mardi 29 septembre 2009

Bon, aujourd'hui, très peu de mots.

D'abord pour dire que le G20, c'est des annonces pour faire du triomphalisme de la part du président français alors qu'il n'y a que si peu, sinon rien.
De toute façon, les gouvernements concernés ont laissé le temps aux financiers de se préparer à détourner une future réglementation restrictive.
Too bad !
Et, en ce qui concerne l'environnement, la réunion de Copenhague n'a rien donné. Et, ne pouvait de toute façon rien donner car les intérêts nationaux de chacun sont trop prégnants. Sans compter que c'est la course à l'industrialisation qui est en jeu et les pays émergents ne voient pas au nom de quoi les pays occidentaux les empêcheraient d'y parvenir.
Par contre, ce qui n'est pas dénoncé, c'est le danger que représente pour l'environnement la protection de l'environnement. Je veux pour exemple toujours les agro-carburants qui accélèrent la déforestation partout dans le monde.
Et, quant-à la taxe carbone, je lui préfère une taxe aux frontières de l'Europe pour les produits dont la chaîne de fabrication ne respecte pas les normes environnementales internationales.
Là, pour ce cas concret, je suis d'accord avec Sarkozy.
Mais, je ne suis pas d'accord pour frapper aveuglément au nom du sauvetage de la planète tous les revenus. Et, en cela, je condamne tous les chantres de la taxe carbone. Pour moi, ils ont été au plus facile, respectant en cela une vision droitière de la lutte contre le changement climatique, taxer plus les petits que les nantis. Car, au final, il s'agira de cela.
Alors, tous les grands, tous les beaux discours, tout ça, pour moi, c'est du baratin !
Et, si, je dis, faites en sorte de conserver votre libre arbitre contre des médias plus ou moins à la solde d'un homme, je dis plus, faites en sorte de garder votre libre arbitre contre une pensée qui s'affirme de plus en plus comme une pensée totalitaire, "la lutte contre le changement climatique".
Oui, pour lutter contre un tel changement, mais, non, pour que ce soit toujours les mêmes qui paient alors que le gouvernement français s'évertue déjà à nous réduire notre pouvoir d'achat.
Ou alors, je dis, Sarko, écologistes, même combat.
Et, sur, grande pensée profonde, mais, pas totalitaire, je vous salue bien bas et vous souhaite de bien sélectionner vos déchets et de vérifier si ils vont dans la même benne à ordures, au cas, où ils nous prennent pour des cons.
A bientôt.
René.

lundi 21 septembre 2009

Salut ces messieurs du G20. Sarkozy va vous utiliser pour sa propagande personnelle.

Eh, oui, un grand raout nous attend. Tous les chefs de gouvernements vont venir se gargariser de tout ce qu'il ne font pas. Chacun va chercher à faire de la récupération en direction du pays d'origine.
Ainsi, notre grand, monumental penseur de président va occire les excès de la finance internationale. Gageons qu'il n'obtiendra que des promesses de gascon.
Bien sûr, il va faire du rentre dedans comme d'habitude.
Bien sûr, il va tenter de nous faire croire qu'il a réussi à en imposer.
Bien sûr, il va nous faire croire qu'il a réussi à obliger les chefs d'état à prendre des décisions.
Et, bien sûr, tout cela ne sera que baratin.
Mais, nous y sommes habitués depuis le temps.
Et, comme les principales places financières se trouvent à Londre et à New york et que ni le gouvernement anglais, ni le gouvernement américain ne veulent imposer des règles coercitives, il n'y aura aucune décision essentielle de prise.
Mais, la messe ne sera pas que pour les fous.
Nous serons là pour constater que la marge des états est réduite face à la puissance politique, économique des requins de la finance internationale.
Face à ce libéralisme qui reste la constante de notre président.
Face à ce déni de l'être humain qui crée des situations comme à France Telecom où 23 salariés se sont suicidés.
Et, d'ailleurs pour ces 23 meurtres par procuration, aucun coupable n'est désigné.
23 morts et pas de responsable.
Pourtant, dans la loi française, le harcèlement moral est interdit et passible d'une condamnation.
Là, il y a eu 23 morts et pas un coupable. Pas un procès !
Mais, que fait l'inspection du travail. N'est-ce pas son rôle de mettre son nez dans de telles affaires ?
L'inspection du travail n'est-elle pas là pour......protéger les salariés.
Et, pourquoi les syndicats ne déposent-ils pas une plainte, eux qui parlent beaucoup des conditions de plus en plus déplorables du travail ?
Oui, pourquoi, les responsables de France Telécom ne seraient-ils pas condamnés ?
Personne ne fait rien et on compte les morts.
Il est vrai que dans la société sarkozystes, seuls les puissants ont droit à l'attention de l'état. Les petits, eux n'ont qu'à se suicider parce qu'ils n'ont pas été à la hauteur d'une stratégie de résultat.
Cette fameuse politique de résultat si cher à Sarkozy.
Cette fameuse stratégie qui au final élimine les plus faibles.
Qu'en pensez-vous mes trois chers lecteurs ?
En tout cas, si quelqu'un doit être heureux dans notre beau pays de France, c'est les scientologues qui ont évité la dissolution.

"Qui, des députés ou des juristes du ministère de la justice, a supprimé la disposition numéro1 de l'article131-39 qui consacre la dissolution de la personne morale condamnée pour escroquerie, permettant ainsi à l'Eglise de scientologie d'échapper à une peine qui l'aurait définitivement contraint de cesser ses activités en France? Qui a tenu la plume? Le texte en question émane de la commission des lois de l'assemblée".
Source, le monde sur le net.

En tout cas, personne ne me fera croire qu'il n'y a pas eu "complot". Les scientologues ont des juristes qu'ils payent pour trouver des solutions à des situations envisageables. Pour eux, c'est comme le joueur d'échec, il faut prévoir quinze coups à l'avance.
Sauf, qu'à l'assemblée, personne n'est coupable et tout le monde se protège.
Qu'elle est belle la France du président Sarkozy qui n'oublions pas a reçu Tom Cruse, la deuxième tête chercheuse de la scientologie au Etats-Unis.
C'est toujours la même chose, les big boss sont toujours protégés. Et, en France, il faut le reconnaître, la scientologie est une puissance ténébreuse.
Bon, pour aujourd'hui, ma verve s'éteint et en fait, je dois reprendre le turbin.
Alors, je vous dis à bientôt.
René.

vendredi 18 septembre 2009

"On est plus le fils de son époque que le fils de son père". Proverbe Sénégalais. A méditer par les parents qui ne comprennent plus leurs enfants.

