Salut les enfants du paradis. Le monde qui vous attend n'est pas joyeux, joyeux.
Mais, malgré tout peut-être un espoir concernant une maladie qui continue à faire des millions de morts à travers le monde. Une découverte faite par une équipe de chercheurs australiens concernant le paludisme pourrait peut-être changer la donne.
(source : les Nouvelles Calédoniennes)
"Un espoir de vaccin anti-paludisme
Une étude de deux ans, menée en Papouasie-Nouvelle-Guinée par une équipe de scientifiques australiens de Melbourne, a permis de faire une découverte encourageante en vue de l’élaboration d’un vaccin contre le paludisme.
Des scientifiques australiens pensent qu’une mutation observée dans la population de la Papouasie-Nouvelle-Guinée pourrait permettre de créer un vaccin contre le paludisme.
D’après les chercheurs de l’Institut Walter et Eliza Hall, 45 % de la population de la Papouasie-Nouvelle-Guinée porterait dans son sang une protéine mutante qui bloquerait une voie d’accès primordiale au parasite du paludisme. Toujours d’après ces mêmes chercheurs, ces personnes survivraient mieux aux attaques de ce fléau qui tue un enfant toutes les trente secondes.
Maintenant que les scientifiques ont identifié cette molécule, il devrait être bientôt possible de produire un médicament bloquant les voies d’accès de la maladie et un vaccin empêchant les parasites d’envahir les globules rouges. « Le principe du vaccin serait d’accélérer ce que le système immunitaire fait naturellement dans les régions où la malaria est endémique. Vous voyez des enfants souffrir de nombreuses crises de palud, et acquérir progressivement une réponse immunitaire. Ce que le vaccin chercherait à faire, c’est à aboutir à ce résultat par un processus beaucoup plus rapide plutôt que d’avoir un grand nombre de personnes perdant leur vie et de voir beaucoup de gens souffrir de la maladie avant qu’ils ne développent une immunité », explique le Dr. James Beeson, qui a participé aux travaux et qui rappelle que le processus pourrait prendre une dizaine d’années."
Bien, au moins tout n'est pas noir dans ce monde subissant le changement climatique. Finalement, les scientifiques avec leurs nouveautés technologiques ne font pas que plonger le monde vers un avenir sombre. Ils continuent à lutter pour sauver des vies.
Mais, en lisant un article d'un journal marocain et pour sauter du coq à l'âne, je m'aperçois que si l'huile d'olive est bonne pour la santés, elle peut provoquer des pollutions majeurs pour l'environnement. En tout cas, c'est ce que dis cette article d'un journal marocain et qui m'incite à me poser la question, "Est-ce que les unités de transformations de l'huile d'olive qui a tant de succès en France sont elles aussi source de pollution ?"
Et, si, oui, quelle est la réglementation et est-elle respectée dans l'hexagone ?
(source : Journaux marocains en ligne)
"Taza : la lutte contre la pollution générée par les huileries d'olives.
La lutte contre la pollution générée par les 35 huileries d'olives modernes et traditionnelles de la province de Taza a été examinée par le conseil provincial dans le cadre de sa session ordinaire au titre de 2010.
Le gouverneur de la province, M.Abdelghani Sebbar a insisté sur l'importance de doter les unités de trituration d'olives de systèmes de protection de l'environnement, faisant état de plaintes émises par des citoyens et des associations au sujet de la pollution des milieux naturels provoquée par les margines.
Le secrétaire général de la province, M. Najib Mounir, a, pour sa part, indiqué que les huileries d'olives, situées pour la plupart à proximité des cours d'eau, rejettent les résidus et les déchets dans des milieux naturels, ce qui présente des risques de pollution des eaux et constitue une menace pour la santé de la population.
Les unités de trituration ne respectent pas les clauses du cahier de charges libellées dans les autorisations d'exercer, a-t-il dit préconisant la conception d'une approche permettant aux propriétaires des huileries d'olives de prendre les mesures techniques appropriées pour traiter les margines et atténuer l'acuité de la pollution".
Et, pendant ce temps, la terre tremble en Algérie.
(source : El Watan)
"Son épicentre localisé au sud de Chéraga
Un séisme de 3,3 enregistré à Alger
Un séisme d’une magnitude de 3,3 sur l’échelle ouverte de Richter a été enregistré hier à 2h49 (heure locale), dans la wilaya d’Alger, indique le Centre de recherche en astronomie astrophysique et géophysique (Craag). L’épicentre de la secousse a été localisé à deux kilomètres au sud-est de Chéraga, wilaya d’Alger, précise le Craag".
Mais, il paraît que ce ne fut pas la seule secousse ces derniers temps.
"Bouira : Secousse tellurique d’une magnitude de 3,9 ressentie hier
Une secousse tellurique d’une magnitude de 3,9 sur l’échelle ouverte de Richter s’est produite vendredi dernier dans la région de Bouira (120 km au sud-est d’Alger), a indiqué le Centre algérien de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (CRAAG). L’épicentre de cette secousse, enregistrée à 14h45 (13h45 GMT), a été localisé à 13 km au sud-ouest de Lakhdaria et à 44 km de la ville de Bouira, a précisé le CRAAG qui ne fait état ni de victimes ni de dégâts. L’Algérie, dont le nord est situé dans une zone sismique, est régulièrement affectée par des tremblements de terre".
Et, pour finir, "Que font nos sociétés qui s'occupent à prix fort de l'eau que l'on boit en Algérie. Et, si, elles font mal là-bas, pourquoi feraient-elles mieux en France. A mon avis, un audit s'impose en France sur la qualité du service qu'elles sont supposés nous rendre à tarif astronomique avec le regard bienveillant de l'état.
"Société des Eaux de Marseille
Prestations médiocres à Constantine
Ce n’est pas la première fois que les responsables de la Société des eaux de Marseille (SEM) sont pointés du doigt.
Une mise en demeure avant résiliation du contrat, publiée hier dans plusieurs quotidiens nationaux, a fait l’effet d’une bombe dans les rangs de la société française, au point de susciter des réactions en chaîne. Il est vrai que les résultats tant attendus d’un partenariat loué en ce temps-là par les pouvoirs publics, y compris les autorités locales de la wilaya de Constantine, ne sont pas aujourd’hui perceptibles sur le terrain, selon des déclarations récentes de ces mêmes autorités. Fuites éternelles dans les conduites d’eau signalées dans plusieurs quartiers, coupures intempestives ayant provoqué le courroux des citoyens plusieurs mois après la mise en service du barrage de Beni Haroun, lenteurs dans les interventions sur terrain, sont autant de facteurs qui ont fait sortir le wali de ses gonds à diverses occasions".
Alors, je dis, messieurs les politiques, il serait temps de surveiller ces compagnies qui nous font payer à prix d'or, un peu trop, leurs services.
A mon avis, elles nous arnaquent avec la complicité de l'état !
Et, sur ce, je vous tire mon chapeau en vous souhaitant, bien le bonjour chez vous.
A bientôt.
René.
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