Pas de titre, pas de discours aujourd'hui.
Poutine va se ramasser un gros problème dans sa gueule.
C'est tout.
René.
vendredi 28 septembre 2007
mercredi 26 septembre 2007
Celui qui suit la voie de la vérité, trouvera la vérité et le chemin de l'apaisement de la conscience universelle.
Salut à Gagarine, le spoutnik un jour s'installera sur la lune.
Combien de temps tiendra le gouvernement de Fillon?
Un flottement se fait sentir du côté des affidés qui ont voté pour Sarkho. Les déclarations intempestives des uns et des autres, du genre que l'on fait dans les salons et non pas en tant que représentant de l'Etat provoquent un malaise.
La question se fait de plus en plus prégnante, "C'est quoi ce gouvernement ?"
D'un côté, on a un président qui décrète la croissance qui se fait la malle en loucdé. De l'autre, des ministres qui ne réfléchissent pas à ce qu'ils disent.
Par exemple, souvenons-nous de la déclaration de Kouchner qui souhaitait qu'une force internationale se rende en Somalie alors que les militants des tribunaux religieux préparaient leur prochaine offensive. L'offensive est en cours à coup de bombes, de kamikaze, de harcèlement meurtrier. Alors, qu'aurait été faire la France dans ce bourbier.
Par contre, 2000 militaires vont se diriger vers la frontière soudanaise pour intervenir au Darfour. Contre qui ?
Contre les rebelles tchadiens et de Centre Afrique ou contre les milices arabes soudanaises qui massacrent les tribus noires. Il risque d'y avoir confusion des genres et comment se positionnera Kadafi dans ce noeud de vipères ?
Continuera-t-il à armer les rebelles tchadiens ?
Car, on ne me fera pas croire qu'il ne laisse pas passer les armes, à moins qu'il ne les fournisse. Déstabiliser le Tchad après la rouste que les tchadiens lui ont mis a toujours été l'un de ses pêchés mignons. La France lui vend une centrale nucléaire alors qu'il aidera les rebelles tchadiens à affronter l'armée française en cas de clash. Ce qui ne manquera pas de se passer vu que les rebelles et les miliciens arabes soudanais portent tous le même uniforme, des fringues militaires dépareillées.
Alors, à quand un conflit généralisé qui provoquera une pagaille monstre et qui verra Kouchner réclamer plus de soldats. C'est vrai, il faut faire quelque chose, mais la précipitation ne peut être que source de nouveaux conflits.
Voilà, sur ces bonnes paroles, je vous laisse.
René.
Combien de temps tiendra le gouvernement de Fillon?
Un flottement se fait sentir du côté des affidés qui ont voté pour Sarkho. Les déclarations intempestives des uns et des autres, du genre que l'on fait dans les salons et non pas en tant que représentant de l'Etat provoquent un malaise.
La question se fait de plus en plus prégnante, "C'est quoi ce gouvernement ?"
D'un côté, on a un président qui décrète la croissance qui se fait la malle en loucdé. De l'autre, des ministres qui ne réfléchissent pas à ce qu'ils disent.
Par exemple, souvenons-nous de la déclaration de Kouchner qui souhaitait qu'une force internationale se rende en Somalie alors que les militants des tribunaux religieux préparaient leur prochaine offensive. L'offensive est en cours à coup de bombes, de kamikaze, de harcèlement meurtrier. Alors, qu'aurait été faire la France dans ce bourbier.
Par contre, 2000 militaires vont se diriger vers la frontière soudanaise pour intervenir au Darfour. Contre qui ?
Contre les rebelles tchadiens et de Centre Afrique ou contre les milices arabes soudanaises qui massacrent les tribus noires. Il risque d'y avoir confusion des genres et comment se positionnera Kadafi dans ce noeud de vipères ?
Continuera-t-il à armer les rebelles tchadiens ?
Car, on ne me fera pas croire qu'il ne laisse pas passer les armes, à moins qu'il ne les fournisse. Déstabiliser le Tchad après la rouste que les tchadiens lui ont mis a toujours été l'un de ses pêchés mignons. La France lui vend une centrale nucléaire alors qu'il aidera les rebelles tchadiens à affronter l'armée française en cas de clash. Ce qui ne manquera pas de se passer vu que les rebelles et les miliciens arabes soudanais portent tous le même uniforme, des fringues militaires dépareillées.
Alors, à quand un conflit généralisé qui provoquera une pagaille monstre et qui verra Kouchner réclamer plus de soldats. C'est vrai, il faut faire quelque chose, mais la précipitation ne peut être que source de nouveaux conflits.
Voilà, sur ces bonnes paroles, je vous laisse.
René.
mardi 25 septembre 2007
A l'université de Colombia, le loup dit, "Je ne dis pas qu'Israël doit être détruite, je dis qu'elle n'a pas d'existence légale".
Salut l'espérance. Depuis le temps qu'on te court après, tu dois t'appeler désirade.
Bon, l'Afganistan, c'est foutu. Il faudra bien retirer les troupes un jour ou l'autre. Après tout, à quoi sert de soutenir des seigneurs de la guerre qui jouent en même temps aux trafiquants d'opium et qui pour certains passent à l'héroïne.
Eux, ils trafiquent à tout va sans risque. Dans les pays occidentaux qui les soutiennent, on condamne ceux qui vendent de la drogue à de lourdes peines de prison et dans certains pays, en plus, à la confiscation de leur bien mal acquis.
Finalement, il n'y a eu que les Talibans pour combattre le trafic lors de leurs beaux jours. A se demander si ce ne sont pas les trafiquants internationaux qui ont poussé les occidentaux à intervenir en Afganistan.
Le gouvernement afgan est pourri. Alors, pourquoi, les occidentaux le soutiennent ? Parce que cela aura un effet de domino et que l'Irak tombera après et qu'après l'Irak, ça sera la Jordanie.
Et, que dans chaque pays, les chiites en prendront plein la gueule.
Au Liban, le Hezbollah a marqué des points. Sauf que les autres confessions les matent mauvais en se demandant quand la situation va exploser à nouveau. L'Iran fera tout pour que les chiites contrôlent le pays avec l'appui de la Syrie. La Syrie parce qu'elle est intéressée à déstabiliser le pays du Cèdre et qu'elle n'a pas perdue espoir de récupérer sa province maritime. Est-ce que ça ne vous rappelle pas une histoire avec Saddam Hussein et le koweit ?
Vous avez vu comment il a fini ? Le président syrien est plus malin, il joue sur le fil du temps. A la limite, si Israël le laisse faire, il oubliera peut-être le plateau du Golan en le laissant aux israêliens.
Alors, quand le père Kouchner s'imagine qu'il va prendre langue avec lui. Il se croit sûrement plus intelligent que tout le monde. Le rentre dedans en politique international, c'est du pipeau, qu'on se le dise. Mais, il a de qui tenir ! Son patron pratique la même à tous les niveaux, en politique intérieur aussi bien qu'en politique international. Et, maintenant, voilà qu'il se met à vouloir vendre la technologie nucléaire à toute la planète. Tchernobyl, multiplie-toi, surtout, si il vend cette technologie à des pays qui ne la contrôle pas. N'as-t-on pas dit que le nucléaire civil peut amener au nucléaire militaire plus facilement ?
On se demande où il va chercher toutes ses idées ? Dans une pochette surprise ?
Déjà, qu'il va en vendre à Khadhafi. On se demande ce que Kadhafi en a besoin avec tout son pétrole. Et, en plus, Kadhafi et le changement climatique, ça fait deux.
La planète couverte de centrales nucléaires, pratiquement toutes construites par la France, que c'est beau ! Sauf, l'Iran n'a pas le droit d'accéder au nucléaire militaire. Cela pour éviter un jour entre tous les pays émergents qui l'obtiendront un petit conflit nucléaire dans les quinze ans qui viennent.
Plus, il y aura de centrales et plus, il y aura de cibles pour les terroristes. Surtout dans les pays qui ne seront pas capables d'en assurer la sécurité. De toute façon, un vieux missile dans une centrale nucléaire israëlienne et vlan, même pas besoin de faire la guerre.
Quelle drôle d'époque. Au moins avec Sarko, on ne risque pas de mourir idiot.
Et, sur ces bonnes paroles, je vous quitte. Ciao, Ciao.
René.
Bon, l'Afganistan, c'est foutu. Il faudra bien retirer les troupes un jour ou l'autre. Après tout, à quoi sert de soutenir des seigneurs de la guerre qui jouent en même temps aux trafiquants d'opium et qui pour certains passent à l'héroïne.
Eux, ils trafiquent à tout va sans risque. Dans les pays occidentaux qui les soutiennent, on condamne ceux qui vendent de la drogue à de lourdes peines de prison et dans certains pays, en plus, à la confiscation de leur bien mal acquis.
Finalement, il n'y a eu que les Talibans pour combattre le trafic lors de leurs beaux jours. A se demander si ce ne sont pas les trafiquants internationaux qui ont poussé les occidentaux à intervenir en Afganistan.
Le gouvernement afgan est pourri. Alors, pourquoi, les occidentaux le soutiennent ? Parce que cela aura un effet de domino et que l'Irak tombera après et qu'après l'Irak, ça sera la Jordanie.
Et, que dans chaque pays, les chiites en prendront plein la gueule.
Au Liban, le Hezbollah a marqué des points. Sauf que les autres confessions les matent mauvais en se demandant quand la situation va exploser à nouveau. L'Iran fera tout pour que les chiites contrôlent le pays avec l'appui de la Syrie. La Syrie parce qu'elle est intéressée à déstabiliser le pays du Cèdre et qu'elle n'a pas perdue espoir de récupérer sa province maritime. Est-ce que ça ne vous rappelle pas une histoire avec Saddam Hussein et le koweit ?
