire est un danger majeur pour les populations ?
Jusqu'au moment où en France un incident de centrale ira jusqu'à inonder le sud de l'Allemagne de poussière radio-active ?
Car, je vous signale que l'Allemagne a décidé après l'incident nucléaire majeur au Japon d'arrêter ses centrales nucléaires.
Sauf que les centrales françaises sont vieilles et mal entretenues, économies de coûts de production et dividendes aux actionnaires obligent.
Des incidents émaillent le fonctionnement des centrales françaises, mais, ils sont dissimulés pour la plupart. L'utilisation de personnels intérimaires n'est pas non plus un gage de sécurité.
Areva réduit ses coûts de fonctionnement, mais, cette réduction menace, non seulement la population française, mais, les populations limitrophes des autres pays.
Sans compter les centrales proches de la mer qui ont déversé en douce des eaux radioactives dans la mer sans jamais le signaler, notamment aux pêcheurs de la mer de la Manche qui nous font consommer leurs poissons.
Connaissant les courants dans cette Mer, même les pêcheurs anglais ont pu en profiter.
De telles attitudes de la part d'Areva et ce silence complice du gouvernement nous rappellent que de toute façon, tous les gouvernements nous ont livré au bon vouloir des industries les plus polluantes et aux places financières. Les plus polluantes parce qu'elles ne veulent pas dépenser un dollar pour l'être moins d'ailleurs, préférant sacrifier la santé du simple citoyen.
(source : ActuWiki)
Les eaux de la Manche plus radioactives que celles de Fukushima, selon l’Association pour le Contrôle de la radioactivité
Lors d’un prélèvement en octobre 2012, l’Association ACRO a relevé une concentration de tritium anormalement élevée dans l’eau de mer dans la baie d’Ecalgrain, à proximité de l’usine AREVA de La Hague (Manche).
C’est l’ACRO, « l’Association pour le Contrôle de la Radioactivité de l’Ouest », un laboratoire indépendant d’analysede la radioactivité, qui a fait cette annonce spectaculaire : Il y a plus de tritium (hydrogène radioactif) dans les eaux de la Manche que dans les eaux du Pacifique à proximité de la centrale de Fukushima.
L’ACRO effectue « une surveillance citoyenne » de la radioactivité dans l’environnement depuis de longues années.
Elle effectue notamment des contrôles réguliers tout le long des côtes de la Manche afin de suivre l’impact des rejets en mer des installations nucléaires.
Elle effectue notamment des contrôles réguliers tout le long des côtes de la Manche afin de suivre l’impact des rejets en mer des installations nucléaires.
L’ACRO se base sur un prélèvement d’eau de mer effectué le 17 octobre 2012 dans la Baie d’Ecalgrain.
Une concentration record de tritium (isotope radioactif de l’hydrogène, qui est rejeté par les installations nucléaires) a été relevée : 110 Bq/L (becquerels par litre). Une concentration cinq fois supérieure à ce qui est relevé habituellement à cet endroit.
A titre de comparaison, à proximité de la centrale de Fukushima, on relève aujourd’hui des concentrations en tritium allant de 3 à 13 Bq/L.
Voir le reportage de Pierre-Marie Puaud et Cyril Duponchel (Intervenants : Antoine Bernollin, chargé d’études et Pierre Paris vice-président de l’ACRO)
Selon l’Association, on n’avait jamais vu une telle concentration dans la Manche : « En dix ans de surveillance mensuelle à Goury, de 1998 à 2007 (ou 120 mesures), l’IRSN (l’Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire) n’a JAMAIS mesuré de concentration supérieure à 33,3 Bq/L« , explique l’association.
Une concentration record de tritium (isotope radioactif de l’hydrogène, qui est rejeté par les installations nucléaires) a été relevée : 110 Bq/L (becquerels par litre). Une concentration cinq fois supérieure à ce qui est relevé habituellement à cet endroit.
A titre de comparaison, à proximité de la centrale de Fukushima, on relève aujourd’hui des concentrations en tritium allant de 3 à 13 Bq/L.
Voir le reportage de Pierre-Marie Puaud et Cyril Duponchel (Intervenants : Antoine Bernollin, chargé d’études et Pierre Paris vice-président de l’ACRO)
Selon l’Association, on n’avait jamais vu une telle concentration dans la Manche : « En dix ans de surveillance mensuelle à Goury, de 1998 à 2007 (ou 120 mesures), l’IRSN (l’Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire) n’a JAMAIS mesuré de concentration supérieure à 33,3 Bq/L« , explique l’association.
