Salut à la France d'en Haut, celle d'en bas ne vous salue pas !
D'abord, commençons par ce qui nous attend en France à l'aune de ce qui se prépare à Tahiti, territoire français du Pacifique.
Article de la Dépêche de Tahiti de ce jour.
"Bientôt 9 milliards de déficit
La réserve de la Caisse de prévoyance sociale (CPS) se vide plus vite (prestations en augmentation) qu’elle ne se remplit.
Depuis 2006, à la suite de la reforme Te Autaeraa (- 3 % de cotisations, soit près de 4 milliards de recettes en moins par an), la branche maladie est devenue un malade chronique. Les chiffres sont éloquents. Le déficit de la branche maladie, voté par les administrateurs de la CPS, a plus que doublé en deux ans. À la fin 2008, il est déjà de 4 milliards. Il est prévu à 8,814 milliards fin 2009, soit près de deux fois le déficit de la compagnie Air Tahiti Nui !
Et pourtant, en 2005, avant la réforme Te Autaearaa, la branche maladie des salariés affichait 5 milliards de réserves aux compteurs…
Et l’hémorragie n’est pas près de s’arrêter si rien n’est fait. Compte tenu de la baisse du nombre de cotisants salariés (- 4 000 à – 5 000 depuis un an), et des dépenses nouvelles de santé (grippe A et dengue 4), le déficit devrait s’accélérer, pour dépasser les moins 9 milliards à moins 11 milliards.
Quel que soit le chiffre exact, tout le monde s’accorde à dire qu’à ce régime, la CPS n’aura plus très longtemps les moyens de sa mission.
Le risque ? Une médecine à deux vitesses. L’une pour les riches, qui pourront continuer de se faire soigner sans être remboursés. L’autre pour les pauvres, qui pourraient grossir les rangs - déjà importants - des patients aux dispensaires (consultations gratuites). Mais dans ce cas, le ministère de la Santé aurait-il les moyens nécessaires pour répondre à cette nouvelle demande ?
« 0n va droit dans le mur », alerte le président de la Confédération générale des petites et moyennes entreprises (CGPME), Christophe Plée. « On n’a plus les moyens de vivre comme avant », renchérit le président du Conseil des entreprises de Polynésie française (CEPF).
La ministre de la Solidarité, Armelle Merceron, a confirmé la gravité de la situation. L’alarme sonne aussi chez les syndicats, le nez rivé dans les comptes, en tant que membres du conseil d’administration de la CPS. Seuls les patrons restent discrets sur les solutions à adopter parce qu’ils ne veulent pas faire de vagues pendant les discussions avec la ministre de la Solidarité, qui, pour l’instant, parle surtout de faire payer les malades, et d’augmenter la fiscalité, mais pas d’augmenter les charges patronales…
Le progrès médical est à lui seul un facteur essentiel de l’augmentation des dépenses de santé, prévient le président du syndicat des médecins libéraux, Pierre Follin. « Parler d’économie de santé devient donc impossible. Cela reviendrait à interdire l’application des progrès ».
La Dépêche de Tahiti (www.ladepeche.pf)
Les solutions avancées
-Augmenter le ticket modérateur (réduire le remboursement de la CPS aux malades. Si le ticket modérateur passe à 30 % au lieu de 20 %) la CPS économise, mais chaque consultation chez un généraliste coûte 360 francs de plus au patient
-Introduire un ticket modérateur à 10 % pour les patients remboursés à 100 % (économie d’un milliard par an).
-Médicaments : avec 1 % de remboursement en moins, la CPS économiserait 54 millions. Avec 10 %, l’économie atteindrait 540 millions.
Deux syndicats préconisent la création d’une pharmacie mutualiste pour réduire le prix de revient des médicaments".
Bien, tout ça ne préjuge rien de bon pour nous les petits, les sans grades. En effet, la représentante du gouvernement n'a d'autre solution que de faire la pub à la santé à deux vitesses.
Bravo ! Au moins, elle ne cache pas les véritables intentions du gouvernement. Il va tous nous mettre à poil.
Déjà, qu'il compte privatiser la poste, dernier bastion des services publics.
A ce sujet, il nous ment comme un arracheur de dent. Même pas le courage de dire ses intentions réelles à moyen terme. Alors que tout le monde le sait.
C'est d'un pitoyable, n'est-ce pas mes chers trois lecteurs ?
De toute façon, la question hautement existentielle que je me pose concerne l'état de santé du maître du monde de la Corée du Nord. Va-t-il bientôt nous quitter ? Et, s'il nous quitte, est-ce que cela rendra caduc sa dérive hallucinatoire ?
Question à deux balle. Mais, ouvrons les paris sur le temps qu'il reste à vivre au maître du monde, maître des quatre éléments, petit père du peuple et psychopathe patenté.
Alors, réfléchissez mes chers trois lecteurs, les paris sont ouverts.
A bientôt.
René.
jeudi 30 juillet 2009
mercredi 29 juillet 2009
Salut à tous ceux qui dorment dans la rue. C'est l'été que ça craint le plus. Faites gaffe !
Donc, aujourd'hui, en ces temps de vacances, on pourrait croire le monde endormi puisque la France est en vacance. A part, bien sûr notre président qui s'arrange ou quand ce n'est pas lui, sa femme, pour faire parler de lui ou d'elle.
En tout cas, lui, pendant les vacances, il nous laissera pas un moment de tranquillité avec la complicité des médias, ses affidés.
Alors, j'envoie cette prière en direction des cieux, "Mon dieu, faites qu'il nous laisse les vacances sans voir sa trombine à la télé !"
Mais, je crois que le bon dieu n'est pas capable de réaliser ce voeu là.
C'est vrai que nous avons le président, et c'est comme ça qu'il se considère, le plus performant de la planète, à part Poutine, naturlïch.
Il est tellement intelligent que sa femme un jour a déclaré lors d'une interview qu'il avait deux cerveaux. C'est vous dire, oh, combien, il est trop tellement intelligent.
C'est bien pour ça que je doute qu'il nous lâche les basquettes cet été.
Alors, je me languis de la rentrée pour pouvoir dire en le voyant à la télé, c'est normal, il travaille.
Voilà, c'est tout ce que m'inspire cette morne journée.
A plus.
René.
Donc, aujourd'hui, en ces temps de vacances, on pourrait croire le monde endormi puisque la France est en vacance. A part, bien sûr notre président qui s'arrange ou quand ce n'est pas lui, sa femme, pour faire parler de lui ou d'elle.
En tout cas, lui, pendant les vacances, il nous laissera pas un moment de tranquillité avec la complicité des médias, ses affidés.
Alors, j'envoie cette prière en direction des cieux, "Mon dieu, faites qu'il nous laisse les vacances sans voir sa trombine à la télé !"
Mais, je crois que le bon dieu n'est pas capable de réaliser ce voeu là.
