Salut à tous ceux qui pour ne pas tousser prennent de la boldoflorine.
Eh, non, aujourd'hui, je ne vous parlerais pas de la pollution minière en Nouvelle Calédonie car j'ai oublié le document chez moi.
Aussi, je ne sais quoi vous dire.
Triste n'est-ce pas. Bon, je ne vous l'ai pas fait "Triste Tropique" car les indiens d'Amazonie vont en prendre un sale coup derrière la tête avec les cultures des agrocarburants. Mais, qu'est-ce que vous voulez, après tout, ils sont archaïques. A notre époque, les sociétés traditionnelles de cueilleurs ne devraient plus exister. Regardez les pygmées bientôt, ils n'auront plus de forêts où leur mode d'existence pourra perdurer. Au beau milieu, ils ont fait passer un aléoduc qui transporte le pétrole du Tchad. Un peuple en perdition me dites-vous.....et alors, tout le monde s'en fout. Regardez encore, ceux de l'ex Zaïre, ils se sont même fait bouffer par les bantous qui s'imaginaient enrailler ainsi la fièvre ébola.
Alors que moi dans la tribu de Baco dans la commune de Koné en Nouvelle Calédonie, j'ai mangé de la roussette en présentant la tête à mon fils. La roussette a une petite tête de chien. Mon gamin, il a regardé et il est passé du rouge saumon au vert pomme. Il n'a pas voulu goûter. Après, on raconte que le monde manque d'aventuriers. Par contre, il ne manque pas de traders carnassiers.
Là, se pose la question de la finalité du capitalisme en connexion avec l'humain. C'est bien la rentabilité pour les actionnaires avec distribution de dividendes qui se font sur le dos des travailleurs. A quand la rentabilité sociale des entreprises. Parce qu'à force de prendre la force de travail pour corvéable à merci, ils vont finir par déstructurer la société sans pour autant en construire une autre ou la solidarité se posera en ciment du corps social.
Alors, la loi du plus fort ?
Ça, c'est une vieille histoire qui est raconté dans la bible. Donc, nous revenons au temps biblique, mais, où seront les prophètes qui réuniront les peuples. Certainement pas du côté des socialistes dont les dirigeants, il faut le dire, se font acheter les uns après les autres. Et tout ça pourquoi, au final, gageons qu'il n'y aura pas de résultats conséquents et qu'ils camoufleront leurs échecs sous des dehors avantageux. Hélas, c'est l'histoire de l'humanité.
Par contre, ils feraient bien de réfléchir sur la finalité sarkhosienne. Au final, il ne fera pas grand chose, à part faire prendre à la populace des vessies pour des lanternes. Il se jette en pâture aux médias people. Il occupe l'espace et tout cela pourquoi ?
A vous de me le dire parce que de rupture, ça sera pipo. A part appauvrir les classes moyennes sans compter ceux qui sont en dessous.
Ça, c'est sûr, il le fera. Mais, sa croissance, c'est pipo et compagnie parce qu'il n'a aucune solution et sa présence médiatique est là pour camoufler le fait qu'il n'a pas d'idée. Sauf, suivre ceux qui ont rajouté deux points de croissance à leur char national en appauvrissant leurs citoyens les plus précarisés. Mais, basta de la médisance. Après tout, en Angleterre, depuis qu'ils ont privatisé les chemins de fer, ils n'ont jamais eu autant d'incidents avec les trains qui déraillent. Sarkho va achever la liquidation des services publiques que Jospin avait déjà largement entamé. Vendre les bijoux de famille permet de dire qu'on rembourse le service de la dette sans pour autant en rembourser le capital. Eh, oui, ils nous prennent tous pour des demeurrés. Mais, si on continue à voter pour eux, c'est que l'on doit bien aimer ça.
Alors, moi, je vous dis si vous voulez vous faire entendre, aux municipales, abstenez-vous et si vous n'êtes pas entendu, révoltez-vous.
Mais, je stoppe net, il faut que je vous quitte, je reprends le travail.
Bien le bonjour chez vous.
