Salut à tous ceux qui n'ont plus de rêves. Regroupez-vous et pensez au mouvement coopératif. Il est d'actualité (Interview de ce jour du président du crédit coopératif sur BFM).
Pour dire, simplement, comparez ce que font les States pour soutenir l'emploi après avoir aidé les banquiers. Au niveau aides financières cela fait penser à un équilibre.
Maintenant, regardez ce que fait le gouvernement français pour aider l'emploi après avoir aidé les banquiers. L'aide est carrément une misère.
Notre ministre de l'économie n'est pas à la hauteur. Il serait temps de qu'elle quitte le gouvernement. A moins que Sarko s'inscrive publiquement du côté des riches et non des citoyens.
Mais, non, je plaisante.
A part ça, en Chine des entreprises ferment. Les ouvriers retournent chez eux dans les montagnes, parfois ou souvent sans avoir touché leurs derniers salaires. Sauf que eux, c'est sans salaires et sans indemnités, le rêve pour notre actuel gouvernement français.
Imaginez, virer les salariés sans salaires et sans indemnités et les patrons sont rois !
Surtout que vu, que notre ministre de l'intérieur va nous pondre des lois antiterroristes encore plus liberticides que les existantes, protester bientôt sera un crime.
D'ailleurs, maintenant, vous insultez un représentant du gouvernement sur un blog ou lors d'une manif, Paf, c'est la procédure en justice.
Maintenant, vous faîtes une blague à la con sur les flics et Paf, c'est la procédure en justice.
Heureusement, il nous reste à brocarder les socialistes français, ça, c'est pas encore puni par la loi. Ouf !
En attendant pour reprendre sur la Chine, elle va voir sa croissance en berne, non pas tant à cause d'un marché international également en berne, mais, plutôt vu la mauvaise qualité des produits finis qu'elle nous propose.
Car, de toute façon, elle va continuer, vu le nombre de paysans à recaser, à fournir des produits moins chers et vu que chez nous, on préférera acheter moins cher. Cela le fera quand même.
Sauf que, messieurs les chinois, une fois que vous aurez utilisé les industriels occidentaux et que vous n'aurez plus besoin d'eux, virez les, sans indemnités. Faîte moi ce plaisir qui ne sera qu'un juste retour des choses.
Car, comme, je l'ai signalé l'année dernière, la Chine est comme le Japon de l'après guerre. Elle copie, fournit de la mauvaise qualité jusqu'au moment où elle imposera des normes strictes à ses entrepreneurs. Et, surtout, jusqu'au moment où le génie chinois reprendra le dessus et ne se posera que dans la qualité et dans la haute technologie.
Mais, en attendant, ce n'est pas parce qu'elle fabrique des ingénieurs et touti quanti à la pelle, qu'elle générera des grosses têtes à même de l'amener à la pointe de la technologie. En plus, si elle oublie ses paysans, ça ne va pas le faire. Parce que sérieux pour le moment, elle utilise grave l'espionnage industriel. Alors, attendons, le moment où elle imaginera par elle même. Et, c'est ce temps qui signifiera le "réveil de la Chine".
Par contre, en attendant et à mon humble avis, pour le riz, elle devrait utiliser le système SRI, inventé à Madagascar pour performer la production de riz sans engrais et avec beaucoup moins d'eau.
Article de Direct matin du mercredi 26 novembre 2008 ,repris du Courrier International.
"Les résultas sont impressionnants (Inde, Tamil Nadu). Les villageois ont impliqué dans les koodam toutes les communautés et toutes les castes. Les fonds publics ont servi à rénover les anciens réservoirs d'eau et à en construire de nouveaux. Des barrages de correction -excellente méthode de réapprovisionnement des ressources- ont été construits le long des fossés de drainage et surtout, l'eau est désormais économisée. Les zones de culture de canne à sucre ont diminué de 20% dans certaines régions, et la riziculture consomme beaucoup moins d'eau grâce à l'introduction du système de riziculture intensive (SRI), une technique agricole inventée à Madagascar à la fin des années 1990, qui permet de multiplier les rendements des rizières par quatre, voire par six, sans utiliser d'engrais. Le niveau des nappes phréatiques est reparti à la hausse et les coûts liés à la pénurie d'eau ont été considérablement réduit".
Arvind Sivaramakrisnan. The Hindu, Madras.
Eh, oui, mes chers amis, imaginez, en France, lorsque nos paysans pollueurs auront épuisé les nappes phréatiques et que même les plantes par leurs racines ne pourront plus faire remonter l'eau pour les nourrir. Vous pensez vraiment qu'il suffira d'arroser à la surface pour contenter les cultures. Moi, je vous dis que ça sera mort.
Donc, je reviens à une problématique que je vous ais souvent posé. Six milliards d'individus sur terre, c'est trop. Neuf milliards, c'est la mort.
Voilà donc la question à laquelle je voulais vous amener à réfléchir.
La même pour les brésiliens. Quand il n'y aura plus la forêt amazonnienne, comment vont-ils respirer ?
Parce que vous ne croyez pas que les pays occidentaux ne feront pas le calcul de savoir combien d'arbres il faut replanter pour que eux puissent respirer ?
Ils le calculent déjà alors que vous le Brésil en préservant vos arbres, vous les obligerez à payer!
Et, si le gouvernement brésilien est honnête, il paiera des gens pour préserver la nature, notamment les paysans qui se font virer par les grandes entreprises agricoles nationales et surtout internationales. (Tiens en passant, je salue mon ami d'enfance furtardo du Brésil. Son père avant la première dictature s'est occupé des indiens).
Et, sur ce, je vous salue bien bas en vous certifiant que battre sa femme et ses gamins, c'est un truc réserver aux abrutis et alcooliques et à des pervers.
A mon avis, il faut interdire l'alcool aux abrutis de toutes les classes sociales.
Bien le bonjour chez vous.
René.
PS : Que les salariés pensent à reprendre leur entreprise sous la forme de scop (Société coopérative ouvrière de production).
PS2 : J'avoue que j'ai fait parti du mouvement coopératif international. Je suis donc de l'ultragauche. Merde, on va m'arrêter !
mercredi 26 novembre 2008
mardi 25 novembre 2008
"Serre ta chemise entre tes jambes et ta langue entre tes dents". Proverbe Polonais. Comprenne qui pourra.
Salut à tous les profiteurs, l'enfer est pour vous, il est pavé de bonnes intentions.
Que dire aujourd'hui, alors que je n'ai pas vraiment envie de trop en dire. Bof ! Qu'Obama a choisi de prolonger la guerre en Afganistan ?
On se peut se demander pourquoi se faire. A moins comme il l'a affirmé vouloir porter la guerre jusqu'au Pakistan.
Est-ce le bon choix ?
En ce qui me concerne, c'est une erreur qu'il risque de payer par un conflit régional généralisé en faisant monter au front tous les intégristes en mal de sacrifice qui traîne dans la sous région et ailleurs.
On peut aussi se demander quel sera le sort du peuple afgan. Surtout, si l'on considère que depuis l'intervention occidentale et tous les millions déversés, la culture du pavot se porte de mieux en mieux et la misère aussi.
Si Obama veut vraiment lutter contre les talibans, il ferait bien d'obliger le gouvernement afgan à lutter contre la pauvreté et créer les conditions pour que ce peuple le soutienne.
Autrement, cette guerre ne sera qu'une guerre impérialiste de plus dans l'histoire du monde.
En sachant qu'en plus, le peuple pakistanais risque de se retourner contre lui.
L'histoire de l'Afganistan nous a appris qu'aucun conquérant n'a pu se maintenir longtemps dans ce pays. En multipliant les assassinats, les talibans créent les conditions d'un retournement de la situation. Au point, bientôt de redevenir le peuple que les forces occidentales sont supposées soutenir. Parce que la nuit, se sont les talibans qui contrôlent le pays et cela suffit seul à démontrer l'échec des occidentaux.
Alors, si, en plus, Obama se met deux peuples sur le dos, les afgans et les pakistanais, à mon avis, c'est très mal parti.
Peut-être qu'améliorer le sort des gens serait mieux que compter d'éphémères victoires sur le nombre de populations assassinées.
A mon avis, c'est la première erreur de jugement d'Obama. Il ferait mieux de conserver l'argent de la guerre pour améliorer les conditions de vie de ses propres citoyens. Et, empêcher le terrorisme sur son propre territoire en faisant du renseignement une véritable arme pour connaître les intentions de l'ennemi. Ce qui serait plus facile avec un ennemi, maître de son pays et qui n'aurait plus à se cacher. Son organisation serait plus perméable aux investigations.
Voilà donc, le sujet sur lequel je voulais vous amener à réfléchir mes trois chers et uniques lecteurs.
Car même la théorie de la guerre révolutionnaire de nos bons militaires français pariaient sur un développement local qui s'opposerait aux sirènes de la guerre de guérillera, chère à notre bon Che Guevara.
Et, sur ce, bien le bonjour chez vous.
René.
Que dire aujourd'hui, alors que je n'ai pas vraiment envie de trop en dire. Bof ! Qu'Obama a choisi de prolonger la guerre en Afganistan ?
On se peut se demander pourquoi se faire. A moins comme il l'a affirmé vouloir porter la guerre jusqu'au Pakistan.
Est-ce le bon choix ?
En ce qui me concerne, c'est une erreur qu'il risque de payer par un conflit régional généralisé en faisant monter au front tous les intégristes en mal de sacrifice qui traîne dans la sous région et ailleurs.
On peut aussi se demander quel sera le sort du peuple afgan. Surtout, si l'on considère que depuis l'intervention occidentale et tous les millions déversés, la culture du pavot se porte de mieux en mieux et la misère aussi.
Si Obama veut vraiment lutter contre les talibans, il ferait bien d'obliger le gouvernement afgan à lutter contre la pauvreté et créer les conditions pour que ce peuple le soutienne.
Autrement, cette guerre ne sera qu'une guerre impérialiste de plus dans l'histoire du monde.
En sachant qu'en plus, le peuple pakistanais risque de se retourner contre lui.
L'histoire de l'Afganistan nous a appris qu'aucun conquérant n'a pu se maintenir longtemps dans ce pays. En multipliant les assassinats, les talibans créent les conditions d'un retournement de la situation. Au point, bientôt de redevenir le peuple que les forces occidentales sont supposées soutenir. Parce que la nuit, se sont les talibans qui contrôlent le pays et cela suffit seul à démontrer l'échec des occidentaux.
Alors, si, en plus, Obama se met deux peuples sur le dos, les afgans et les pakistanais, à mon avis, c'est très mal parti.
Peut-être qu'améliorer le sort des gens serait mieux que compter d'éphémères victoires sur le nombre de populations assassinées.
A mon avis, c'est la première erreur de jugement d'Obama. Il ferait mieux de conserver l'argent de la guerre pour améliorer les conditions de vie de ses propres citoyens. Et, empêcher le terrorisme sur son propre territoire en faisant du renseignement une véritable arme pour connaître les intentions de l'ennemi. Ce qui serait plus facile avec un ennemi, maître de son pays et qui n'aurait plus à se cacher. Son organisation serait plus perméable aux investigations.
Voilà donc, le sujet sur lequel je voulais vous amener à réfléchir mes trois chers et uniques lecteurs.
Car même la théorie de la guerre révolutionnaire de nos bons militaires français pariaient sur un développement local qui s'opposerait aux sirènes de la guerre de guérillera, chère à notre bon Che Guevara.
Et, sur ce, bien le bonjour chez vous.
René.
lundi 24 novembre 2008
"On ne peut pas courir et se gratter les pieds en même temps". Proverbe Malien. Comprenne qui pourra.
Salut à tous les compagnons du coquelicot, ceux de la rose ont pri un bouillon.
Bof ! Nous dirons que la semaine dernière, je n'avais pas envie d'écrire. Alors, j'ai laissé tomber la neige qu'il a fait hier sur Paris.
D'ailleurs en France, il n'y a pas que la neige qui tombe, il y a les entreprises qui profitent de la crise pour délocaliser à tout va.
Il y a notre président qui s'agite également à tout va pour refonder le capitalisme et que personne n'écoute parmi ses pairs.
Refondation du capitalisme qui ne sera d'ailleurs pas en faveur des classes défavorisées, mais en faveur des classes plus qu'aisées.
D'un autre côté, la ministre de l'intérieur s'invente un complot terroriste d'une ultra gauche fantôme pour démontrer qu'elle est indispensable.