C'est vrai que nous avons le président, et c'est comme ça qu'il se considère, le plus performant de la planète, à part Poutine, naturlïch.
Il est tellement intelligent que sa femme un jour a déclaré lors d'une interview qu'il avait deux cerveaux. C'est vous dire, oh, combien, il est trop tellement intelligent.
C'est bien pour ça que je doute qu'il nous lâche les basquettes cet été.
Alors, je me languis de la rentrée pour pouvoir dire en le voyant à la télé, c'est normal, il travaille.
Voilà, c'est tout ce que m'inspire cette morne journée.
A plus.
René.
mardi 28 juillet 2009
Attention, un pollueur peut en cacher un autre !
Salut à toi le peuple. Il ne reste à espérer qu'ils ne nous feront pas les temps trop durs.
Bon, nous allons commencer par un article des Nouvelles Calédoniennes de ce jour concernant la culture de l'huile de palme. A mon avis, les australiens ont raison. Mais, mes trois chers lecteurs, je vous laisse...lire.
"Le chocolat Cadbury boycotté en Nouvelle-Zélande
Le zoo d’Auckland boycotte la marque de produits agro-alimentaires Cadbury depuis qu’elle a inclu de l’huile de palme dans son chocolat, relate le journal néo-zélandais Sunday Star Times. Les consommateurs font circuler une pétition sur Internet pour que le Parlement mette en garde la population contre l’huile de palme.
Sa culture incite en effet à détruire les forêts d’Asie du Sud-Est, selon les protestataires, ce qui menace, notamment les orangs-outans. Les progrès de la table ronde sur l’huile de palme durable (RSPO), à laquelle participe Cadbury, sont « minimes », selon Peter Fraser, responsable de la conservation au zoo. Judith Curran, réalisatrice de documentaires animaliers, invite à consulter le site web de Greenpeace, qui affirme que la RSPO se trouve associée à des opérations de déboisement illégales".
Alors, là, je dis, je suis à 3000% d'accord avec les australiens. De fait, les bio-agro-carburants ont autant d'effets néfastes sur l'environnement que l'exploitation des énergies fossiles.
Si, celles-ci ont pour l'instant une nuisance plus importante, c'est qu'elles ont l'avantage de l'âge. Mais, gageons que les industries bio-agro ne tarderont pas à les rattraper.
Quelle ironie, au nom de la préservation de la planète, nous allons détruire autant et cela se rajoutera aux dégâts des exploitations d'énergies fossiles, mais, en plus nous allons accentuer la destruction de l'environnement.
Alors, messieurs les écolos, je crois que vous nous devez des explications !
Car, en plus les agro-bio carburants accentuent la concentration des terres cultivables entre les mains des multinationales agricoles qui expulsent déjà par milliers les petits paysans.
Alors, je le redis, messieurs de toutes les écologies, vous nous devez des explications. Et, surtout, avant que vous n'alliez rejoindre dans les poubelles de l'histoire tous les fascismes et toutes les dictatures.
A bon entendeur salut.
René.
Bon, nous allons commencer par un article des Nouvelles Calédoniennes de ce jour concernant la culture de l'huile de palme. A mon avis, les australiens ont raison. Mais, mes trois chers lecteurs, je vous laisse...lire.
"Le chocolat Cadbury boycotté en Nouvelle-Zélande
Le zoo d’Auckland boycotte la marque de produits agro-alimentaires Cadbury depuis qu’elle a inclu de l’huile de palme dans son chocolat, relate le journal néo-zélandais Sunday Star Times. Les consommateurs font circuler une pétition sur Internet pour que le Parlement mette en garde la population contre l’huile de palme.
Sa culture incite en effet à détruire les forêts d’Asie du Sud-Est, selon les protestataires, ce qui menace, notamment les orangs-outans. Les progrès de la table ronde sur l’huile de palme durable (RSPO), à laquelle participe Cadbury, sont « minimes », selon Peter Fraser, responsable de la conservation au zoo. Judith Curran, réalisatrice de documentaires animaliers, invite à consulter le site web de Greenpeace, qui affirme que la RSPO se trouve associée à des opérations de déboisement illégales".
Alors, là, je dis, je suis à 3000% d'accord avec les australiens. De fait, les bio-agro-carburants ont autant d'effets néfastes sur l'environnement que l'exploitation des énergies fossiles.
Si, celles-ci ont pour l'instant une nuisance plus importante, c'est qu'elles ont l'avantage de l'âge. Mais, gageons que les industries bio-agro ne tarderont pas à les rattraper.
Quelle ironie, au nom de la préservation de la planète, nous allons détruire autant et cela se rajoutera aux dégâts des exploitations d'énergies fossiles, mais, en plus nous allons accentuer la destruction de l'environnement.
Alors, messieurs les écolos, je crois que vous nous devez des explications !
Car, en plus les agro-bio carburants accentuent la concentration des terres cultivables entre les mains des multinationales agricoles qui expulsent déjà par milliers les petits paysans.
Alors, je le redis, messieurs de toutes les écologies, vous nous devez des explications. Et, surtout, avant que vous n'alliez rejoindre dans les poubelles de l'histoire tous les fascismes et toutes les dictatures.
A bon entendeur salut.
René.
samedi 25 juillet 2009
"S'il y a un diamant dans la poitrine, il brille sur le visage". Proverbe Sanskrit.
Salut à tous ceux qui préfèrent vivre libres, loin des vicissitudes de la ville mégalo. Espérons qu'il restera des terres à occuper.
Bon, qu'il y a t-il à dire en ces périodes de vacances.
Que les vélos du réseau vélib installé à Paris se retrouvent à Bamako selon les mauvaises langues ?
Que l'Amérique, donc Obma, a donné beaucoup aux riches et que les pauvres attendent toujours un geste. Parce que depuis qu'Obama veut redimensionner la sécurité sociale aux Etats Unis, les représentants du congrés, républicains et démocrates confondus dénoncent un futur puits sans fond pour le budget fédéral.
Ah, bon, ils ne disaient pas ça, lorsqu'il s'agissait de renflouer en milliards de dollars les banques.
Par contre, dès qu'il s'agit de donner aux pauvres, ben, là, ils ne sont plus d'accord.
Donc, le changement n'est pas si profond que l'on aurait voulu l'imaginer après l'élection d'Obama. Aux States, faut toujours mieux être riche que pauvre.
Et, partout ailleurs, d'ailleurs.
Pourtant, l'aide de l'état finira de toute façon par se diluer dans le circuit économique, donc, à profiter aux commerçants en final.
Par conséquent, ce qui est bon pour le circuit économique est bon pour l'Amérique. Alors, pourquoi, ne sont-ils pas conttents ces gens là ?
