Salut à tous les rêveurs, poètes et écrivains. Le monde a encore besoin de vous.
Que vous dire aujourd'hui ?
Bof, que notre président continue à faire du copié collé avec les ricains. Pourtant, cela ne leur a pas porté chance, vu que le jour où il a commencé, ils se sont pété la gueule.
A part ça, il continue à réduire tous les acquis sociaux alors que le pouvoir d'achat s'en va à vau l'eau.
Pense-t-il sérieusement que les européens vont le suivre dans son délire mégalomaniaque. Transformer le capitalisme, je veux bien, l'enterrer, cela serait mieux.
Mais, blague à part, pendant que la crise se déroule à coup de milliards d'euros ou de dollars, certains continuent de penser au changement climatique, qui entre nous s'en fout de la crise financière ou économique. Voici donc un autre article des Nouvelles Calédoniennes de ce jour :
"Feu vert pour la voiture électrique
Better Place, une société israélienne spécialisée dans la construction d’infrastructures pour véhicules électriques, envisage de s’implanter en Australie. Le gouvernement fédéral et celui du Victoria ont déclaré être intéressés par le projet.Les villes de Sydney, Melbourne et Brisbane accueilleront un réseau de 200 000 à 250 000 points de recharge qui sera opérationnel dès 2012. Les stations seront situées dans des parkings, sur le lieu de travail, au domicile ou dans des centres commerciaux. Et 150 stations d'échange seront installées dans chacune de ces villes : les automobilistes auront la possibilité d'y échanger leur batterie. Aux termes du projet annoncé le 23 octobre à Melbourne, Better Place coopérera avec l’Australien Macquarie Capital Group pour attirer des investisseurs en vue d’établir des stations de recharge. L’objectif étant de commercialiser les premiers véhicules électriques à grande échelle, à l’horizon 2012. Better place a également conclu un accord avec le fournisseur d’électricité australien AGL Energy. Aucun constructeur n’a été désigné, mais l’alliance Renault-Nissan, qui développe une voiture électrique, étudie la possibilité de fournir des véhicules au partenariat australien. La société israélienne Better Place revendique fièrement sa mission : réduire la dépendance mondiale vis-à-vis du pétrole en faisant naître des infrastructures de chargement destinées aux véhicules électriques, pour proposer aux consommateurs un moyen de transport alternatif moins polluant.« Notre réseau en Australie montrera que le modèle Better Place fonctionne dans tous les pays quelle que soit leur taille », a déclaré Shai Agassi, président et fondateur de Better Place. Rappelons qu’en janvier 2008, l'Alliance Renault-Nissan a signé à Jérusalem un protocole d’accord dans la perspective d’une percée du véhicule électrique sur le marché israélien pour faire baisser les émissions de CO2 et de particules. Les véhicules100 % électriques seront commercialisés en 2011 en Israël. Better Place construira un réseau électrique de recharge des batteries, Renault fournira les véhicules électriques dotés de batteries lithium-ion, et le gouvernement israélien encouragerax à l'achat de véhicules électriques grâce à des incitations fiscales.Le gouvernement du Victoria s’est déclaré intéressé et a formé une cellule de travail afin de développer les options de transport non polluantes.
Jérôme Gavelle"
Ainsi, donc, les israéliens s'installent en Australie. Pourquoi dans ce pays ?
Sans doute qu'il n'y a pas de pôle industriel automobile capable de faire échec à une telle installation.
En Europe, vu, les pressions du secteur, cela ne serait pas possible.
Espérons pour notre avenir qu'il réussisse obligeant par l'exemple donné les autres états industriels à faire de même. Surtout qu'en Australie avec le soleil, ils pourront se fournir propre sans avoir à construire des barrages, fossoyeurs de la bio-diversité.
En tout cas, en France, EDF ferait bien de retaper ses barrages avant que des fissures ne finissent par apparaître mettant en danger la vie des riverains en aval. Sans compter un petit coup de ravalement dans les centrales nucléaires avant que les fuites ne se multiplient polluant nos pauvres petits poissons de rivière.
Ah, au fait, vendredi, je vous ai parlé par un article interposé des difficultés que vont rencontrer les réfugiés climatiques pour trouver une terre de refuge. En effet, la condition sine qua non sera que la terre d'accueil puisse nourrir et les gens du coin et les réfugiés. Problématique déjà rencontré dans les camps de réfugiés parce que l'aide humanitaire ne pourra de toute façon faire face. Déjà, que la crise financière l'a laminé en tout cas pour les pays riches, à mon avis, il n'en restera pas grand chose.
Mais, consolons nous, il nous reste un peu plus de vingt ans avant que le problème ne devienne catastrophique.
Ben, voilà, c'est tout ce que j'ai envie de dire aujourd'hui. J'ai pas trop la frite car j'ai trop dormi ce week end.
Alors, bien le bonjour chez vous.
Et, dites vous bien que si une crise peut en cacher une autre, plusieurs peuvent en dissimuler une multitude.
Ciao, René.
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