Salut à chaque rebelle dans sa tête. Un jour, il faudra nous rencontrer.
Qu'est-ce être rebelle ? C'est ne pas accepter ni pour soi, ni pour l'autre un état de fait que l'on considère comme insupportable et pour sa conscience et pour son intégrité. Est-ce se mettre dans une posture de refus ?
Non, cela est plus que refuser parce que l'on peut refuser et subir malgré tout.
Se mettre en position de rebelle, c'est mettre en place les termes de son opposition, c'est combattre ce pourquoi on se situe en posture de rebelle. L'agir dans cette position, c'est mettre en place en solo ou en collectif les conditions de sa mobilisation.
Être rebelle, c'est agir à l'intérieur du système pour l'amener à changer le pourquoi pour lequel on n'est pas d'accord. Ce n'est pas être révolutionnaire en faisant de la violence le premier terme du changement. C'est utilisé, les mécanismes inclus dans tous systèmes démocratiques. C'est vivre tous les jours dans des attitudes qui marquent son opinion de rebelle. En clair, c'est la "Rebelle attitude".
Cela peut passer par des tee-shirts qui disent simplement, "Je suis pas d'accord !"
Et, si, nous sommes des centaines de milliers à porter ce tee-shirts, ce sera un signe de reconnaissance qui nous permettra de nous reconnaître, de nous contacter pour nous organiser et définir ensemble les termes de la "Rebelle attitude". Afin d'amener notre gouvernement à entamer des réformes plus justes pour l'ensemble et non pas pour un quarteron de priviligiés.
Alors, voilà, je vous livre cette réflexion.
Maintenant, passons à autre chose.
Je vous communique un extrait du quotidien les Nouvelles Calédoniennes de la semaine dernière à propos de légumes contrôlés positifs aux pesticides :
"Que choisir a fait analyser six échantillons de fruits et légumes provenant du marché municipal de Nouméa. Sur ces différents prélèvements, les salades, persil, chou de chine, tomate et orange sont issus de cultures locales et sont censés, comme les produits importés, respecter la LMR, la fameuse limite maximale de résidus. En clair, il s'agit de la quantité maximum de pesticides qui ne doit pas être dépassée pour un produit alimentaire. Elle repose sur des normes européennes, légèrement modifiées en Nouvelle Calédonie.
Les résultats de ces analyses réalisées en Nouvelle Zélande, rendus publics il y a quelques jours sont clairs : deux anomalies ont été trouvées sur les 220 molécules testées, et c'est le chou de chine qui est clairement montré du doigt. On y a retrouvé des teneurs en Carbendazime, un fongicide, supérieure à la LMR. Mais, le plus étonnant, c'est la présence d'Heptachlore époxyde, un termicide très toxique dont l'usage est interdit en agriculture depuis 1986 et qui n'est même plus homologué en Nouvelle Calédonie.
"Le résultat de ces analyses soulève le problème plus général des pesticides en Nouvelle Calédonie qu'il serait criminel de passer sous silence plus longtemps" affirme l'union des Consommateurs soutenus par le Collectif Ensemble pour la Planète. Mais, le problème des pesticides est vaste et tout reste à faire. D'autant qu'en matière de normes européennes, la Calédonie est encore un peu à la traîne. "
Ce qui se passe en Nouvelle Calédonie nous amène à nous poser une question, Est-ce que cela n'es pas possible en France, surtout quand les fruits et légumes proviennent d'ailleurs ?"
Un laboratoire indépendant de l'industrie agro-alimentaire et chimique ne pourrait-il pas procéder à des contrôles déjà au niveau de la grande distribution ?
Parce qu'entre-nous en parlant des OGM, ce sont des céréales dont les graines sont stériles. Donc, les agriculteurs devront acheter de nouvelles graines à la multinationales qui les aura fourni. Si, nous considérons l'homme, alors parlons des futurs humains OGM, ceux dont la vitalité des spermatozoïdes aura été bouffée par les fongicides, termicides, pesticides et autres joyeusetés. Ceux-là, à qui s'adresseront-ils ?
A leur créateur ?
Sauf que le créateur en question depuis ce qu'on lui a fait à son fils, il s'est inscrit aux abonnés absent.
Alors que faire ?
Moi, je vous conseille d'investir dès maintenant dans les banques de spermes parce que bientôt, il ne restera plus qu'elles pour se reproduire !
Alors, réfléchissez et envoyez-moi vos suggestions.
A bon entendeur, salut.
René.
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