Ils ne devraient pas oublier que ce sont ces banquiers là qui ont renvoyé à la rue des millions d'américains. Ces américains qui aujourd'hui vivent dans une précarité extrême. Pendant que les banquiers, eux, grâce à l'état continuent de vivre dans l'opulence et un mépris des pauvres assourdissant.
Et, dire que cette Amérique là, se pose en moralisatrice du fonctionnement du monde.
A mon avis, les leçons qu'elle donnent, elle ferait bien de se les appliquer.
Parce que dire que la corruption doit être freiner en Afganistan et que les villages doivent profiter du développement, c'est l'hôpital qui se fout de la charité.
Enfin, vous voyez à peu près ce que je veux dire mes trois chers lecteurs.
Et, vous le voyez tellement bien que je vais vous quitter.
Bien le bonjour chez vous.
René.
Bon, qu'il y a t-il à dire en ces périodes de vacances.
Que les vélos du réseau vélib installé à Paris se retrouvent à Bamako selon les mauvaises langues ?
Que l'Amérique, donc Obma, a donné beaucoup aux riches et que les pauvres attendent toujours un geste. Parce que depuis qu'Obama veut redimensionner la sécurité sociale aux Etats Unis, les représentants du congrés, républicains et démocrates confondus dénoncent un futur puits sans fond pour le budget fédéral.
Ah, bon, ils ne disaient pas ça, lorsqu'il s'agissait de renflouer en milliards de dollars les banques.
Par contre, dès qu'il s'agit de donner aux pauvres, ben, là, ils ne sont plus d'accord.
Donc, le changement n'est pas si profond que l'on aurait voulu l'imaginer après l'élection d'Obama. Aux States, faut toujours mieux être riche que pauvre.
Et, partout ailleurs, d'ailleurs.
Pourtant, l'aide de l'état finira de toute façon par se diluer dans le circuit économique, donc, à profiter aux commerçants en final.
Par conséquent, ce qui est bon pour le circuit économique est bon pour l'Amérique. Alors, pourquoi, ne sont-ils pas conttents ces gens là ?
Ils ne devraient pas oublier que ce sont ces banquiers là qui ont renvoyé à la rue des millions d'américains. Ces américains qui aujourd'hui vivent dans une précarité extrême. Pendant que les banquiers, eux, grâce à l'état continuent de vivre dans l'opulence et un mépris des pauvres assourdissant.
Et, dire que cette Amérique là, se pose en moralisatrice du fonctionnement du monde.
A mon avis, les leçons qu'elle donnent, elle ferait bien de se les appliquer.
Parce que dire que la corruption doit être freiner en Afganistan et que les villages doivent profiter du développement, c'est l'hôpital qui se fout de la charité.
Enfin, vous voyez à peu près ce que je veux dire mes trois chers lecteurs.
Et, vous le voyez tellement bien que je vais vous quitter.
Bien le bonjour chez vous.
René.
lundi 20 juillet 2009
Salut les amiches du restau-café des routiers de la rue Marx Dormoy. Le coeur reste !
Bon, que peut-on dire aujourd'hui, à part Mauritanie, Birmanie, Congo Brazzaville, même combat. Les dictateurs finalement se portent bien.
A part ça, bof, rien !
Bon, les chinois sont pas contents du fait que le gouvernement australien n'est pas content au sujet de l'histoire d'espionnage commit selon ses dires par des australiens.
Article des Nouvelles Calédoniennes de ce jour.
"Pékin dénonce le « tapage » australien
Le gouvernement chinois a affirmé que le « tapage en Australie » à propos du cas d'espionnage présumé impliquant Rio Tinto en Chine n'empêcherait pas sa bonne marche judiciaire et s'est élevé contre toute ingérence dans ses affaires judiciaires.
« Il y a un certain tapage en Australie sur ce cas. Ceci constitue une interférence dans la souveraineté judiciaire de la Chine », a réagi le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Qin Gang. Le cas évoqué est celui de Stern Hu, cadre australien du groupe minier anglo-australien Rio Tinto, arrêté le 5 juillet dernier en Chine, avec trois de ses collègues.
La Chine affirme avoir « des preuves suffisantes » que Stern Hu a « volé des secrets d'Etat » et lui a infligé « d'énormes pertes ». Mais en Australie certains ont fait le lien entre l’arrestation de ce cadre du groupe minier anglo-australien Rio Tinto avec l'abandon, début juin par Rio Tinto, d'un important accord stratégique avec le géant public chinois de l'aluminium Chinalco.
« Cela ne peut pas changer les faits objectifs et ne peut pas faire dévier la gestion légale du cas par les autorités chinoises », a ajouté Qin Gang. Soulignant que la Chine « attache une grande importance » aux relations bilatérales, le porte-parole a mis en garde contre les tentatives « d'envenimer » les choses et « d'interférence », ajoutant : « Ce n'est pas dans l'intérêt de l'Australie ». Le Premier ministre australien a averti mercredi dernier que d'importants intérêts économiques étaient en jeu dans cette affaire d'espionnage.
Les intérêts économiques en guise de pression
« L'Australie, bien sûr, a d'importants intérêts économiques dans ses relations avec la Chine, mais je veux aussi rappeler à nos amis chinois que la Chine aussi a d'importants intérêts économiques en jeu, dans ses relations avec l'Australie et avec ses autres partenaires commerciaux dans le monde », a déclaré Kevin Rudd en soulignant que « de nombreux gouvernements et entreprises étrangers » allaient suivre cette affaire de près. L'affaire avait pris une nouvelle dimension la semaine dernière, s'étendant, selon la presse officielle, à de grands aciéristes nationaux dont des responsables se seraient laissé corrompre par les géants miniers étrangers.
Le groupe Rio Tinto a, quant à lui, déclaré vendredi que les allégations chinoises sur l'implication du géant minier anglo-australien dans une affaire de corruption en Chine étaient « sans fondement ». « Rio Tinto poursuit ses activités en Chine et maintient à un haut niveau ses livraisons de minerai d'Australie », a également démenti son directeur, Sam Walsh, dans un communiqué.
« Nous continuons à soutenir pleinement nos employés détenus et pensons qu'ils ont agi en permanence avec intégrité et en accord avec le code d'éthique » de l'entreprise, assure également Sam Walsh".
Bon et à part ça ?
La grippe A ne sera véritablement dangereuse que lorsqu'il aura muté et muté en s'adaptant aux différents milieux qu'il rencontrera ce qui rendra le vaccin caduc avant d'être sorti en pharmacie.
Parce que là, mes trois chers lecteurs, ça sera tintin pour en trouver un concernant l'ensemble de la planète.
Et, sur ces paroles pleines de fiels, je vous laisse à vos amours. Mais, évidemment, je suis très fort pour remonter le moral.
A bientôt.
René.
Bon, que peut-on dire aujourd'hui, à part Mauritanie, Birmanie, Congo Brazzaville, même combat. Les dictateurs finalement se portent bien.