Vous avez vu comment il a fini ? Le président syrien est plus malin, il joue sur le fil du temps. A la limite, si Israël le laisse faire, il oubliera peut-être le plateau du Golan en le laissant aux israêliens.
Alors, quand le père Kouchner s'imagine qu'il va prendre langue avec lui. Il se croit sûrement plus intelligent que tout le monde. Le rentre dedans en politique international, c'est du pipeau, qu'on se le dise. Mais, il a de qui tenir ! Son patron pratique la même à tous les niveaux, en politique intérieur aussi bien qu'en politique international. Et, maintenant, voilà qu'il se met à vouloir vendre la technologie nucléaire à toute la planète. Tchernobyl, multiplie-toi, surtout, si il vend cette technologie à des pays qui ne la contrôle pas. N'as-t-on pas dit que le nucléaire civil peut amener au nucléaire militaire plus facilement ?
On se demande où il va chercher toutes ses idées ? Dans une pochette surprise ?
Déjà, qu'il va en vendre à Khadhafi. On se demande ce que Kadhafi en a besoin avec tout son pétrole. Et, en plus, Kadhafi et le changement climatique, ça fait deux.
La planète couverte de centrales nucléaires, pratiquement toutes construites par la France, que c'est beau ! Sauf, l'Iran n'a pas le droit d'accéder au nucléaire militaire. Cela pour éviter un jour entre tous les pays émergents qui l'obtiendront un petit conflit nucléaire dans les quinze ans qui viennent.
Plus, il y aura de centrales et plus, il y aura de cibles pour les terroristes. Surtout dans les pays qui ne seront pas capables d'en assurer la sécurité. De toute façon, un vieux missile dans une centrale nucléaire israëlienne et vlan, même pas besoin de faire la guerre.
Quelle drôle d'époque. Au moins avec Sarko, on ne risque pas de mourir idiot.
Et, sur ces bonnes paroles, je vous quitte. Ciao, Ciao.
René.
lundi 24 septembre 2007
Le salarié est une espèce en voie de disparition. Saluons l'émergence de cette nouvelle race de sans, la génération des loisirs
Un grand salut aux derniers mormons qui restent fidèles à la polygamie. Heureusement que le viagra est là.
Le système est en faillite, dixit Fillon. Ben, oui et alors. Cela veut dire quoi ? Que le gouvernement va être trop court pour continuer à faire ses cadeaux fiscaux aux richards et aux entreprises. Pourtant, il reste des bijoux de famille, France Télécom, la SNCF, la RATP, EDF-GDF, Elf-Erap et j'en passe et des meilleurs. Ensuite, il restera le bon peuple de France à tondre, même si il l'est déjà passablement.
Alors, pourquoi ce moment de déprime qui me semble un peu exagéré ?
Mais, peut-être que par système, Fillon parle de la couverture sociale, des caisses retraites et du code du travail.
Bon, disons qu'il va vendre en premier temps le total et après, il va faire du patronat, le maître roi. Plus de protection sociale, plus de protection de son embauche et de son lieu de travail. Nous redevenons des nomades et nous allons courir d'emploi en emploi sans possibilité de fonder une famille puisque la précarisassion nous en empêchera.
Les patrons réclament la fin des licenciements cadrés, l'une des conditions pour eux pour relancer l'emploi alors qu'ils continuent à délocaliser.
Ils font voyager leurs entreprises de la Roumanie à la Tunisie, de la Tunisie à la Chine, de la Chine au Vietnam, tout ça pour faire un maximum de marge.
Ce qui est paradoxal maintenant, c'est que ce sont les retraités qui tuent le travail et qui en cherchant à augmenter leur part de dividende à travers la spéculation anéantissent des pans entiers d'industrie dans les pays qui leur rapporte le plus.
Ce qui est paradoxal également, c'est qu'en détruisant le pouvoir d'achat des pays occidentaux, ils sont en train de scier la branche sur laquelle ils sont assis. Parce que ce ne sont pas les élites qui ont une consommation sélective qui achèteront tous ces produits dont ils nous inondent par pays émergents interposés.
Parce qu'entre-nous, ce ne sont pas les paysans indiens qui vont acheter des micros ondes. Par contre les salariés français, oui. Ce qui signifie qu'à court terme, tous ces industriels qui s'installent en Chine devront prospecter le marché intérieur chinois et gageons que les prix ne seront pas les mêmes.
Qu'importe après tout, le système est en faillite.
A moins que ce ne soit la capacité de nos industriels à trouver de nouveaux produits ou à améliorer les leurs qui est en faillite.
La France manquant d'imagination. Pourtant, il a été de bon ton de dire à une époque "qu'en France, nous n'avions pas de pétrole, mais, nous avions des idées".
Ce temps est comme le temps des cerises, il est passé.
Le tissu industriel se meurt, dit-on, est-ce vrai ?
C'est vrai, mais lequel ?
Lorsque le Japon était émergent, il mettait le tissu industriel français en danger. Pourtant, nous avons survécu. Pourquoi, nous ne survivions pas maintenant ?
Quel est le tissu industriel à développer pour que nous survivions ?
De haute technologie, c'est sûr. Mais, il faut avoir les personnels formés. Les formons-nous ? Totu en sachant que cela ne couvrira pas l'ensemble du territoire national.
Fillon nous annonce la précarisassion de la population sous prétexte que le système est en faillite, n'est-ce pas lui qui est en faillite d'idées ?
Lui et son patron d'ailleurs. Sauf, qu'il n'est pas en panne de discours. Alors, préparons-nous parce que si les Français ne descendent pas dans la rue pour s'opposer à leur politique, qu'ils ne viennent pas se plaindre quand ils n'auront que les yeux pour pleurer.
Le 18 octobre sera la première manifestation. Il faut tous y aller.
Surtout, n'oubliez pas.
Et sur ces bonnes paroles, je vous souhaite le bonjour chez vous.
René.
Le système est en faillite, dixit Fillon. Ben, oui et alors. Cela veut dire quoi ? Que le gouvernement va être trop court pour continuer à faire ses cadeaux fiscaux aux richards et aux entreprises. Pourtant, il reste des bijoux de famille, France Télécom, la SNCF, la RATP, EDF-GDF, Elf-Erap et j'en passe et des meilleurs. Ensuite, il restera le bon peuple de France à tondre, même si il l'est déjà passablement.
Alors, pourquoi ce moment de déprime qui me semble un peu exagéré ?
Mais, peut-être que par système, Fillon parle de la couverture sociale, des caisses retraites et du code du travail.
Bon, disons qu'il va vendre en premier temps le total et après, il va faire du patronat, le maître roi. Plus de protection sociale, plus de protection de son embauche et de son lieu de travail. Nous redevenons des nomades et nous allons courir d'emploi en emploi sans possibilité de fonder une famille puisque la précarisassion nous en empêchera.
Les patrons réclament la fin des licenciements cadrés, l'une des conditions pour eux pour relancer l'emploi alors qu'ils continuent à délocaliser.
Ils font voyager leurs entreprises de la Roumanie à la Tunisie, de la Tunisie à la Chine, de la Chine au Vietnam, tout ça pour faire un maximum de marge.
Ce qui est paradoxal maintenant, c'est que ce sont les retraités qui tuent le travail et qui en cherchant à augmenter leur part de dividende à travers la spéculation anéantissent des pans entiers d'industrie dans les pays qui leur rapporte le plus.
Ce qui est paradoxal également, c'est qu'en détruisant le pouvoir d'achat des pays occidentaux, ils sont en train de scier la branche sur laquelle ils sont assis. Parce que ce ne sont pas les élites qui ont une consommation sélective qui achèteront tous ces produits dont ils nous inondent par pays émergents interposés.
Parce qu'entre-nous, ce ne sont pas les paysans indiens qui vont acheter des micros ondes. Par contre les salariés français, oui. Ce qui signifie qu'à court terme, tous ces industriels qui s'installent en Chine devront prospecter le marché intérieur chinois et gageons que les prix ne seront pas les mêmes.
Qu'importe après tout, le système est en faillite.
A moins que ce ne soit la capacité de nos industriels à trouver de nouveaux produits ou à améliorer les leurs qui est en faillite.
La France manquant d'imagination. Pourtant, il a été de bon ton de dire à une époque "qu'en France, nous n'avions pas de pétrole, mais, nous avions des idées".
Ce temps est comme le temps des cerises, il est passé.
Le tissu industriel se meurt, dit-on, est-ce vrai ?
C'est vrai, mais lequel ?
Lorsque le Japon était émergent, il mettait le tissu industriel français en danger. Pourtant, nous avons survécu. Pourquoi, nous ne survivions pas maintenant ?
Quel est le tissu industriel à développer pour que nous survivions ?
De haute technologie, c'est sûr. Mais, il faut avoir les personnels formés. Les formons-nous ? Totu en sachant que cela ne couvrira pas l'ensemble du territoire national.
Fillon nous annonce la précarisassion de la population sous prétexte que le système est en faillite, n'est-ce pas lui qui est en faillite d'idées ?
Lui et son patron d'ailleurs. Sauf, qu'il n'est pas en panne de discours. Alors, préparons-nous parce que si les Français ne descendent pas dans la rue pour s'opposer à leur politique, qu'ils ne viennent pas se plaindre quand ils n'auront que les yeux pour pleurer.
Le 18 octobre sera la première manifestation. Il faut tous y aller.
Surtout, n'oubliez pas.
Et sur ces bonnes paroles, je vous souhaite le bonjour chez vous.
René.
vendredi 21 septembre 2007
Vive le front de libération de l'Irian Java, colonie indonésienne de la Nouvelle Guinée.Bientôt, vous serez minoritaire dans des bidonvilles.