Salut les internautes, méfiez-vous, Big Brother vous mate.

Pour commencer, je reviens sur le papier des Nouvelles Calédoniennes d'hier. Il s'agissait des chinois de Nouvelle Zélande qui s'opposent à la venue du Dalaï Lama.
A part, influencer la politique étrangère du pays d'accueil, cela ne signifie-til pas que Pékin a repris le contrôle de la diaspora chinoise dans le monde ?
Est-ce un bien, est-ce un mal ?
Bien malin qui pourra le dire.
En attendant que nous puissions répondre à cette question, le Brésil et la Banque Mondial se mobilisent pour la préservation de l'environnement. (Un article trouver sur le net)

"Un prêt de la Banque mondiale a été approuvé au début du mois de mars 2009 en faveur du financement d’actions de politique de protection de l’environnement au Brésil.

Ce prêt, d’un montant de 1,3 milliard de dollars, souligne la détermination du gouvernement brésilien de prendre à bras le corps les problèmes liés à l’environnement, estime la Banque mondiale, qui précise que, malgré la crise, il souhaite promouvoir des politiques qui stimulent la croissance économique tout en favorisant un développement durable.

Ce nouveau projet s’inscrit dans le cadre du partenariat actif et polyvalent entre la Banque mondiale et le Brésil en faveur de l’environnement, qui prévoit aussi bien des travaux d’analyse que des actions multisectorielles intégrées et la mise en place de projets. Le développement et les objectifs de cette nouvelle initiative pourraient servir d’exemple à d’autres pays confrontés à des défis similaires.

Le Brésil est une superpuissance environnementale : Rares sont les pays où l’écosystème constitue un facteur aussi essentiel au développement et au bien-être de la population. En effet, le Brésil abrite un tiers des forêts tropicales humides de la planète, le plus grand réservoir naturel d’eau douce (20 % des réserves mondiales) ainsi qu’une savane recelant la plus importante biodiversité du monde. Une part importante de l’économie brésilienne est tributaire des ressources naturelles, qui sont utilisées comme intrants dans les activités de production.

Cependant, le Brésil doit relever d’importants défis s’il veut renforcer l’exploitation durable de ses ressources naturelles. Au cours des 30 dernières années, le rythme de la déforestation a été de 19 000 km2 par an. Cette situation préoccupante est le résultat de pressions économiques, de pratiques agricoles peu respectueuses de l’environnement, de droits de propriété mal définis et d’une mauvaise application de la réglementation. La déforestation nuit au climat, accentue l’érosion des sols et menace la biodiversité. Le déboisement et les changements intervenant au niveau de l’utilisation des sols sont à l’origine de 70 % des émissions de CO2 du pays.

Toutefois, au cours des dernières années, le Brésil a considérablement amélioré sa gestion environnementale au niveau national, des États et local, en intégrant les préoccupations environnementales aux politiques sociales et économiques, estime la Banque mondiale. Le programme financé par la Banque mondiale permettra d’assurer que ces initiatives écologiques et ces instruments économiques fassent partie intégrante de l’ensemble des actions menées par le gouvernement".

Mais, si tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes au Brésil, alors pourquoi Marina Silva, "l'ancienne ministre de l'Environnement du président Lula da Silva a adhéré ce dimanche au Parti vert après avoir rompu avec le Parti des travailleurs dont elle était l'un des piliers (...) Fervente défenseur de la forêt amazonienne, Marina Silva pourrait être une candidate de poids à l'élection présidentielle d'octobre 2010 si elle décidait de se lancer dans la bataille".

Lors d'un meeting avec les verts, " Occupant l´estrade durant une demi-heure, Marina Silva a d´abord avoué, au bord des larmes, qu´il lui avait été difficile d´abandonner le Parti des travailleurs au bout de 30 ans. Mais elle a à nouveau critiqué le modèle de développement gouvernemental, mené au détriment de la nature, selon elle".
Annie Gasnier, RFI,31/08/2009

Donc, donc, le président Lula n'est peut-être pas si performant que ça concernant la protection de l'environnement. Notamment lorsqu'il pousse les propriétaires fonciers à accentuer la culture de la canne à sucre destinée à fabriquer l'agro-carburant.

"Depuis près de trente ans, le Mouvement des paysans Sans Terre (MST) au Brésil mène une lutte acharnée contre une injustice fondamentale que traduisent de manière laconique ces statistiques : 1% des propriétaires ruraux disposent de 46% des terres. Ces chiffres sont en corrélation directe avec la pauvreté endémique qui frappe 29% de la population de ce pays. La réforme agraire constitue, aux yeux du MST, un passage obligé pour venir à bout du fléau de la faim menaçant quotidiennement 52 millions de personnes. Mais le combat que mène ce mouvement paysan s’annonce plus ardu dans les mois et les années à venir. En effet, la fièvre des agrocarburants qui s’empare des gouvernements, dont celui de Lula, n’est pas sans avoir des répercussions inquiétantes sur la concentration des terres et la souveraineté alimentaire au Brésil, tout comme dans d’autres pays. Le MST tire la sonnette d’alarme...

(...) Mais, les agrocarburants représentent-ils vraiment une alternative intéressante en termes de préservation de l’environne ment ? Le MST pointe des problèmes apparaissant à diverses étapes du processus de production. Ainsi, chaque litre d’éthanol produit génère 12 à 13 litres de vinasse, une substance pouvant être utilisée comme engrais, mais hautement polluante pour les nappes phréatiques et les cours d’eau. Toutefois, indépendamment de ce fait, c’est véritablement le modèle de production qui est critiqué par le mouvement paysan brésilien. Quel que soit le type d’agrocarburant évoqué (éthanol ou agrodiesel), il est généralement issu de la monoculture, schéma de production extrêmement vorace en engrais qui, outre le fait qu’ils sont polluants, sont eux-mêmes fabriqués à partir de combustibles fossiles. De plus, la monoculture est pratiquée par de grandes entreprises agricoles qui visent avant tout la maximisation de leurs propres bénéfices par l’exportation, sans se préoccuper de la biodiversité que préserve au contraire une agriculture familiale diversifiée et davantage pourvoyeuse d’emplois.

