Salut aux gens de gauche. Si, vous voulez que le président Hollande n'aille pas du côté de la finance, votez pour la gauche en dehors des candidats PS et les verts.
Bon, mes chers cinq lecteurs, l'Allemagne rechigne à ce que la BCE prête directement aux états.
Ah, la rigueur financière !
Et, bientôt, la rigueur budgétaire avec une perte de souveraineté conséquente puisque les budgets des états devront être approuvé par Bruxelles.
D'ailleurs, l'Irlande vote en ce moment pour savoir si il approuveront le pacte budgétaire européen. A mon avis, ils vont voter contre.
Sans doute, Hollande n'osera pas demander au peuple français, si, il approuve ou pas. Déjà, pour le pacte de Lisbonne, il était pour, alors, je ne vois pas ce qui le pourrait le faire changer d'avis.
Par contre, l'Islande, qui lors d'un référendum a refusé de rembourser la dette en est actuellement à un taux de croissance approchant les 3%.
La France, si, elle y arrive frôlera péniblement les 1% et des décimals.
Mais, revenons à notre sujet.
Si, l'Allemagne refuse que la BCE finance les états par l'emprunt, elle pourrait au moins permettre à ceux qui connaissent des difficultés comme l'Espagne, l'Italie, le Portugal, la Grèce de se financer directement par la BCE.
Il suffirait que l'Europe mette en place un dispositif qui permette aux états à partir du moment où les marchés leur imposent un taux d'intérêt considéré comme trop élevé en les empêchant de porter leurs efforts sur la croissance de pouvoir basculer sur des emprunts BCE à 1%.
La BCE se chargeant avec les Etats de renégocier entre-temps la dette avec les créanciers.
Un niveau d'alerte permettrait l'accès à un tel dispositif, permettant à ces états de ne pas plonger dans la récession. La rapidité de l'intervention éviterait des coûts prohibitifs d'intervention à l'ensemble de la communauté européenne.
Par contre, un des principes qui doit dicter la raison d'être de l'Europe serait d'éviter l'intervention du FMI.
Parce que les affaires se règlent en famille et que l'Europe est assez puissante pour ne pas à subir l'intervention du FMI dont on peut se demander quels sont ses objectifs concernant l'Europe, à part la soumettre aux marchés financiers.
Si, je pense que l'Europe peut mettre un tel dispositif en place, c'est en regardant la France et sa situation sur ces marchés. Tant que cela va, et puisqu'ils veulent favoriser les marchés, on emprunte sur ces marchés.
Lorsqu'il y a danger, le dispositif intervient afin d'éviter un coût lourd social comme il se passe en Grèce.
Autrement, nous irons chercher les têtes des marchés financiers au bout de nos baïonnettes, si, c'est la seule solution qui nous reste.
(source : le blogfinance)
Voilà, mes cinq chers lecteurs et cela sera tout pour aujourd'hui parce que je suis fatigué du fait que j'ai travaillé dans mon potager pour faire plein, plein, plein de légumes et pouvoir en amener au restaurant du coeur de ma région.
Bien le bonjour chez vous.
René.
Bon, mes chers cinq lecteurs, l'Allemagne rechigne à ce que la BCE prête directement aux états.
Ah, la rigueur financière !
Et, bientôt, la rigueur budgétaire avec une perte de souveraineté conséquente puisque les budgets des états devront être approuvé par Bruxelles.
D'ailleurs, l'Irlande vote en ce moment pour savoir si il approuveront le pacte budgétaire européen. A mon avis, ils vont voter contre.
Sans doute, Hollande n'osera pas demander au peuple français, si, il approuve ou pas. Déjà, pour le pacte de Lisbonne, il était pour, alors, je ne vois pas ce qui le pourrait le faire changer d'avis.
Par contre, l'Islande, qui lors d'un référendum a refusé de rembourser la dette en est actuellement à un taux de croissance approchant les 3%.
La France, si, elle y arrive frôlera péniblement les 1% et des décimals.
Mais, revenons à notre sujet.
Si, l'Allemagne refuse que la BCE finance les états par l'emprunt, elle pourrait au moins permettre à ceux qui connaissent des difficultés comme l'Espagne, l'Italie, le Portugal, la Grèce de se financer directement par la BCE.