Salut au Che Guevara, il paraît que tu étais un gros con !
Ben, voilà, Strauss Kahn est adoubé par Bush. Et, après ça, on dira qu'il n'y a pas de cause à effet avec la déclaration de Kouchner et le bon point donné par les américains.
Alors, je ne vous dis pas si la France balance un missile sur un site nucléaire iranien, c'est carrément Fabius qui sera nommé à la présidence de la banque mondiale.
Dire que Strauss Kahn jure ses grands dieux qu'il va pratiquer la rupture au niveau de la politique économique concernant le FMI. Décidément en France, c'est la culture de la rupture. Tout le monde veut rupturer.
Bon, les régimes spéciaux vont sauter, mais, il paraît qu'il y a des députés, notamment socialistes qui ne sont pas d'accord pour que l'on touche à leur régime de retraite.
Il faut dire qu'ils travaillent pour le pays et vu les résultats qui nous indiquent que nous sommes partout dans le rouge, on se demande comment ou à quoi, ils ont travaillé.
Pourquoi, ne donneraient-ils pas l'exemple après tout. Si, on est dans la merde, c'est qu'ils ont été trop performant.
Mais, peut-on leur reprocher un contexte international défavorable ?
Mais, défavorable pour qui ? Les allemands, il paraît que non. Alors, cela voudrait-il dire qu'ils sont obsolètes nos députés ?
Hélas non !
Pourtant, il faut bien trouver des boucs émissaires.
Alors, qui ?
Moi ? Non pas moi, pauvre travailleur qui gagne des clopinettes que la hausse des prix et les ponctions pour sauver la sécu et la caisse retraite et l'armée et le cousinage de l'oncle Paul vont saccager.
D'ailleurs, j'ai dit à mon collègue podologue qu'il ferait bien d'aller travailler en Irak parce qu'il y a sûrement plus de client. Il m'a répondu que la plupart devait être unijambistes et qu'il travaillerait à moitié tarif.
Pourquoi, je vous dit ça, je ne sais pas. Peut-être que quand les cons voleront, je serais chef d'escadrille, mais des cons, y'en a qui sont déjà chefs d'escadrille et qui font voler les cons. Suivez mon regard.
A part ça, Bush reste en Irak. Il laisse le soin à son successeur le soin de dégager l'armée du bourbier. Même les démocrates ne pourront pas partir comme ça. Mais, si vous aimez faire du tourisme allez en Jordanie à Ammam pour voir les superbes villas que ce sont construits les prévaricateurs irakiens avec l'argent du pétrole et des Etats-Unis.
Le pays meurt, ils se remplissent les poches.
Sauf, que c'est partout pareil. Les aparatchiks chinois s'en mettent plein les fouilles et les chinois vont crever de la pollution produite par l'industrialisation sauvage du pays.
En Martinique, ils crèvent de la pollution chimique que les békés ont initié dans leurs champs de bananiers et en Russie, ils essaient de reconstituer la mer D'Aral en laissant la mer Blanche pourrir dans les déchets nucléaires de la flotte.
Alors, faites le 22 à Asnière. Si, vous obtenez une réponse, jouez au loto.
Et, sur ces bonnes paroles, je vous souhaite de voir vos enfants accéder à l'ENA. Comme ça, ils ne mourront pas idiots.
René.
Ben, voilà, Strauss Kahn est adoubé par Bush. Et, après ça, on dira qu'il n'y a pas de cause à effet avec la déclaration de Kouchner et le bon point donné par les américains.
Alors, je ne vous dis pas si la France balance un missile sur un site nucléaire iranien, c'est carrément Fabius qui sera nommé à la présidence de la banque mondiale.
Dire que Strauss Kahn jure ses grands dieux qu'il va pratiquer la rupture au niveau de la politique économique concernant le FMI. Décidément en France, c'est la culture de la rupture. Tout le monde veut rupturer.
Bon, les régimes spéciaux vont sauter, mais, il paraît qu'il y a des députés, notamment socialistes qui ne sont pas d'accord pour que l'on touche à leur régime de retraite.
Il faut dire qu'ils travaillent pour le pays et vu les résultats qui nous indiquent que nous sommes partout dans le rouge, on se demande comment ou à quoi, ils ont travaillé.
Pourquoi, ne donneraient-ils pas l'exemple après tout. Si, on est dans la merde, c'est qu'ils ont été trop performant.
Mais, peut-on leur reprocher un contexte international défavorable ?
Mais, défavorable pour qui ? Les allemands, il paraît que non. Alors, cela voudrait-il dire qu'ils sont obsolètes nos députés ?
Hélas non !
Pourtant, il faut bien trouver des boucs émissaires.
Alors, qui ?
Moi ? Non pas moi, pauvre travailleur qui gagne des clopinettes que la hausse des prix et les ponctions pour sauver la sécu et la caisse retraite et l'armée et le cousinage de l'oncle Paul vont saccager.
D'ailleurs, j'ai dit à mon collègue podologue qu'il ferait bien d'aller travailler en Irak parce qu'il y a sûrement plus de client. Il m'a répondu que la plupart devait être unijambistes et qu'il travaillerait à moitié tarif.
Pourquoi, je vous dit ça, je ne sais pas. Peut-être que quand les cons voleront, je serais chef d'escadrille, mais des cons, y'en a qui sont déjà chefs d'escadrille et qui font voler les cons. Suivez mon regard.
A part ça, Bush reste en Irak. Il laisse le soin à son successeur le soin de dégager l'armée du bourbier. Même les démocrates ne pourront pas partir comme ça. Mais, si vous aimez faire du tourisme allez en Jordanie à Ammam pour voir les superbes villas que ce sont construits les prévaricateurs irakiens avec l'argent du pétrole et des Etats-Unis.
Le pays meurt, ils se remplissent les poches.
Sauf, que c'est partout pareil. Les aparatchiks chinois s'en mettent plein les fouilles et les chinois vont crever de la pollution produite par l'industrialisation sauvage du pays.
En Martinique, ils crèvent de la pollution chimique que les békés ont initié dans leurs champs de bananiers et en Russie, ils essaient de reconstituer la mer D'Aral en laissant la mer Blanche pourrir dans les déchets nucléaires de la flotte.
Alors, faites le 22 à Asnière. Si, vous obtenez une réponse, jouez au loto.
Et, sur ces bonnes paroles, je vous souhaite de voir vos enfants accéder à l'ENA. Comme ça, ils ne mourront pas idiots.
René.
mardi 18 septembre 2007
Si tous les gars du monde était comme moi, on attendrait le bonheur sans trop se fatiguer.
Salut à tous qui croient que la terre est ronde, ils se trompe énormément. Elle ressemble à la planète Sarko.
Bon que dire ? Bof, il n'y a rien à dire. Pourquoi ? Parce que le monde est triste tellement on se demande, une fois arrivé en fin de la vie, pourquoi on a vécu comme ça et pas autrement.
C'est vrai, des fois, en me regardant ou en regardant les autres qui se bousculent dans le métro ou se pressent dans la rue, je me demande, "Mais, à quoi ça sert tout cela !"
Et, tristement, je me baguenaude dans la rue, croisant tous ces corps pressés qui ne se posent même plus la question du pourquoi, mais seulement celle du "y arriverais-je".
Que Dieu nous ait créé pour cette seule dimension qui est la souffrance de justifier chaque jour notre existence par rapport à notre voisin bilen pensant, m'insupporte.
Souvent, en prenant le métro et en montant l'escalier mécanique, je me pose cette question essentielle qui me taraude, "est-ce que ma vie doit être faite que de ça ?"
Naturellement, je n'ai pas la réponse, à part me demander le pourquoi qui a fait que nous avons laisser notre état de nomade cueilleur. Au moins, en ce temps là, nous ne vivions que sur le moment, que dis-je sur l'instant. Disons le momentané.
Maintenant que faisons-nous ?
Rien ! Nous attendons que la vie se passe en nous faisons le moins souffrir possible. Après, on est content. Mais, content de quoi ?
D'avoir trouvé un boulot après ses études. D'avoir trouvé une femme pendant son boulot ? D'avoir fait des marmots avec ladite femme pendant le même boulot ? D'accumuler des points retraites pour y arriver ? D'avoir une petite retraite et avoir la satisfaction d'avoir amené ses gosses à l'âge d'homme ? Et après ?
Après, tu crèves quand même !
Bon, j'espère que je vous ai remonté le moral et sur ces bonnes paroles, je vous quitte.
Bien, le bonjour chez vous et surtout ne vous suicidez pas.
Je risquerais d'avoir des regrets.
René.
Bon que dire ? Bof, il n'y a rien à dire. Pourquoi ? Parce que le monde est triste tellement on se demande, une fois arrivé en fin de la vie, pourquoi on a vécu comme ça et pas autrement.
C'est vrai, des fois, en me regardant ou en regardant les autres qui se bousculent dans le métro ou se pressent dans la rue, je me demande, "Mais, à quoi ça sert tout cela !"
Et, tristement, je me baguenaude dans la rue, croisant tous ces corps pressés qui ne se posent même plus la question du pourquoi, mais seulement celle du "y arriverais-je".
Que Dieu nous ait créé pour cette seule dimension qui est la souffrance de justifier chaque jour notre existence par rapport à notre voisin bilen pensant, m'insupporte.
Souvent, en prenant le métro et en montant l'escalier mécanique, je me pose cette question essentielle qui me taraude, "est-ce que ma vie doit être faite que de ça ?"
Naturellement, je n'ai pas la réponse, à part me demander le pourquoi qui a fait que nous avons laisser notre état de nomade cueilleur. Au moins, en ce temps là, nous ne vivions que sur le moment, que dis-je sur l'instant. Disons le momentané.