En dépit de ces questionnements importants, le gouvernement brésilien est pourtant bien décidé à maintenir le cap. Avec 17 milliards de litres d’éthanol produits en 2006, le Brésil se profile comme le numéro un mondial en la matière. Mais pour en arriver là, 425 millions de tonnes de canne à sucre ont été nécessaires, cultures qui ont occupé un territoire équivalent à celui du Benelux et du Royaume Uni. « Et à présent, le gouvernement brésilien veut multiplier cette superficie par cinq, s’exclame Cláudio. Imaginez le désastre écologique et la pollution lorsque l’on sait qu’à l’heure actuelle les véhicules travaillant pour l’agriculture sont responsables de 40% des émissions de CO² dans l’atmosphère brésilienne ! ».

source : ITECO, Centre de Formation pour le Développement et la Solidarité
Internationale.

Alors, qu'en pensez-vous, mes trois chers lecteurs. Le président Lula nous prendrait-il pour des truffes ?
Si, vous trouvez la réponse, faites le moi savoir.
Et, dans cette attente immaculée dans la conception, je vous souhaite bien le bonjour chez vous.
A bientôt.
René.

PS : La correction orthographique ne marche pas.

jeudi 17 septembre 2009

Salut messieurs les ex fonctionnaires de France Telecom. Vous êtes les explorateurs de la future société que nous propose Sarkozy.

Bon, le gouvernement tient ferme sur sa politique de relance par l'investissement. La relance par la consommation, pour lui, c'est une politique inappropriée.
Pourtant, le nouveau gouvernement japonais, lui a décidé de s'y coller.
Article du Monde du jeudi 17 septembre, p6.

"La nouvelle équipe devra mettre en oeuvre les promesses de campagne du PDJ. Axée sur la volonté de redresser l'économie par le soutient à la consommation, sa politique doit se traduire par l'octroi de multiples allocations aux ménages, pour l'éducation des enfants notamment, et aux demandeurs d'emploi, dont le total devrait coûter 16.800 milliards de yens (126 milliards d'euros) en 2013.
Tâche difficile dans un contexte de finances publiques dégradées et avec l'engagement de ne pas augmenter la taxe sur la consommation (5%)".

Ainsi, le Japon comme l'Australie parie sur une relance par la consommation. Donc, si eux aussi s'y mette, c'est que cette stratégie n'est pas aussi nulle que veut bien le dire le gouvernement français. En stigmatisant ainsi ceux qui prônent le contraire, tel votre serviteur, la ministre de l'économie et son président ne se donnent d'autre choix que de plomber un peu plus l'économie si il s'avère qu'ils ont torts.
Sauf, qu'en France, il y a plus place à un autre choix que celui imposé de tout là haut. Comme en Chine en quelque sorte. Et, d'ailleurs pour parler de la Chine, un article des Nouvelles Calédoniennes de ce jour concernant le Dalaï Lama.

"Les Chinois kiwis contre le séjour du Dalaï-lama
Une trentaine de communautés chinoises des îles du Nord et du Sud de la Nouvelle-Zélande ont soumis au Premier ministre, au ministre des Affaires intérieures et aux sénateurs néo-zélandais une pétition appelant à refuser l’entrée du Dalaï lama dans le pays. Une visite du Dalaï lama est prévue le 6 décembre. Les communautés chinoises ont exprimé leur forte opposition à cette visite et souhaitent que le gouvernement entende les voix venant de la communauté chinoise avant de prendre sa décision".

Alors devant une telle attitude, je me demande, "Mon dieu, ces gens là sont-ils chinois ou néo-zélandais ?" et de quel droit se permettent-ils de dicter la politique étrangère de leur pays d'accueil ?
Mais, peut-être est-ce cela que l'on appelle l'intégration réussie ?
Mais, basta de ces considérations, des évènements plus considérables se préparent sur cette planète comme le suggère un rapport de la Banque Mondiale.
Toujours le Monde, p4.

"Or, s'ils continuent (les pays en voie de développement) de se développer au rythme actuel en copiant le modèle des vieux pays industrialisés dont la consommation immodérée notamment de pétrole, de charbon est à l'origine du dérèglement climatique, la hausse des températures à la fin du siècle ne sera pas de 2°C - la limite que le Groupe d'expert inter-gouvernemetal sur l'évolution du climat (GIEC) recommande de ne pas dépasser - mais de 5°C. Un scénario que personne ne préfère envisager".

Et, si ce scénario, nous allions devoir l'envisager beaucoup plus vite qu'à la fin du siècle ?
Parce qu'entre-nous faire respecter à l'Inde, à la Chine une quelconque norme environnementale, cela ne va pas être du gâteau.
La seule façon de les obliger à modifier leur habitus, est de taxer leurs marchandises dont la chaîne de fabrication ne respecterait des normes environnementales internationales.
Il n'y en aura pas d'autre ! Qu'on se le dise.
Et, sur ces bonnes paroles, je vous quitte. Il est temps que je reprenne le boulot.
A bientôt.
René.

ps : pas eu le temps de corriger.

mercredi 16 septembre 2009

"La passoire dit à l'aiguille qu'elle a un trou". Proverbe Bengali. J'avoue, j'ai rien pigé.

Salut aux aminches du restaurant "Le Routier" de la rue Marx Dormoy dans le 18ème.