Selon l’ACRO, les relevés de l’exploitant nucléaire de la Hague ne mentionnent rien d’anormal le 17 octobre 2012.
Que s’est-il passé ? L’association a posé la question aux autorités et attend des réponses.
De son côté, l’Autorité de sûreté nucléaire a demandé des explications à Areva.
L’ARS qui précise qu’il n’y a pas de risque sanitaire.
Que s’est-il passé ? L’association a posé la question aux autorités et attend des réponses.
De son côté, l’Autorité de sûreté nucléaire a demandé des explications à Areva.
L’ARS qui précise qu’il n’y a pas de risque sanitaire.
Source : FR3 Basse-Normandie
Alors, dites-moi, mes chers lecteurs, pourquoi Areva, dont le gouvernement français est actionnaire n'a rien fait et a préféré pollué dans le silence ?
Serions-nous de la merde pour tous ces gens-là ?
Et, donc, pour nos gouvernants ?
Est-ce que les élections démocratiques ne seraient-elles plus qu'une vaste mascarade pour nous faire croire que nous avons encore notre mot à dire ?
De la Grèce, à l'Espagne en passant par le Portugal, en comptant la Russie, la Chine, les pays émergents, les multinationales qui nous ont offert la mondialisation pour mieux s'abattre sur la planète en prédateur sans foi ni loi a distribué des centaines de millions de dollars aux dirigeants de nos pays.
L'Inde va ou a autorisé la venue de la grande distribution. Au Mexique, elle fait disparaître les milliers de petits vendeurs de tapas de rue. En Inde, elle les renverra dans les bidonvilles, sans espoir.
En Argentine, avec l'accord de la présidente, Mosanto veut imposer ses graines en interdisant les graines traditionnelles utilisés par les paysans. Au Mexique, elle veut imposer sur des millions d'hectares ses graines OGM amenant la disparition programmée de la diversité des maïs mexicains.
Et, tout cela avec la complicité des Etats et grâce à l'ALENA, l'accord de libre échange entre les States, le Canada et le Mexique et qui se fait au détriment de la population mexicaine.
Les accords de libre échange, cette nouvelle forme de colonisation qui est proposée aux populations Européenne par les Etats-Unis et qui autorisera l'exploitation de gaz de schiste et les OGM et qui arrange les multinationales européennes.
Nous sommes face à une nouvelle forme d'esclavage que l'on dissimule sous les atours de la démocratie. Des sociétés comme Mosanto, après avoir corrompu les élus américains parviennent à faire voter des lois qui les protègent de toutes poursuites pénales ou judiciaires alors que même le président américain ne dispose pas d'une telle protection judiciaire.
Je vous le demande mes chers lecteurs : "Où allons-nous ?", "Où, nous amènent-ils ?"
Il est temps de se réveiller !
Il est temps de casser la dualité aux Etats-Unis entre les démocrates et les républicains, en France entre l'Ump et le parti socialiste !
Si, le vote est la dernière liberté qu'il nous reste, utilisons là pour présenter des candidats honnêtes contre ces partis malhonnêtes !
Si, nous ne le faisons pas maintenant, après, il sera trop tard et cela sera de "NOTRE" faute.
Réfléchissez-y, où nous irons directement vers des guerres civiles parce qu'ils auront imposé l'insupportable comme projet de vie sociale.
A bientôt.
René.
Et, n'oubliez pas ce qu'ils préparent.
(source : ActuWiki)
USA: Le sénat passe la loi de protection de Monsanto lui accordant l’immunité face à la justice
Dans le plus pur style de la fourberie des actions légales de Monsanto, le géant de la biotechnologie est maintenant virtuellement garanti de pouvoir planter sans encombre ses cultures OGM sans avoir plus à s’occupper du gouvernement américain et de ses cours de justice. Le Monsanto Protection Act, profondément enfoui dans la résolution sur le budget, a passé le sénat et maintenant il n’y a plus qu’un veto présidentiel pour l’empêcher d’être mis en application.