A part ça, bof, rien !
Bon, les chinois sont pas contents du fait que le gouvernement australien n'est pas content au sujet de l'histoire d'espionnage commit selon ses dires par des australiens.
Article des Nouvelles Calédoniennes de ce jour.
"Pékin dénonce le « tapage » australien
Le gouvernement chinois a affirmé que le « tapage en Australie » à propos du cas d'espionnage présumé impliquant Rio Tinto en Chine n'empêcherait pas sa bonne marche judiciaire et s'est élevé contre toute ingérence dans ses affaires judiciaires.
« Il y a un certain tapage en Australie sur ce cas. Ceci constitue une interférence dans la souveraineté judiciaire de la Chine », a réagi le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Qin Gang. Le cas évoqué est celui de Stern Hu, cadre australien du groupe minier anglo-australien Rio Tinto, arrêté le 5 juillet dernier en Chine, avec trois de ses collègues.
La Chine affirme avoir « des preuves suffisantes » que Stern Hu a « volé des secrets d'Etat » et lui a infligé « d'énormes pertes ». Mais en Australie certains ont fait le lien entre l’arrestation de ce cadre du groupe minier anglo-australien Rio Tinto avec l'abandon, début juin par Rio Tinto, d'un important accord stratégique avec le géant public chinois de l'aluminium Chinalco.
« Cela ne peut pas changer les faits objectifs et ne peut pas faire dévier la gestion légale du cas par les autorités chinoises », a ajouté Qin Gang. Soulignant que la Chine « attache une grande importance » aux relations bilatérales, le porte-parole a mis en garde contre les tentatives « d'envenimer » les choses et « d'interférence », ajoutant : « Ce n'est pas dans l'intérêt de l'Australie ». Le Premier ministre australien a averti mercredi dernier que d'importants intérêts économiques étaient en jeu dans cette affaire d'espionnage.
Les intérêts économiques en guise de pression
« L'Australie, bien sûr, a d'importants intérêts économiques dans ses relations avec la Chine, mais je veux aussi rappeler à nos amis chinois que la Chine aussi a d'importants intérêts économiques en jeu, dans ses relations avec l'Australie et avec ses autres partenaires commerciaux dans le monde », a déclaré Kevin Rudd en soulignant que « de nombreux gouvernements et entreprises étrangers » allaient suivre cette affaire de près. L'affaire avait pris une nouvelle dimension la semaine dernière, s'étendant, selon la presse officielle, à de grands aciéristes nationaux dont des responsables se seraient laissé corrompre par les géants miniers étrangers.
Le groupe Rio Tinto a, quant à lui, déclaré vendredi que les allégations chinoises sur l'implication du géant minier anglo-australien dans une affaire de corruption en Chine étaient « sans fondement ». « Rio Tinto poursuit ses activités en Chine et maintient à un haut niveau ses livraisons de minerai d'Australie », a également démenti son directeur, Sam Walsh, dans un communiqué.
« Nous continuons à soutenir pleinement nos employés détenus et pensons qu'ils ont agi en permanence avec intégrité et en accord avec le code d'éthique » de l'entreprise, assure également Sam Walsh".
Bon et à part ça ?
La grippe A ne sera véritablement dangereuse que lorsqu'il aura muté et muté en s'adaptant aux différents milieux qu'il rencontrera ce qui rendra le vaccin caduc avant d'être sorti en pharmacie.
Parce que là, mes trois chers lecteurs, ça sera tintin pour en trouver un concernant l'ensemble de la planète.
Et, sur ces paroles pleines de fiels, je vous laisse à vos amours. Mais, évidemment, je suis très fort pour remonter le moral.
A bientôt.
René.
mercredi 15 juillet 2009
"Mener la vache au château et elle s'enfuira vers l'étable". Proverbe Irlandais. Comprenne qui pourra.
Salut aux compagnons du coquelicot. Nous sommes toujours là. "Armons-nous et partez", telle est notre devise.
Bon aujourd'hui, parlons un peu de la scientologie.
Alors, il parait que lors de l'initiation au dernier niveau, le 7ème, on vous apprend que c'est l'empereur d'une lointaine planète qui a emprisonné les âmes de ses sujets et les a envoyé sur terre.
C'est la raison pour laquelle, notre psychisme nous pose des problèmes et que c'est le retour du roi qui nous amènera à la vérité bienheureuse.
Bon, je veux bien.
Seulement,vis-à-vis de la rencontre du troisième type, je me pose des questions.
L'une, d'abord, c'est qu'ils ne cherchent pas le contact.
L'autre, lors des rares rencontres, ils nous ont plutôt fait le coup de la dissection chirurgicale d'après les victimes.
Donc, d'un côté, ils nous observent, de l'autre, ils se demandent comment nos organes fonctionnent.
Ce qui voudrait dire que pour eux, nous sommes des cobayes. Comme nous avec les souris de laboratoire.
Ce qui voudrait dire aussi que si ils sont ce que nous sommes pour les souris, ils ne doivent pas être à notre image. Plutôt genre monstre, à mon avis.
Qu'ensuite, et là, c'est un scoop, leurs vaisseaux adoptent le principe de la toupie.
Il y a l'enveloppe extérieure dont la vitesse de rotation annule l'effet d'apesanteur et une enveloppe intérieur fixe qui la maintient et annule l'effet d'accélération.
Vous voyez le genre ?
Donc, vu que la vitesse de rotation n'est pas perceptible pour notre oeil, les témoins ont l'impression que l'enveloppe extérieure reste immobile.
Vous voyez le genre ?
Mais, comment, ces vaisseaux se déplacent, me direz-vous mes trois chers lecteurs. Simple, vous n'avez qu'à étudié le déplacement des oiseaux sur les différentes couches d'air et vous comprendrez.
Bon, je ne dis pas qu'à un moment où à un autre un clapet directionnel ne surgisse pas de la surface lisse de l'enveloppe extérieure. Mais, comme, elle tourne trop vite, on ne voit rien.
Donc, donc, si nous voulons voir quelque chose sur les vidéos qui ont été réalisées, il suffit de ralentir le film de N+++++++. Une image plus nette en sortira peut-être.
Mais, en attendant, je vous ai expliqué comment cela marchait. Le principe de la toupie, mes trois chers lecteurs, n'oubliez pas le principe de la toupie.
Sauf, que toujours en attendant, je me demande, si, moi, je ne vais pas me faire un mouvement, genre scientologie mâtinée de rencontre du troisième type avec grandes prêtresses et cartes bleus, histoire de me faire des tunes.
Non, mes trois chers lecteurs, vous ne trouvez pas que c'est une bonne idée.
Alors, tant pis, je resterais donc avec mon petit salaire....de misère !
Bon, j'espère que ce que je vous ai raconté vous a plu parce qu'aujourd'hui, les nouvelles ne sont pas bonnes dans notre monde.