Manque de pot pour elle, si, terrorisme il y a, il sera écologique ou ne sera pas.
Mettre des militants altermondialistes en taule en les confondant exprès avec un terrorisme ultragauchiste, c'est prévenir tout militant qu'il est en danger. Et, je dis bien tout militant dont la cause déplaît au pouvoir. Ce qui s'adresse à tous ceux qui critique le gouvernement publiquement.
C'est bien pour ça que dans mon précédent blog, je disais que notre liberté de pensée est en danger.
A vrai dire notre gouvernement ne semble plus savoir quoi inventer pour se rendre intéressant. Entre la suppression des maternelles, le travail jusqu'à 70 ans, le complot ultragauche, il donne l'impression de ne plus savoir où donner de la tête. Et, je ne parle pas des niches fiscales que l'on ne supprime pas et je ne parle pas des parachutes dorés que l'on se contente de cadrer sans les supprimer. Sans compter tout ce pognon qui n'ira pas aux aides sociales et qui va en direct aux banques sans pratiquement de cadrage.
Et, pendant que l'on file du fric aux banques, elle continuent à présurer les comptes courants.
Décidément la France est gouvernée par des maquignons qui réduisent le montant des retraites, qui réduisent les remboursements de médicaments, qui réduisent le pouvoir d'achat en laissant les grandes surfaces jouer au yoyo avec les prix, qui réduisent......tout, en faisant semblant d'aider. Un peu comme les ministres qui appellent au dialogue social en invitant les partenaires sociaux à discuter sur des mesures déjà décidées.
Après, comme le président, ses ministres se moquent de la capacité des syndicats à mobiliser pour les grèves.
Pour en rajouter, le gouvernement imite Bush, il tente de créer un climat de peur pour faire passer de futurs lois liberticides. Pour ce faire, la lutte contre le terrorisme de soi disant gauchiste est mise en exergue. Comme si le terrorisme islamiste ne suffisait pas à son bonheur ?
Par contre, les ministères créent des fichiers sur les bloggeurs qui critiquent leur politique. Mais, que va-t-il nous rester comme espace de liberté ?
Finalement, je vous le dis, c'est la liberté de pensée qui est mise en danger !
Bon, arrêtons de nous lamenter parce qu'entre nous, nous ne bougeons pas beaucoup pour nous défendre. Alors, si, on se fait baiser, nous ne devons nous en prendre qu'à nous même.
A part ça, une bonne nouvelle pour l'île de Nauru dans l'Océan Pacifique. Cette île a exploitée le phosphate pendant des décennies. Tout le centre de l'île a été creusé. Le gouvernement local a investit les bénéfices en Australie en pensant à l'après phosphate. Manque de pot, il s'est fait grugé par des aigres fins australiens, (hommes d'affaires australiens véreux) et a perdu non seulement tout le bénéfice de ses investissement, mais, en plus s'est retrouvé endetté.
Aujourd'hui, le gouvernement de Nauru retrouve le sourire.
Les Nouvelles Calédoniennes de ce jour :
"Flambée des prix du phosphate
La hausse des prix du phosphate est une aubaine pour la République de Nauru. Le gouvernement a fait savoir que la montée des cours du phosphate depuis deux ans a radicalement modifié l’avenir économique de cette petite nation océanienne toujours criblée de dettes. L’exploitation du phosphate a repris en 2006 et depuis les prix ont augmenté de 700 %. Le ministre des finances, Kieran Keke, souligne que cette source inespérée de revenus est ressentie par tous sur l’île mais aussi à l’étranger. Le gouvernement est enchanté par les redevances de l’exploitation minière qui descendent jusqu’en bas de la pyramide pour toucher les propriétaires fonciers et la population."
Tout ça, pour vous dire que même dans le malheur, l'espoir peut ressurgir du fond de l'abîme.
Et, sur ces bonnes paroles, pleines d'une confiance judéo chrétienne, je vous souhaite bien le bonjour chez vous.
René.
Bof ! Nous dirons que la semaine dernière, je n'avais pas envie d'écrire. Alors, j'ai laissé tomber la neige qu'il a fait hier sur Paris.
D'ailleurs en France, il n'y a pas que la neige qui tombe, il y a les entreprises qui profitent de la crise pour délocaliser à tout va.
Il y a notre président qui s'agite également à tout va pour refonder le capitalisme et que personne n'écoute parmi ses pairs.
Refondation du capitalisme qui ne sera d'ailleurs pas en faveur des classes défavorisées, mais en faveur des classes plus qu'aisées.
D'un autre côté, la ministre de l'intérieur s'invente un complot terroriste d'une ultra gauche fantôme pour démontrer qu'elle est indispensable.
Manque de pot pour elle, si, terrorisme il y a, il sera écologique ou ne sera pas.
Mettre des militants altermondialistes en taule en les confondant exprès avec un terrorisme ultragauchiste, c'est prévenir tout militant qu'il est en danger. Et, je dis bien tout militant dont la cause déplaît au pouvoir. Ce qui s'adresse à tous ceux qui critique le gouvernement publiquement.
C'est bien pour ça que dans mon précédent blog, je disais que notre liberté de pensée est en danger.
A vrai dire notre gouvernement ne semble plus savoir quoi inventer pour se rendre intéressant. Entre la suppression des maternelles, le travail jusqu'à 70 ans, le complot ultragauche, il donne l'impression de ne plus savoir où donner de la tête. Et, je ne parle pas des niches fiscales que l'on ne supprime pas et je ne parle pas des parachutes dorés que l'on se contente de cadrer sans les supprimer. Sans compter tout ce pognon qui n'ira pas aux aides sociales et qui va en direct aux banques sans pratiquement de cadrage.
Et, pendant que l'on file du fric aux banques, elle continuent à présurer les comptes courants.
Décidément la France est gouvernée par des maquignons qui réduisent le montant des retraites, qui réduisent les remboursements de médicaments, qui réduisent le pouvoir d'achat en laissant les grandes surfaces jouer au yoyo avec les prix, qui réduisent......tout, en faisant semblant d'aider. Un peu comme les ministres qui appellent au dialogue social en invitant les partenaires sociaux à discuter sur des mesures déjà décidées.
Après, comme le président, ses ministres se moquent de la capacité des syndicats à mobiliser pour les grèves.
Pour en rajouter, le gouvernement imite Bush, il tente de créer un climat de peur pour faire passer de futurs lois liberticides. Pour ce faire, la lutte contre le terrorisme de soi disant gauchiste est mise en exergue. Comme si le terrorisme islamiste ne suffisait pas à son bonheur ?
Par contre, les ministères créent des fichiers sur les bloggeurs qui critiquent leur politique. Mais, que va-t-il nous rester comme espace de liberté ?
Finalement, je vous le dis, c'est la liberté de pensée qui est mise en danger !
Bon, arrêtons de nous lamenter parce qu'entre nous, nous ne bougeons pas beaucoup pour nous défendre. Alors, si, on se fait baiser, nous ne devons nous en prendre qu'à nous même.
A part ça, une bonne nouvelle pour l'île de Nauru dans l'Océan Pacifique. Cette île a exploitée le phosphate pendant des décennies. Tout le centre de l'île a été creusé. Le gouvernement local a investit les bénéfices en Australie en pensant à l'après phosphate. Manque de pot, il s'est fait grugé par des aigres fins australiens, (hommes d'affaires australiens véreux) et a perdu non seulement tout le bénéfice de ses investissement, mais, en plus s'est retrouvé endetté.
Aujourd'hui, le gouvernement de Nauru retrouve le sourire.
Les Nouvelles Calédoniennes de ce jour :
"Flambée des prix du phosphate
La hausse des prix du phosphate est une aubaine pour la République de Nauru. Le gouvernement a fait savoir que la montée des cours du phosphate depuis deux ans a radicalement modifié l’avenir économique de cette petite nation océanienne toujours criblée de dettes. L’exploitation du phosphate a repris en 2006 et depuis les prix ont augmenté de 700 %. Le ministre des finances, Kieran Keke, souligne que cette source inespérée de revenus est ressentie par tous sur l’île mais aussi à l’étranger. Le gouvernement est enchanté par les redevances de l’exploitation minière qui descendent jusqu’en bas de la pyramide pour toucher les propriétaires fonciers et la population."
Tout ça, pour vous dire que même dans le malheur, l'espoir peut ressurgir du fond de l'abîme.
Et, sur ces bonnes paroles, pleines d'une confiance judéo chrétienne, je vous souhaite bien le bonjour chez vous.
René.
jeudi 20 novembre 2008
"Les chiens, qui se battent entre eux, s'unissent contre le loup". Proverbe Arménien.
Salut aux compagnons du coquelicot, il est temps de se prendre en main.
Eh bien, eh bien, il fait mauvais temps pour ceux qui ont un jour porté ombrage à notre président national. A mon avis, Dominique de Villepin, notre ancien premier ministre est hors course au moins jusqu'au prochaine élection présidentielle. Sans compter Poivre d'Arvor qui s'est fait éjecté du journal télévisé de TF1 parce que lui aussi avait déplu au président
Par contre, lorsque on a la chance d'être dans ses petits papiers, le monde devient formidable. Demandez à Bernard Tapie qui a récupéré par le biais de la "justice" un peu plus de 200 millions. Dont 45 pour préjudice moral.
A ce sujet, j'ai écouté l'interview sur BFM d'une personne dont j'ai oublié le nom qui a écrit un livre sur l'intervention présidentielle pour ficeler ledit jugement.
De plus, cet auteur précise qu'à l'époque de l'élection présidentielle entre Balladur et Chirac, Sarko avait prévu que Bernard Tapie se présente au cas où Jacques Delors soit candidat et bascule au second tour au profit de Balladur. Tout ça, histoire de foutre le boxon à gauche.
Après ça, on nous fait croire que Tapie et Sarko ne sont pas potes et que les canards sont les enfants du bon dieu.
Pendant ce temps, la France va mal.
Mais, "heureusement", il n'y a pas qu'en France que tout part à vau l'eau. Aux States, c'est la même.
Là-bas, les démocrates veulent intervenir sur le secteur de l'automobile, mais le secrétaire au Trésor américain attend l'investiture officielle d'Obama.
"Henry Paulson a déjà alloué 290 milliards de dollars sur les 350 de la première tranche. 250 milliards ont servi au renflouement des banques via notamment des prises de participation, et 40 milliards ont été investis sous forme de prêt à l'assureur AIG. 60 milliards peuvent encore être mobilisés sur la première tranche, mais Paulson se refuse à aller plus loin dans la dépense «Je vais faire ce que nous devons faire pour maintenir un système fort, mais je ne vais pas chercher à engager de nouvelles choses à moins qu'elles ne soient nécessaires, à moins qu'elles n'aient un grand sens». «Je veux préserver la puissance de feu et la flexibilité que nous avons maintenant» pour «ceux qui viennent après nous», a indiqué le secrétaire au trésor. Ce dernier refuse que l'utilisation des fonds du dispositif soit élargie à l'automobile". (Figaro, 18/11/2008)
Le risque que pointent les démocrates est que ce secteur s'il n'est pas immédiatement aidé soit obligé de mettre des milliers d'ouvriers au chômage. Donc en quelque sorte, les républicains balanceraient des peaux de bananes pourries sous les pieds d'Obama.
Qui a dit que la revenge est plat qui se mange froid ?
Heureusement que pendant ce temps, des initiatives sont prises pour préserver notre belle planète. Et, là, nous pouvons saluer l'initiative de Air New Zealand, qui à mon avis doit être non seulement salué, et surtout imité.
"Premier vol au biocarburant pour Air New Zealand
C’est le 3 décembre prochain qu’un Boeing de la compagnie aérienne nationale de Nouvelle-Zélande effectuera un vol de démonstration alimenté au biocarburant. Air New Zealand précise que ce biocarburant est un mélange d’huile de jatropha et de carburéacteur classique. Le vol devrait durer deux heures et fait partie d’un programme de recherche proenvironnement qui ambitionne l’utilisation d’un biocarburant renouvelable pour les opérations commerciales". Les nouvelles calédoniennes du 20/11/2008
Finalement, cela signifie que la planète continue à tourner sur son orbite et qu'il n'y a pas que les coups fourrés qui mènent le monde.
Et, voilà mes chers trois lecteurs que j'ai abandonné pendant deux jours, je vous laisse penser à cet acte citoyen qui consiste à boycotter les grandes surfaces comme Carrefour qui nous niquent dans les grandes largeurs.