Si vous n’êtes pas familier avec ceci, La loi de protection de Monsanto est le nom donné à cette pièce législative qui fut insérée dans la loi budgétaire du Senate Continuing Resolution. Utilisant la dénomination trompeuse de « Farmer Assurance Provision », la section 735 de cette loi donne en fait à Monsanto une immunité contre les cours fédérales de justice concernant toute révision de quelque culture génétiquement modifiée que ce soit étant pensée être dangereuse. Sous cette section, les cours de justice ne pourront plus arrêter Monsanto de continuer à planter des OGM qui sont pensés être, même par le gouvernement, dangereux pour la santé ou l’environnement.
Le sénat passe la loi de protection de Monsanto malgré la protestation
C’est cette nuisance créée par le lobby, groupe de pression de Monsanto, qui a été déboutée dans des projets de loi précédents et ce grâce à la contestation à la fois de groupes de citoyens mais aussi d’organisations majeures. La dernière fois nous avions vu le Centre pour la Sécurité de l’Alimentation, la Coalition Nationale des Fermes Familiales, le syndicat américain des libertés civiles (ACLU), le Sierra Club et le syndicat des scientifiques concernés, qui tous s’étaient levés contre le projet de loi de protection de Monsanto inclus dans la loi du budget agricole de 2012.
Cette fois, il y a eu une bonne et rapide résistance et je pensais que cela aurait été suffisant, mais malheureusement, le sénat a agi si rapidement sur ce sujet et a pratiquement complètement ignoré le problème, qu’il a maintenant passé sous forme de loi malgré des milliers de personnes signant une pétition que je lie à mes articles précédents sur le sujet. La vieille pétition de Food and Democracy Now détaillait les effets priatiques de cette loi:
« Si cette loi est approuvée, le Monsanto Protection Act forcerait le ministère de l’agriculture des Etats-Unis d’autoriser la plantation continue de toute culture OGM actuellement sous révision légale par des cours de justice fédérales, donnant un accord tacite par des portes arrières à toute nouvelle culture OGM qui pourrait être dangereuse pour la santé humaine ou l’environnement ».
Ceci dit, il existe maintenant une nouvelle pétition disant à Obama d’aposer son veto sur cette loi. La réalité est que cette loi est déjà vue comme positive par la plupart des politiciens et ce fut là que les lobbyistes de Monsanto furent les plus trompeurs et les plus vils en incorporant leur additif (l’actuel Monsanto Protection Act de la loi). Ceci rend en effet le texte très peu enclin à être soumis à un veto, mais nous devons rappeler à Obama qu’il avait promis de faire étiqueter les OGM en 2007 lorsqu’il faisait campagne pour sa 1ère élection :
La voie vers une nouvelle ère d’activisme
Le simple fait est que cette loi ne sera probablement pas mise sous veto par Obama et que Monsanto va avoir ce qu’il veut. Ceci dit, ceci nous mène vers une ère d’activisme totalement nouvelle . Monsanto a décidé de pousser l’enveloppe d’une manière qui n’a aucun précédent jusqu’ici, luttant contre les cours de justice fédérales. Je m’attendais à voir une action légale presque simultanée qui ferait la une des journaux, menant encore plus de gens à être avertis de ce qu’il se passe vraiment avec cette entreprise et donc de ce qui attérit dans leurs assiettes.
Quelque fois, afin d’avoir une véritable révolution intellectuelle sur un sujet, les gens doivent voir exactement ce à quoi ils font face. Avec cette loi de Protection de Monsanto si évidemment arrogante, ceci est plus clair que jamais.
Traduit par Résistance 71 pour http://fr.sott.net
PS : (source l M'pep !"
La ministre finlandaise des Finances en personne, Madame Jutta Urpilainen, s'est fendue d'une annonce fracassante vendredi dernier, dans le quotidien financier Kauppalehti, qui, n'en doutons pas, sera occultée par la presse française.
« La Finlande ne s'accrochera pas à l'euro à n'importe quel prix et nous sommes prêts à tous les scénarios, y compris à abandonner la monnaie commune européenne [...] La responsabilité collective pour les dettes (...) et les risques d'autres pays n'est pas ce à quoi nous devons nous préparer. Nous sommes constructifs et nous voulons résoudre la crise, mais pas à n'importe quelles conditions ».
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La Finlande, qui est l'un des derniers pays de la zone euro à bénéficier d'une note de crédit triple A, entend se battre pour la conserver.