Bon que vous dire aujourd'hui ? Que les socialos français sont malhonnêtes ?
Parce que, que dire d'un mouvement pratiquant la fraude électorale en interne ?
Rien d'autre que, "Ils sont malhonnêtes !" et "Tous pareils !"
Mis à part ça, ils ont tous décider de tourner la page pour éviter l'implosion. Ségolène Royal cependant exige des sanctions et là, je suis entièrement d'accord avec elle. Les coupables doivent être sanctionnés et virés du PS.
Autrement, qui nous dit qu'ils ne recommenceront pas pour d'autres élections avec d'autres pratiques. Et, qui nous dit qu'ils ne l'ont pas déjà fait, notamment pour l'élection de Martine Aubry dans le nord ?
Perso, je ne suis pas favorable à Ségolène Royal, mais, là, il s'agit d'un acte impardonnable, injurieux envers la démocratie et qui jette une nouvelle ombre sur "l'honnêteté" des leaders socialistes. Ceux là même qui voudraient accéder au pouvoir.
Là, où Ségolène Royal a encore raison, c'est que les vieux caciques qui ont fait le lit de la droite dans ses actes anti-sociaux doivent passer la main.
Une nouvelle génération plus portée à gauche nous ferait effectivement du bien.
Par contre, là, où je ne suis pas d'accord, c'est que le Modem doit tracer sa route. Ses électeurs, il doit les chercher à travers des alliances avec les déçus du Sarkozisme.
En effet, il y en a et il y en aura de plus en plus. Par exemple, une question, les gaullistes, qu'est-ce qu'ils font encore à l'UMP ?
Pour la place ?
A mon avis, ils feraient bien de se tirer. Car, comme a dit le socialiste Peillon à France Info, il y a des relents "vichistes" en France. Relents qui ne peuvent en aucun cas être gaullistes.
Jamais, le Général De Gaulle n'aurait accepté que les institutions financières et économiques traitent les français comme des malpropres justes bon à plumer.
Alors, restons en sur le terme vichiste, il me convient très bien si on le sort de sa connotation passéiste.
Parce que, lorsque le député Peillon l'utilise, le journaliste lui rétorque que ce qu'il insinue sent la vase. Il a utilisé un autre terme, mais, le sens en est le même.
Eh, bien, moi, je dis à ce journaliste que parfois, il faut actualiser les termes sans en prendre forcément la connotation de collaboration tel vécue notre histoire. Vichiste, comme Peillon l'a utilisé signifie "Etat d'Esprit".
Un état d'esprit se référant à un chef. Un état d'esprit qui amène à une espèce de culte de la personnalité.
A mon avis, c'est dans ce sens qu'il faut le prendre et non dans son sens strictement historique.
Ceci dit et pour passer du coq à l'âne, je note que la Chine continue son expansion pacifique dans l'océan Pacifique. Article des Nouvelles Calédoniennes de ce jour.

"Des locomotives chinoises pour la Nouvelle-Zélande
La China CNR corporation limited, l’un des deux plus grands constructeurs ferroviaires de Chine, a convenu d’exporter 20 locomotives diesel en Nouvelle-Zélande. Ce sera la première fois que la Chine exporte des locomotives dans ce pays.
Les six premières locomotives seront livrées le 19 mai 2010. KiwiRail gère plus de 90 % de l’exploitation ferroviaire de Nouvelle-Zélande et possède 4 700 kilomètres
de chemin de fer".

Et, là, je me pose la question pourquoi notre président Sarko n'a pas été leur proposer le TGV. Parce qu'avec le TGV, plus besoin de locomotives diesel. Mais, non, je mens, il doit s'agir du transport de marchandises. Et, comme la SNCF l'abandonne en France, des locos diesels, il va pas en rester des masses.
Justement, raison de plus pour faire un coup commercial. Moi, je les balancerais au chinois pour qu'ils les balancent aux neo-zélandais.
Tout bénéf en somme.
C'est sûr, mes trois chers lecteurs, j'aurais dû monter une boîte dans l'import export, j'aurais gagné des tunes.
Mais, bref, ainsi va la vie.
En tout cas, ma vie va assurément mieux que celle des afghans. 1,5 millions de vote suspects selon les observateurs de l'Union européenne. Et, combien de tonnes d'opium vendus sur l'occident ?
Rien à voir me direz-vous. Mais, si ! Car ce sont justement ceux qui contrôlent les filières et la production qui ont commis ces fraudes.
Bien, je sais ce que vous allez me dire, que le parti socialiste n'a pas encore fait mieux !
Oh, là, là, qu'est-ce que vous êtes méchants. A moi, une telle comparaison inopportune ne me serait jamais venue.
Dites-moi, et là, je suis en colère. Je vous forme à la critique acerbe, mais, là, vous dépassez le maître et la mesure entre autre. Alors, calmez-vous mes trois chers lecteurs, autrement je fais la grève. Non, mais !
Bon, mais, c'est pas tout ça. Je dis donc que sur ces belles paroles pleines de fiel, je vous quitte en vous souhaitant, "le bonjour chez vous".
A bientôt.
René.

mardi 15 septembre 2009

"Celui qui se lève tard ne voit pas le lézard en train de se brosser les dents". Proverbe Masaï. Comprenne qui pourra.

Salut aux camarades du front du nord. Les commissaires politiques déciment tous les camarades.

Bon, un article en passant des Nouvelles Calédoniennes de ce jour sur l'activisme de la Chine dans les îles du Pacifique.

"La Chine offre dix bateaux au Vanuatu
Cette annonce a été faite par l’ambassadeur de Chine au Vanuatu, Chang Shu King, lors de la cérémonie de remise des clefs, au Premier ministre Edward Natapei, d’une nouvelle usine de pêche financée par Pékin. Selon
M. Chang, ces dix bateaux de pêche permettront au gouvernement du Vanuatu de mieux exploiter ses propres ressources marines et d’en faire ainsi bénéficier la population. Cette assistance chinoise devrait permettre au gouvernement de se lancer dans la pêche au thon, jusqu’à présent l’apanage des bateaux de pêche étrangers. M. Natapei a d’ailleurs précisé qu’à l’heure actuelle, le Vanuatu ne perçoit que 1% de la valeur des prises de thon dans les eaux de l’archipel. Ces 10 bateaux aideront aussi plus de 20 thoniers chinois à alimenter la nouvelle usine en mesure de traiter 600 tonnes de thon par mois".

Qu'elle est belle, qu'elle est belle la Chine lorsqu'elle s'occupe d'aider l'un des états les plus pauvres de la planète à se développer.
Ne vous semble-t-il pas mes chers trois lecteurs que l'occident devrait en prendre de la graine. Surtout, si ce sont des marins chinois qui naviguent sur lesdits bateaux. Mais, ne soyons pas mauvaise langue, la Chine a assurément pensé à former des marins ni-vanuatais.
A moins que, à moins que ?
Par contre, les Etats Unis, loin de songer à développer les îles du Pacifique, préfère leur balancer les témoins de leur interventionnisme humanitaire.
Toujours dans les Nouvelles Calédoniennes.