Il suffirait que l'Europe mette en place un dispositif qui permette aux états à partir du moment où les marchés leur imposent un taux d'intérêt considéré comme trop élevé en les empêchant de porter leurs efforts sur la croissance de pouvoir basculer sur des emprunts BCE à 1%.
La BCE se chargeant avec les Etats de renégocier entre-temps la dette avec les créanciers.
Un niveau d'alerte permettrait l'accès à un tel dispositif, permettant à ces états de ne pas plonger dans la récession. La rapidité de l'intervention éviterait des coûts prohibitifs d'intervention à l'ensemble de la communauté européenne.
Par contre, un des principes qui doit dicter la raison d'être de l'Europe serait d'éviter l'intervention du FMI.
Parce que les affaires se règlent en famille et que l'Europe est assez puissante pour ne pas à subir l'intervention du FMI dont on peut se demander quels sont ses objectifs concernant l'Europe, à part la soumettre aux marchés financiers.
Si, je pense que l'Europe peut mettre un tel dispositif en place, c'est en regardant la France et sa situation sur ces marchés. Tant que cela va, et puisqu'ils veulent favoriser les marchés, on emprunte sur ces marchés.
Lorsqu'il y a danger, le dispositif intervient afin d'éviter un coût lourd social comme il se passe en Grèce.
Autrement, nous irons chercher les têtes des marchés financiers au bout de nos baïonnettes, si, c'est la seule solution qui nous reste.
(source : le blogfinance)
France : taux en baisse et dépassement des objectifs pour la nouvelle émission d'obligations
Signe positif pour le nouveau Président François Hollande et son nouveau gouvernement ? Cela y ressemble.
L'Agence France Trésor a en effet indiqué lundi que la France avait levé au total 9,607 milliards d'euros d'obligations à moyen terme à l'occasion de son adjudication de mercredi.
De bons résultats puisque l''AFT, chargée de placer la dette française sur le marché, prévoyait d'emprunter entre 7 et 8 milliards d'euros lors de cette émission.
Sur la ligne BTAN (bons du Trésor à taux fixe et intérêts annuels) à 0,75% à échéance fixée au 25 septembre 2014, les ONC (offres non compétitives) se sont établies à 436 millions d'euros, portant le montant total de l'adjudication à 2,941 milliards d'euros au taux moyen pondéré de 0,74%. Précisons qu'un taux de 0,85% avait été enregistré lors de la dernière adjudication comparable le 19 avril dernier.
Sur la ligne BTAN à 1,75% à échéance fixée au 25 février 2017, les ONC se sont établies à 771 millions d'euros portant le montant total de l'adjudication à 4,422 milliards d'euros au taux moyen pondéré de 1,72% contre 1,83% le 19 avril.
Sur la ligne OAT (obligations assimilables au Trésor) à 3,50% à échéance fixée au 25 avril 2015 les ONC se sont élevées à 210 millions d'euros portant le montant total de l'adjudication 1,155 milliard d'euros au taux moyen pondéré de 0,95% contre 1,06% le 19 avril.
Sur la ligne OAT à 3,25% à échéance le 25 avril 2016 les ONC se sont élevées à 194 millions d'euros portant le montant total de l'adjudication à 1,089 milliard d'euros au taux moyen pondéré de 1,37%.
Le règlement sur ces quatre lignes interviendra le 22 mai prochain.
Rappelons par ailleurs que la pratique des ONC consiste à soumettre une quantité sans préciser le prix. Les ONC sont alors servies en priorité au prix moyen pondéré qui résulte de l'adjudication.
Les ONC sont considérées par le Trésor français comme un privilège offert aux SVT (spécialistes en Valeurs du trésor) en contrepartie des obligations auxquelles ces derniers ont souscrit, si l'on en croit les spécialistes.
Les SVT correspondent plus ou moins aux « primary dealers » américains. Leur mission principale est l'animation du marché primaire et secondaire de la dette publique. Si les SVT ne sont pas les seuls à intervenir sur les valeurs du Trésor, néanmoins, environ 90 % des titres vendus aux enchères sont achetés par ces derniers.
Sources : AFP, AWP
Bien le bonjour chez vous.
René.