De toute façon, tant que l'on continuera à détruire les biotopes, les virus continueront à vouloir survivre en s'adaptant à d'autres milieux et à d'autres porteurs.
Et, sur ces bonnes paroles pleines de fiels. Je vous souhaite le bonjour chez vous. Et, rassurez-vous, une crise en remplace une autre.
René.
Bon aujourd'hui, parlons un peu de la scientologie.
Alors, il parait que lors de l'initiation au dernier niveau, le 7ème, on vous apprend que c'est l'empereur d'une lointaine planète qui a emprisonné les âmes de ses sujets et les a envoyé sur terre.
C'est la raison pour laquelle, notre psychisme nous pose des problèmes et que c'est le retour du roi qui nous amènera à la vérité bienheureuse.
Bon, je veux bien.
Seulement,vis-à-vis de la rencontre du troisième type, je me pose des questions.
L'une, d'abord, c'est qu'ils ne cherchent pas le contact.
L'autre, lors des rares rencontres, ils nous ont plutôt fait le coup de la dissection chirurgicale d'après les victimes.
Donc, d'un côté, ils nous observent, de l'autre, ils se demandent comment nos organes fonctionnent.
Ce qui voudrait dire que pour eux, nous sommes des cobayes. Comme nous avec les souris de laboratoire.
Ce qui voudrait dire aussi que si ils sont ce que nous sommes pour les souris, ils ne doivent pas être à notre image. Plutôt genre monstre, à mon avis.
Qu'ensuite, et là, c'est un scoop, leurs vaisseaux adoptent le principe de la toupie.
Il y a l'enveloppe extérieure dont la vitesse de rotation annule l'effet d'apesanteur et une enveloppe intérieur fixe qui la maintient et annule l'effet d'accélération.
Vous voyez le genre ?
Donc, vu que la vitesse de rotation n'est pas perceptible pour notre oeil, les témoins ont l'impression que l'enveloppe extérieure reste immobile.
Vous voyez le genre ?
Mais, comment, ces vaisseaux se déplacent, me direz-vous mes trois chers lecteurs. Simple, vous n'avez qu'à étudié le déplacement des oiseaux sur les différentes couches d'air et vous comprendrez.
Bon, je ne dis pas qu'à un moment où à un autre un clapet directionnel ne surgisse pas de la surface lisse de l'enveloppe extérieure. Mais, comme, elle tourne trop vite, on ne voit rien.
Donc, donc, si nous voulons voir quelque chose sur les vidéos qui ont été réalisées, il suffit de ralentir le film de N+++++++. Une image plus nette en sortira peut-être.
Mais, en attendant, je vous ai expliqué comment cela marchait. Le principe de la toupie, mes trois chers lecteurs, n'oubliez pas le principe de la toupie.
Sauf, que toujours en attendant, je me demande, si, moi, je ne vais pas me faire un mouvement, genre scientologie mâtinée de rencontre du troisième type avec grandes prêtresses et cartes bleus, histoire de me faire des tunes.
Non, mes trois chers lecteurs, vous ne trouvez pas que c'est une bonne idée.
Alors, tant pis, je resterais donc avec mon petit salaire....de misère !
Bon, j'espère que ce que je vous ai raconté vous a plu parce qu'aujourd'hui, les nouvelles ne sont pas bonnes dans notre monde.
De toute façon, tant que l'on continuera à détruire les biotopes, les virus continueront à vouloir survivre en s'adaptant à d'autres milieux et à d'autres porteurs.
Et, sur ces bonnes paroles pleines de fiels. Je vous souhaite le bonjour chez vous. Et, rassurez-vous, une crise en remplace une autre.
René.
lundi 13 juillet 2009
«Le onzième commandement : Mêlez-vous de vos affaires.» Proverbe Anglais. Ca ne m'étonne pas des anglais !
Salut à mes trois chers lecteurs que j'ai abandonné pendant une semaine entière. Rassurez-vous, ce ne sera pas la dernière fois.
Quelques nouvelles de l'élection présidentielle du Congo Brazza qui a eu lieu dimanche. Même pas besoin de vous dire qui a été élu ! Et, tout ça avec le soutien du gouvernement français, qu'on se le dise.
Le pétrole, me dites-vous en est l'une des raisons. Comme le pétrole est l'excuse de Total pour polluer et empoissonner les populations du delta du Nigeria qui tentent vaille que vaille de se défendre en enlevant des salariés des plateformes pétrolières.
En France ou en Occident, jamais, les gouvernements laisseraient faire. Mais, l'Afrique, ce n'est pas un continent civilisé. Alors, ils peuvent tous crever ! Après tout, ils ne sont pas vraiment humains !
Mais revenons au Congo Brazza. Donc :
"Patrick Gaubert répond à Miguel Amado
Le chef de la délégation de la Commission européenne au Congo, Miguel Amado, a fait part samedi de sa "grande préoccupation" sur le fichier électoral utilisé pour le scrutin présidentiel qui se déroule dimanche dans le pays. Le représentant européen souligne que « le recensement électoral, notamment, n'a pas été fait en bonne et due forme (…).
« Si toutes les améliorations nécessaires avaient été faites, le pays aurait été probablement mieux placé pour avoir des observateurs (de l’Union européenne, ndlr) ».
Les déclarations de M. Amado sont surprenantes, d’autant qu’elles interviennent 24h avant l’ouverture des bureaux de vote, estime le député européen Patrick Gaubert (photo), actuellement à Brazzaville en qualité d’observateur invité par la CNDH.
« Pourquoi Miguel Amado n’a-t-il pas fait ces remarques il y a plusieurs mois au Premier ministre, au ministre de l’Administration territoriale ou au président de la Conel. Nous avons justement rencontré le président de la Conel ce matin qui nous a indiqué n’avoir jamais rencontré l’ambassadeur européen. Avouez que c’est étonnant. Le ministre des Affaires étrangères congolais nous a fait remarquer de son côté n’avoir jamais eu la moindre remarque de la représentation européenne au Congo sur l’organisation des élections ».
Patrick Gaubert revient également sur les affirmations de Miguel Amado concernant l’absence d’observateurs de l’Union européenne le 12 juillet. Pour le député européen, les choses ne se sont pas déroulées de cette façon. « Le président de la Conel s’est rendu à Bruxelles où on lui a fait savoir que les observateurs européens étaient déjà mobilisés sur d’autres théâtres d’opération et qu’il était impossible de dégager une mission supplémentaire au Congo. La réponse de l’UE est donc un refus technique et certainement pas politique comme le suggère M. Amado".
Patrick Gaubert est accompagné au Congo de l’ancien ministre français de la Justice, Jacques Toubon, également député européen.
Publié le 11 juillet 2009".
Et, que se passe-t-il ailleurs ?