"De Guantanamo à l’archipel de Palau
L'archipel de Palau, dans l'océan Pacifique, va accueillir au moins quatre Chinois ouïghours détenus à Guantanamo mais blanchis de tout soupçon de terrorisme, a annoncé Johnson Toribiong, le président de l'un des plus petits Etats au monde. Vendredi, l'un des avocats des Chinois ouïghours détenus à Guantanamo avait indiqué que deux de ses clients avaient accepté la proposition de Palau et pourraient quitter le centre de détention américain de Cuba « mi-octobre ». Ces détenus, au statut particulier puisque le Pentagone a abandonné contre eux toute accusation de terrorisme depuis des années, vivent dans le camp Iguana, un quartier séparé du centre de détention où les détenus ont une certaine liberté de mouvement".

Au moins,ces quatre là vont vivre sur une île avec cocotiers et sable blanc ce qui va les changer. Sauf que l'on peut se demander pourquoi les ricains ne les renvoient pas chez eux, dans leur famille, avec une compensation financière à la hauteur du déni qui leur a été fait. Moi, à la place des ouighours, j'attendrais un peu avant de contacter un cabinet d'avocat américain afin d'obtenir un dédommagement financier conséquent. Car, les avocats américains sont prêts à faire feu de tout bois pour se lancer dans des procès susceptibles de drainer un max d'argent.
Alors, à vos dossiers, messieurs les avocats ! Je pense qu'aux îles Palau, vous n'aurez aucun mal à retrouver ces quatre là.

Bon, mis à part ça, l'Afrique francophone se porte toujours aussi bien. Depuis, que Sarko a annoncé que la Francafrique, c'était terminé. Les dictatures ou futures dictatures ne se sont jamais mieux portés.
Et, naturellement, la France n'a pas posé de critique sur le déroulement des élections qui ont eu lieu dans des pays comme le Congo Brazzaville ou le Gabon.
Mais, à part ça, la France ne fait pas comme avant.
Décidément, notre président a des actes qui ne correspondent pas à ses paroles.
Mais, c'est une litote.
C'est comme la taxe carbone. De la façon dont elle a été concoctée, c'est plutôt un scud dirigé vers les écolos.
Par contre nous sommes contents de cette nouvelle apprise sur le net,

"La région autonome du Tibet a accueilli un nombre record de 1,37 million de touristes chinois et étrangers en août, a annoncé samedi le directeur adjoint du Bureau du tourisme du Tibet, Sun Yongping.

"Le nombre de touristes était trois fois plus élevé que celui enregistré pendant la même période de l'an dernier, a-t-il ajouté.

L'année dernière, le tourisme de la région avait été affecté par les violences du 14 mars à Lhassa, capitale régionale du Tibet.

Le tourisme a généré plus d'un milliard de yuans (146,4 millions de dollars) de revenus pour la région le mois dernier, a-t-il indiqué".

Braves touristes, je suis sûr que vous allez constater sur le terrain si il reste des tibétains, des vrais à Lhassa et non pas des chinois déguisés en tibétains pour le folklore. Je plaisante, mais, cela pourrait sans doute arriver un jour.

Bon et sur ses belles paroles qui feront fleurir mille fleurs comme disait Mao, un jour de verve, je vous salue bien bas. Et, vive le président du Vénézuela qui est en train de nous concocter une véritable république sovieti....oh, pardon, je voulais dire, une véritable république socialiste.
Et, bien le bonjour chez vous.
René.

PS : Explication de la lutte historique menée par les Mapuche du Chili. (trouver sur le net)

"Le mode de vie Mapuche, ayant pour base la possession communautaire des terres, se voit boulversé par la contre-réforme agraire imposée par le régime militaire de Pinochet (mettant l’accent sur la proprieté individuelle privée). Ceci implique la perte de plusieurs milliers d’hectares de terre récuperés par des entrepreneurs « latifundistes » et par de grandes entreprises forestières.

Malgré des décisions de justice faites par les tribunaux chiliens,en faveur des communautés, les multinationales refusent de rendre les terres.

Au contraire, elles envoient des milices privées pour empêcher que les Mapuches s’y installent. Si l’Etat chilien envoie des militaires dans les regions concernées, ce n’est pas pour obliger les entreprises à respecter les décisions des tribunaux, mais au contraire pour s’assurer que les multinationales puissent continuer d’exploiter ces terres en toute liberté.

Face à cette situation s'est mis en place un mouvement Mapuche issu des communautés se mobilisant pour tenter de freiner l’expansion capitaliste des entreprises forestières, reprenant ainsi la lutte historique de leur peuple. En réaction, l’Etat chilien a entamé une politique répressive qui montre une fois de plus son engagement auprès des puissances patronales".

lundi 14 septembre 2009

Salut aux cigognes de passage. L'Afrique vous attend.

Et, que pense la Nouvelle Zélande de la taxe carbone ?
Articles des Nouvelles Calédoniennes de ce jour.

"Exit la taxe carbone ?
Comme dans la plupart des pays occidentaux, l’instauration d’une taxe carbone fait débat en Nouvelle-Zélande. Le rapport d’une commission parlementaire qui vient d’être rendu public préconise le maintien d’un système d’échanges d’émissions plutôt que l’instauration de la taxe.

La Nouvelle-Zélande devrait conserver son système d’échange d’émission de CO2 comme principal outil de lutte contre le changement climatique, selon les conclusions d’un comité parlementaire, qui n’apporte toutefois pas de précisions sur la façon dont le système actuel d’échange d’émission de CO2 pourrait être modifié. Selon lui, ce système est préférable à une taxe carbone.
Ce comité parlementaire, créé en 2008 par le gouvernement néo-zélandais, ne donne que des recommandations générales formulées dans un rapport de 132 pages. Il appartient désormais au gouvernement de décider de la forme finale du régime d’échange d’émission de CO2.
Parmi les recommandations : un système d’échange de CO2 couvrant tous les secteurs économiques est préférable à l’instauration d’une taxe carbone. Ce rapport précise aussi que des liens internationaux avec d’autres régimes au titre du protocole de Kyoto de l’ONU aiderait à assurer la liquidité et le fonctionnement efficace du régime néo-zélandais.

