(blog à finir et à corriger)
Bon, encore et toujours la Grèce !
Alors, sort de l'euro, sort pas, faudrait peut-être se décider parce l'Europe a aidé la Grèce à hauteur de 33.000 euros par famille grec. Une histoire à plus de 300.000.000 d'euros.
C'est bien, évidemment, en comptant l'abandon de créances par les banques, qui les auraient échangés en fait contre d'autres valeurs garantis par l'Europe.
Pas, je n'oublie pas qu'au début de la crise grecque, ma pensée était pour une sortie en directe du pays de la zone euro.
Que l'exemple grec aurait dû permettre de mettre en place un dispositif de sortie de la zone euro pour les pays en très grande difficulté.
Mais, nos dirigeants sont autistes. Sauf que dans cette situation, la fuite en avant n'est pas la sortie de la zone euro, c'est plutôt, le maintien du dogme de l'Europe "FORTE" et solide dans la tourmente.
Pourtant, cette tourmente est due en grande partie par l'obligation faite aux Etats d'emprunter sur les marchés financiers pour préserver un autre dogme, la fameuse "INDEPENDANCE" de la Banque Centrale Européenne.
Evidemment, lorsque les économies dérapent, les taux d'intérêt grimpent. La dette devient insupportable comme en France où l'impôt sur le revenu est dévolu à son service.
Alors, ne parlons pas du Portugal, de l'Espagne et de l'Italie.
Par contre, nous pourrions parler de l'Irlande qui fait mieux que tout le monde et de l'Islande qui a refusé d'honorer sa dette et a renoué avec la croissance. Comme l'Argentine, en somme, à son époque.
Pourtant, nos dirigeants continuent à nous dire que la croissance dépend de l'extinction de la dette ou du moins de son aspect le plus insupportable, le levier de déstructuration des états.
A part cela, ils pourront continuer à emprunter sur les marchés financiers, engraissant les banques et les autres fonds financiers au détriment de leur propre citoyen, et, surtout, laissant planer la menace potentielle de la spéculation sur les dettes.
Alors, on arrête ?
On laisse une chance à la Grèce de sortir du marasme en sortant de la zone euro ?
Les états reprennent une autonomie concernant leur emprunt, réutilisant leur propre banque centrale, la Banque de France pour nous.
Et, on reconsidère une Europe qui fait la vie belle aux marchés financiers.
Et, surtout, on fait la chasse aux fonctionnaires européens corrompus !
Bon, encore et toujours la Grèce !
Alors, sort de l'euro, sort pas, faudrait peut-être se décider parce l'Europe a aidé la Grèce à hauteur de 33.000 euros par famille grec. Une histoire à plus de 300.000.000 d'euros.
C'est bien, évidemment, en comptant l'abandon de créances par les banques, qui les auraient échangés en fait contre d'autres valeurs garantis par l'Europe.
Pas, je n'oublie pas qu'au début de la crise grecque, ma pensée était pour une sortie en directe du pays de la zone euro.
Que l'exemple grec aurait dû permettre de mettre en place un dispositif de sortie de la zone euro pour les pays en très grande difficulté.
Mais, nos dirigeants sont autistes. Sauf que dans cette situation, la fuite en avant n'est pas la sortie de la zone euro, c'est plutôt, le maintien du dogme de l'Europe "FORTE" et solide dans la tourmente.
Pourtant, cette tourmente est due en grande partie par l'obligation faite aux Etats d'emprunter sur les marchés financiers pour préserver un autre dogme, la fameuse "INDEPENDANCE" de la Banque Centrale Européenne.
Evidemment, lorsque les économies dérapent, les taux d'intérêt grimpent. La dette devient insupportable comme en France où l'impôt sur le revenu est dévolu à son service.
Alors, ne parlons pas du Portugal, de l'Espagne et de l'Italie.
Par contre, nous pourrions parler de l'Irlande qui fait mieux que tout le monde et de l'Islande qui a refusé d'honorer sa dette et a renoué avec la croissance. Comme l'Argentine, en somme, à son époque.
Pourtant, nos dirigeants continuent à nous dire que la croissance dépend de l'extinction de la dette ou du moins de son aspect le plus insupportable, le levier de déstructuration des états.
A part cela, ils pourront continuer à emprunter sur les marchés financiers, engraissant les banques et les autres fonds financiers au détriment de leur propre citoyen, et, surtout, laissant planer la menace potentielle de la spéculation sur les dettes.
Alors, on arrête ?
On laisse une chance à la Grèce de sortir du marasme en sortant de la zone euro ?
Les états reprennent une autonomie concernant leur emprunt, réutilisant leur propre banque centrale, la Banque de France pour nous.
Et, on reconsidère une Europe qui fait la vie belle aux marchés financiers.
Et, surtout, on fait la chasse aux fonctionnaires européens corrompus !
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