Sauf que, sauf que j'ai trouvé à Franprix une boîte de maïs sur laquelle il est précisé "Sans Ogm". Alors, mes chers trois lecteurs, faites en sorte de trouver et de n'acheter que des produits étiquetés "Sans Ogm". Car, c'est comme ça qu'à notre tour nous pourrons faire la nique à Mosantos, cette pieuvre intersidérale.
Bien le bonjour chez vous.
René.
Eh bien, eh bien, il fait mauvais temps pour ceux qui ont un jour porté ombrage à notre président national. A mon avis, Dominique de Villepin, notre ancien premier ministre est hors course au moins jusqu'au prochaine élection présidentielle. Sans compter Poivre d'Arvor qui s'est fait éjecté du journal télévisé de TF1 parce que lui aussi avait déplu au président
Par contre, lorsque on a la chance d'être dans ses petits papiers, le monde devient formidable. Demandez à Bernard Tapie qui a récupéré par le biais de la "justice" un peu plus de 200 millions. Dont 45 pour préjudice moral.
A ce sujet, j'ai écouté l'interview sur BFM d'une personne dont j'ai oublié le nom qui a écrit un livre sur l'intervention présidentielle pour ficeler ledit jugement.
De plus, cet auteur précise qu'à l'époque de l'élection présidentielle entre Balladur et Chirac, Sarko avait prévu que Bernard Tapie se présente au cas où Jacques Delors soit candidat et bascule au second tour au profit de Balladur. Tout ça, histoire de foutre le boxon à gauche.
Après ça, on nous fait croire que Tapie et Sarko ne sont pas potes et que les canards sont les enfants du bon dieu.
Pendant ce temps, la France va mal.
Mais, "heureusement", il n'y a pas qu'en France que tout part à vau l'eau. Aux States, c'est la même.
Là-bas, les démocrates veulent intervenir sur le secteur de l'automobile, mais le secrétaire au Trésor américain attend l'investiture officielle d'Obama.
"Henry Paulson a déjà alloué 290 milliards de dollars sur les 350 de la première tranche. 250 milliards ont servi au renflouement des banques via notamment des prises de participation, et 40 milliards ont été investis sous forme de prêt à l'assureur AIG. 60 milliards peuvent encore être mobilisés sur la première tranche, mais Paulson se refuse à aller plus loin dans la dépense «Je vais faire ce que nous devons faire pour maintenir un système fort, mais je ne vais pas chercher à engager de nouvelles choses à moins qu'elles ne soient nécessaires, à moins qu'elles n'aient un grand sens». «Je veux préserver la puissance de feu et la flexibilité que nous avons maintenant» pour «ceux qui viennent après nous», a indiqué le secrétaire au trésor. Ce dernier refuse que l'utilisation des fonds du dispositif soit élargie à l'automobile". (Figaro, 18/11/2008)
Le risque que pointent les démocrates est que ce secteur s'il n'est pas immédiatement aidé soit obligé de mettre des milliers d'ouvriers au chômage. Donc en quelque sorte, les républicains balanceraient des peaux de bananes pourries sous les pieds d'Obama.
Qui a dit que la revenge est plat qui se mange froid ?
Heureusement que pendant ce temps, des initiatives sont prises pour préserver notre belle planète. Et, là, nous pouvons saluer l'initiative de Air New Zealand, qui à mon avis doit être non seulement salué, et surtout imité.
"Premier vol au biocarburant pour Air New Zealand
C’est le 3 décembre prochain qu’un Boeing de la compagnie aérienne nationale de Nouvelle-Zélande effectuera un vol de démonstration alimenté au biocarburant. Air New Zealand précise que ce biocarburant est un mélange d’huile de jatropha et de carburéacteur classique. Le vol devrait durer deux heures et fait partie d’un programme de recherche proenvironnement qui ambitionne l’utilisation d’un biocarburant renouvelable pour les opérations commerciales". Les nouvelles calédoniennes du 20/11/2008
Finalement, cela signifie que la planète continue à tourner sur son orbite et qu'il n'y a pas que les coups fourrés qui mènent le monde.
Et, voilà mes chers trois lecteurs que j'ai abandonné pendant deux jours, je vous laisse penser à cet acte citoyen qui consiste à boycotter les grandes surfaces comme Carrefour qui nous niquent dans les grandes largeurs.
Sauf que, sauf que j'ai trouvé à Franprix une boîte de maïs sur laquelle il est précisé "Sans Ogm". Alors, mes chers trois lecteurs, faites en sorte de trouver et de n'acheter que des produits étiquetés "Sans Ogm". Car, c'est comme ça qu'à notre tour nous pourrons faire la nique à Mosantos, cette pieuvre intersidérale.
Bien le bonjour chez vous.
René.
lundi 17 novembre 2008
"Il n'y a pas de mal à être né dans une basse-cour lorsqu'on sort d'un oeuf de cygne". Hans Christian Andersen
Salut les aminches ! Que le grand cric nous croque. De toute façon, on est dedans.
Ah, oui, une réflexion sur les révolutionnaires de l'ultra gauche que la police a saisi dans une ferme de Corrèze. A mon humble avis, c'est bidonnage et compagnie.
Donc, ces braves jeunes gens, de bonnes familles auraient saboté notre chemin de fer national pour faire avancer la révolution.
A vrai dire tout ce qu'ils auraient réussi à faire, c'est créer des embouteillages de tgv et faire souffrir des retards aux usagers.
Avec ça, la révolution est bien avancée.
Que les jeunes aient en leur possession des ouvrages sur comment faire chier le gouvernement, je veux bien. A notre époque, nous avions tous acheté le livret du Che Guevara sur comment faire la révolution.
Livret vendu entre nous dans toutes les bonnes librairie.
Seulement, l'ouvrage saisi permet aux autorités de stigmatiser ces jeunes en les accusant d'être des terroristes. Pas des révolutionnaires, mais des terroristes.
Heureusement que notre police est intervenue en les braquant avec leurs famas. Méthode qui me rappelle le temps joyeux où le Gign intervenait dans les tribus kanaks et piégeait les sentiers empêchant ainsi les kanaks d'accéder à leurs champs.
A se demander pourquoi se faire ?
Nous faire oublier que les banquiers spéculateurs devraient être en prison pour avoir dilapider l'argent à eux convié ?
Nous faire oublier que les classes intermédiaires plongent peu à peu dans la précarité.
Nous prent-on pour des imbéciles ? Ce qui entre nous n'est pas nouveau.
Alors quoi ?
Oui, en effet à quoi sert ce cinéma ?
Parce que les preuves sont tellement minimes qu'il y a un air de fabrication qui nous rappelle de vieux souvenirs.
Qu'il y ait des mecs qui parlent de changer le monde, cela a toujours été en France. Et, ce qui serait véritablement dangereux, c'est que l'on tente de nous enlever cette dernière liberté de pensée.
Est-ce que c'est ça que veut le gouvernement après vouloir nous faire travailler jusqu'à 70 ans, nous enlever notre liberté de pensée ?
Pensez y mes chers trois lecteurs. Pensez y et réfléchissez.
Que veulent-ils nous faire croire ?
Après tout à une autre époque, le gouvernement nous a fait croire que le nuage de Tchernobyl s'était arrêté aux frontières de notre beau pays.
Quel est le but de la manip d'aujourd'hui ?
Réfléchissez et faites moi parvenir vos réflexions.
Bien le bonjour chez vous car c'est tout pour aujourd'hui, vu qu'une collègue va me prendre l'ordi.
René.
Ah, oui, une réflexion sur les révolutionnaires de l'ultra gauche que la police a saisi dans une ferme de Corrèze. A mon humble avis, c'est bidonnage et compagnie.
Donc, ces braves jeunes gens, de bonnes familles auraient saboté notre chemin de fer national pour faire avancer la révolution.
A vrai dire tout ce qu'ils auraient réussi à faire, c'est créer des embouteillages de tgv et faire souffrir des retards aux usagers.
Avec ça, la révolution est bien avancée.
Que les jeunes aient en leur possession des ouvrages sur comment faire chier le gouvernement, je veux bien. A notre époque, nous avions tous acheté le livret du Che Guevara sur comment faire la révolution.
Livret vendu entre nous dans toutes les bonnes librairie.
Seulement, l'ouvrage saisi permet aux autorités de stigmatiser ces jeunes en les accusant d'être des terroristes. Pas des révolutionnaires, mais des terroristes.
Heureusement que notre police est intervenue en les braquant avec leurs famas. Méthode qui me rappelle le temps joyeux où le Gign intervenait dans les tribus kanaks et piégeait les sentiers empêchant ainsi les kanaks d'accéder à leurs champs.
A se demander pourquoi se faire ?
Nous faire oublier que les banquiers spéculateurs devraient être en prison pour avoir dilapider l'argent à eux convié ?
Nous faire oublier que les classes intermédiaires plongent peu à peu dans la précarité.
Nous prent-on pour des imbéciles ? Ce qui entre nous n'est pas nouveau.
Alors quoi ?
Oui, en effet à quoi sert ce cinéma ?
Parce que les preuves sont tellement minimes qu'il y a un air de fabrication qui nous rappelle de vieux souvenirs.
Qu'il y ait des mecs qui parlent de changer le monde, cela a toujours été en France. Et, ce qui serait véritablement dangereux, c'est que l'on tente de nous enlever cette dernière liberté de pensée.
Est-ce que c'est ça que veut le gouvernement après vouloir nous faire travailler jusqu'à 70 ans, nous enlever notre liberté de pensée ?
Pensez y mes chers trois lecteurs. Pensez y et réfléchissez.
Que veulent-ils nous faire croire ?
Après tout à une autre époque, le gouvernement nous a fait croire que le nuage de Tchernobyl s'était arrêté aux frontières de notre beau pays.
Quel est le but de la manip d'aujourd'hui ?
Réfléchissez et faites moi parvenir vos réflexions.
Bien le bonjour chez vous car c'est tout pour aujourd'hui, vu qu'une collègue va me prendre l'ordi.
René.
mercredi 12 novembre 2008
"Celui qui court deux lièvres à la fois n'en prend aucun". Didier Erasme.
Salut à tous mes compagnons qui pensent que rien n'est fait pour préserver les espèces en voie de disparition. Bientôt l'espèce humaine en prendra le chemin aussi.
Eh, oui, mes chers trois lecteurs. Avec la multiplication des cancers, des maladies opportunistes, des nouvelles qui débarquent comme le H5N1 et j'en passe, plus le vieillissement des populations et le manque de femmes dans les pays émergents, c'est l'espèce humaine qui risque un jour d'être en voie de disparition. Comme les requins par exemple.
C'est la raison pour laquelle, je vous soumets un article des Nouvelles Calédoniennes de ce jour au sujet de nos prédateurs préférés.
"Une soupe de requin bien menaçante...