Avant Copenhague

Le Parti National au pouvoir, qui a déjà déclaré qu’il souhaitait la mise en place d’un système moins onéreux, devrait désormais tenter de gagner l’appui des autres partis au parlement en vue d’adopter un système d’échange modifié.
Le comité parlementaire a dû revoir le système d’échange d’émissions (ETS) de la Nouvelle-Zélande suite à un accord politique qui a vu le jour lorsque le centre-droite du Parti national est arrivé au pouvoir, l’année dernière. À cette époque, le nouveau gouvernement avait alors déclaré que le régime actuel d’échange d’émissions de CO2 était trop coûteux et trop ambitieux, avant de suspendre son application, à l’exception du secteur forestier.
« Le gouvernement va poursuivre ses discussions avec tous les partis pour aboutir à une solution qui concilie nos responsabilités environnementales et nos possibilités économiques », a déclaré le ministre néozélandais du changement climatique, Nick Smith.
L’ambition du gouvernement est de trouver un accord avant les négociations sur le changement climatique de Copenhague, en décembre prochain".

Donc, il n'y a pas consensus en Nouvelle Zélande. Par contre, en France, le président s'est précipité pour en pondre une sans laisser vraiment de place à la concertation dans ce qui ressemble plus à une manoeuvre politicienne. Du genre, nous à l'UMP, nous n'avons pas de leçon à recevoir des écologistes car moins écologistes que nous, tu meurs !
Eh, mes trois chers lecteurs, Sarko a trouvé un nouveau créneau porteur pour assurer sa main mise sur le paysage politique français. D'un côté, il attire les insatisfaits et ambitieux de tous bords politiques, de l'autre, il pique les idées qui lui paraissent porteuses. Porteuses de dynamiques et susceptibles d'introduire la confusion chez ses adversaires politiques.
Seulement, s'il retire la substantique moëlle de la taxe carbone, il s'arrange pour la neutraliser.
Même, si, perso, je suis contre cette taxe, je ne peux que noter l'habilité politicienne de la manoeuvre. A croire, qu'il ne cherche simplement à parasiter les messagers des verts sans chercher vraiment à les récupérer électoralement.

Bon, mis à part ça, des nouvelles des indiens Mapuche du Chili, qui continuent à être opprimés même sous un gouvernement socialiste. Même si cet aparté date du mois de janvier 2008, il est révélateur du mépris dans lequel sont tenus les Mapuche du Chili, sans parler de ceux de l'Argentine qui vivent un sort encore plus misérable.

"Un jeune mapuche de 22 ans assassiné par la police chilienne.

Informations actualisées le 17 janvier à travers différents sites d'informations

Lors d'une occupation de terres et au milieu de violents incidents, Matías Catrileo Quezada est mort ce matin d'une balle dans le dos,tirée par les
forces de police, sur le fundo Santa Margarita de la commune de Vilcun.
Mathias Catrileo Quezada qui était étudiant de l'université de la Frontera de Temuco, avec d'autres membres de communauté mapuche, est entré à 6 heures 40 sur le fundo Santa Margarita, propriété de Jorge Luchsinger dans l'intention d'incendier 550 charges de fourrage qui se trouvaient sur les
lieux.

Selon un flash spécial de la télévision TVN, ce 3 janvier à 10 heures, le corps de Mathias a été emporté par les mapuche qui refusent de le restituer aux autorités, déclarant qu'ils n'avaient aucune confiance dans la justice chilienne. Les mapuche exigent que le corps soit remis à l'évêque de Temuco, monseigneur Vial qui s'est engagé dans les négociations pour la libération des prisonniers politiques. Un jeune mapuche qui a participé aux incidents s'est mis en contact avec radio Bio Bio ce matin et il a déclaré " nous marchions et les carabiniers tiraient dans notre direction avec des mitraillettes et un frère est mort. C'est Mathias Catrileo de 22 ans, il appuyait la lutte de la communauté, ici. Nous voulions faire une récupération pacifique mais les policiers sont arrivés et nous ont tiré dans le dos », selon lui les mapuche étaientune trentaine et les effectifs de la police du GOP étaient composés d'une cinquantaine de personnes.

Suite à ce drame, les services de renseignement chiliens se sont rendus sur les lieux dans l'attente de l'arrivée du juge qui doit commencer l'enquête. La zone est sous haute protection policière, et la tension déjà grande sur les lieux a monté d'un cran dans les dernières heures.
Cet incident est le plus grave qui s'est produit depuis la mort d'Alex Lemun, en novembre 2003, sur le fundo Santa Elena de la commune de Ercilla. Le secrétaire de l'intérieur Felipe Harboe, a pour sa part lancé un appel au calme aux mapuche et insisté pour que soit restitué le corps de Mathias ajoutant que « dans un état de droit il est impossible de nier la remise d'un corps », corps qui selon Harboe se trouverait actuellement dans une école de la zone de Vilcun.

Le gouvernement, pour sa part, après avoir déclaré il y a quelques jours par l'intermédiaire de Francisco Vidal porte parole du gouvernement que «les auteurs d'incidents doivent s'attendre à en payer les conséquences, et une fois capturés et inculpés, comme il convient dans un état de droit et
qu'ils ne viennent pas avec leurs grèves de la faim » ont déclaré aujourd´hui, que conformément à la loi le corps doit être restitué à la
justice chilienne. Ces très graves incidents interviennent, alors que Patricia Troncoso, prisonnière politique mapuche en est à 90 jours de
grève de la faim et présente une aggravation de son état de santé jugé extrêmement préoccupante selon les médecins qui la surveillent.

Collectif pour l'Autonomie du Peuple Mapuche".

Eh, oui, mes trois chers lecteurs, nous ne sommes pas les seuls à en baver. Alors, pour le grand village global, je crois qu'il va nous falloir attendre encore un grand long moment.
Et, sur ces bonnes paroles, je vous salue bien.
A demeurre pour vous, d'en faire de même envers moi.
A bientôt.
René.

PS : la correction orthographique ne marche pas et je n'ai pas le temps de corriger le style.

jeudi 10 septembre 2009

Ube initiative intéressante d'un peuple bientôt apatride. Articles des Nouvelles Calédoniennes de ce jour.

"Un Festival de la marée haute à Tuvalu
Tuvalu espère attirer des touristes en organisant, en février 2010, le Festival de la marée haute à l’occasion des vagues qui envahissent chaque année cette micro-nation polynésienne menacée par la montée du niveau des eaux. La plus haute altitude de cette chaîne d’îles et d’atolls est de quatre mètres. Fakasoa Tealei, de l’Office du tourisme de Tuvalu, rappelle que la montée des eaux associée au changement climatique est une grande préoccupation pour le pays : « Nous voulons montrer aux gens l’impact de la montée des eaux pour les Tuvaluans ».