Et, bien à Tahiti, on réfléchit selon les Nouvelles de Tahiti de ce jour.
"ATELIERS. Dexter Cave, ancien responsable du laboratoire du SDR de Papara aujourd'hui à la retraite parachève la proposition qu'il fera dans les trois ou quatre ateliers auxquels il participe activement : revenir à la source, l'être humain".
Et, oui à Tahiti, on réfléchit alors que les grandes banques américaines réfléchissent aux States pour remettre le spéculatif et les primes à la casse accordées aux traideurs au centre du jeu économique.
Comme quoi, les préoccupations ne sont pas les mêmes selon les océans que l'on franchit. Et, à mon avis, dans les trois ans, nous repartons pour une crise alors que la premières ne sera même pas encaissée par les pouvoirs publics et les travailleurs du monde entier. Et, là, je dis pouvoirs publics, parce que c'est eux qui ont payé avec notre argent et qu'ils n'ont même pas su mettre en place des gardes fous pour empêcher les fous de recommencer. Trois ans, c'est ce que je donne pour que nous connaissions pire !
A part ça, je demande le départ du président de la Georgie qui a provoqué la guerre et la perte définitive de territoires !
A part ça, je demande qu'en Iran, la société civile prépare le mieux possible la grève générale !
A part ça, je demande qu'en France, le PS élargisse une possible candidature présidentielle à la société civile ou aux autres partis et que les militants puissent avoir le choix !
A part ça, je propose que je sois moins cons et moins imbus de moi même pour ne pas un jour ressembler au professeur Nimbus.
A part ça, battez-vous, si vous voulez survivre et n'attendez plus rien d'aucun représentants de quoi que ce soit.
René.
Quelques nouvelles de l'élection présidentielle du Congo Brazza qui a eu lieu dimanche. Même pas besoin de vous dire qui a été élu ! Et, tout ça avec le soutien du gouvernement français, qu'on se le dise.
Le pétrole, me dites-vous en est l'une des raisons. Comme le pétrole est l'excuse de Total pour polluer et empoissonner les populations du delta du Nigeria qui tentent vaille que vaille de se défendre en enlevant des salariés des plateformes pétrolières.
En France ou en Occident, jamais, les gouvernements laisseraient faire. Mais, l'Afrique, ce n'est pas un continent civilisé. Alors, ils peuvent tous crever ! Après tout, ils ne sont pas vraiment humains !
Mais revenons au Congo Brazza. Donc :
"Patrick Gaubert répond à Miguel Amado
Le chef de la délégation de la Commission européenne au Congo, Miguel Amado, a fait part samedi de sa "grande préoccupation" sur le fichier électoral utilisé pour le scrutin présidentiel qui se déroule dimanche dans le pays. Le représentant européen souligne que « le recensement électoral, notamment, n'a pas été fait en bonne et due forme (…).
« Si toutes les améliorations nécessaires avaient été faites, le pays aurait été probablement mieux placé pour avoir des observateurs (de l’Union européenne, ndlr) ».
Les déclarations de M. Amado sont surprenantes, d’autant qu’elles interviennent 24h avant l’ouverture des bureaux de vote, estime le député européen Patrick Gaubert (photo), actuellement à Brazzaville en qualité d’observateur invité par la CNDH.
« Pourquoi Miguel Amado n’a-t-il pas fait ces remarques il y a plusieurs mois au Premier ministre, au ministre de l’Administration territoriale ou au président de la Conel. Nous avons justement rencontré le président de la Conel ce matin qui nous a indiqué n’avoir jamais rencontré l’ambassadeur européen. Avouez que c’est étonnant. Le ministre des Affaires étrangères congolais nous a fait remarquer de son côté n’avoir jamais eu la moindre remarque de la représentation européenne au Congo sur l’organisation des élections ».
Patrick Gaubert revient également sur les affirmations de Miguel Amado concernant l’absence d’observateurs de l’Union européenne le 12 juillet. Pour le député européen, les choses ne se sont pas déroulées de cette façon. « Le président de la Conel s’est rendu à Bruxelles où on lui a fait savoir que les observateurs européens étaient déjà mobilisés sur d’autres théâtres d’opération et qu’il était impossible de dégager une mission supplémentaire au Congo. La réponse de l’UE est donc un refus technique et certainement pas politique comme le suggère M. Amado".
Patrick Gaubert est accompagné au Congo de l’ancien ministre français de la Justice, Jacques Toubon, également député européen.
Publié le 11 juillet 2009".
Et, que se passe-t-il ailleurs ?
Et, bien à Tahiti, on réfléchit selon les Nouvelles de Tahiti de ce jour.
"ATELIERS. Dexter Cave, ancien responsable du laboratoire du SDR de Papara aujourd'hui à la retraite parachève la proposition qu'il fera dans les trois ou quatre ateliers auxquels il participe activement : revenir à la source, l'être humain".
Et, oui à Tahiti, on réfléchit alors que les grandes banques américaines réfléchissent aux States pour remettre le spéculatif et les primes à la casse accordées aux traideurs au centre du jeu économique.
Comme quoi, les préoccupations ne sont pas les mêmes selon les océans que l'on franchit. Et, à mon avis, dans les trois ans, nous repartons pour une crise alors que la premières ne sera même pas encaissée par les pouvoirs publics et les travailleurs du monde entier. Et, là, je dis pouvoirs publics, parce que c'est eux qui ont payé avec notre argent et qu'ils n'ont même pas su mettre en place des gardes fous pour empêcher les fous de recommencer. Trois ans, c'est ce que je donne pour que nous connaissions pire !
A part ça, je demande le départ du président de la Georgie qui a provoqué la guerre et la perte définitive de territoires !
A part ça, je demande qu'en Iran, la société civile prépare le mieux possible la grève générale !
A part ça, je demande qu'en France, le PS élargisse une possible candidature présidentielle à la société civile ou aux autres partis et que les militants puissent avoir le choix !
A part ça, je propose que je sois moins cons et moins imbus de moi même pour ne pas un jour ressembler au professeur Nimbus.
A part ça, battez-vous, si vous voulez survivre et n'attendez plus rien d'aucun représentants de quoi que ce soit.
René.
mercredi 1 juillet 2009
Aujourd'hui, une bonne nouvelle pour la Calédonie. La libre circulation des marchandises prônée par l'OMC fait des émules.
Article des Nouvelles Calédoniennes de ce jour.
"Une nouvelle fourmi envahissante
Une nouvelle espèce de fourmi envahissante vient d’être repérée sur le Caillou. Problème : la fourmi de Singapour, Monomorium Destructor, de son petit nom, raffole particulièrement des câbles électriques.