Selon une étude australienne, l’engouement croissant pour la soupe d’ailerons de requin, principalement en Asie, a conduit à une croissance rapide de la pêche illégale, qui pourrait engendrer des conséquences irréversibles pour les espèces de requin. Le trafic et la pêche illégale contribueraient à une diminution inquiétante de la population de requins, d’après le rapport réalisé par le gouvernement d’Australie et le réseau de surveillance du commerce de la faune et de la flore. Une espèce de requin sur cinq est considérée comme étant menacée d’extinction, aujourd’hui dans le monde. En 2005, les exportations légales de requins totalisaient 310 millions de dollars dans le monde, alors qu’elles ne se chiffraient qu’à 237 millions de dollars en 2002. « Alors que la demande mondiale pour les requins continue à augmenter, les populations de requins sont en train de chuter considérablement », explique le communiqué qui accompagne le rapport de 57 pages. « L’augmentation de la demande pour la soupe d’ailerons de requin dans les pays tels que la Chine est un des facteurs qui expliquent le problème » a déclaré Sonja Fordhaù, co-auteur d’une autre étude sur les requins et directrice d’un groupe spécialisé dans les requins à l’Union internationale pour la conservation de la nature, avant d’ajouter que la demande chinoise en ailerons est en augmentation croissante.« La soupe est servie en Chine dans les grandes occasions comme les célébrations. Mais dans le passé, ce mets fin était reservé aux classes élevées de la société. Aujourd’hui il devient de plus en plus populaire », précise-t-elle. Alors que les Nations unies avaient demandé, en 2000, que les pays élaborent des plans de gestion appropriés pour les populations de requins, le rapport indique que seulement six des vingt principaux pays pêcheurs de requins, soit Taiwan, le Mexique, les États-Unis, le Japon, la Malaisie et la Thaïlande, s’y sont conformés. 350 navires de pêche illégaux ont été interceptés en 2006-2007 au large de l’Australie. L’étude australienne a été publiée alors que des experts de l’organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture étaient réunis à Rome pour passer en revue les mesures visant à protéger les requins dans le monde. Les auteurs de l’étude recommandent aux gouvernements de mettre un coup d’arrêt à la pêche illégale de requins. S’il semble impossible de savoir exactement combien de requins ont été pêchés de manière illégale, avouent les auteurs de l’étude, un examen des saisies sur les navires de pêche a montré que les prises illégales sont un problème dans le monde entier et plus particulièrement en Amérique centrale, en Amérique du sud, et dans le Pacifique. Au large de l’Australie, par exemple, 350 navires de pêche illégaux ont été interceptés en 2006-2007, avec à leur bord un total de 1,6 tonne d’ailerons de requin. Ces navires étaient principalement indonésiens. « Les requins sont parfois attrapés par des navires de pêche au thon. Dans la plupart des cas, les équipes de pêche, sur les navires illégaux, découpent l’aileron des requins et rejettent à la mer les carcasses », explique le rapport. Une pratique extrêmement cruelle puisque le requin relâché est voué à une mort certaine, souvent dévoré par ses congénères. Les principaux importateurs d’ailerons de requin sont la Chine, la Malaisie, l’Indonésie, la Thaïlande et Taiwan. À Hong Kong, le plus grand marché d’ailerons de requin, les principales espèces vendues sont le requin bleu, le requin mako, le requin bouledogue, le requin marteau, le requin gris, le requin soyeux, et le requin renard.
Jérôme Gavelle"
Et, voilà, et voilà. Quand, la mer sera vide, tout le monde se serrera la ceinture. Ne croyez-vous pas mes trois chers lecteurs ?
Moi, je m'en fous car comme je vous l'ai dit, je fais ramadan tous les jours que dieu fait.
A part ça, je me dis que si on devenait tous végétariens, il faudrait relâcher les vaches et les cochons et la basse cour en sus. Que le monde serait beau alors !
Ne pensez-vous pas mes trois chers lecteurs ?
Et, si les cons étaient chefs d'escadrille, le monde ne serait-il pas merveilleux ?
Et, si les spéculateurs étaient en prison. Le monde serait formidable.
Et, sur ces bonnes paroles pleines d'espérances, je vous laisse à vos réflexions dénaturées par la difficulté de la vie.
Ciao.
René.
Eh, oui, mes chers trois lecteurs. Avec la multiplication des cancers, des maladies opportunistes, des nouvelles qui débarquent comme le H5N1 et j'en passe, plus le vieillissement des populations et le manque de femmes dans les pays émergents, c'est l'espèce humaine qui risque un jour d'être en voie de disparition. Comme les requins par exemple.
C'est la raison pour laquelle, je vous soumets un article des Nouvelles Calédoniennes de ce jour au sujet de nos prédateurs préférés.
"Une soupe de requin bien menaçante...
Selon une étude australienne, l’engouement croissant pour la soupe d’ailerons de requin, principalement en Asie, a conduit à une croissance rapide de la pêche illégale, qui pourrait engendrer des conséquences irréversibles pour les espèces de requin. Le trafic et la pêche illégale contribueraient à une diminution inquiétante de la population de requins, d’après le rapport réalisé par le gouvernement d’Australie et le réseau de surveillance du commerce de la faune et de la flore. Une espèce de requin sur cinq est considérée comme étant menacée d’extinction, aujourd’hui dans le monde. En 2005, les exportations légales de requins totalisaient 310 millions de dollars dans le monde, alors qu’elles ne se chiffraient qu’à 237 millions de dollars en 2002. « Alors que la demande mondiale pour les requins continue à augmenter, les populations de requins sont en train de chuter considérablement », explique le communiqué qui accompagne le rapport de 57 pages. « L’augmentation de la demande pour la soupe d’ailerons de requin dans les pays tels que la Chine est un des facteurs qui expliquent le problème » a déclaré Sonja Fordhaù, co-auteur d’une autre étude sur les requins et directrice d’un groupe spécialisé dans les requins à l’Union internationale pour la conservation de la nature, avant d’ajouter que la demande chinoise en ailerons est en augmentation croissante.« La soupe est servie en Chine dans les grandes occasions comme les célébrations. Mais dans le passé, ce mets fin était reservé aux classes élevées de la société. Aujourd’hui il devient de plus en plus populaire », précise-t-elle. Alors que les Nations unies avaient demandé, en 2000, que les pays élaborent des plans de gestion appropriés pour les populations de requins, le rapport indique que seulement six des vingt principaux pays pêcheurs de requins, soit Taiwan, le Mexique, les États-Unis, le Japon, la Malaisie et la Thaïlande, s’y sont conformés. 350 navires de pêche illégaux ont été interceptés en 2006-2007 au large de l’Australie. L’étude australienne a été publiée alors que des experts de l’organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture étaient réunis à Rome pour passer en revue les mesures visant à protéger les requins dans le monde. Les auteurs de l’étude recommandent aux gouvernements de mettre un coup d’arrêt à la pêche illégale de requins. S’il semble impossible de savoir exactement combien de requins ont été pêchés de manière illégale, avouent les auteurs de l’étude, un examen des saisies sur les navires de pêche a montré que les prises illégales sont un problème dans le monde entier et plus particulièrement en Amérique centrale, en Amérique du sud, et dans le Pacifique. Au large de l’Australie, par exemple, 350 navires de pêche illégaux ont été interceptés en 2006-2007, avec à leur bord un total de 1,6 tonne d’ailerons de requin. Ces navires étaient principalement indonésiens. « Les requins sont parfois attrapés par des navires de pêche au thon. Dans la plupart des cas, les équipes de pêche, sur les navires illégaux, découpent l’aileron des requins et rejettent à la mer les carcasses », explique le rapport. Une pratique extrêmement cruelle puisque le requin relâché est voué à une mort certaine, souvent dévoré par ses congénères. Les principaux importateurs d’ailerons de requin sont la Chine, la Malaisie, l’Indonésie, la Thaïlande et Taiwan. À Hong Kong, le plus grand marché d’ailerons de requin, les principales espèces vendues sont le requin bleu, le requin mako, le requin bouledogue, le requin marteau, le requin gris, le requin soyeux, et le requin renard.
Jérôme Gavelle"
Et, voilà, et voilà. Quand, la mer sera vide, tout le monde se serrera la ceinture. Ne croyez-vous pas mes trois chers lecteurs ?
Moi, je m'en fous car comme je vous l'ai dit, je fais ramadan tous les jours que dieu fait.
A part ça, je me dis que si on devenait tous végétariens, il faudrait relâcher les vaches et les cochons et la basse cour en sus. Que le monde serait beau alors !
Ne pensez-vous pas mes trois chers lecteurs ?
Et, si les cons étaient chefs d'escadrille, le monde ne serait-il pas merveilleux ?
Et, si les spéculateurs étaient en prison. Le monde serait formidable.
Et, sur ces bonnes paroles pleines d'espérances, je vous laisse à vos réflexions dénaturées par la difficulté de la vie.
Ciao.
René.
lundi 10 novembre 2008
"L'erreur est égale, que l'on dépasse les bornes ou que l'on reste en deçà". Confucius.
Salut à tous ceux qui se vivent battant pour ne pas dire combattant. L'aube nouvelle se lève à l'ouest.
Bon, il faudrait peut-être se calmer sur Obama. D'abord parce qu'il est ricain et que pour lui primera d'abord les Etats Unis. Ce n'est pas le sauveur du monde.
Pour le moment, il a quatre ans pour évacuer les troupes d'Irak, le fera-t-il ?
Bonne question, car dans les deux ans qui viennent, cela semble un peu court. Le lobby militaro industriel a trop à perdre pour ne pas lui mettre des bâtons dans les roues. A moins que dans son engagement futur en Afganistan, il n'étende le conflit comme il a pu l'affirmer sur le Pakistan.
Peut-être qu'à cette condition le lobby militaro industriel l'accompagnera.
Alors, là, mes pauvres amis, ça risque de bombarder à tout va.
Étendre le conflit au Pakistan n'est pas une vraie bonne idée. Aider les tribus à se débarrasser des membres d'Al Quaida sans pour autant faire la chasse aux talibans pakistanais me paraît une idée plus sensée.
Pourquoi, me direz-vous, ne pas s'attaquer aux talibans afgans ou pakistanais au Pakistan. Parce qu'il me semble que la guerre révolutionnaire est plus adaptée à cette catégorie que des frappes par missiles interposés.
Eh, oui, mes chers amis, la guerre révolutionnaire qui a été théoriser par nos chers parachutistes pendant la guerre d'Indochine. Et, pourquoi, la guerre révolutionnaire ? Tout simplement parce qu'elle s'attache à améliorer la situation des populations sur place tout en développant le renseignement à l'intérieur des zones concernées.
Bon, je ne vais pas vous en faire tout un plat parce que l'Obamania me paraît un tantinet exagérer vu qu'il faut attendre de voir l'homme à l'oeuvre. Et que je pense que les européens s'imaginent un peu trop qu'il va être l'homme de la rupture. Nous avons déjà vu ça en France et le constat est plus que mitigé.
Mais, basta de telles considération. Espérons qu'Obama ne fera pas comme notre président et ne fera pas travailler les américains jusqu'à 70 ans. Déjà qu'ils y sont dans les conseils d'administration, espérons qu'ils n'y seront pas dans les usines. Parce qu'entre nous, c'est pas la même !
Bon, mise à part ça, la crise financière et la crise économique nous font oublier la crise alimentaire. Celle-là, elle va durer plus longtemps que la crise économique et c'est pas peu dire.
Sauf, qu'il semblerait que la fausse bonne idée des agrocarburants ait fait long feu. Tant pis pour les brésiliens qui pourtant se rendent peu à peu compte qu'ils ont développés une industrie qui détruit les zones boisées et réduit les petits paysans au nomadisme. Et, cela du fait qu'ils se font chasser de leurs lopins de terre par les grandes sociétés agricoles.
C'est d'ailleurs ce qui risque de se passer en Chine où une nouvelle loi permet aux paysans soit de vendre, soit de louer leurs terres. La question qui se pose est : "Comment vont-ils résister au capital qui va tenter de créer de grandes exploitations ?"
A mon avis le paysan qui va se faire casser les deux pattes partira sans demander son reste. Parce que le gouvernement chinois ne peut nous dire qu'il va les protéger, déjà que lui même les expulse à tire la rigot en leur envoyant la troupe ou la police.
Sans compter la corruption qui fleurit dans l'administration et qui certainement poussera les hauts fonctionnaires provinciaux à se tailler de grandes propriétés.
Bientôt la Chine ressemblera à celle que Tchang kai tchek avait laissé derrière lui en abordant Taiwan. Celle des pauvres gens qui meurent dans la précarité la plus odieuse. Aussi, si il n'y a plus de différence entre la Chine et Taiwan, ils peuvent se remettre ensemble comme un vieux couple à un moment séparé et requinqué à un autre.
Sauf, que, si je comprend bien, Taiwan est largement plus démocratique que la Chine et que dans le panier des retrouvailles, elle risque d'y perdre ses libertés publiques.
A part ça, à part ça, il y a un pays qui ne fait pas de vagues et dont on ne parle pas, c'est le Vietnam.
Alors, messieurs les investisseurs qui ont encore du fric, investissez, investissez là bas. Je vous assure, cette zone n'est pas troublée.
Et, sur ces bonnes paroles, je vous salue bien et bien le bonjour chez vous.
René.
Bon, il faudrait peut-être se calmer sur Obama. D'abord parce qu'il est ricain et que pour lui primera d'abord les Etats Unis. Ce n'est pas le sauveur du monde.
Pour le moment, il a quatre ans pour évacuer les troupes d'Irak, le fera-t-il ?
Bonne question, car dans les deux ans qui viennent, cela semble un peu court. Le lobby militaro industriel a trop à perdre pour ne pas lui mettre des bâtons dans les roues. A moins que dans son engagement futur en Afganistan, il n'étende le conflit comme il a pu l'affirmer sur le Pakistan.
Peut-être qu'à cette condition le lobby militaro industriel l'accompagnera.
Alors, là, mes pauvres amis, ça risque de bombarder à tout va.