Maintenant que faisons-nous ?
Rien ! Nous attendons que la vie se passe en nous faisons le moins souffrir possible. Après, on est content. Mais, content de quoi ?
D'avoir trouvé un boulot après ses études. D'avoir trouvé une femme pendant son boulot ? D'avoir fait des marmots avec ladite femme pendant le même boulot ? D'accumuler des points retraites pour y arriver ? D'avoir une petite retraite et avoir la satisfaction d'avoir amené ses gosses à l'âge d'homme ? Et après ?
Après, tu crèves quand même !
Bon, j'espère que je vous ai remonté le moral et sur ces bonnes paroles, je vous quitte.
Bien, le bonjour chez vous et surtout ne vous suicidez pas.
Je risquerais d'avoir des regrets.
René.
lundi 17 septembre 2007
Les inuits se plaignent de la fonte des glaces au Groenland, ils n'ont qu'à se transformer en surveillant de bain pour les touristes
Salut à tous les camarades qui veulent se battre contre la mondialisation. Il serait temps qu'ils se réveillent.
Le monde est fou, je vous le dis. Surtout lorsque je vois Sarko et Kouchener se prendre pour les rois du monde. L'un s'imagine pouvoir prendre ses collègues européens pour des carpettes, l'autre s'imagine pouvoir déclarer la guerre à tous les méchants du monde.
Mais, qu'est-ce qu'il se passe ?
On n'est plus dans la société du spectacle là, on glisse vers quelque chose de plus dangereux. Une époque où les maréchaux d'empire pouvaient se permettre de menacer n'importe quel peuple et envahir n'importe quel territoire.
La guerre avez-vous dit monsieur Kouchener. Mais, savez-vous de quoi vous parler ?
Pour l'avoir vu dans ses conséquences sur le terrain, vous devriez parler moins fort.
Depuis que vous avez fait le va-t-en guerre, Israël a trouvé comme par hasard des sites nucléaire en Syrie. Seriez-vous prêt à faire la même déclaration pour la Syrie ?
Dans une guerre, il y a toujours du fric à gagner. A quelle multinationale française voulait vous en faire gagner ?
Pourquoi ne pas dire que vous allez atomiser l'Iran ? Et après la Syrie et après Monte-Carlo pendant qu'on y est.
Vous pensez que vous pourrez entraîner l'Europe dans votre croisade. Des sanctions économiques ne seraient-elles pas plus efficace que vos discours à la mord-moi-le noeud. Vous avez pété un boulon à mon avis et nous savons tous où les discours va-t-en guerre peuvent conduire les peuples. Parce que vous croyez que le président iranien va avoir les chocottes. Tout ce que vous avez fait, c'est de renforcer sa position dans son pays alors que la société civile iranienne commence à se retourner contre lui. Bravo, je vous félicite !
Des fois, la bêtise humaine me submerge.
Mais, mon brave monsieur, il va falloir envoyer des soldats français et ça ne sera pas la même qu'en Côte d'Ivoire. Vous venez de réduire l'opposition iranienne à une bande de traîtres qui soutient l'intervention occidentale.
Si, c'est une guerre de civilisation que vous cherchez à provoquer, continuez et vous provoquerez dans tous le monde musulman des manifestations qui balaieront les régimes pro-occidentaux.
Mais, basta, ça me fatique. Qu'il s'amuse à faire la guéguerre. De toute façon, c'est nous qui paieront les pots cassés.
A moins, qu'une réaction terroriste en France n'amène notre gouvernement à réduire les libertés publiques. Comme ça, on aura gagné de tous les côtés.
Bon, tout ça me fait gerber. Je préfère vous quitter.
A bon entendeur chez vous.
René.
Le monde est fou, je vous le dis. Surtout lorsque je vois Sarko et Kouchener se prendre pour les rois du monde. L'un s'imagine pouvoir prendre ses collègues européens pour des carpettes, l'autre s'imagine pouvoir déclarer la guerre à tous les méchants du monde.
Mais, qu'est-ce qu'il se passe ?
On n'est plus dans la société du spectacle là, on glisse vers quelque chose de plus dangereux. Une époque où les maréchaux d'empire pouvaient se permettre de menacer n'importe quel peuple et envahir n'importe quel territoire.
La guerre avez-vous dit monsieur Kouchener. Mais, savez-vous de quoi vous parler ?
Pour l'avoir vu dans ses conséquences sur le terrain, vous devriez parler moins fort.
Depuis que vous avez fait le va-t-en guerre, Israël a trouvé comme par hasard des sites nucléaire en Syrie. Seriez-vous prêt à faire la même déclaration pour la Syrie ?
Dans une guerre, il y a toujours du fric à gagner. A quelle multinationale française voulait vous en faire gagner ?
Pourquoi ne pas dire que vous allez atomiser l'Iran ? Et après la Syrie et après Monte-Carlo pendant qu'on y est.
Vous pensez que vous pourrez entraîner l'Europe dans votre croisade. Des sanctions économiques ne seraient-elles pas plus efficace que vos discours à la mord-moi-le noeud. Vous avez pété un boulon à mon avis et nous savons tous où les discours va-t-en guerre peuvent conduire les peuples. Parce que vous croyez que le président iranien va avoir les chocottes. Tout ce que vous avez fait, c'est de renforcer sa position dans son pays alors que la société civile iranienne commence à se retourner contre lui. Bravo, je vous félicite !
Des fois, la bêtise humaine me submerge.
Mais, mon brave monsieur, il va falloir envoyer des soldats français et ça ne sera pas la même qu'en Côte d'Ivoire. Vous venez de réduire l'opposition iranienne à une bande de traîtres qui soutient l'intervention occidentale.
Si, c'est une guerre de civilisation que vous cherchez à provoquer, continuez et vous provoquerez dans tous le monde musulman des manifestations qui balaieront les régimes pro-occidentaux.
Mais, basta, ça me fatique. Qu'il s'amuse à faire la guéguerre. De toute façon, c'est nous qui paieront les pots cassés.
A moins, qu'une réaction terroriste en France n'amène notre gouvernement à réduire les libertés publiques. Comme ça, on aura gagné de tous les côtés.
Bon, tout ça me fait gerber. Je préfère vous quitter.
A bon entendeur chez vous.
René.
vendredi 14 septembre 2007
Seuls les fous sont normaux et les normaux sont fous. Demandez à Sarko ce qu'il en pense.
Salut à tous les cloportes qui jouent les razes moquette. Je suis solidaire.
A voir, les tremblements de terre en Indonésie, cela pose une question, Auraient-ils quelque chose à voir avec la coulée de boue qui ne cessent de jaillir de la terre ?
Imaginons, comme je l'ai fait une fois que cela soit la vaseline entre deux couches terrestres qui empêchent que les frottements quotidiens soient violemment perçus à la surface. Plus de vaseline, des chocs en conséquence.
N'oublions pas que la terre est une boule en fusion sur laquelle nous posons nos petits derrières. Alors, si nous avons l'inconscience comme les ingénieurs indonésiens d'aller faire des carottes jusqu'aux endroits où elle s'exprime en fusion. C'est normal qu'elle nous pète à la figure.
La terre est une marmite en ébullition. Lâchez la vapeur et "Pouf", elle jaillit des profondeurs.
Alors, à mon avis, les tremblements de terre ne sont pas finis.
Ce qui amène à dire que bientôt 200 millions de musulmans vont chercher à immigrer et comme bientôt l'Australie deviendra un désert et qu'ils n'iront pas en Chine, devinez où ils iront ?
A part ça, il me semble que en ce qui concerne le changement climatique, les projections ont oublié un facteur, la vitesse de propagation du changement au niveau terrestre.
En effet, je pense qu'il y a un facteur puissance n qui concerne la terre et qui ne peut être pris en compte par l'esprit humain. Ce qui voudrait dire que la calotte glaciaire ne disparaître pas en 2050, mais bien avant. Disons dans les quinze ans à venir.
Alors, amusez-vous à imaginer ce qu'il va réellement se passer sur la surface de la terre si mon hypothèse est la bonne. A mon avis, vous devriez déjà à construire des bunkers.
Voilà, c'est tout pour aujourd'hui et surtout dormez bien cette nuit.
René.
A voir, les tremblements de terre en Indonésie, cela pose une question, Auraient-ils quelque chose à voir avec la coulée de boue qui ne cessent de jaillir de la terre ?
Imaginons, comme je l'ai fait une fois que cela soit la vaseline entre deux couches terrestres qui empêchent que les frottements quotidiens soient violemment perçus à la surface. Plus de vaseline, des chocs en conséquence.
N'oublions pas que la terre est une boule en fusion sur laquelle nous posons nos petits derrières. Alors, si nous avons l'inconscience comme les ingénieurs indonésiens d'aller faire des carottes jusqu'aux endroits où elle s'exprime en fusion. C'est normal qu'elle nous pète à la figure.
La terre est une marmite en ébullition. Lâchez la vapeur et "Pouf", elle jaillit des profondeurs.
Alors, à mon avis, les tremblements de terre ne sont pas finis.
Ce qui amène à dire que bientôt 200 millions de musulmans vont chercher à immigrer et comme bientôt l'Australie deviendra un désert et qu'ils n'iront pas en Chine, devinez où ils iront ?
A part ça, il me semble que en ce qui concerne le changement climatique, les projections ont oublié un facteur, la vitesse de propagation du changement au niveau terrestre.
En effet, je pense qu'il y a un facteur puissance n qui concerne la terre et qui ne peut être pris en compte par l'esprit humain. Ce qui voudrait dire que la calotte glaciaire ne disparaître pas en 2050, mais bien avant. Disons dans les quinze ans à venir.