René.
vendredi 31 août 2007
jeudi 30 août 2007
Que tous ceux qui rêvent d'îles s'en préservent dans la réalité. Sur une île, il n'y a pas de télé et vous ne pourrez pas voir PPDA au journal de 20h.
Salut à tous les vacanciers qui comme moi sont partis pour des courses lointaines.
Pour ne pas dire que je suis parti dans les tribus kanak de Nouvelle calédonie, île de l'Océan Pacifique. Moi qui pensais pouvoir continuer à écrire mon blog de là-bas, ça a été raté. En effet, pas d'internet dans les tribus de Koné, même si il y avait des ordinateurs. De toute façon en même pas quinze jours dans les tribus, j'avais pas tellement le temps de prospecter pour dénicher internet. Résultat, vous avez été sevré des pensées de votre guide spirituel. Aie, aie, aie, qu'est-ce que vous avez dû souffrir....ou peut-être pas du tout ?
Sauf que je préfère la première assertion à la deuxième. Ne m'en veuillez pas.
Sur le séjour, pas de problème, les élus locaux notamment kanak poussent à l'exploitation du nickel en affirmant qu'il n'y aura pas de pollution du lagon. Manque de pot, il y en aura et je compte vous en reparler demain. A part ça, beaucoup de monde vient s'installer dans ce qui est avec Tahiti la dernière colonie française d'Outre Mer. A Tokyo pendant l'escale, j'entendais deux jeunes français dont les parents avaient été enseignants en Nouvelle Calédonie s'entretenir de la possibilité de trouver un travail dans notre beau pays.
L'un d'eux disait au second, "Avec un diplôme égal et une expérience semblable, l'expatrié sera embauché."
Mais disait le second, "Et la préférence locale ?"
A cela le premier répondait, "Tu sais bien ce qu'il en est."
Et le second de sourire d'un air entendu.
Durant ce voyage, ce ne sera pas les seuls personnes à parler de s'installer dans ce pays qui est supposé accéder un jour à l'indépendance kanak.
Mais, qu'arrivera-t-il le jour où les étrangers seront six fois plus nombreux que les kanak ?
Qui contrôlera alors cette indépendance, les kanak, les originaires du pays ou les autres ?
A mon humble avis, cela sera les autres et les leaders kanak qui laissent faire, à mon humble avis encore, en sont parfaitement conscients.
Mais, peut-être veulent-ils assurer la pérennité de leurs émoluments ?
S'agit-il d'une politique de peuplement comme au début de la colonisation ? Bien malin sera le leader kanak qui pourra répondre.
Bon, basta de ce problème mineur qu'est le devenir d'un peuple, surtout si ce peuple ne dit rien ou plus rien, vu que ses leaders sont là pour parler pour lui.
Donc, retour en France où tout va bien.
Le niveau de vie va en prendre un coup, vu l'augmentation des produits de base dû à une raréfaction desdits produits. Changement climatique, dîtes-vous, mais peuchère, tout ça, c'est des blagues d'écologistes.
Raréfaction qui sera proportionnelle à l'augmentation des surfaces cultivables dédiée aux agrocarburants sans compter les effets des aléas climatiques. Agrocarburants indispensables à la lutte contre le changement climatique, en êtes-vous sûrs ?
En tout cas, une chose est certaine, c'est que les paniers des ménagères va en prendre un sacré coup sur l'ensemble de la planète. Mourir de faim en ville dans un pays occidental, cela n'arrivait qu'aux petites vieilles qui n'entretenaient plus de relation avec leurs voisinage. Cela pourrait-il arriver aux femmes isolées avec enfant en bas-âge et petits revenus ?
Des Cosettes, il y en a toujours eu, des Tenardiers également, mais des vendeuses d'allumettes qui meurent dans le froid, à quand le retour ?
Mais, vive la mondialisation, vive le libéralisme et vive Napoléon et n'oublions pas la science, la science sacrée ou la sacrée science, celle qui au final nous aura causé plus de torts qu'elle ne nous en aura préservé. Alors, révoltez-vous et peigner les scientifiques avec du goudron et des plumes.