Étendre le conflit au Pakistan n'est pas une vraie bonne idée. Aider les tribus à se débarrasser des membres d'Al Quaida sans pour autant faire la chasse aux talibans pakistanais me paraît une idée plus sensée.
Pourquoi, me direz-vous, ne pas s'attaquer aux talibans afgans ou pakistanais au Pakistan. Parce qu'il me semble que la guerre révolutionnaire est plus adaptée à cette catégorie que des frappes par missiles interposés.
Eh, oui, mes chers amis, la guerre révolutionnaire qui a été théoriser par nos chers parachutistes pendant la guerre d'Indochine. Et, pourquoi, la guerre révolutionnaire ? Tout simplement parce qu'elle s'attache à améliorer la situation des populations sur place tout en développant le renseignement à l'intérieur des zones concernées.
Bon, je ne vais pas vous en faire tout un plat parce que l'Obamania me paraît un tantinet exagérer vu qu'il faut attendre de voir l'homme à l'oeuvre. Et que je pense que les européens s'imaginent un peu trop qu'il va être l'homme de la rupture. Nous avons déjà vu ça en France et le constat est plus que mitigé.
Mais, basta de telles considération. Espérons qu'Obama ne fera pas comme notre président et ne fera pas travailler les américains jusqu'à 70 ans. Déjà qu'ils y sont dans les conseils d'administration, espérons qu'ils n'y seront pas dans les usines. Parce qu'entre nous, c'est pas la même !
Bon, mise à part ça, la crise financière et la crise économique nous font oublier la crise alimentaire. Celle-là, elle va durer plus longtemps que la crise économique et c'est pas peu dire.
Sauf, qu'il semblerait que la fausse bonne idée des agrocarburants ait fait long feu. Tant pis pour les brésiliens qui pourtant se rendent peu à peu compte qu'ils ont développés une industrie qui détruit les zones boisées et réduit les petits paysans au nomadisme. Et, cela du fait qu'ils se font chasser de leurs lopins de terre par les grandes sociétés agricoles.
C'est d'ailleurs ce qui risque de se passer en Chine où une nouvelle loi permet aux paysans soit de vendre, soit de louer leurs terres. La question qui se pose est : "Comment vont-ils résister au capital qui va tenter de créer de grandes exploitations ?"
A mon avis le paysan qui va se faire casser les deux pattes partira sans demander son reste. Parce que le gouvernement chinois ne peut nous dire qu'il va les protéger, déjà que lui même les expulse à tire la rigot en leur envoyant la troupe ou la police.
Sans compter la corruption qui fleurit dans l'administration et qui certainement poussera les hauts fonctionnaires provinciaux à se tailler de grandes propriétés.
Bientôt la Chine ressemblera à celle que Tchang kai tchek avait laissé derrière lui en abordant Taiwan. Celle des pauvres gens qui meurent dans la précarité la plus odieuse. Aussi, si il n'y a plus de différence entre la Chine et Taiwan, ils peuvent se remettre ensemble comme un vieux couple à un moment séparé et requinqué à un autre.
Sauf, que, si je comprend bien, Taiwan est largement plus démocratique que la Chine et que dans le panier des retrouvailles, elle risque d'y perdre ses libertés publiques.
A part ça, à part ça, il y a un pays qui ne fait pas de vagues et dont on ne parle pas, c'est le Vietnam.
Alors, messieurs les investisseurs qui ont encore du fric, investissez, investissez là bas. Je vous assure, cette zone n'est pas troublée.
Et, sur ces bonnes paroles, je vous salue bien et bien le bonjour chez vous.
René.
vendredi 7 novembre 2008
"Ne dis pas tes peines à autrui ; l'épervier et le vautour s'abattent sur le blessé qui gémit". Proverbe Arabe.
En regardant faire Sarko, je me dis que la vie est un vaste damier sur lequel il déplace des pions.
A part ça, un article sur mon pote qui se présente au Congo Brazzaville contre l'actuel président.
Question : Est-ce que la France va bouger cette fois-ci ?
Congo-Brazzaville Et si le peuple choisissait l’homme des négociations du Pool à la présidentielle 2009 ?
Discret sur ses engagements, ses actions politiques et humanitaires parlent pour lui.
Novembre 2008 ● article du magazine Afrique Asie
Par Nicolas Abena
Pour la présidentielle de 2009, le challenger
de Denis Sassou Nguesso
sera-t-il un homme neuf ? Tout le
monde a les yeux rivés sur le docteur Marcel
Guitoukoulou, un quadragénaire qui,
s’il se présente, n’entend pas faire de la
figuration. D’autant moins que l’opinion
publique semble l’appeler de ses voeux et
que l’alternance paraît plus que probable
en 2009. L’hypothèse fait même son chemin
au palais présidentiel de Mpila. C’est
dire…
En prise avec la base
Malgré tout, certains se posent des questions
: Marcel Guitoukoulou aura-t-il la
carrure pour faire vaciller Denis Sassou
Nguesso ? Sans aucun doute pour ses nombreux
soutiens, qui affirment qu’il est prêt
à assumer en 2009 les plus hautes fonctions
politiques : « Ce n’est pas un néophyte,
il est le président du Congrès du
peuple, cofondateur du Consensus citoyen
et du Conseil représentatif de la diaspora
du Congo-Brazzaville en France. » Et le
numéro un du Congrès du peuple a un
atout de taille, ajoutent-ils : il est en prise
permanente avec la base au Congo où il
séjourne au moins trois mois par an et
mène de nombreuses actions.
L’homme reste discret sur son investissement
pour la paix et la réconciliation
nationale. Mais ses actes politiques et ses
actions humanitaires parlent pour lui. Marcel
Guitoukoulou s’est toujours intéressé à
la chose publique. Il a 25 ans quand il
adhère au Parti congolais du travail, l’actuel
parti présidentiel. En 1992, à la faveur
de la conférence nationale souveraine, il
soutient la candidature du premier ministre
André Milongo à la présidence et, dans la
foulée, participe à la création de l’Union
pour la démocratie et la République (UDR
Mwinda). En 1998, il lance en France sa
première formation politique baptisée le
Parlement libre du Congo pour la rupture.
En février 2007, ce sera la création du
Congrès du peuple.
La vie de Marcel Guitoukoulou a basculé
en juin 1997 : il perd sa mère et ne
peut l’enterrer, car obligé de quitter Brazzaville
pour cause de guerre civile. La
même guerre qui, le 13 juin, emportera son
frère Gustave, colonel de l’armée congolaise.
Dès la fin des affrontements, au nom
du Consensus citoyen créé avec des amis,
Marcel Guitoukoulou se rend à Londres
pour rencontrer le président déchu Pascal
Lissouba, à Bamako pour discuter avec
l’ancien premier ministre Bernard Kolelas,
à Abidjan pour dialoguer avec l’ancien
président Joachim Yhombi-Opango, ainsi
qu’avec des ténors de l’ancienne mouvance
présidentielle. Les conclusions de
ces entrevues seront présentées à Denis
Sassou Nguesso, lui recommandant un dialogue
pour assurer la paix par la réconciliation
nationale. Puis des pourparlers ont
lieu sous l’égide du président gabonais
Omar Bongo Ondimba, à l’issue desquelles
on remarque de grands oubliés : les
médiateurs du Consensus citoyen et les
vaincus de la guerre civile.
Quand le pasteur Frédéric Bitsangou,
alias Ntoumi, installe une rébellion dans la
région du Pool, c’est déguisé en paysan et
accompagné d’une journaliste que Marcel
Guitoukoulou se rend, le 19 février 2006,
dans le fief de Ntoumi. Son objectif : le
convaincre de transformer son groupe
armé en parti politique. Dans la foulée, le
médecin organise une large concertation
des ressortissants du Pool pour solliciter
leur adhésion massive à cette quête de la
paix. Mais il est mis à l’écart lorsque le
président Denis Sassou Nguesso reçoit la
commission dirigée par Mgr Portela
Mbouyou pour prolonger ces initiatives.
Marcel Guitoukoulou, proteste, ce qui lui
vaut une réaction aux intonations « poétiques
» du conseiller politique du premier
ministre Isidore M’Vouba, en février 2007:
« Le diable se trouve entre vos jambes, et
ne vous triturez plus la cervelle pour rien.
La crise du Pool perdure simplement du
fait du non-ramassage des armes détenues
par les écuries de Monsieur Frédéric
Bitsangou, alias pasteur Ntoumi. »
Guitoukoulou relève les contradictions
de son pourfendeur qui affirme, dans cette
mise au point : « On peut considérer
aujourd’hui que l’on peut circuler librement
dans le département du Pool [...]. En
effet, le recours de temps à autre au pasteur
Ntoumi pour sécuriser la zone chaque
fois qu’une délégation veut se rendre dans
le Pool limite la libre circulation des personnes
et des biens. » Trente-deux mois
plus tard, la commission gouvernementale
n’a toujours pas réussi à ramener le chef
rebelle à Brazzaville. Sciemment, accuse
Marcel Guitoukoulou. « Le spectre de la
guerre civile [est] entretenu insidieusement
par le pouvoir qui joue à ne pas
régler le cas Ntoumi et [entraîne] le renoncement
de la population qui penserait que
les dés seront forcément pipés. »
Alternative politique
Beaucoup soutiennent que le pétrole est
une malédiction pour le Congo. La misère
n’a jamais été aussi sévère que depuis que
le pays engrange les recettes pétrolières.
Et la récente flambée du prix de l’or noir
semble accréditer cette thèse, n’ayant rien
changé à la situation. Pour sa part, le présumé
challenger de Sassou Nguesso s’affranchit
d’une réflexion politico-économique
exclusivement fixée sur le pétrole.
Il croit même savoir que l’avenir pourrait
s’appuyer sur les ressources hydrauliques,
entre autres, et sur un investissement
conséquent dans la formation. Cela passera,
selon lui, par une alternative politique
qu’il situe au-delà du renouvellement
des générations ou du personnel
politique : « Il faut que les résultats de la
prochaine élection correspondent à la
volonté d’un changement des mentalités et
d’époque, au refus de l’instrumentalisation
de la question ethnique ainsi que du colonialisme
national qui engraisse outrageusement une poignée de familles prochesdu pouvoir. »
Il a déjà convaincu nombre d’électeurs de voter pour lui l’an prochain.
Depuis la fin de la guerre civile, Marcel
Il a déjà convaincu nombre d’électeurs de voter pour lui l’an prochain.
sement une poignée de familles proches
du pouvoir. »
Depuis la fin de la guerre civile, Marcel
Guitoukoulou a créé une fondation qui
porte son nom. Elle organise des missions
chirurgicales (avec des médecins français)
et fait des dons de matériels, médicaments
et consommables médicaux aux
structures socio-sanitaires du Congo.
Deux ambulances sont arrivées et un dispensaire
mobile de la fondation administre
des soins de santé gratuits dans
Brazzaville. En même temps, la structure
gère une aide alimentaire permanente
organisée au profit des personnes âgées et
des enfants de la rue. Sur le terrain de
l’éducation, la fondation Marcel-Guitoukoulou
a réhabilité l’école maternelle de
M’filou N’gamaba, à l’abandon depuis
1993, et équipé en matériel informatique
un centre dédié aux jeunes à l’église
N’dona Marie de M’filou.
On le voit, les chantiers sur lesquels
intervient l’homme sont en prise directe
avec les attentes des citoyens. S’il parvient
à exorciser l’appréhension et le fatalisme
qui dictent encore l’attitude des Congolais
à l’égard du politique, le jeu sera ouvert.
Plus : il lui sera favorable. ■
A bientôt.
René.
A part ça, un article sur mon pote qui se présente au Congo Brazzaville contre l'actuel président.
Question : Est-ce que la France va bouger cette fois-ci ?
Congo-Brazzaville Et si le peuple choisissait l’homme des négociations du Pool à la présidentielle 2009 ?
Discret sur ses engagements, ses actions politiques et humanitaires parlent pour lui.