Et, comme je vais manger avec mon pote Pascal, cela sera peut-être tout pour aujourd'hui.
Ah, oui, à part qu'hier, j'ai vu comme l'a souligné le Parisien Libéré, un nuage de cigognes survoler Paris. J'étais à la Porte de la Chapelle lorsque trois cigognes se sont posées sur des supports lumineux de la Sncf. Elles ont attendu un quart d'heure qu'apparaissent un vol d'un quinzaine de cigognes. Et, elles se sont envolées pour le rejoindre, direction l'Espagne et l'Afrique.
Cela valait la peine d'être signalé tellement le fait est rare. Bravo le Parisien Libéré.
Donc, à bientôt.
René.

mercredi 9 septembre 2009

"Dieu est grand mais la forêt est encore plus grande". Proverbe Brésilien. On se demande comment ils ont l'ont trouvé celui-là ?

Salut à tous les compagnons du coquelicot. Comme disait Candide, nul part, on n'est mieux que dans son jardin.

Bon, aujourd'hui pour vous faire rêver, je vous ai dégotté un article des Nouvelles Calédoniennes de ce jour. Et, cela se passe en Papouasie Nouvelle Guinée. Bref, dans l'océan Pacifique.

"Quarante nouvelles espèces d’animaux.

Une équipe de biologistes du zoo de Londres et de reporters de la chaîne britannique BBC a fait des découvertes incroyables, dont celle d’une grenouille munie de crocs et d’un rat de 82 centimètres, lors d’une expédition dans une région isolée du centre de la Papouasie-Nouvelle-Guinée.

Rat géant, grenouille qui se gonfle en cas de danger ou araignée imitant le lichen figurent parmi la quarantaine de nouvelles espèces découvertes par les scientifiques dans une région reculée de la province des Hauts-Plateaux du sud de la Papouasie-Nouvelle-Guinée.
C'est à l'intérieur du cratère du mont Bosavi précisément, dont la dernière éruption remonte à 200 000 ans, que l'unité d’histoire naturelle de la BBC a réalisé ces extraordinaires découvertes. Parmi elles, le rat laineux Bosavi est la star de la mission scientifique, puisque ce rongeur végétarien est surdimensionné. Il mesure près de 82 centimètres et pèse 1,5 kilo.
« C’est l’un des plus grands rats du monde. Et il a les mêmes gènes que ceux que vous pouvez trouver dans les villes, mais en plus grand », a expliqué un des scientifiques de l’expédition.

Le rat laineux Bosavi, surdimensionné, est la star de la mission scientifique

« Il devait être plus grand que mon chat ! » Arboricole, l’animal se nourrirait essentiellement de végétaux.
En plus de ce mammifère, l'équipe aurait découvert seize nouvelles espèces de grenouilles, un nouveau gecko, trois nouvelles espèces de poissons, une vingtaine de nouveaux insectes et araignées et, peut-être, une nouvelle espèce de chauve-souris. Leurs découvertes sont actuellement en cours de classification, notamment à l'université d'Oxford. Les animaux ont été découverts dans le cratère du mont Bosavi, un volcan éteint, quasiment inaccessible et où la faune et la flore ont prospéré depuis la dernière éruption. Une partie de cette montagne fait d’ailleurs partie d’un site proposé pour être inscrit sur la liste du patrimoine de l’humanité de l’Unesco.
Le peuple de Bosavi, qui vit au nord de la montagne, est divisé en quatre tribus culturellement proches, mais qui parlent des langues différentes.
Avec l’aide de pisteurs locaux, l’équipe est descendue dans le cratère du volcan et a passé presque deux semaines à répertorier tous les animaux qui s’y trouvaient".

N'est-ce pas merveilleux mes trois chers lecteurs ? Cela ne vous fait-il pas penser à ces fantasmes de vallées cachées pleines de reptiles de l'âge machin truc dont nous bassinent les vendeurs de rêves, auteurs de science fiction ?
Et, dites-vous bien qu'il reste en Papouasie Nouvelle Guinée des territoires encore inexplorés. Pas des masses, mais un peu.
Alors, chargez-vous comme un mulet et partez à l'aventure avec la Singapoure airline et s'il n'y a pas de vallée perdue, peut-être y trouverez-vous le pourquoi du comment qui vous fait vous tel que vous êtes. Ça sera toujours ça de gagner.
Et, si vous êtes prudents, vous ne prendrez pas forcément la Singapoure airline parce que je ne suis pas sûr qu'elle aille là-bas.
Bon, mis à part cette magnifique page sur la diversité des espèces à préserver, je souhaite que Barack Obama ne lâche rien de sa réforme de la sécurité sociale aux Etats Unis.
Parce qu'il serait particulièrement déroutant qu'après avoir accordé des milliards aux vautours de la finance, les congressistes refusent d'en accorder, et oh combien moins, aux nécessiteux américains. Surtout, que ces aides finiront de toute façon dans le circuit économique. Même, si ce programme représente un coût pour le budget,il y a au final "une rentabilité sociale" évidente.
Et, c'est d'ailleurs ce ratio qui à mon avis devrait être intégré par les entreprises françaises d'abord, internationales par la suite.
Mais, passons, comme un flocon de neige sur la fourrure d'un grizzly. Tout ça n'est pas d'actualité.
L'heure pour le moment est à tondre le mouton. Évidemment, le mouton, c'est nous !
Mais, notre Sarko national, dès qu'il le peut, saute sur toute occasion de faire payer les moyens et faibles revenus. A tel point qu'il va réussir à faire disparaître la classe moyenne de France. Là, on peut dire qu'il aura marqué notre histoire.
"Tous pauvres, sauf les riches", doit être son slogan perso.
Mais, passons encore et revoyons nous demain pour de nouvelles aventures.
Donc, bien le bonjour chez vous et n'oubliez pas, si vous perdez votre travail, si vous perdez votre logement, prenez votre barda et installez vous face à L'Elysée. Si, on vous vire de l'Elysée, prenez votre barda et installez vous face à Matignon, puis face à l'assemblée nationale, puis face au sénat et après tapez-vous tous les ministères. Un, deux, trois pour commencer, un jour, vous serez des milliers et votre président sera bien obligé de vous apercevoir par un bout de lorgnette.
Et, sur ces bonnes paroles, je vous salue.
A bientôt,
René.

mardi 8 septembre 2009

"Il n'est pas bon de s'appuyer sur un homme, car c'est un soutien mouvant". Proverbe Maori.