Elle n’est pas franchement dangereuse pour l’homme, mais elle présente l’inconvénient d’être classée dans la catégorie des espèces envahissantes. Et semble particulièrement attirée par les gaines plastiques des fils électriques. La Monomorium Destructor, de son nom savant qui n’a pas vraiment besoin d’explication de texte, est communément appelée « fourmi de Singapour » (mais originaire d’Afrique) et peut causer des dégâts mineurs sur les installations électriques. Des dégâts qui peuvent néanmoins avoir des conséquences majeures, comme un court-circuit. C’est bête, mais elle vient récemment d’être repérée sur le Caillou.
Les premières fourmis de ce genre ont été repérées au début du mois de mai sur le port de la SLN, à Doniambo, lors d’un contrôle de routine. « Ces fourmis ont vraisemblablement débarqué via le bois des palettes », indique Julien Le Breton, docteur en biologie chargé d’effectuer ces contrôles.
« Ces fourmis ont vraisemblablement débarqué via le bois des palettes »
« Les services vétérinaires calédoniens ont calqué leur réglementation sur les protocoles de surveillance des autres pays de la zone afin de mener une politique de surveillance homogène », précise-t-il. C’est à ce titre que tous les six mois, certaines installations industrielles sont passées au peigne fin. En fait, des appâts ont été disposés sur le secteur : c’est comme cela que les fourmis ont été repérées.
Le 18 juin, le même type de fourmi a été repéré une seconde fois à Rivière-Salée, cette fois dans les locaux d’une association ornithologique. Ce qui fait dire à Julien Le Breton que « l’espèce est donc vraisemblablement plus présente qu’on ne le croit en Nouvelle-Calédonie ». Et comme « son impact n’est pas anodin dans les milieux urbains, il est donc utile de tenter de dresser un état des lieux de l’espèce, avant d’en arriver à une alerte générale ». C’est dans ce but qu’il est demandé à toute personne constatant l’existence d’une colonie à son domicile de prendre contact avec le spécialiste. « Les électriciens ou tous ceux qui interviennent dans les professions du bâtiment sont invités à être particulièrement vigilants », conclut Julien Le Breton, car « la détection d’une nouvelle espèce envahissante est toujours préoccupante ».
Les observations peuvent être transmises à Julien Le Breton par mail (julien.lebreton@gmail.com), par téléphone (78 27 84) ou par fax (43 69 28)
Pierrick Chatel
Comment la reconnaître ?
Les ouvrières de la fourmi de Singapour sont assez allongées et jaune clair, sauf l’abdomen qui est bien plus sombre. Elles sont polymorphiques (de différentes tailles au sein de la même colonie). Leur taille varie de 1,8 à 3,5 mm. Les ouvrières affectionnent les équipements électriques où on peut les observer se suivant les unes derrière les autres.
Et en cas de découverte ?
Il faut absolument entreprendre une éradication en utilisant des appâts empoissonnés à base de lipides. Ces insecticides sont disponibles auprès des entreprises spécialisées dans le traitement antiparasitaire. Mais pour évaluer la dispersion de l’espèce en Nouvelle-Calédonie, il faut également contacter Julien Le Breton.
La fourmi de Singapour est assez allongée et jaune clair. Si vous en repérez une colonie à votre domicile, il faut l’éradiquer à l’aide d’appâts empoisonnés à base de lipides. (Photo Eli Sarmat, université de Californie)"
Et une nouvelle du front de la grippe A, toujours des Nouvelles Calédoniennes.
"Front uni face à la grippe A
Hier, les acteurs sanitaires du territoire ont fait le point sur le dispositif prévu face à la menace d’épidémie. Chacun doit se préparer à adopter les bons réflexes. Le nombre de cas avérés est passé à sept hier soir.
Avec un septième cas de grippe A diagnostiqué hier soir, une femme fraîchement revenue d’Australie, la Nouvelle-Calédonie s’attend plus que jamais à voir entrer l’épidémie sur le territoire. Mais jusqu’ici, il ne s’agit encore que de cas « importés », c’est-à-dire concernant des personnes contaminées lors d’un voyage en Australie ou en Nouvelle-Zélande.
« Notre objectif est de retarder le plus possible l’émergence de cas locaux, transmis sur place », a rappelé hier Philippe Dunoyer, porte-parole du gouvernement, entouré des responsables de la Dass, de l’Institut Pasteur, du CHT et de l’Etat. Ce dernier veut voir dans ce « stade très précoce de l’épidémie en Calédonie » le signe de « l’efficacité » du dispositif mis en place, puisque quatre malades ont été repérés grâce à la caméra thermique de l’aéroport et trois autres en appelant le 15 dès l’apparition des premiers symptômes.
Certains malades resteront chez eux
Sur ces sept personnes, toutes placées sous Tamiflu au centre d’isolement Raoul-Follereau, deux sortiront aujourd’hui et devront porter un masque durant encore quarante-huit heures. Au total, près de 80 personnes ayant été en contact avec les malades ont été mises sous surveillance et sous traitement préventif. Et 37 dépistages ont été réalisés par l’Institut Pasteur. « Nous ne nous faisons pas d’illusions. Il n’y a aucune raison pour que la Calédonie échappe à l’épidémie. Mais nous sommes aujourd’hui armés pour y faire face », affirme Philippe Dunoyer, en évoquant les 50 000 boîtes de Tamiflu et les 2,3 millions de masques dont dispose le territoire aujourd’hui. « On a une certaine marge devant nous, sachant que l’Etat pourra nous approvisionner en plus si besoin. »
Dès que la propagation du virus sera avérée localement, l’objectif sera « d’écraser au maximum la courbe épidémiologique, afin que les conséquences sociales et économiques soient le plus supportables possible », souligne Hugues Malecki, directeur de cabinet du haussariat.
Aussi, dès que le nombre de cas excédera la capacité du centre Follereau (12 lits), le traitement des malades « se fera chez eux à domicile », avec un certain nombre de préconisations que devra aussi respecter leur entourage. À cet effet, un guide de bonne conduite a été édité par le gouvernement à 30 000 exemplaires. Aussi, tous les médecins, pharmaciens et ambulanciers disposent d’ores et déjà de kits avec un masque pour se protéger.
« Seuls les cas les plus graves seront traités dans les hôpitaux, ajoute Philippe Dunoyer. Il faut rappeler qu’il s’agit d’une maladie faiblement mortelle, moins de 0,5%. La situation est préoccupante mais la psychose ne doit pas s’installer. »
Pour autant, le 15 reste le numéro à composer au moindre doute (*). Les Calédoniens l’ont bien compris puisque le Samu reçoit 30 % d’appels en plus ces derniers jours.
Sy.A".
Voilà, c'est tout pour aujourd'hui.
René.
Article des Nouvelles Calédoniennes de ce jour.
"Une nouvelle fourmi envahissante
Une nouvelle espèce de fourmi envahissante vient d’être repérée sur le Caillou. Problème : la fourmi de Singapour, Monomorium Destructor, de son petit nom, raffole particulièrement des câbles électriques.