Alors, amusez-vous à imaginer ce qu'il va réellement se passer sur la surface de la terre si mon hypothèse est la bonne. A mon avis, vous devriez déjà à construire des bunkers.
Voilà, c'est tout pour aujourd'hui et surtout dormez bien cette nuit.
René.
jeudi 13 septembre 2007
Seuls les grands hommes périssent, les autres meurrent. Comprenne qui pourra.
Salut à la France qui gagne, elle est comme l'équipe de rugby et de foot. Elle annonce qu'elle va gagner et au final, elle se ramasse.
Je voulais vous expliquer un peu comment cela s'est passé pour la mise en route de l'usine du nord de nickel à côté de la tribu de Oundjo en Nouvelle Calédonie. Je rappelle que la Nouvelle Calédonie est avec Tahiti, la dernière colonie française. Que le peuple originel de ce pays est le peuple kanak. Donc, la province nord et la société d'exploitation désirait disposer d'un terrain que la tribu d'Oundjo avait récupéré quelques années avant, à peu près 1500 hectares. Sur ce terrain s'est développé un groupement d'élevage de la tribu, le groupement Pidjen. Les élus dont le principal Paul Nyaoutine a expliqué que le projet majeur de la province nord devait se développer et que pour ce faire, il fallait que la tribu "donne" ce terrain. De plus, la tribu ne devait s'attendre à aucune retombée, genre royalties et que le terrain ne leur appartiendrait plus. Comme, les membres du groupement refusait, les élus ont poussé à une division entre les clans.
D'un côté, ceux qui étaient d'accord, de l'autre ceux qui s'y opposaient.
Des tests devaient être fait pour voir si le sol était assez stable pour l'installation de l'usine de transformation du nickel. Une fois, lesdits tests réalisés, les ingénieurs s'aperçurent que l'usine ne pourrait y être installée vu que le sol était trop imprégnée d'eau.
Donc, la chienlit a été provoquée pour rien. De plus, il existait un groupement de pêche et un chantier naval à la tribu de Oundjo. Aujourd'hui, ils n'existent plus. Est-ce dû au conflit provoqué par l'installation de l'usine. Là, par contre, je ne peux l'affirmer.
Seulement après que les tests s'avérèrent négatifs, la société acheta un autre terrain jouxtant la tribu sur son côté nord, la propriété Martin. Par contre, ce terrain, la société l'acquerra pour semble-t-il une somme approchant les 60 millions pacifique. Deux poids, deux mesures. Normal à un colon, on achète, aux kanak, on exige gratos.
Merci, les leaders kanak, la vie est formidable.
Par contre, sans parler de la future pollution du lagon, au niveau macro-économique, l'usine du nord trouve évidemment sa place dans le paysage économique calédonien. Seulement, elle n'aura pas beaucoup d'impacts pour les habitants des tribus, même si elle en a pour l'environnement humain. C'est-à-dire l'installation de milliers de personnes venues d'ailleurs. D'un autre côté, les produits de la mer faisant vivre beaucoup de monde, un travail important devra être mis en place pour la sauvegarde du lagon et du mode de vie de la tribu.
Comment cela pourra-t-il se réaliser alors que comme je l'ai décris pour l'usine de Yaté dans le sud, les études d'impact ont été faussées ? Une certaine honnêteté devra être de mise, mais, lorsqu'il s'agit d'argent de quel côté peut se cacher l'honnêteté ?
Par contre, si nous étendons notre champ de vision, nous pouvons imaginer que la croissance des pays émergents comme la Chine, le Brésil, l'Inde connaisse une période de stagnation, que va-t-il se passer ? Simple, la demande risque de s'effondrer, remettant en cause la viabilité d'une telle réalisation, en tout cas sur un moyen terme (de cinq ans à 10 ans).
Aura-t-on détruit une partie du lagon pour rien ?
A voir, la suite au prochain numéro comme dit le quotidien satirique du pays, le Chien Bleu.
Mais, basta, parlons d'autre chose.
Par exemple de la politique spectacle qui envahit le paysage politique. L'Elysée devient un cirque permanent où chaque média y trouve son compte. Et l'hystérie de la bougeotte semble gagner tous les membres du gouvernement à part le premier ministre qui reste stoïque.
-Borloo part en avion survoler le Groenland pour voir quoi de la glace qui fond. Ce constat, il pourrait le faire en regardant les glaçons fondre dans son verre de whisky. Pas besoin d'aller aussi loin. Dati bouscule ses collaborateurs et ils se tirent ailleurs. Yade fait un tour au pays des mal logés et Kouchner va faire la paix au Proche Orient.
Ce qui permettra d'ailleurs à Sarko, si la feuille de route est relancée ultérieurement comme il se dit, d'annoncer que la France, donc lui même y a eu une grande part. Et, ainsi, le spectacle pourra continuer.
Ainsi va la vie, nous sommes dirigés par des manipulateurs de marionnettes. Sauf, que les marionnettes, ça a l'air nous. Mais, comme le clown qui rit, il suffit de faire un sourire et on devient le clown qui rit.
Et sur ces bonnes paroles, je vous quitte. A bientôt.
René.
PS:J'ai eu une panne d'internet ces derniers temps et mon blog n'apparaît plus nul part.
Je voulais vous expliquer un peu comment cela s'est passé pour la mise en route de l'usine du nord de nickel à côté de la tribu de Oundjo en Nouvelle Calédonie. Je rappelle que la Nouvelle Calédonie est avec Tahiti, la dernière colonie française. Que le peuple originel de ce pays est le peuple kanak. Donc, la province nord et la société d'exploitation désirait disposer d'un terrain que la tribu d'Oundjo avait récupéré quelques années avant, à peu près 1500 hectares. Sur ce terrain s'est développé un groupement d'élevage de la tribu, le groupement Pidjen. Les élus dont le principal Paul Nyaoutine a expliqué que le projet majeur de la province nord devait se développer et que pour ce faire, il fallait que la tribu "donne" ce terrain. De plus, la tribu ne devait s'attendre à aucune retombée, genre royalties et que le terrain ne leur appartiendrait plus. Comme, les membres du groupement refusait, les élus ont poussé à une division entre les clans.
D'un côté, ceux qui étaient d'accord, de l'autre ceux qui s'y opposaient.
Des tests devaient être fait pour voir si le sol était assez stable pour l'installation de l'usine de transformation du nickel. Une fois, lesdits tests réalisés, les ingénieurs s'aperçurent que l'usine ne pourrait y être installée vu que le sol était trop imprégnée d'eau.
Donc, la chienlit a été provoquée pour rien. De plus, il existait un groupement de pêche et un chantier naval à la tribu de Oundjo. Aujourd'hui, ils n'existent plus. Est-ce dû au conflit provoqué par l'installation de l'usine. Là, par contre, je ne peux l'affirmer.
Seulement après que les tests s'avérèrent négatifs, la société acheta un autre terrain jouxtant la tribu sur son côté nord, la propriété Martin. Par contre, ce terrain, la société l'acquerra pour semble-t-il une somme approchant les 60 millions pacifique. Deux poids, deux mesures. Normal à un colon, on achète, aux kanak, on exige gratos.
Merci, les leaders kanak, la vie est formidable.
Par contre, sans parler de la future pollution du lagon, au niveau macro-économique, l'usine du nord trouve évidemment sa place dans le paysage économique calédonien. Seulement, elle n'aura pas beaucoup d'impacts pour les habitants des tribus, même si elle en a pour l'environnement humain. C'est-à-dire l'installation de milliers de personnes venues d'ailleurs. D'un autre côté, les produits de la mer faisant vivre beaucoup de monde, un travail important devra être mis en place pour la sauvegarde du lagon et du mode de vie de la tribu.
Comment cela pourra-t-il se réaliser alors que comme je l'ai décris pour l'usine de Yaté dans le sud, les études d'impact ont été faussées ? Une certaine honnêteté devra être de mise, mais, lorsqu'il s'agit d'argent de quel côté peut se cacher l'honnêteté ?
Par contre, si nous étendons notre champ de vision, nous pouvons imaginer que la croissance des pays émergents comme la Chine, le Brésil, l'Inde connaisse une période de stagnation, que va-t-il se passer ? Simple, la demande risque de s'effondrer, remettant en cause la viabilité d'une telle réalisation, en tout cas sur un moyen terme (de cinq ans à 10 ans).
Aura-t-on détruit une partie du lagon pour rien ?
A voir, la suite au prochain numéro comme dit le quotidien satirique du pays, le Chien Bleu.
Mais, basta, parlons d'autre chose.
Par exemple de la politique spectacle qui envahit le paysage politique. L'Elysée devient un cirque permanent où chaque média y trouve son compte. Et l'hystérie de la bougeotte semble gagner tous les membres du gouvernement à part le premier ministre qui reste stoïque.
-Borloo part en avion survoler le Groenland pour voir quoi de la glace qui fond. Ce constat, il pourrait le faire en regardant les glaçons fondre dans son verre de whisky. Pas besoin d'aller aussi loin. Dati bouscule ses collaborateurs et ils se tirent ailleurs. Yade fait un tour au pays des mal logés et Kouchner va faire la paix au Proche Orient.
Ce qui permettra d'ailleurs à Sarko, si la feuille de route est relancée ultérieurement comme il se dit, d'annoncer que la France, donc lui même y a eu une grande part. Et, ainsi, le spectacle pourra continuer.
Ainsi va la vie, nous sommes dirigés par des manipulateurs de marionnettes. Sauf, que les marionnettes, ça a l'air nous. Mais, comme le clown qui rit, il suffit de faire un sourire et on devient le clown qui rit.
Et sur ces bonnes paroles, je vous quitte. A bientôt.