Salut à tous les enfants au paradis. Attention ! Ils vont bientôt vous faire payer un loyer tous ces salauds de spéculateurs de la haute finance.

Eh, oui, mes très chers lecteurs, ils vont bientôt nous arracher le coeur avec leur nouvelle fiscalité écologique. Pas étonnant que Sarko ait sauté dessus car il doit assumer le service de la dette. Et, c'est du lourd.
Alors, entre-nous, les promesses qu'une partie ira aux français les plus fragiles. Je vous le dis carrément, ça me fait doucement rigoler.
Mais, ce qui me fait encore plus rigoler, ce sont les verts qui se font passer de la pommade par Sarko.
Et, tous ce qu'ils ont réussi à nous pondre pour sauver la planète ces gens-là, c'est lancer la mode des écos taxes. Ça, y a pas à dire, il faut beaucoup d'imagination pour sortir un tel lapin du chapeau.
Et, si par malheur, quelqu'un critique leur, oh, combien sublime trouvaille, il se fait traiter de "collaborateur des ennemis de la planète". Enfin, un truc qui veut dire ça. Bref, il se dégage de cette manière de procéder un truc qui pue, qui ressemble à du totalitarisme intellectuel !
Et tout ça, au nom de la planète en danger ! Merci, ça on le savait. Mais, faire dans le genre, "Si tu n'es pas avec moi, tu es contre moi !" Ça me gave sérieux.
Et, surtout, le truc qui ne me plaît pas et qui à mon avis les range dans le camp de la droite, c'est cette inclinaison à faire toujours payer les petits.
Vraiment, messieurs des verts, avec toutes les intelligences astrales qui composent votre mouvement, vous n'avez pas sérieusement réussi à nous concocter un truc moins pénalisant pour les petits revenus.
Parce que déjà que ce gouvernement de droite nous supprime petit à petit tous nos acquis sociaux, politiques, économiques, vous, vous arrivez en renfort pour les aider à nous achever.
Vous croyez quoi, que mon porte monnaie est extensible à l'infini ?
Eh bien non !
Le peu qu'il m'en reste, je tiens à le garder pour moi et pas à le filer au gouvernement sous le couvert d'une éco taxe dont vous ne contrôlerez de toute façon pas les aboutissants.
Alors, je vous en prie, ces messieurs des verts, lâchez nous et surtout trouver une autre façon de sauver la planète. Parce qu'entre nous, votre solution est la plus facile. Même moi, j'aurais pu y penser.
Après tout, pourquoi vous ne seriez pas révolutionnaire en prenant à ceux qui sont le plus énergivores........les nantis.
Peut-être que vous remémorer la taxe tobin, ça vous aidera à vous concentrer. Mais, surtout, arrêtez de nous la faire à la terroriste. Moi, je le dis, votre taxe carbone, c'est de la merde !
De la merde qui va tout simplement, précariser un peu plus les petits. A moins, à moins que vous soyiez à.....droite. Dans ce cas, dites le !
Sur ce, c'est tout pour aujourd'hui.
A part ce simple mot. J'écrivais mon blog pendant l'heure du déjeuner et notre accès internet au boulot est interrompu. Espérons que demain, il sera rétabli.
A bientôt.µ
René.

PS : Cela va mieux au Darfour. Content pour eux.

mardi 1 septembre 2009

"Quand, tu es dans le désert, cherche le nain qui te tende la main" Proverbe Lybien. Comprenne qui pourra.

Salut les compagnons du coquelicot, la chaleur de l'été nous a quitté.

Bon, pour moi, les vacances sont terminées. Dommage !
Sauf que moi, j'ai pu descendre dans le sud de la France. Alors que de très nombreux français ou résidents en France n'ont pu quitté leur résidence principale
Et, trop d'enfants se sont contentés de jouer dans leur cour.
Pourtant, quelques municipalités ont installés des lieux de baignades dans les cités, un peu comme si, les habitants avaient leur paris-plage à demeure.
Mais, un espace de baignade n'est pas la mer. N'est-ce pas mes trois chers lecteurs ?
Sauf, sauf que, comme le gouvernement essaie de se débarrasser de ses charges en les basculant sur les régions sans leur fournir les moyens d'assumer, elles auront encore moins d'argent pour les précaires.
Et, qui va s'en prendre au final plein les mirettes, les "Sans" évidemment.
Mais, qu'importe, notre gouvernement va tenter un hold up sur l'épargne française pour renflouer ses caisses. Déjà que la dernière fois, ce sont les places financières qui l'ont organisé, je ne suis pas sûr que les rentiers soient très chauds pour recommencer à se faire plumer.
Mais, fi d'une telle considération, pour ce faire le gouvernement va leur promettre la lune.
A eux de voir. Déjà pour le livret A, il a essayé en réduisant le taux par la suite, peut-être pour voir si les détenteurs allaient retirer leurs billes et rendre l'opération nulle. Et, comme, ce n'est pas vraiment le cas, il réédite. Une répétition en quelque sorte !
Mais, non, je plaisante, notre gouvernement n'est pas comme ça. Il est cool, Raoul.
Par contre, je dois vous avouer quelque chose. Quelque chose me concernant qui est carrément.....horrible.
Je dois vous avouer que je suis le pire de vos cauchemars, celui qui a toujours hanté vos rêves d'enfants. Je suis......"L'ORTHOGRAPHE".
Et, là, je salue l'ouvrage de François de Closets qui appelle à une refondation de l'orthographe de la langue française.
Franchement, y'a des fois où tu as l'impression de ne pas écrire la même langue que les académiciens. Je ne dis pas qu'il faut simplifier, mais, au moins agir sur certaines absurdités.
Ne croyez-vous pas mes trois chers lecteurs ?
En tout cas, réfléchissez et/ou méditez. Vous me direz demain ce que vous en pensez.
Car, moi, je vous quitte en vous saluant bien bas. N'oubliez, si vous ne vous battez pas, vous crèverez. Et, ce n'est pas la France d'en haut qui bougera le petit doigt pour vous.
A bientôt.
René.