Et sur ces bonnes paroles, je vous quitte.
A bientôt, René.
Pour ne pas dire que je suis parti dans les tribus kanak de Nouvelle calédonie, île de l'Océan Pacifique. Moi qui pensais pouvoir continuer à écrire mon blog de là-bas, ça a été raté. En effet, pas d'internet dans les tribus de Koné, même si il y avait des ordinateurs. De toute façon en même pas quinze jours dans les tribus, j'avais pas tellement le temps de prospecter pour dénicher internet. Résultat, vous avez été sevré des pensées de votre guide spirituel. Aie, aie, aie, qu'est-ce que vous avez dû souffrir....ou peut-être pas du tout ?
Sauf que je préfère la première assertion à la deuxième. Ne m'en veuillez pas.
Sur le séjour, pas de problème, les élus locaux notamment kanak poussent à l'exploitation du nickel en affirmant qu'il n'y aura pas de pollution du lagon. Manque de pot, il y en aura et je compte vous en reparler demain. A part ça, beaucoup de monde vient s'installer dans ce qui est avec Tahiti la dernière colonie française d'Outre Mer. A Tokyo pendant l'escale, j'entendais deux jeunes français dont les parents avaient été enseignants en Nouvelle Calédonie s'entretenir de la possibilité de trouver un travail dans notre beau pays.
L'un d'eux disait au second, "Avec un diplôme égal et une expérience semblable, l'expatrié sera embauché."
Mais disait le second, "Et la préférence locale ?"
A cela le premier répondait, "Tu sais bien ce qu'il en est."
Et le second de sourire d'un air entendu.
Durant ce voyage, ce ne sera pas les seuls personnes à parler de s'installer dans ce pays qui est supposé accéder un jour à l'indépendance kanak.
Mais, qu'arrivera-t-il le jour où les étrangers seront six fois plus nombreux que les kanak ?
Qui contrôlera alors cette indépendance, les kanak, les originaires du pays ou les autres ?
A mon humble avis, cela sera les autres et les leaders kanak qui laissent faire, à mon humble avis encore, en sont parfaitement conscients.
Mais, peut-être veulent-ils assurer la pérennité de leurs émoluments ?
S'agit-il d'une politique de peuplement comme au début de la colonisation ? Bien malin sera le leader kanak qui pourra répondre.
Bon, basta de ce problème mineur qu'est le devenir d'un peuple, surtout si ce peuple ne dit rien ou plus rien, vu que ses leaders sont là pour parler pour lui.
Donc, retour en France où tout va bien.
Le niveau de vie va en prendre un coup, vu l'augmentation des produits de base dû à une raréfaction desdits produits. Changement climatique, dîtes-vous, mais peuchère, tout ça, c'est des blagues d'écologistes.
Raréfaction qui sera proportionnelle à l'augmentation des surfaces cultivables dédiée aux agrocarburants sans compter les effets des aléas climatiques. Agrocarburants indispensables à la lutte contre le changement climatique, en êtes-vous sûrs ?
En tout cas, une chose est certaine, c'est que les paniers des ménagères va en prendre un sacré coup sur l'ensemble de la planète. Mourir de faim en ville dans un pays occidental, cela n'arrivait qu'aux petites vieilles qui n'entretenaient plus de relation avec leurs voisinage. Cela pourrait-il arriver aux femmes isolées avec enfant en bas-âge et petits revenus ?
Des Cosettes, il y en a toujours eu, des Tenardiers également, mais des vendeuses d'allumettes qui meurent dans le froid, à quand le retour ?
Mais, vive la mondialisation, vive le libéralisme et vive Napoléon et n'oublions pas la science, la science sacrée ou la sacrée science, celle qui au final nous aura causé plus de torts qu'elle ne nous en aura préservé. Alors, révoltez-vous et peigner les scientifiques avec du goudron et des plumes.
Et sur ces bonnes paroles, je vous quitte.
A bientôt, René.
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