Novembre 2008 ● article du magazine Afrique Asie
Par Nicolas Abena
Pour la présidentielle de 2009, le challenger
de Denis Sassou Nguesso
sera-t-il un homme neuf ? Tout le
monde a les yeux rivés sur le docteur Marcel
Guitoukoulou, un quadragénaire qui,
s’il se présente, n’entend pas faire de la
figuration. D’autant moins que l’opinion
publique semble l’appeler de ses voeux et
que l’alternance paraît plus que probable
en 2009. L’hypothèse fait même son chemin
au palais présidentiel de Mpila. C’est
dire…
En prise avec la base
Malgré tout, certains se posent des questions
: Marcel Guitoukoulou aura-t-il la
carrure pour faire vaciller Denis Sassou
Nguesso ? Sans aucun doute pour ses nombreux
soutiens, qui affirment qu’il est prêt
à assumer en 2009 les plus hautes fonctions
politiques : « Ce n’est pas un néophyte,
il est le président du Congrès du
peuple, cofondateur du Consensus citoyen
et du Conseil représentatif de la diaspora
du Congo-Brazzaville en France. » Et le
numéro un du Congrès du peuple a un
atout de taille, ajoutent-ils : il est en prise
permanente avec la base au Congo où il
séjourne au moins trois mois par an et
mène de nombreuses actions.
L’homme reste discret sur son investissement
pour la paix et la réconciliation
nationale. Mais ses actes politiques et ses
actions humanitaires parlent pour lui. Marcel
Guitoukoulou s’est toujours intéressé à
la chose publique. Il a 25 ans quand il
adhère au Parti congolais du travail, l’actuel
parti présidentiel. En 1992, à la faveur
de la conférence nationale souveraine, il
soutient la candidature du premier ministre
André Milongo à la présidence et, dans la
foulée, participe à la création de l’Union
pour la démocratie et la République (UDR
Mwinda). En 1998, il lance en France sa
première formation politique baptisée le
Parlement libre du Congo pour la rupture.
En février 2007, ce sera la création du
Congrès du peuple.
La vie de Marcel Guitoukoulou a basculé
en juin 1997 : il perd sa mère et ne
peut l’enterrer, car obligé de quitter Brazzaville
pour cause de guerre civile. La
même guerre qui, le 13 juin, emportera son
frère Gustave, colonel de l’armée congolaise.
Dès la fin des affrontements, au nom
du Consensus citoyen créé avec des amis,
Marcel Guitoukoulou se rend à Londres
pour rencontrer le président déchu Pascal
Lissouba, à Bamako pour discuter avec
l’ancien premier ministre Bernard Kolelas,
à Abidjan pour dialoguer avec l’ancien
président Joachim Yhombi-Opango, ainsi
qu’avec des ténors de l’ancienne mouvance
présidentielle. Les conclusions de
ces entrevues seront présentées à Denis
Sassou Nguesso, lui recommandant un dialogue
pour assurer la paix par la réconciliation
nationale. Puis des pourparlers ont
lieu sous l’égide du président gabonais
Omar Bongo Ondimba, à l’issue desquelles
on remarque de grands oubliés : les
médiateurs du Consensus citoyen et les
vaincus de la guerre civile.
Quand le pasteur Frédéric Bitsangou,
alias Ntoumi, installe une rébellion dans la
région du Pool, c’est déguisé en paysan et
accompagné d’une journaliste que Marcel
Guitoukoulou se rend, le 19 février 2006,
dans le fief de Ntoumi. Son objectif : le
convaincre de transformer son groupe
armé en parti politique. Dans la foulée, le
médecin organise une large concertation
des ressortissants du Pool pour solliciter
leur adhésion massive à cette quête de la
paix. Mais il est mis à l’écart lorsque le
président Denis Sassou Nguesso reçoit la
commission dirigée par Mgr Portela
Mbouyou pour prolonger ces initiatives.
Marcel Guitoukoulou, proteste, ce qui lui
vaut une réaction aux intonations « poétiques
» du conseiller politique du premier
ministre Isidore M’Vouba, en février 2007:
« Le diable se trouve entre vos jambes, et
ne vous triturez plus la cervelle pour rien.
La crise du Pool perdure simplement du
fait du non-ramassage des armes détenues
par les écuries de Monsieur Frédéric
Bitsangou, alias pasteur Ntoumi. »
Guitoukoulou relève les contradictions
de son pourfendeur qui affirme, dans cette
mise au point : « On peut considérer
aujourd’hui que l’on peut circuler librement
dans le département du Pool [...]. En
effet, le recours de temps à autre au pasteur
Ntoumi pour sécuriser la zone chaque
fois qu’une délégation veut se rendre dans
le Pool limite la libre circulation des personnes
et des biens. » Trente-deux mois
plus tard, la commission gouvernementale
n’a toujours pas réussi à ramener le chef
rebelle à Brazzaville. Sciemment, accuse
Marcel Guitoukoulou. « Le spectre de la
guerre civile [est] entretenu insidieusement
par le pouvoir qui joue à ne pas
régler le cas Ntoumi et [entraîne] le renoncement
de la population qui penserait que
les dés seront forcément pipés. »
Alternative politique
Beaucoup soutiennent que le pétrole est
une malédiction pour le Congo. La misère
n’a jamais été aussi sévère que depuis que
le pays engrange les recettes pétrolières.
Et la récente flambée du prix de l’or noir
semble accréditer cette thèse, n’ayant rien
changé à la situation. Pour sa part, le présumé
challenger de Sassou Nguesso s’affranchit
d’une réflexion politico-économique
exclusivement fixée sur le pétrole.
Il croit même savoir que l’avenir pourrait
s’appuyer sur les ressources hydrauliques,
entre autres, et sur un investissement
conséquent dans la formation. Cela passera,
selon lui, par une alternative politique
qu’il situe au-delà du renouvellement
des générations ou du personnel
politique : « Il faut que les résultats de la
prochaine élection correspondent à la
volonté d’un changement des mentalités et
d’époque, au refus de l’instrumentalisation
de la question ethnique ainsi que du colonialisme
national qui engraisse outrageusement une poignée de familles prochesdu pouvoir. »
Il a déjà convaincu nombre d’électeurs de voter pour lui l’an prochain.
Depuis la fin de la guerre civile, Marcel
Il a déjà convaincu nombre d’électeurs de voter pour lui l’an prochain.
sement une poignée de familles proches
du pouvoir. »
Depuis la fin de la guerre civile, Marcel
Guitoukoulou a créé une fondation qui
porte son nom. Elle organise des missions
chirurgicales (avec des médecins français)
et fait des dons de matériels, médicaments
et consommables médicaux aux
structures socio-sanitaires du Congo.
Deux ambulances sont arrivées et un dispensaire
mobile de la fondation administre
des soins de santé gratuits dans
Brazzaville. En même temps, la structure
gère une aide alimentaire permanente
organisée au profit des personnes âgées et
des enfants de la rue. Sur le terrain de
l’éducation, la fondation Marcel-Guitoukoulou
a réhabilité l’école maternelle de
M’filou N’gamaba, à l’abandon depuis
1993, et équipé en matériel informatique
un centre dédié aux jeunes à l’église
N’dona Marie de M’filou.
On le voit, les chantiers sur lesquels
intervient l’homme sont en prise directe
avec les attentes des citoyens. S’il parvient
à exorciser l’appréhension et le fatalisme
qui dictent encore l’attitude des Congolais
à l’égard du politique, le jeu sera ouvert.
Plus : il lui sera favorable. ■
A bientôt.
René.
jeudi 6 novembre 2008
Pour aujourd'hui, un simple souvenir qui me vient de mon enfance.
Vers 10 ans, avec ma famille nous séjournions à Palo Alto, un faubourg de San Francisco. Mon père était professeur à l'époque à l'université Stanford.
Le souvenir que j'en ai gardé est sympathique, sauf, cette nouvelle passée dans les journaux de l'époque.
Un automobiliste noir accompagné de sa femme enceinte roulait sur l'autoroute à une vitesse excessive parce que celle-ci était sur le point d'accoucher. Un policier en moto arrêta la voiture sur le bande d'arrêt d'urgence. Arrivé au niveau de la portière avant, le policier demanda au conducteur de lui montrer ses papier. Le conducteur mit la main dans la poche revolver de sa veste.
Le flic déclara qu'il crût que le noir allait sortir un pistolet et lui mit une balle dans la tête. Sa femme à ses côtés était prête d'accoucher.
Le policier n'eut aucune sanction.
Et, aujourd'hui, un noir devient président des Etats-Unis.
Voilà, c'est tout ce que je voulais dire.
René.
Vers 10 ans, avec ma famille nous séjournions à Palo Alto, un faubourg de San Francisco. Mon père était professeur à l'époque à l'université Stanford.
Le souvenir que j'en ai gardé est sympathique, sauf, cette nouvelle passée dans les journaux de l'époque.
Un automobiliste noir accompagné de sa femme enceinte roulait sur l'autoroute à une vitesse excessive parce que celle-ci était sur le point d'accoucher. Un policier en moto arrêta la voiture sur le bande d'arrêt d'urgence. Arrivé au niveau de la portière avant, le policier demanda au conducteur de lui montrer ses papier. Le conducteur mit la main dans la poche revolver de sa veste.
Le flic déclara qu'il crût que le noir allait sortir un pistolet et lui mit une balle dans la tête. Sa femme à ses côtés était prête d'accoucher.
Le policier n'eut aucune sanction.
Et, aujourd'hui, un noir devient président des Etats-Unis.
Voilà, c'est tout ce que je voulais dire.
René.
mercredi 5 novembre 2008
"L'esprit qui nous révèle Dieu est ce murmure indicible en quoi s'achève la parole". Proverbe Hindouiste.
Bravo Obama. Et, quelle leçon de démocratie pour tous ceux qui veulent la détruire.
A part ça, messieurs les industriels, investissez-vous !
Un article des Nouvelles Calédoniennes de ce jour pour vous donner des idées.
"Le nouvel eldorado est au fond de la mer
Les fonds des océans recèlent des richesses minérales qui grâce aux progrès technologiques deviennent exploitables. Le Pacifique, le plus grand des océans, est peut-être le nouvel Eldorado.Les océans couvrent plus de 70 % de la surface du globe mais, en dehors des ressources halieutiques, les hommes n’ont exploité jusqu’à présent qu’une petite partie de ses richesses. Au moment où les ressources énergétiques et minières s’épuisent à terre, l’exploration et l’exploitation des fonds sous-marins, dont une grande partie reste encore inconnue, suscite un intérêt grandissant de la part des industriels et des Etats. Certains matériaux sont déjà extraits des mers, dans de faibles profondeurs : le sel, ainsi que le sable et le gravier employés dans la construction. Des gisements d’or et de diamants transportés via les fleuves sont exploités au large des côtes.Les plateformes d’extraction de gaz naturel et de pétrole offshore se sont également beaucoup développées depuis les années 1970.Mais les océans recèlent d’autres ressources encore intactes. Les hydrates de gaz en font partie. Constitués de méthane entouré de molécules d’eau, ils représenteraient « l’équivalent de trois fois la quantité d’énergie contenue dans les réserves mondiales de charbon », affirme Peter Herzig, directeur de l’institut Leibniz des sciences marines, en Allemagne.Il y a quelques années l’Atalante, le navire de l’Ifremer a découvert un énorme gisement d’hydrates de gaz au large de la Calédonie.Mais du manganèse, du cuivre, du nickel, du cobalt, du zinc, du fer, du plomb sont également présents sous les mers. Les zones situées autour des panaches hydrothermaux, à la rencontre des plaques océaniques, présentent des concentrations particulièrement importantes en minerai.Devons-nous continuer à nous acharner sur les Andes pour en extraire du cuivre, ou nous tourner vers l’océan ? « Cela fait des millénaires que l’homme exploite des mines à terre, plaide David Heydon, directeur de l’entreprise Deepsea Metals, basée en Australie. Tout ce qui était facile à extraire l’a été, avec un coût environnemental important. Devons-nous continuer à nous acharner sur les Andes pour en extraire du cuivre, ou nous tourner vers l’océan ? ». David Heydon est le fondateur de la compagnie Nautilus Minerals, qui ouvrira en 2010 la première mine de cuivre sous-marine, à 1 600 mètres de profondeur, au large de la Papouasie-Nouvelle-Guinée.L’entrepreneur espère remporter un pari technique, mais surtout économique, et ouvrir « une nouvelle ère ».Devant ces opportunités, même lointaines, de nombreux Etats cherchent à étendre leur souveraineté en mer. L’océan arctique est aujourd’hui le théâtre le plus évident de cette bataille. Mais la France, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, l’Afrique du Sud, le Brésil, le Mexique, l’Indonésie revendiquent également une extension de leur souveraineté au-delà des 200 milles nautiques de la zone économique exclusive (ZEE). En vertu de la convention internationale sur le droit de la mer, adoptée en 1982, les Etats côtiers peuvent revendiquer des droits sur la haute mer s’ils prouvent que leur plateau continental sous-marin est situé dans la continuité des terres émergées au-delà des 200 milles (sans toutefois excéder les 350 miles). Ainsi, le 21 avril dernier, en une seconde, l’Australie s’est agrandie d’une superficie grande comme cinq fois la France, et dix fois la Nouvelle-Zélande. Et ce, grâce aux Nations unies, qui ont décidé d’octroyer au pays le contrôle sur 2,5 millions de kilomètres carrés de fonds marins.« La vérité est que les fonds sous-marins de ces régions n’ont pratiquement pas été explorés, a déclaré le ministre des Ressources, Martin Ferguson. C’est potentiellement une aubaine. Un plus grand plateau continental signifie que nous disposons d’un plus grand canevas pour y dessiner les ressources énergétiques de demain. »
Jérôme Gavelle
Alors, messieurs les industriels, on se positionne ? Parce qu'entre-nous, les français sont un peu timorés pour les grandes aventures industrielles et en général, ils se choisissent de mauvais capitaines.