René.
PS:J'ai eu une panne d'internet ces derniers temps et mon blog n'apparaît plus nul part.
jeudi 6 septembre 2007
Les socialistes ont attrapés la grippe aviaire, il va falloir les mettre en isolement au magasin des ombres
Salut à tous les agriculteurs, continuez à nous empoissonner ! Merci pour nous.
Eh, oui mes bons amis, à nouveau la pollution chimique se révèle. Cette fois-ci en Martinique selon Libération, "L'utilisation massive du chlordécone, destiné à éradiquer le charançon (coléoptère très coriace sous les tropiques), bien qu'interdit depuis 1993, a contaminé l'ensemble des Antilles françaises. Avec ce paradoxe final:la plupart des cultures vivrières (patates douces, ignames....) et l'essentiel des ressources aquatiques (crabes, langoustes...) sont polluées à leur tour; seule la banane (protégée par sa peau) reste consommable sans modérations, alors que sa production est à l'origine de la pandémie."
Vous comprenez maintenant pourquoi, une fois, je vous ai dis que je ne consommais plus que des fruits à grosse peau. Il va falloir que je fasse de même pour les légumes. Mais, cela va sérieusement réduire la diversité dans ma consommation.
Par contre, si j'étais un mari qui éprouve des difficultés à engendrer un enfant, je porterais plainte contre la FNSEA, le syndicat des gros exploitants agricoles, qui à travers la flopée de pesticides, fongicides et autres aura pu provoquer l'affaiblissement de mes spermatozoïdes. Et, je lui demanderais au moins plusieurs millions d'euros de dédommagement, de quoi finir ma vie sans plus avoir peur du chômage.
Ça, c'est pour l'agriculture prédatrice.
Maintenant, parlons du changement climatique.
J'ai une pensée qui me trotte dans la tête, "et si le changement climatique amenait une évolution des masses magnétiques qui se promènent sur la terre ?"
Puisque tout est lié, parfois par des liens qui nous restent mystérieux, pourquoi le changement ne provoquerait pas des bouleversements plus profonds que ceux qui nous sont immédiatement perceptibles.
Alors, poursuivons le raisonnement, qui même si il est scientifiquement faux peut amener à réfléchir sur des pistes nouvelles. Donc, les masses magnétiques terrestres connaissent un bouleversement tel que la propagation des onde en est bouleversé.
Que se passerait-il ?
Plus d'onde radio, plus de communications satellitaires, plus de télé et.....plus d'internet.
Mon dieu, la France ! C'est la fin du monde, surtout que déjà l'homme est de moins en moins performant dans sa reproduction.
Que faire, mon dieu, que faire ?
Mais, voilà, j'ai une solution, les fibres optiques.
Eh, oui, les câbles à fibres optiques. Conséquence, le marché va exploser, donc il faut investir un max dans les entreprises qui les fabriquent et qui les installent.
Vous voyez traders et boursicoteurs, sans moi, vous alliez manquer un créneau où investir vos capitaux. Et tout ça, c'est du gratos.
Oui, moi, c'est ce que je ferais et tant pis pour les pauvres nazes qu'ont pas de pognon à investir. C'est qu'ils ont été programmés à ne jamais en avoir. Non, mais !
Après, tout, on ferait bien de faire comme Sarko, ne s'occuper que des riches. Les autres, les pauvres, après tout, personne ne leur a demandé d'être pauvres.
En France, ce qu'il faut, c'est d'être riche et de dire aux autres attendez la croissance. Et, si la croissance ne vient pas, il suffit de dire qu'elle est là, mais qu'elle se fait discrète pour ne pas provoquer une explosion de la demande, donc de la consommation. Surtout par ces périodes de minima soc......ah, non, j'allais dire sociaux, pas du tout, c'est minima agricole que je voulais dire.
De toute façon, bientôt le pétrole sera moins chers que le blé. Comme ça, on récupérera les bénéfices des pays pétroliers qui en ce moment nous font la nique. Bien fait pour leurs tronches. A salaud, salaud et demi !
Même si en Europe, on devient tous anorexique par nécessité. Alors, je vous dis pas les autres, tous les autres, les pays pauvres, c'est même pas la peine qu'ils mettent des enfants au monde.
Bon, je trouve que pour aujourd'hui, j'ai assez déliré. Pourtant à vous de trouver le délire qui potentiellement a des chances de nous tomber sur la tête comme le ciel sur celle des gaulois.
Et sur ces bonnes paroles qui je n'en doute pas vont vous remonter le moral, je vous salue bien bas et vous souhaite d'avoir longtemps un frigo plein pour ceux qui le peuvent encore.
René.
Eh, oui mes bons amis, à nouveau la pollution chimique se révèle. Cette fois-ci en Martinique selon Libération, "L'utilisation massive du chlordécone, destiné à éradiquer le charançon (coléoptère très coriace sous les tropiques), bien qu'interdit depuis 1993, a contaminé l'ensemble des Antilles françaises. Avec ce paradoxe final:la plupart des cultures vivrières (patates douces, ignames....) et l'essentiel des ressources aquatiques (crabes, langoustes...) sont polluées à leur tour; seule la banane (protégée par sa peau) reste consommable sans modérations, alors que sa production est à l'origine de la pandémie."
Vous comprenez maintenant pourquoi, une fois, je vous ai dis que je ne consommais plus que des fruits à grosse peau. Il va falloir que je fasse de même pour les légumes. Mais, cela va sérieusement réduire la diversité dans ma consommation.
Par contre, si j'étais un mari qui éprouve des difficultés à engendrer un enfant, je porterais plainte contre la FNSEA, le syndicat des gros exploitants agricoles, qui à travers la flopée de pesticides, fongicides et autres aura pu provoquer l'affaiblissement de mes spermatozoïdes. Et, je lui demanderais au moins plusieurs millions d'euros de dédommagement, de quoi finir ma vie sans plus avoir peur du chômage.
Ça, c'est pour l'agriculture prédatrice.
Maintenant, parlons du changement climatique.
J'ai une pensée qui me trotte dans la tête, "et si le changement climatique amenait une évolution des masses magnétiques qui se promènent sur la terre ?"
Puisque tout est lié, parfois par des liens qui nous restent mystérieux, pourquoi le changement ne provoquerait pas des bouleversements plus profonds que ceux qui nous sont immédiatement perceptibles.
Alors, poursuivons le raisonnement, qui même si il est scientifiquement faux peut amener à réfléchir sur des pistes nouvelles. Donc, les masses magnétiques terrestres connaissent un bouleversement tel que la propagation des onde en est bouleversé.
Que se passerait-il ?
Plus d'onde radio, plus de communications satellitaires, plus de télé et.....plus d'internet.
Mon dieu, la France ! C'est la fin du monde, surtout que déjà l'homme est de moins en moins performant dans sa reproduction.
Que faire, mon dieu, que faire ?
Mais, voilà, j'ai une solution, les fibres optiques.
Eh, oui, les câbles à fibres optiques. Conséquence, le marché va exploser, donc il faut investir un max dans les entreprises qui les fabriquent et qui les installent.
Vous voyez traders et boursicoteurs, sans moi, vous alliez manquer un créneau où investir vos capitaux. Et tout ça, c'est du gratos.
Oui, moi, c'est ce que je ferais et tant pis pour les pauvres nazes qu'ont pas de pognon à investir. C'est qu'ils ont été programmés à ne jamais en avoir. Non, mais !
Après, tout, on ferait bien de faire comme Sarko, ne s'occuper que des riches. Les autres, les pauvres, après tout, personne ne leur a demandé d'être pauvres.
En France, ce qu'il faut, c'est d'être riche et de dire aux autres attendez la croissance. Et, si la croissance ne vient pas, il suffit de dire qu'elle est là, mais qu'elle se fait discrète pour ne pas provoquer une explosion de la demande, donc de la consommation. Surtout par ces périodes de minima soc......ah, non, j'allais dire sociaux, pas du tout, c'est minima agricole que je voulais dire.
De toute façon, bientôt le pétrole sera moins chers que le blé. Comme ça, on récupérera les bénéfices des pays pétroliers qui en ce moment nous font la nique. Bien fait pour leurs tronches. A salaud, salaud et demi !
Même si en Europe, on devient tous anorexique par nécessité. Alors, je vous dis pas les autres, tous les autres, les pays pauvres, c'est même pas la peine qu'ils mettent des enfants au monde.
Bon, je trouve que pour aujourd'hui, j'ai assez déliré. Pourtant à vous de trouver le délire qui potentiellement a des chances de nous tomber sur la tête comme le ciel sur celle des gaulois.
Et sur ces bonnes paroles qui je n'en doute pas vont vous remonter le moral, je vous salue bien bas et vous souhaite d'avoir longtemps un frigo plein pour ceux qui le peuvent encore.
René.
mercredi 5 septembre 2007
Le petit chaperon rouge dit au chat botté, "Crotte de pique, la réalité est plus belle que les contes. Il est temps que nous nous inscrivions à l'ump.
Salut à ceux qui s'imaginent connaître la vérité, elle est comme l'oiseau, il suffit de dessiner une cage autour de lui quand il est posé sur une branche. Comprenne qui pourra.
Parlons peu, mais parlons bien. J'étais juste en train d'écrire un mot sur Sarko lorsqu'une mauvaise manipulation m'a effacé mon sujet. Est-ce un signe ?
Le signe que le Très Haut ne veut pas que que l'on critique son élève le plus méritant. Alors, si même le bon dieu s'y met, nous sommes mal partis.
Bon, que disais-je ?
Que Sarko dessine une impression de confusion par son désir exacerbé "d'être aimé".