Elle n’est pas franchement dangereuse pour l’homme, mais elle présente l’inconvénient d’être classée dans la catégorie des espèces envahissantes. Et semble particulièrement attirée par les gaines plastiques des fils électriques. La Monomorium Destructor, de son nom savant qui n’a pas vraiment besoin d’explication de texte, est communément appelée « fourmi de Singapour » (mais originaire d’Afrique) et peut causer des dégâts mineurs sur les installations électriques. Des dégâts qui peuvent néanmoins avoir des conséquences majeures, comme un court-circuit. C’est bête, mais elle vient récemment d’être repérée sur le Caillou.
Les premières fourmis de ce genre ont été repérées au début du mois de mai sur le port de la SLN, à Doniambo, lors d’un contrôle de routine. « Ces fourmis ont vraisemblablement débarqué via le bois des palettes », indique Julien Le Breton, docteur en biologie chargé d’effectuer ces contrôles.
« Ces fourmis ont vraisemblablement débarqué via le bois des palettes »
« Les services vétérinaires calédoniens ont calqué leur réglementation sur les protocoles de surveillance des autres pays de la zone afin de mener une politique de surveillance homogène », précise-t-il. C’est à ce titre que tous les six mois, certaines installations industrielles sont passées au peigne fin. En fait, des appâts ont été disposés sur le secteur : c’est comme cela que les fourmis ont été repérées.
Le 18 juin, le même type de fourmi a été repéré une seconde fois à Rivière-Salée, cette fois dans les locaux d’une association ornithologique. Ce qui fait dire à Julien Le Breton que « l’espèce est donc vraisemblablement plus présente qu’on ne le croit en Nouvelle-Calédonie ». Et comme « son impact n’est pas anodin dans les milieux urbains, il est donc utile de tenter de dresser un état des lieux de l’espèce, avant d’en arriver à une alerte générale ». C’est dans ce but qu’il est demandé à toute personne constatant l’existence d’une colonie à son domicile de prendre contact avec le spécialiste. « Les électriciens ou tous ceux qui interviennent dans les professions du bâtiment sont invités à être particulièrement vigilants », conclut Julien Le Breton, car « la détection d’une nouvelle espèce envahissante est toujours préoccupante ».
Les observations peuvent être transmises à Julien Le Breton par mail (julien.lebreton@gmail.com), par téléphone (78 27 84) ou par fax (43 69 28)
Pierrick Chatel
Comment la reconnaître ?
Les ouvrières de la fourmi de Singapour sont assez allongées et jaune clair, sauf l’abdomen qui est bien plus sombre. Elles sont polymorphiques (de différentes tailles au sein de la même colonie). Leur taille varie de 1,8 à 3,5 mm. Les ouvrières affectionnent les équipements électriques où on peut les observer se suivant les unes derrière les autres.
Et en cas de découverte ?
Il faut absolument entreprendre une éradication en utilisant des appâts empoissonnés à base de lipides. Ces insecticides sont disponibles auprès des entreprises spécialisées dans le traitement antiparasitaire. Mais pour évaluer la dispersion de l’espèce en Nouvelle-Calédonie, il faut également contacter Julien Le Breton.
La fourmi de Singapour est assez allongée et jaune clair. Si vous en repérez une colonie à votre domicile, il faut l’éradiquer à l’aide d’appâts empoisonnés à base de lipides. (Photo Eli Sarmat, université de Californie)"
Et une nouvelle du front de la grippe A, toujours des Nouvelles Calédoniennes.
"Front uni face à la grippe A
Hier, les acteurs sanitaires du territoire ont fait le point sur le dispositif prévu face à la menace d’épidémie. Chacun doit se préparer à adopter les bons réflexes. Le nombre de cas avérés est passé à sept hier soir.
Avec un septième cas de grippe A diagnostiqué hier soir, une femme fraîchement revenue d’Australie, la Nouvelle-Calédonie s’attend plus que jamais à voir entrer l’épidémie sur le territoire. Mais jusqu’ici, il ne s’agit encore que de cas « importés », c’est-à-dire concernant des personnes contaminées lors d’un voyage en Australie ou en Nouvelle-Zélande.
« Notre objectif est de retarder le plus possible l’émergence de cas locaux, transmis sur place », a rappelé hier Philippe Dunoyer, porte-parole du gouvernement, entouré des responsables de la Dass, de l’Institut Pasteur, du CHT et de l’Etat. Ce dernier veut voir dans ce « stade très précoce de l’épidémie en Calédonie » le signe de « l’efficacité » du dispositif mis en place, puisque quatre malades ont été repérés grâce à la caméra thermique de l’aéroport et trois autres en appelant le 15 dès l’apparition des premiers symptômes.
Certains malades resteront chez eux
Sur ces sept personnes, toutes placées sous Tamiflu au centre d’isolement Raoul-Follereau, deux sortiront aujourd’hui et devront porter un masque durant encore quarante-huit heures. Au total, près de 80 personnes ayant été en contact avec les malades ont été mises sous surveillance et sous traitement préventif. Et 37 dépistages ont été réalisés par l’Institut Pasteur. « Nous ne nous faisons pas d’illusions. Il n’y a aucune raison pour que la Calédonie échappe à l’épidémie. Mais nous sommes aujourd’hui armés pour y faire face », affirme Philippe Dunoyer, en évoquant les 50 000 boîtes de Tamiflu et les 2,3 millions de masques dont dispose le territoire aujourd’hui. « On a une certaine marge devant nous, sachant que l’Etat pourra nous approvisionner en plus si besoin. »
Dès que la propagation du virus sera avérée localement, l’objectif sera « d’écraser au maximum la courbe épidémiologique, afin que les conséquences sociales et économiques soient le plus supportables possible », souligne Hugues Malecki, directeur de cabinet du haussariat.
Aussi, dès que le nombre de cas excédera la capacité du centre Follereau (12 lits), le traitement des malades « se fera chez eux à domicile », avec un certain nombre de préconisations que devra aussi respecter leur entourage. À cet effet, un guide de bonne conduite a été édité par le gouvernement à 30 000 exemplaires. Aussi, tous les médecins, pharmaciens et ambulanciers disposent d’ores et déjà de kits avec un masque pour se protéger.
« Seuls les cas les plus graves seront traités dans les hôpitaux, ajoute Philippe Dunoyer. Il faut rappeler qu’il s’agit d’une maladie faiblement mortelle, moins de 0,5%. La situation est préoccupante mais la psychose ne doit pas s’installer. »
Pour autant, le 15 reste le numéro à composer au moindre doute (*). Les Calédoniens l’ont bien compris puisque le Samu reçoit 30 % d’appels en plus ces derniers jours.
Sy.A".
Voilà, c'est tout pour aujourd'hui.
René.
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