Capitaines qui n'oublient pas après avoir pratiquement coulé leur groupe de s'accorder de gros émoluments avant de se casser.
Mais, ça, c'est la France qui gagne en récompensant les perdants.
C'est tout, pour aujourd'hui. Évidemment, posez-vous la question de la future pollution qui nous viendra des fonds des océans. Quel sera son impact sur notre environnement ?
On vous dira que oui et le résultat ne sera que non.
Mais, peut-il y avoir une exploitation respectueuse de l'environnement au fond des océans ?
A vous revoir.
René.
P.S : Je ne sais pas si Julie a reçu mon mail car il semblerait que l'envoi n'est pas fonctionné. Alors, je lui écris en direct en espérant qu'elle se penche parfois sur mes écrits délirants.
Julie, en fait, c’est incroyable
Au sujet de ce que je désirais t’écrire.
Je cherchais, je cherchais,
Mais, rien ne venait.
Faire comme d’habitude ?
T’écrire une poésie
Avec des pieds
Toutes ces choses qui ne nous concernent pas ?
Ou, peut-être bien des vers
De simples vers qui disent tout
Et ne disent rien.Tu vois un peu comme Prévert.
Une histoire simple, sans conséquence.
Finalement, il a fallu que j’aille au Routier
Boire avec les habitués
Pour comprendre comment je devais te causer.
Pour simplement te dire
Que je pense à toi et que cette poésie
Je finirais par l’écrire.
René.
A part ça, messieurs les industriels, investissez-vous !
Un article des Nouvelles Calédoniennes de ce jour pour vous donner des idées.
"Le nouvel eldorado est au fond de la mer
Les fonds des océans recèlent des richesses minérales qui grâce aux progrès technologiques deviennent exploitables. Le Pacifique, le plus grand des océans, est peut-être le nouvel Eldorado.Les océans couvrent plus de 70 % de la surface du globe mais, en dehors des ressources halieutiques, les hommes n’ont exploité jusqu’à présent qu’une petite partie de ses richesses. Au moment où les ressources énergétiques et minières s’épuisent à terre, l’exploration et l’exploitation des fonds sous-marins, dont une grande partie reste encore inconnue, suscite un intérêt grandissant de la part des industriels et des Etats. Certains matériaux sont déjà extraits des mers, dans de faibles profondeurs : le sel, ainsi que le sable et le gravier employés dans la construction. Des gisements d’or et de diamants transportés via les fleuves sont exploités au large des côtes.Les plateformes d’extraction de gaz naturel et de pétrole offshore se sont également beaucoup développées depuis les années 1970.Mais les océans recèlent d’autres ressources encore intactes. Les hydrates de gaz en font partie. Constitués de méthane entouré de molécules d’eau, ils représenteraient « l’équivalent de trois fois la quantité d’énergie contenue dans les réserves mondiales de charbon », affirme Peter Herzig, directeur de l’institut Leibniz des sciences marines, en Allemagne.Il y a quelques années l’Atalante, le navire de l’Ifremer a découvert un énorme gisement d’hydrates de gaz au large de la Calédonie.Mais du manganèse, du cuivre, du nickel, du cobalt, du zinc, du fer, du plomb sont également présents sous les mers. Les zones situées autour des panaches hydrothermaux, à la rencontre des plaques océaniques, présentent des concentrations particulièrement importantes en minerai.Devons-nous continuer à nous acharner sur les Andes pour en extraire du cuivre, ou nous tourner vers l’océan ? « Cela fait des millénaires que l’homme exploite des mines à terre, plaide David Heydon, directeur de l’entreprise Deepsea Metals, basée en Australie. Tout ce qui était facile à extraire l’a été, avec un coût environnemental important. Devons-nous continuer à nous acharner sur les Andes pour en extraire du cuivre, ou nous tourner vers l’océan ? ». David Heydon est le fondateur de la compagnie Nautilus Minerals, qui ouvrira en 2010 la première mine de cuivre sous-marine, à 1 600 mètres de profondeur, au large de la Papouasie-Nouvelle-Guinée.L’entrepreneur espère remporter un pari technique, mais surtout économique, et ouvrir « une nouvelle ère ».Devant ces opportunités, même lointaines, de nombreux Etats cherchent à étendre leur souveraineté en mer. L’océan arctique est aujourd’hui le théâtre le plus évident de cette bataille. Mais la France, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, l’Afrique du Sud, le Brésil, le Mexique, l’Indonésie revendiquent également une extension de leur souveraineté au-delà des 200 milles nautiques de la zone économique exclusive (ZEE). En vertu de la convention internationale sur le droit de la mer, adoptée en 1982, les Etats côtiers peuvent revendiquer des droits sur la haute mer s’ils prouvent que leur plateau continental sous-marin est situé dans la continuité des terres émergées au-delà des 200 milles (sans toutefois excéder les 350 miles). Ainsi, le 21 avril dernier, en une seconde, l’Australie s’est agrandie d’une superficie grande comme cinq fois la France, et dix fois la Nouvelle-Zélande. Et ce, grâce aux Nations unies, qui ont décidé d’octroyer au pays le contrôle sur 2,5 millions de kilomètres carrés de fonds marins.« La vérité est que les fonds sous-marins de ces régions n’ont pratiquement pas été explorés, a déclaré le ministre des Ressources, Martin Ferguson. C’est potentiellement une aubaine. Un plus grand plateau continental signifie que nous disposons d’un plus grand canevas pour y dessiner les ressources énergétiques de demain. »
Jérôme Gavelle
Alors, messieurs les industriels, on se positionne ? Parce qu'entre-nous, les français sont un peu timorés pour les grandes aventures industrielles et en général, ils se choisissent de mauvais capitaines.
Capitaines qui n'oublient pas après avoir pratiquement coulé leur groupe de s'accorder de gros émoluments avant de se casser.
Mais, ça, c'est la France qui gagne en récompensant les perdants.
C'est tout, pour aujourd'hui. Évidemment, posez-vous la question de la future pollution qui nous viendra des fonds des océans. Quel sera son impact sur notre environnement ?
On vous dira que oui et le résultat ne sera que non.
Mais, peut-il y avoir une exploitation respectueuse de l'environnement au fond des océans ?
A vous revoir.
René.
P.S : Je ne sais pas si Julie a reçu mon mail car il semblerait que l'envoi n'est pas fonctionné. Alors, je lui écris en direct en espérant qu'elle se penche parfois sur mes écrits délirants.
Julie, en fait, c’est incroyable
Au sujet de ce que je désirais t’écrire.
Je cherchais, je cherchais,
Mais, rien ne venait.
Faire comme d’habitude ?
T’écrire une poésie
Avec des pieds
Toutes ces choses qui ne nous concernent pas ?
Ou, peut-être bien des vers
De simples vers qui disent tout
Et ne disent rien.Tu vois un peu comme Prévert.
Une histoire simple, sans conséquence.
Finalement, il a fallu que j’aille au Routier
Boire avec les habitués
Pour comprendre comment je devais te causer.
Pour simplement te dire
Que je pense à toi et que cette poésie
Je finirais par l’écrire.
René.
mardi 4 novembre 2008
"Celui qui parle sème ; celui qui se tait mûrit". Proverbe Italien.
Salut aux argentins qui lisent mon blog. Bien des salutations.
Donc, j'ai visionné le blog que d'Argentine on m'a conseillé. En me spécifiant, qu'une traduction automatique était possible. Je dois dire que la traduction informatique est comme la toile d'une araignée qui aurait pris du Lsd, incompréhensible. Il s'agit d'un blog qui commente toutes les intolérances. Je pense être d'accord sur l'ensemble, sauf sur l'autorisation du voile dans les administrations publiques.
Pour moi, un état laïque pose des règles pour que les différences, notamment religieuses s'effacent et ne soient pas l'objet ou le prétexte à stigmatisation. Et, fasse en sorte qu'une religion ne se pose pas en cheval de Troie de la laïcité. Parce qu'entre nous, comme en France, l'Argentine finira pas connaître les piscines séparées, hommes, femmes et bientôt, comme en France, les femmes voilées de la tête au pieds.
Alors, la tolérance pour accepter l'intolérance ?
D'ailleurs, en ce moment, j'ai relu le traité sur l'intolérance de Voltaire. Je dois dire, "Très" significatif de la pensée d'un homme qui n'aimait pas les juifs. Parce qu'on est toujours l'intolérant d'un autre. Autre pris comme ethnie, peuple, religion, opinion.....etc.
Voltaire traitait du cas Calas. Ce protestant dont le fils s'étant suicidé, s'est vu accusé de l'avoir assassiné en famille soi-disant comme l'affirmait la rumeur parce que ce fils voulait se convertir au catholicisme.
La rumeur, qu'elle soit d'Orléans ou de Toulouse puisque ce brave parpayot y habita, n'est que l'expression d'une intolérance. Et, cette intolérance s'adressait aux protestants. Résultat, le pauvre monsieur fut condamné à mourir rouer et sa famille fut exilée et dépouillée de ses biens.
L'affaire fut menée devant le roi et la cour qui finirent par reconnaître l'erreur du tribunal de Toulouse et dédommagea la famille de ses biens, mais, non de la vie du père.
Dans ce cas, nous avons affaire à l'intolérance distillée par la haine de l'autre. Dans le cas d'une musulmane qui au nom de la religion réclame le droit de porter le voile dans une administration public d'un pays laïque, c'est réclamer un droit au nom d'une intolérance. L'intolérance étant de ne pas accepter de vivre selon les lois et les coutumes du pays d'accueil. On pose donc la liberté pour faire accepter l'expression d'une intolérance religieuse.
Et, là, contrairement, à mes lecteurs argentins, je pose les règles de la société laïque comme inviolables. Règles qui sont la condition sine qua non d'une liberté essentielle, le respect de l'autre dans le sens où il ne s'impose pas à l'autre. Comme les bantous en Afrique pour les pygmés ou la scientologie vis à vis de la société par exemple.
Mais, voilà, le monde étant ce qu'il est, il nous reste beaucoup de chemin à faire pour que la planète devienne un village global.
Bon, pour aujourd'hui, je ne parlerais de rien d'autre car je vous renvoie cette question : "Où doit se limiter la tolérance pour permettre à la liberté d'exister ?"
Réfléchissez mes bons amis. Je ne vous en fais pas des tonnes car je n'ai que trois quart d'heure et peut-être, fais-je me faire un sandwich aujourd'hui. Car, même si je suis protestant, je pratique le ramadan presque tous les jours de l'année. Je ne mange ni le matin, ni l'après midi et seulement le soir en regardant les news à la téloche.
Bien le bonjour chez vous.
René.
Donc, j'ai visionné le blog que d'Argentine on m'a conseillé. En me spécifiant, qu'une traduction automatique était possible. Je dois dire que la traduction informatique est comme la toile d'une araignée qui aurait pris du Lsd, incompréhensible. Il s'agit d'un blog qui commente toutes les intolérances. Je pense être d'accord sur l'ensemble, sauf sur l'autorisation du voile dans les administrations publiques.
Pour moi, un état laïque pose des règles pour que les différences, notamment religieuses s'effacent et ne soient pas l'objet ou le prétexte à stigmatisation. Et, fasse en sorte qu'une religion ne se pose pas en cheval de Troie de la laïcité. Parce qu'entre nous, comme en France, l'Argentine finira pas connaître les piscines séparées, hommes, femmes et bientôt, comme en France, les femmes voilées de la tête au pieds.