Est-ce vraiment de l'hyper-activité ou plus simplement le désir de remplir un manque affectif qui daterait de sa prime enfance ?
En tout cas, tout ça commence à finir par faire pas très sérieux et s'il n'y met pas une peu d'ordre, il risque de saturer et de provoquer un rejet. C'est vrai qu'à force de peupler tous les créneaux médiatiques, il finira par s'inscrire dans notre inconscient et peupler les personnages de nos rêves et de nos cauchemars.
Mais, basta de balivernes, passons aux choses sérieuses. Par exemple, quand le gouvernement chinois se rendra compte que l'industrialisation excessive et sans contrôle nuit plus au pays que sa croissance à 11% ? Quand va-t-il s'apercevoir qu'il est en train de plomber la santé de dizaine de millions de ses concitoyens ? Sans compter les effets collatéraux qu'une extrême pollution aura sur les pays voisins. Mourir de la croissance capitalistique, quelle belle mort !
La Chine est le pays qui participe le plus à l'augmentation du niveau de vie mondial. Elle dévore les matières premières accentuant ainsi la spéculation. Le drame de ce pays est qu'il est en train de devenir hors de contrôle et je ne sais pas si le gouvernement pourra vraiment le contrôler alors que les choses vont si vite. Est-ce que tout cela ne nous prépare pas une future crise mondiale qui cette fois-ci pourrait ressembler au crack boursier d'avant la première guerre mondiale ?
Vous vous souvenez quand les banquiers se jetaient des grattes ciels à New york et que les usines fermèrent jetant des centaines de milliers d'ouvriers à la rue.
La dernière crise de cet été n'a été que passagère et a surtout vu les boursicoteurs se faire rouler dans la farine. Il est sûr que leurs actions n'ont pas été perdues pour tout le monde. Du fric, c'est envolé ? Quel importance, à la limite, il est virtuel.
En fait, qui c'est qui s'affole ?
Des économies s'envolent, surtout la chinoise et alors ! Qu'importe qu'elle nous inonde de produits à bas coût. Le Japon l'a fait à son époque. Après, ce qu'il faudra craindre, c'est plutôt le jour où elle accédera à un niveau technologique élevé. Pour le moment, les brevets sont occidentaux ou japonnais. Quand, ça sera le tour de la Chine, là, les cartes seront réellement redistribuées. Pour le moment, il s'agit juste d'une recomposition du paysage économique mondial. Les enjeux ne sont pas encore importants, même si des usines ferment en occident.
A une époque, la remise en cause desdits enjeux était un facteur de déclenchement de guerre. Aujourd'hui, comment ces luttes pourront-elles se concrétiser et se matérialiser car il s'agira d'un enjeu majeur et d'une guerre qui elle aussi sera réelle.
Ou alors la mondialisation est l'aube d'un nouvel ordre mondial sans être l'aube de nouveaux conflits.
Parce que la Chine dominant le monde, qui l'acceptera ? Les russes, les américains ?
A l'aube de cette ère nouvelle, quel type de nouveaux conflits verra le jour ?
Je n'ai pas la réponse, alors je vous laisse y réfléchir et je vous souhaite un agréable été indien.
René.
Parlons peu, mais parlons bien. J'étais juste en train d'écrire un mot sur Sarko lorsqu'une mauvaise manipulation m'a effacé mon sujet. Est-ce un signe ?
Le signe que le Très Haut ne veut pas que que l'on critique son élève le plus méritant. Alors, si même le bon dieu s'y met, nous sommes mal partis.
Bon, que disais-je ?
Que Sarko dessine une impression de confusion par son désir exacerbé "d'être aimé".
Est-ce vraiment de l'hyper-activité ou plus simplement le désir de remplir un manque affectif qui daterait de sa prime enfance ?
En tout cas, tout ça commence à finir par faire pas très sérieux et s'il n'y met pas une peu d'ordre, il risque de saturer et de provoquer un rejet. C'est vrai qu'à force de peupler tous les créneaux médiatiques, il finira par s'inscrire dans notre inconscient et peupler les personnages de nos rêves et de nos cauchemars.
Mais, basta de balivernes, passons aux choses sérieuses. Par exemple, quand le gouvernement chinois se rendra compte que l'industrialisation excessive et sans contrôle nuit plus au pays que sa croissance à 11% ? Quand va-t-il s'apercevoir qu'il est en train de plomber la santé de dizaine de millions de ses concitoyens ? Sans compter les effets collatéraux qu'une extrême pollution aura sur les pays voisins. Mourir de la croissance capitalistique, quelle belle mort !
La Chine est le pays qui participe le plus à l'augmentation du niveau de vie mondial. Elle dévore les matières premières accentuant ainsi la spéculation. Le drame de ce pays est qu'il est en train de devenir hors de contrôle et je ne sais pas si le gouvernement pourra vraiment le contrôler alors que les choses vont si vite. Est-ce que tout cela ne nous prépare pas une future crise mondiale qui cette fois-ci pourrait ressembler au crack boursier d'avant la première guerre mondiale ?
Vous vous souvenez quand les banquiers se jetaient des grattes ciels à New york et que les usines fermèrent jetant des centaines de milliers d'ouvriers à la rue.
La dernière crise de cet été n'a été que passagère et a surtout vu les boursicoteurs se faire rouler dans la farine. Il est sûr que leurs actions n'ont pas été perdues pour tout le monde. Du fric, c'est envolé ? Quel importance, à la limite, il est virtuel.
En fait, qui c'est qui s'affole ?
Des économies s'envolent, surtout la chinoise et alors ! Qu'importe qu'elle nous inonde de produits à bas coût. Le Japon l'a fait à son époque. Après, ce qu'il faudra craindre, c'est plutôt le jour où elle accédera à un niveau technologique élevé. Pour le moment, les brevets sont occidentaux ou japonnais. Quand, ça sera le tour de la Chine, là, les cartes seront réellement redistribuées. Pour le moment, il s'agit juste d'une recomposition du paysage économique mondial. Les enjeux ne sont pas encore importants, même si des usines ferment en occident.
A une époque, la remise en cause desdits enjeux était un facteur de déclenchement de guerre. Aujourd'hui, comment ces luttes pourront-elles se concrétiser et se matérialiser car il s'agira d'un enjeu majeur et d'une guerre qui elle aussi sera réelle.
Ou alors la mondialisation est l'aube d'un nouvel ordre mondial sans être l'aube de nouveaux conflits.
Parce que la Chine dominant le monde, qui l'acceptera ? Les russes, les américains ?
A l'aube de cette ère nouvelle, quel type de nouveaux conflits verra le jour ?
Je n'ai pas la réponse, alors je vous laisse y réfléchir et je vous souhaite un agréable été indien.
René.
mardi 4 septembre 2007
Dire à tout le monde ce qu'il a envie d'entendre, ce n'est pas de la manipulation, c'est de la politique.
Salut à tous les poissons d'avril, vous avez de la chance, personne ne vous pêche.
Bon, cette fois-ci, c'est dit, je vous parle de la pollution minière en Nouvelle Calédonie
Pour rappel, la barrière de corail à part la grande barrière de récifs d'Australie est la plus importante au monde,1600 km de long. Sans compter une mangrove d'une préservation exceptionnelle. Mangrove qui permet aux femmes kanak de profiter d'une ressource telle que le crabe de palétuviers ou aux pêcheurs d'assurer le quotidien en petits mulets.
Hélas, l'exploitation du nickel risque de laisser une tâche indélébile sur la survie du corail. Au moment même où les autorités locales demandent à l'Unesco le classement de la barrière de corail au patrimoine de l'humanité.
Mais quels sont les risques ?
Je vous livre donc pour que vous puissiez juger, un article paru dans le "Chien Bleu", N°110, août 2007, p3 de Nouvelle Calédonie.
"Trois experts de l'Ecole des mines de Paris ont examiné le projet de stockage des résidus de Goro Nickel dans la vallée de la Kwé Ouest: un chantier gigantesque qui a déjà rayé de la carte des milliers d'hectares de végétation endémique. En parfaite illégalité.
Goro Nickel a sous-estimé les risques*
Contrairement à ce que laissent croire le titre des Nouvelles du 19 juillet "Feu vert des experts pour le stockage des déchets" et les déclarations de l'industriel "C'est une validation de l'approche que nous avons choisie", les experts pointent du doigt la légèreté des études d'impact faites par Goro Nickel, notamment:
- une simplification exagérée de la représentation de la géologie du bassin de la Kwé,
-une très nette surévaluation de la stabilité des sous-sols sous la zone de stockage,
-une insuffisance criante des calculs de modélisation,
-un manque de précision flagrant dans la composition des effluents liquides,
-une méconnaissance avérée du comportement, dans les résidus, de deux polluants majeur: le
manganèse et le chrome.
Bref, l'industriel a très largement sous-estimé les risques liés à son projet, mais cela ne l'a pas empêché de poursuivre les travaux comme il l'entendait et alors que la loi ne l'y autorise toujours pas.
Trois experts: mais de quoi exactement ?
Le premier, Emmanuel Ledoux, est hydrogéologue; il s'intéresse à la nature et à l'épaisseur des nappes phréatiques ainsi qu'à la circulation des eaux souterraines. Le deuxième, Jean Michel Smitt est géochimiste; il tente de prévoir l'évolution avec le temps de la composition des résidus toxiques. Le dernier, Roger Cojean, est ingénieur géologue; il tente d'évacuer l'impact mécanique de l'ouvrage sur le sous-sol. On constate qu'aucun d'entre eux n'est spécialiste des questions touchant aux formations végétales, à la biologie des sols, à l'écologie ou à la biodiversité.
L'expertise fait l'impasse sur la biodiversité.