Alors, la tolérance pour accepter l'intolérance ?
D'ailleurs, en ce moment, j'ai relu le traité sur l'intolérance de Voltaire. Je dois dire, "Très" significatif de la pensée d'un homme qui n'aimait pas les juifs. Parce qu'on est toujours l'intolérant d'un autre. Autre pris comme ethnie, peuple, religion, opinion.....etc.
Voltaire traitait du cas Calas. Ce protestant dont le fils s'étant suicidé, s'est vu accusé de l'avoir assassiné en famille soi-disant comme l'affirmait la rumeur parce que ce fils voulait se convertir au catholicisme.
La rumeur, qu'elle soit d'Orléans ou de Toulouse puisque ce brave parpayot y habita, n'est que l'expression d'une intolérance. Et, cette intolérance s'adressait aux protestants. Résultat, le pauvre monsieur fut condamné à mourir rouer et sa famille fut exilée et dépouillée de ses biens.
L'affaire fut menée devant le roi et la cour qui finirent par reconnaître l'erreur du tribunal de Toulouse et dédommagea la famille de ses biens, mais, non de la vie du père.
Dans ce cas, nous avons affaire à l'intolérance distillée par la haine de l'autre. Dans le cas d'une musulmane qui au nom de la religion réclame le droit de porter le voile dans une administration public d'un pays laïque, c'est réclamer un droit au nom d'une intolérance. L'intolérance étant de ne pas accepter de vivre selon les lois et les coutumes du pays d'accueil. On pose donc la liberté pour faire accepter l'expression d'une intolérance religieuse.
Et, là, contrairement, à mes lecteurs argentins, je pose les règles de la société laïque comme inviolables. Règles qui sont la condition sine qua non d'une liberté essentielle, le respect de l'autre dans le sens où il ne s'impose pas à l'autre. Comme les bantous en Afrique pour les pygmés ou la scientologie vis à vis de la société par exemple.
Mais, voilà, le monde étant ce qu'il est, il nous reste beaucoup de chemin à faire pour que la planète devienne un village global.
Bon, pour aujourd'hui, je ne parlerais de rien d'autre car je vous renvoie cette question : "Où doit se limiter la tolérance pour permettre à la liberté d'exister ?"
Réfléchissez mes bons amis. Je ne vous en fais pas des tonnes car je n'ai que trois quart d'heure et peut-être, fais-je me faire un sandwich aujourd'hui. Car, même si je suis protestant, je pratique le ramadan presque tous les jours de l'année. Je ne mange ni le matin, ni l'après midi et seulement le soir en regardant les news à la téloche.
Bien le bonjour chez vous.
René.
lundi 3 novembre 2008
"Le onzième commandement : Mêlez-vous de vos affaires". Proverbe anglais.
Salut à tous les rêveurs, poètes et écrivains. Le monde a encore besoin de vous.
Que vous dire aujourd'hui ?
Bof, que notre président continue à faire du copié collé avec les ricains. Pourtant, cela ne leur a pas porté chance, vu que le jour où il a commencé, ils se sont pété la gueule.
A part ça, il continue à réduire tous les acquis sociaux alors que le pouvoir d'achat s'en va à vau l'eau.
Pense-t-il sérieusement que les européens vont le suivre dans son délire mégalomaniaque. Transformer le capitalisme, je veux bien, l'enterrer, cela serait mieux.
Mais, blague à part, pendant que la crise se déroule à coup de milliards d'euros ou de dollars, certains continuent de penser au changement climatique, qui entre nous s'en fout de la crise financière ou économique. Voici donc un autre article des Nouvelles Calédoniennes de ce jour :
"Feu vert pour la voiture électrique
Better Place, une société israélienne spécialisée dans la construction d’infrastructures pour véhicules électriques, envisage de s’implanter en Australie. Le gouvernement fédéral et celui du Victoria ont déclaré être intéressés par le projet.Les villes de Sydney, Melbourne et Brisbane accueilleront un réseau de 200 000 à 250 000 points de recharge qui sera opérationnel dès 2012. Les stations seront situées dans des parkings, sur le lieu de travail, au domicile ou dans des centres commerciaux. Et 150 stations d'échange seront installées dans chacune de ces villes : les automobilistes auront la possibilité d'y échanger leur batterie. Aux termes du projet annoncé le 23 octobre à Melbourne, Better Place coopérera avec l’Australien Macquarie Capital Group pour attirer des investisseurs en vue d’établir des stations de recharge. L’objectif étant de commercialiser les premiers véhicules électriques à grande échelle, à l’horizon 2012. Better place a également conclu un accord avec le fournisseur d’électricité australien AGL Energy. Aucun constructeur n’a été désigné, mais l’alliance Renault-Nissan, qui développe une voiture électrique, étudie la possibilité de fournir des véhicules au partenariat australien. La société israélienne Better Place revendique fièrement sa mission : réduire la dépendance mondiale vis-à-vis du pétrole en faisant naître des infrastructures de chargement destinées aux véhicules électriques, pour proposer aux consommateurs un moyen de transport alternatif moins polluant.« Notre réseau en Australie montrera que le modèle Better Place fonctionne dans tous les pays quelle que soit leur taille », a déclaré Shai Agassi, président et fondateur de Better Place. Rappelons qu’en janvier 2008, l'Alliance Renault-Nissan a signé à Jérusalem un protocole d’accord dans la perspective d’une percée du véhicule électrique sur le marché israélien pour faire baisser les émissions de CO2 et de particules. Les véhicules100 % électriques seront commercialisés en 2011 en Israël. Better Place construira un réseau électrique de recharge des batteries, Renault fournira les véhicules électriques dotés de batteries lithium-ion, et le gouvernement israélien encouragerax à l'achat de véhicules électriques grâce à des incitations fiscales.Le gouvernement du Victoria s’est déclaré intéressé et a formé une cellule de travail afin de développer les options de transport non polluantes.
Jérôme Gavelle"
Ainsi, donc, les israéliens s'installent en Australie. Pourquoi dans ce pays ?
Sans doute qu'il n'y a pas de pôle industriel automobile capable de faire échec à une telle installation.
En Europe, vu, les pressions du secteur, cela ne serait pas possible.
Espérons pour notre avenir qu'il réussisse obligeant par l'exemple donné les autres états industriels à faire de même. Surtout qu'en Australie avec le soleil, ils pourront se fournir propre sans avoir à construire des barrages, fossoyeurs de la bio-diversité.
En tout cas, en France, EDF ferait bien de retaper ses barrages avant que des fissures ne finissent par apparaître mettant en danger la vie des riverains en aval. Sans compter un petit coup de ravalement dans les centrales nucléaires avant que les fuites ne se multiplient polluant nos pauvres petits poissons de rivière.
Ah, au fait, vendredi, je vous ai parlé par un article interposé des difficultés que vont rencontrer les réfugiés climatiques pour trouver une terre de refuge. En effet, la condition sine qua non sera que la terre d'accueil puisse nourrir et les gens du coin et les réfugiés. Problématique déjà rencontré dans les camps de réfugiés parce que l'aide humanitaire ne pourra de toute façon faire face. Déjà, que la crise financière l'a laminé en tout cas pour les pays riches, à mon avis, il n'en restera pas grand chose.
Mais, consolons nous, il nous reste un peu plus de vingt ans avant que le problème ne devienne catastrophique.
Ben, voilà, c'est tout ce que j'ai envie de dire aujourd'hui. J'ai pas trop la frite car j'ai trop dormi ce week end.
Alors, bien le bonjour chez vous.
Et, dites vous bien que si une crise peut en cacher une autre, plusieurs peuvent en dissimuler une multitude.
Ciao, René.
Que vous dire aujourd'hui ?
Bof, que notre président continue à faire du copié collé avec les ricains. Pourtant, cela ne leur a pas porté chance, vu que le jour où il a commencé, ils se sont pété la gueule.
A part ça, il continue à réduire tous les acquis sociaux alors que le pouvoir d'achat s'en va à vau l'eau.
Pense-t-il sérieusement que les européens vont le suivre dans son délire mégalomaniaque. Transformer le capitalisme, je veux bien, l'enterrer, cela serait mieux.
Mais, blague à part, pendant que la crise se déroule à coup de milliards d'euros ou de dollars, certains continuent de penser au changement climatique, qui entre nous s'en fout de la crise financière ou économique. Voici donc un autre article des Nouvelles Calédoniennes de ce jour :
"Feu vert pour la voiture électrique
Better Place, une société israélienne spécialisée dans la construction d’infrastructures pour véhicules électriques, envisage de s’implanter en Australie. Le gouvernement fédéral et celui du Victoria ont déclaré être intéressés par le projet.Les villes de Sydney, Melbourne et Brisbane accueilleront un réseau de 200 000 à 250 000 points de recharge qui sera opérationnel dès 2012. Les stations seront situées dans des parkings, sur le lieu de travail, au domicile ou dans des centres commerciaux. Et 150 stations d'échange seront installées dans chacune de ces villes : les automobilistes auront la possibilité d'y échanger leur batterie. Aux termes du projet annoncé le 23 octobre à Melbourne, Better Place coopérera avec l’Australien Macquarie Capital Group pour attirer des investisseurs en vue d’établir des stations de recharge. L’objectif étant de commercialiser les premiers véhicules électriques à grande échelle, à l’horizon 2012. Better place a également conclu un accord avec le fournisseur d’électricité australien AGL Energy. Aucun constructeur n’a été désigné, mais l’alliance Renault-Nissan, qui développe une voiture électrique, étudie la possibilité de fournir des véhicules au partenariat australien. La société israélienne Better Place revendique fièrement sa mission : réduire la dépendance mondiale vis-à-vis du pétrole en faisant naître des infrastructures de chargement destinées aux véhicules électriques, pour proposer aux consommateurs un moyen de transport alternatif moins polluant.« Notre réseau en Australie montrera que le modèle Better Place fonctionne dans tous les pays quelle que soit leur taille », a déclaré Shai Agassi, président et fondateur de Better Place. Rappelons qu’en janvier 2008, l'Alliance Renault-Nissan a signé à Jérusalem un protocole d’accord dans la perspective d’une percée du véhicule électrique sur le marché israélien pour faire baisser les émissions de CO2 et de particules. Les véhicules100 % électriques seront commercialisés en 2011 en Israël. Better Place construira un réseau électrique de recharge des batteries, Renault fournira les véhicules électriques dotés de batteries lithium-ion, et le gouvernement israélien encouragerax à l'achat de véhicules électriques grâce à des incitations fiscales.Le gouvernement du Victoria s’est déclaré intéressé et a formé une cellule de travail afin de développer les options de transport non polluantes.
Jérôme Gavelle"
Ainsi, donc, les israéliens s'installent en Australie. Pourquoi dans ce pays ?
Sans doute qu'il n'y a pas de pôle industriel automobile capable de faire échec à une telle installation.
En Europe, vu, les pressions du secteur, cela ne serait pas possible.
Espérons pour notre avenir qu'il réussisse obligeant par l'exemple donné les autres états industriels à faire de même. Surtout qu'en Australie avec le soleil, ils pourront se fournir propre sans avoir à construire des barrages, fossoyeurs de la bio-diversité.
En tout cas, en France, EDF ferait bien de retaper ses barrages avant que des fissures ne finissent par apparaître mettant en danger la vie des riverains en aval. Sans compter un petit coup de ravalement dans les centrales nucléaires avant que les fuites ne se multiplient polluant nos pauvres petits poissons de rivière.
Ah, au fait, vendredi, je vous ai parlé par un article interposé des difficultés que vont rencontrer les réfugiés climatiques pour trouver une terre de refuge. En effet, la condition sine qua non sera que la terre d'accueil puisse nourrir et les gens du coin et les réfugiés. Problématique déjà rencontré dans les camps de réfugiés parce que l'aide humanitaire ne pourra de toute façon faire face. Déjà, que la crise financière l'a laminé en tout cas pour les pays riches, à mon avis, il n'en restera pas grand chose.
Mais, consolons nous, il nous reste un peu plus de vingt ans avant que le problème ne devienne catastrophique.
Ben, voilà, c'est tout ce que j'ai envie de dire aujourd'hui. J'ai pas trop la frite car j'ai trop dormi ce week end.
Alors, bien le bonjour chez vous.
Et, dites vous bien que si une crise peut en cacher une autre, plusieurs peuvent en dissimuler une multitude.
Ciao, René.
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