Leur objectif est de s'assurer que le projet de stockage aura un impact "acceptable" sur l'environnement. Cependant leur évaluation des impacts ne prend nullement en compte le premier d'entre eux; la disparition à jamais de milliers d'hectares de maquis endémique et de forêt primaire. Cette dernière ne subsiste plus que sous la forme de quelques reliques de surface réduite, qui seront partiellement enfouies sous les résidus. Lorsque la remarque leur en est faite, nos brillants experts ne savant pas quoi répondre. Ils ignorent de quoi il s'agit. Ils ne peuvent pas non plus parler de l'impact sur la faune endémique des rivières, car ils n'ont pas les compétences pour cela. Lorsque des questions précises sont posées sur le risque de pollution des cours d''eau situés en aval de la zone de stockage, les experts assurent un peu naïvement que des moyens seront mis en place pour la détecter, arguant que ce type d'ouvrage fonctionne déjà ailleurs. Oui, mais pas sur une île tropicale comma la Calédonie qui malgré sa surface réduite s'avère être un des hotspots de biodiversité de la planète.
Ni la presse, ni les élus, ni l'industriel n'ont compris à quel point le projet de Goro Nickel était nuisible à la biodiversité du grand sud calédonien. Hélas, aucun des experts choisis à ce jour par la province sud n'est lui-même qualifié."
Donc, donc, adieu la biodiversité sans compter sur la pollution qui coulera des montagnes les jours de pluies et dont la poussière de nickel ira étouffer les coraux condamnant immanquablement cette barrière de corail, candidate à l'inscription au patrimoine de l'humanité.
De plus, il n'y a pas qu'à Goro dans le sud de la calédonie qu'un grand chantier va s'ouvrir. Dans le centre du pays également un grand projet se met en place sur le site de Koniambo. A un endroit où le récif est relativement proche. Où la mangrove y est abondante et où une population de pêcheurs vit des produits de la mer. Alors adieu ce morceau de lagon aussi et en combien de temps ?
Surtout que ce ne sont pas les kanaks de la tribu de Oundjo ou des autres tribus qui pourront y travailler vu le niveau de technologie qu'atteindra l'usine d'exploitation du minerai de nickel. Quelques petits boulots, peut-être, mais pas vraiment plus puisque le minerai ne sera pas descendu par camion, mais par un système de téléphérique.
Et qu'on ne me dise pas qu'il sera possible de neutraliser la pollution due au ruissellement des eaux de pluie qui arrive direct dans le lagon. Là, je vous dirais direct, vous mentez !
De toutes façon, vous me direz qu'elle importance, vu que la barrière disparaîtra avec la montée des eaux. Alors, je vous répondrais, le corail restera car même en grande profondeur vous en trouvez. Mais, chez nous, il aura une couleur blanche, celle du corail mort.
Et, il faut compter au moins quinze ans pour qu'il réapparaisse, sauf dans quinze ans, le nickel continuera à ruisseler de la montagne ne lui laissant aucune possibilité de se regénérer.
Et même si la demande se faisait moins forte au niveau mondial parce qu'un jour le tissu industriel sera suffisamment développé dans les pays émergents comme la Chine, l'Inde ou le Brésil, sans compter les petits dragons. Même la fermeture des mines dont les coûts de production sont les plus élevés, le pays continuera à pleurer le sang de sa terre car le nickel a une couleur rouge.
Voilà donc pour aujourd'hui et il me reste tout de même à vous souhaiter le bonjour chez vous et bonjour à Germaine, la copine à Léon des Batignolles.
René.
Bon, cette fois-ci, c'est dit, je vous parle de la pollution minière en Nouvelle Calédonie
Pour rappel, la barrière de corail à part la grande barrière de récifs d'Australie est la plus importante au monde,1600 km de long. Sans compter une mangrove d'une préservation exceptionnelle. Mangrove qui permet aux femmes kanak de profiter d'une ressource telle que le crabe de palétuviers ou aux pêcheurs d'assurer le quotidien en petits mulets.
Hélas, l'exploitation du nickel risque de laisser une tâche indélébile sur la survie du corail. Au moment même où les autorités locales demandent à l'Unesco le classement de la barrière de corail au patrimoine de l'humanité.
Mais quels sont les risques ?
Je vous livre donc pour que vous puissiez juger, un article paru dans le "Chien Bleu", N°110, août 2007, p3 de Nouvelle Calédonie.
"Trois experts de l'Ecole des mines de Paris ont examiné le projet de stockage des résidus de Goro Nickel dans la vallée de la Kwé Ouest: un chantier gigantesque qui a déjà rayé de la carte des milliers d'hectares de végétation endémique. En parfaite illégalité.
Goro Nickel a sous-estimé les risques*
Contrairement à ce que laissent croire le titre des Nouvelles du 19 juillet "Feu vert des experts pour le stockage des déchets" et les déclarations de l'industriel "C'est une validation de l'approche que nous avons choisie", les experts pointent du doigt la légèreté des études d'impact faites par Goro Nickel, notamment:
- une simplification exagérée de la représentation de la géologie du bassin de la Kwé,
-une très nette surévaluation de la stabilité des sous-sols sous la zone de stockage,
-une insuffisance criante des calculs de modélisation,
-un manque de précision flagrant dans la composition des effluents liquides,
-une méconnaissance avérée du comportement, dans les résidus, de deux polluants majeur: le
manganèse et le chrome.
Bref, l'industriel a très largement sous-estimé les risques liés à son projet, mais cela ne l'a pas empêché de poursuivre les travaux comme il l'entendait et alors que la loi ne l'y autorise toujours pas.
Trois experts: mais de quoi exactement ?
Le premier, Emmanuel Ledoux, est hydrogéologue; il s'intéresse à la nature et à l'épaisseur des nappes phréatiques ainsi qu'à la circulation des eaux souterraines. Le deuxième, Jean Michel Smitt est géochimiste; il tente de prévoir l'évolution avec le temps de la composition des résidus toxiques. Le dernier, Roger Cojean, est ingénieur géologue; il tente d'évacuer l'impact mécanique de l'ouvrage sur le sous-sol. On constate qu'aucun d'entre eux n'est spécialiste des questions touchant aux formations végétales, à la biologie des sols, à l'écologie ou à la biodiversité.
L'expertise fait l'impasse sur la biodiversité.
Leur objectif est de s'assurer que le projet de stockage aura un impact "acceptable" sur l'environnement. Cependant leur évaluation des impacts ne prend nullement en compte le premier d'entre eux; la disparition à jamais de milliers d'hectares de maquis endémique et de forêt primaire. Cette dernière ne subsiste plus que sous la forme de quelques reliques de surface réduite, qui seront partiellement enfouies sous les résidus. Lorsque la remarque leur en est faite, nos brillants experts ne savant pas quoi répondre. Ils ignorent de quoi il s'agit. Ils ne peuvent pas non plus parler de l'impact sur la faune endémique des rivières, car ils n'ont pas les compétences pour cela. Lorsque des questions précises sont posées sur le risque de pollution des cours d''eau situés en aval de la zone de stockage, les experts assurent un peu naïvement que des moyens seront mis en place pour la détecter, arguant que ce type d'ouvrage fonctionne déjà ailleurs. Oui, mais pas sur une île tropicale comma la Calédonie qui malgré sa surface réduite s'avère être un des hotspots de biodiversité de la planète.
Ni la presse, ni les élus, ni l'industriel n'ont compris à quel point le projet de Goro Nickel était nuisible à la biodiversité du grand sud calédonien. Hélas, aucun des experts choisis à ce jour par la province sud n'est lui-même qualifié."
Donc, donc, adieu la biodiversité sans compter sur la pollution qui coulera des montagnes les jours de pluies et dont la poussière de nickel ira étouffer les coraux condamnant immanquablement cette barrière de corail, candidate à l'inscription au patrimoine de l'humanité.
De plus, il n'y a pas qu'à Goro dans le sud de la calédonie qu'un grand chantier va s'ouvrir. Dans le centre du pays également un grand projet se met en place sur le site de Koniambo. A un endroit où le récif est relativement proche. Où la mangrove y est abondante et où une population de pêcheurs vit des produits de la mer. Alors adieu ce morceau de lagon aussi et en combien de temps ?
Surtout que ce ne sont pas les kanaks de la tribu de Oundjo ou des autres tribus qui pourront y travailler vu le niveau de technologie qu'atteindra l'usine d'exploitation du minerai de nickel. Quelques petits boulots, peut-être, mais pas vraiment plus puisque le minerai ne sera pas descendu par camion, mais par un système de téléphérique.
Et qu'on ne me dise pas qu'il sera possible de neutraliser la pollution due au ruissellement des eaux de pluie qui arrive direct dans le lagon. Là, je vous dirais direct, vous mentez !
De toutes façon, vous me direz qu'elle importance, vu que la barrière disparaîtra avec la montée des eaux. Alors, je vous répondrais, le corail restera car même en grande profondeur vous en trouvez. Mais, chez nous, il aura une couleur blanche, celle du corail mort.
Et, il faut compter au moins quinze ans pour qu'il réapparaisse, sauf dans quinze ans, le nickel continuera à ruisseler de la montagne ne lui laissant aucune possibilité de se regénérer.
Et même si la demande se faisait moins forte au niveau mondial parce qu'un jour le tissu industriel sera suffisamment développé dans les pays émergents comme la Chine, l'Inde ou le Brésil, sans compter les petits dragons. Même la fermeture des mines dont les coûts de production sont les plus élevés, le pays continuera à pleurer le sang de sa terre car le nickel a une couleur rouge.
Voilà donc pour aujourd'hui et il me reste tout de même à vous souhaiter le bonjour chez vous et bonjour à Germaine, la copine à Léon des Batignolles.
René.
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